Jean-Michel Di Falco
Jean-Michel Di Falco[alpha 1], né à Marseille le , est un prélat catholique français. Il est évêque auxiliaire de Paris de 1997 à 2003 puis évêque de Gap et d'Embrun (Hautes-Alpes) de 2003 à 2017. Principal soutien de la cause en béatification de Benoîte Rencurel, il est également connu du grand public pour avoir été porte-parole de la Conférence des évêques de France de 1987 à 1996, pour ses chroniques dans la presse et les médias. Il est par ailleurs le cofondateur de la chaîne KTO et du groupe Les Prêtres.
Pour les articles homonymes, voir Falco.
Jean-Michel Di Falco | ||||||||
Jean-Michel Di Falco, évêque de Gap et d'Embrun. | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Nom de naissance | Jean-Michel Di Falco | |||||||
Naissance | Marseille (France) |
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Ordination sacerdotale | ||||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Consécration épiscopale | par le card. Jean-Marie Lustiger |
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Dernier titre ou fonction | Évêque émérite de Gap et d'Embrun | |||||||
Évêque de Gap et d'Embrun | ||||||||
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Évêque auxiliaire de Gap et d'Embrun | ||||||||
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Évêque auxiliaire de Paris | ||||||||
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Évêque titulaire de Vallis | ||||||||
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« Cum enim infirmor, tunc potens sum » (2Co 12,10) « Quand je suis faible, c'est alors que je suis fort » |
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(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
Biographie
Formation
Jean-Michel Di Falco naît du mariage de Gaston Di Falco, technicien de radio, et de Mauricette Léandri[1]. À l'âge de trois ans, ses parents n'étant pas pratiquants, Jean-Michel se rend, pour la première fois, à la messe et en ressort avec le désir de devenir prêtre. Alors qu'il n'a que quatre ans, son père quitte le domicile[2].
Jean-Michel Di Falco arrête assez tôt ses études et obtient un certificat d'aptitude professionnelle (CAP) de fraiseur au centre d'apprentissage Le Chatelier, puis devient en 1959 employé d'une agence de distribution de films, Les Films Océanic[1].
Il entame ensuite des études au séminaire des vocations tardives à Rencurel (diocèse de Grenoble), puis au grand séminaire de Marseille et à l'Institut catholique de Paris où il obtient une maitrise de philosophie[3].
Principaux ministères
Ordonné prêtre le [alpha 2] pour le diocèse de Marseille, il est ensuite enseignant dans l'enseignement catholique de 1969 à 1984, puis directeur de l'Institut supérieur de pédagogie de l'Institut catholique de Paris de 1977 à 1982[3].
En parallèle, il est directeur et aumônier des classes élémentaires de l'école Saint-Thomas-d'Aquin, à Paris, de 1968 à 1974, puis des classes élémentaires de l'école Bossuet également à Paris, de 1974 à 1984[3]. Il a également été aumônier du cours d'Hulst, à Paris, et de l'école des Roches, à Verneuil-sur-Avre, de 1976 à 1989[1].
Expert auprès de l'Unesco de 1980 à 1985[1], membre de l'équipe du Centre national d'enseignement religieux de 1980 à 1982[1], président de la Commission Enfants et média du Bureau international catholique de l'enfance de 1980 à 1984[1].
Il est ensuite, de 1982 à 1987, directeur de la revue Fiches du cinéma[1], chroniqueur religieux à RTL[1] et délégué général de Chrétiens-Médias[3].
Il est ensuite nommé secrétaire général adjoint et porte-parole de la Conférence des évêques de France, fonctions qu'il exerce de 1987 à 1996[3].
En 1996, il est nommé conseiller culturel de l'ambassade de France près le Saint-Siège à Rome, directeur du Centre d'études Saint-Louis-de-France à Rome et directeur au séminaire français de Rome[3].
En 1999, à la demande du cardinal Lustiger, il fonde la chaîne de télévision KTO[4].
Épiscopat
Nommé prélat d'honneur de Sa Sainteté par le pape Jean-Paul II en 1995[1] et évêque auxiliaire de Paris le [3], il est consacré évêque le suivant à Notre-Dame de Paris par le cardinal Jean-Marie Lustiger[3]. En , il est dans un premier temps nommé évêque auxiliaire de Gap[3] ; puis le , il en est nommé évêque titulaire. Le diocèse prend ensuite le nom de diocèse de Gap et d'Embrun par décret le de la Congrégation pour les évêques[5],[1].
Au sein de la Conférence des évêques de France, il préside le Conseil pour la communication jusqu'en [3]. Il a également présidé la commission des évêques d'Europe pour les médias (CEEM)[3] et a été consulteur du Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome[6].
Développement du sanctuaire de Notre-Dame du Laus
Au nom de l'Église catholique, Di Falco reconnait officiellement le caractère surnaturel des apparitions de Marie à Benoîte Rencurel[7] le [8]. Ce sont les premières apparitions reconnues en France par l'Église catholique depuis celles de Pontmain, en 1872[9]. Par ailleurs, il soutient le procès en béatification de Benoîte Rencurel. C'est lui qui en 2003 entame la démarche jamais entreprise de reconnaissance des apparitions, nécessaire au dossier de béatification de Benoîte Rencurel, relancé en 1996. Sous l’égide de René Combal, six experts (un théologien, un historien, un spécialiste de la Bible, un psychanalyste, un psychologue et un magistrat) ont étudié durant trois ans la véracité biologique, historique et scientifique des faits, à partir des manuscrits et des témoignages d’époque[10]. Benoîte Rencurel sera reconnue « vénérable » par le pape Benoît XVI le [11].
Retraite épiscopale
Di Falco étant atteint par la limite d’âge, le pape François accepte sa démission du siège épiscopal de Gap et d’Embrun le [12] et nomme Xavier Malle pour lui succéder[13].
Les Prêtres
Afin de financer des actions caritatives, il est le fondateur du groupe Les Prêtres composé de Charles Troesch et Jean-Michel Bardet, tous deux prêtres de son diocèse, et de Joseph Dinh Nguyen Nguyen, d'abord séminariste[14] de son diocèse et marié depuis. Ils publient en l'album Spiritus Dei. L'album est vendu à plus de 800 000 exemplaires, il est disque de platine et no 2 dans le classement officiel des ventes d'albums en France[réf. nécessaire]. À l'issue des 800 000 disques vendus, Di Falco annonce le versement de 200 000 € à l’école Sainte-Thérèse d'Antsirabe (Madagascar), 200 000 € pour la restauration de la chapelle du Précieux Sang à Notre-Dame du Laus, 100 000 € à l’association Akamasoa présidée par le Père Pedro qui a sorti les enfants des ordures où ils cherchaient à manger à Tananarive (Madagascar), et 50 000 € à l’association APRES présidée par Yves Duteil pour une école en Inde[15].
L'album Spiritus Dei sera suivi de l'album Gloria (), puis de l'album Amen ().
Accusation de pédophilie
En 2001, un homme dépose plainte contre l'évêque pour actes de pédophilie[16]. Toutefois les faits, qui remonteraient à trente ans, sont prescrits par la loi française. Quelques années plus tard, Renaud Revel, journaliste à L'Express qui avait largement relayé l'information, affirme sur son blog que Di Falco a été « injustement accusé dans [ses] colonnes de pédophilie »[17]. En , « l'affaire est relancée au civil »[18].
L'affaire ayant suscité un important scandale, de nombreux articles et même un livre ont été publiés sur ce sujet[19]. La justice ouvre une enquête préliminaire sur les faits qui sont reprochés à l'évêque auxiliaire de Paris et remontent aux années 1972-1975. Le dossier est classé dans un premier temps pour cause de prescription[20]. Par ailleurs la plainte pour dénonciation calomnieuse intentée par l'évêque est close par un non lieu, faute de preuves[21],[22]. En 2017, la victime présumée a attaqué à nouveau Di Falco, cette fois au civil[20],[23]. Pour sa part, Maître Baratelli, l'avocat de Di Falco, dénonce une procédure d’assignation « indigne ». Il considère qu’on salit son client alors que les précédentes plaintes n’avaient pas abouti[21]. Selon lui, l’homme qui aujourd’hui assigne son client l’accuse injustement. En tout état de cause, l'évêque reste présumé innocent[12]. Dans son jugement rendu le , le tribunal de grande instance déclare les demandes irrecevables, les faits incriminés étant prescrits[24].
Prises de position et polémiques
En 2009, il affirme que si l'on a un comportement à risques, on doit recourir au préservatif pour ne pas ajouter le crime ou le comportement suicidaire à un manquement aux recommandations de l'Église : « si on a un comportement à risques, on ne doit, ni être criminel, ni être suicidaire, et avoir recours aux outils qui sont à la disposition des personnes, donc au préservatif, pour tenter de limiter les risques »[25].
Il critique l'attitude de José Sobrinho, archevêque, dans une affaire d'excommunications liées à l'avortement d'une fillette après un viol incestueux au Brésil.
À l’occasion de Pâques, en 2009, il présente l'œuvre de Paul Fryer, représentant le Christ sur une chaise électrique, dans la cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Arnoux de Gap. Cette Pietà a suscité de vives réactions parmi la communauté catholique de Gap, jugeant cette œuvre soit scandaleuse, soit bénéfique[26]. L'évêque s'est justifié en disant que le but premier de l'exposition était de forcer les gens à venir dans une église et à s'interroger sur le mystère de la Croix : « s'il y a scandale pour certains, il n'est pas là où ils le pensent ! Le scandale, c'est notre indifférence devant la croix du Christ »[27].
En 2014, Di Falco devient président du comité de soutien de Jérôme Kerviel alors que ce dernier revient à pied de Rome, à la suite de sa rencontre avec le pape François[28]. En , il demande publiquement la grâce du « trader » au président François Hollande[29].
En , dans une chronique vidéo intitulée « Changer le genre de Dieu » et diffusée par l'hebdomadaire Le Point, il commente le changement de sens du mot « mariage » qui est en train de se produire, alors que sa définition était « non modifiée dans les dictionnaires depuis des siècles »[30]. Le , dans une interview accordée au Dauphiné libéré, il affirme : « Le mariage, c’est l’union d’un homme et d’une femme. [...] Quant aux manifestations, plutôt bon enfant au début, elles ont été récupérées par la suite. Je pense aussi que les enfants n’avaient pas à être dans ces manifestations. Ce n’était pas leur place[31],[32] ». Une polémique naît alors et ses propos sont vivement critiqués et réfutés par La Manif pour tous[33]. Le , il affirme, dans sa chronique hebdomadaire du Le Point, avoir reçu plusieurs courriers anonymes dans lesquels il est critiqué, insulté et même menacé de mort[34].
Le , alors que Les Prêtres doivent donner un concert à l’Olympia au profit des Chrétiens d’Orient, victimes d'un génocide ordonné notamment par l'État islamique, Di Falco révèle que la mention de ce soutien sur les affiches exposées dans le métro est refusée par la RATP d'abord aux motifs de la « laïcité », puis de la « neutralité dans un conflit armé ». Di Falco ajoute « Dire que l’on ne prend pas parti face à un génocide, c’est de la lâcheté : quand une population est massacrée de manière systématique, on prend parti. Et c’est parce qu’on n’a pas pris parti qu’il y a eu la Shoah ». L'affaire prend alors une véritable tournure politique et judiciaire[35].
En et après la réalisation d'un audit, son successeur au diocèse de Gap et d'Embrun accuse Jean-Michel Di Falco d'avoir engagé des dépenses excessives[36],[37],[38]. Le , un communiqué commun de Di Falco et de Xavier Malle, évêques diocésains successifs, conteste cette version[39].
Œuvres
- Il y a longtemps que je t'aime (je prépare ma première communion), Paris Droguet & Ardant, 1982, 42 p. (ISBN 2-7041-0101-9)
- Un Chrétien vous parle. Tome 1, Limoges, Droguet & Ardant, 1986, 127 p. (ISBN 2-7041-0325-9)
- Du côté de l'école, avec Jean-Pierre Rosa, Paris, Nouvelle Cité, 1986, 186 p. (ISBN 2-85313-134-3)
- Un Chrétien vous parle, Tome 2, Paris, Éd. S.O.S., 293 p. (ISBN 2-7185-1002-1)
- Le Gàrri, Paris, Lattès, 1992, 239 p. (ISBN 2-7096-1066-3)
- Le Journal de l'Évangile, Paris, Lattès, 1992, 215 p. (ISBN 2-7096-1321-2)
- 100 questions sur la foi, Paris, Le Centurion, 1993, 98 p. (ISBN 2-227-36238-3)
- Conversation avec Dieu : de saint Augustin à Woody Allen, Paris, Ramsay, 1995, 483 p. (ISBN 2-84114-069-5)
- Le Journal des papes, avec Bruno Valentin, Paris, Ramsay, 1995, 203 p. (ISBN 2-84114-128-4)
- Une Œuvre de Georges Autard (ouvrage collectif), Marseille, Éd. Bernard Muntaner, 1993, 90 p. (ISBN 2-9506256-4-9) [six auteurs interrogent la même œuvre. La contribution de J.-M. Di Falco a pour titre « Perte du sang, perte du sens »]
- L'Amour crucifié : chemin de croix, avec Alexandre Joly, Paris, Fayard, Paris, 1997, 109 p. + 1 CD (ISBN 2-213-59876-2)
- Teresa ou Les miracles de la foi, Paris Éd. no 1, 1997, 292 p. (ISBN 2-86391-798-6)
- Ces papes qui ont fait l'Église, avec Bruno Valentin, Paris, L'Archipel, 2000, 120 p. (ISBN 2-84187-236-X)
- Je crois, moi non plus : dialogue entre un évêque et un mécréant, avec Frédéric Beigbeder, Paris, Calmann-Lévy, 2004, 252 p. (ISBN 2-7021-3423-8)
- Quand des médias dévoilent l'intime : quelques repères, avec Jean-Charles Descubes, Paris, Éd. du Cerf, Bayard & Fleurus-Mame, 2006 69 p. (ISBN 2-204-08186-8), (ISBN 2-227-47630-3) et (ISBN 2-7289-1196-7),
- Faut-il avoir peur des religions ? , avec Tariq Ramadan et Élie Barnavi, Paris, Éd. Mordicus, 2008, 92 p. (ISBN 978-2-7557-0403-7) [entretiens réalisés par Marie Vaton]
- Benoîte Rencurel, la visionnaire du Laus, Les Plans-sur-Bex & Paris, Parole et silence & Desclée de Brouwer, 2008, 194 p. (ISBN 978-2-84573-682-5)
- Le Livre noir de la condition des chrétiens dans le monde, avec Timothy Radcliffe et Andrea Riccardi (coord. par Samuel Lieven), Paris, XO Éd., 2014, 811 p. (ISBN 978-2-8456-3652-1) [ouvrage couronné en 2015 par le prix Document des Lauriers Verts lors de La Forêt des livres]
Lectures
Jean-Michel Di Falco a participé à plusieurs albums musicaux, en tant que lecteur :
- Conversation avec Dieu, dans Spiritus Dei, 2011
- L'Histoire de Spiritus Dei, lecteur et auteur, dans Spiritus Dei, 2011
- Je cherche ton visage, dans Gloria, 2011
- Aux amis de Spiritus Dei, avec les prêtres, lecteur et auteur, dans Gloria, 2011
- La Prière, dans Thérèse, vivre d'amour, 2013
Décorations et distinction
Jean-Michel Di Falco est chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur et chevalier de l'ordre national du Mérite[1].
Il a reçu le prix Georges Bernanos en 1987[1].
Annexes
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Sa fiche sur le site de la conférence des évêques de France
- Sa fiche sur le site catholic-hierarchy.org de David M. Cheney
- Site du diocèse de Gap et d'Embrun
- Notices d'autorité :
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Notes
- Également connu sous le nom de Jean-Michel Di Falco-Léandri.
- Le site de la CEF indique 1966 comme année d'ordination. Toutefois le 29 juin correspondant à un mercredi en 1966 et à un samedi en 1968, et les fonctions répertoriées commençant en 1968, une ordination en 1968, comme indiqué sur sa fiche du site catholic-hierarchy.org, est plus vraisemblable.
Références
- Who's Who in France, éditions 2008, p. 751.
- « Monseigneur Di Falco : « À trois ans, je disais que je voulais être prêtre » », sur franceinfo.fr, (consulté le ).
- « évêque : Mgr Jean-Michel Di Falco-Léandri », sur eglise.catholique.fr, Conférence des évêques de France (consulté le ).
- « Monseigneur Jean-Michel Di Falco Léandri », sur les-pretres.fr, Les Prêtres (consulté le ).
- « Présentation du diocèse de Gap et d’Embrun », sur le site du diocèse de Gap et d'Embrun (consulté le ).
- « Mgr Di Falco au Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome », sur le site du diocèse de Gap et d'Embrun, (consulté le ).
- Décret de reconnaissance, Jean-Michel Di Falco, , [lire en ligne], consulté le 20 janvier 2008.
- La Provence, « La foule à Notre-Dame du Laus, lieu de pèlerinage consacré », sur laprovence.com, (consulté le ).
- ZENIT, « Les apparitions de la Vierge à Benoîte Rencurel : Reconnaissance officielle », sur zenit.org, (consulté le ).
- Corinne Boyer, « Les apparitions de la Vierge à Benoîte Rencurel : Reconnaissance officielle », sur la-croix.com, (consulté le ).
- Ludovic Frère, « Où en-est la béatification de Benoîte ? », sur sanctuaire-notredamedulaus.com (consulté le ).
- Salle de presse du Saint-Siège, « Rinunce e nomine », sur press.vatican.va, (consulté le )
- « Le P. Xavier Malle nommé évêque de Gap », sur la-croix.com, La Croix, (consulté le )
- Claire Bommelaer, « Prêtres chanteurs », sur lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le ).
- Association Spirale, « Communiqué de l’association Spirale sur l’attribution des fonds réunis par Spiritus Dei », sur le site du diocèse de Gap et d'Embrun, (consulté le ).
- Sophie Bonnet, « Pédophilie: Mgr Di Falco, l'évêque accusé », sur le site du magazine Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Renaud Revel, « Plaidoyer pour Florence Schaal », (consulté le ).
- Bernadette Sauvaget, « L'affaire Di Falco relancée au civil », sur le site du quotidien Libération, (consulté le ).
- Guillaume Serina, L'affaire Di Falco, Paris, Ramsay,
- « L'enquête Di Falco relancée », sur franceinter.fr, France Inter, (consulté le )
- « Les PV d'audition de l'affaire Di Falco », sur France Inter, (consulté le )
- Document France Inter : « Ordonnance de non lieu », sur calameo.com
- « Marianne », sur Marianne, .
- « Mgr Di Falco assigné pour abus sexuels : le demandeur débouté », sur Dauphine Libere, (consulté le )
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- Michel Guerrin, « Mgr Di Falco: « Si on a un comportement à risques, on doit recourir au préservatif » », sur le site du quotidien Le Monde, (consulté le ).
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- L.A-M. (avec Adeline Taupin), « Censure de l’affiche des "Prêtres" : volée de bois vert contre la RATP », sur ledauphine.com, Le Dauphiné libéré, (consulté le ).
- Monseigneur Jean-Michel Di Falco, l'évêque qui a dilapidé des millions d'euros, lejdd.fr, 23 septembre 2018
- Hadrien Mathoux, L'ancien évêque de Gap Di Falco épinglé pour ses dépenses pharaoniques, marianne.net, 23 septembre 2018
- Monseigneur Di Falco pointé du doigt pour ses dépenses pharaoniques, bfmtv.com, 23 septembre 2018
- « Communiqué de presse commun de Monseigneur Xavier Malle, évêque de Gap (+Embrun) et de Monseigneur Jean-Michel Di Falco Léandri, évêque émérite de ce diocèse, à propos de la gestion du diocèse de Gap (+Embrun) », sur diocesedegap.fr, (consulté le ).
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