Georges Autard

Georges Autard né à Cannes le est un peintre et graveur français.

Georges Autard
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Il vit et travaille à Marseille et fut enseignant à l'École supérieure d'art et de design Marseille-Méditerranée[1]. Son œuvre s'inscrit dans la suite du courant de l'expressionnisme abstrait[2].

Biographie

Tableau noir, 1981-1982, 160 × 180 cm, localisation inconnue.

Commençant à peindre en 1975[2] alors qu'il suit les cours de mathématiques de l'université de Provence à Marseille, Georges Autard, titulaire de sa maîtrise en 1976, est dans un premier temps professeur de mathématiques.

Après ses accumulations d'objets des années 1982-1984  les Lunettes, les Vestes, les Bicyclettes , les œuvres de Georges Autard présentent de nettes réminiscences de sa formation puisqu'elles suggèrent des tableaux noirs chargés de signes et d'écritures, comme pour une histoire qui y semble codifiée. En 1990, en même temps qu'il aborde deux de ses thèmes importants, Per ornamento[3],[Note 1] et les Dessins napolitains[4], Georges Autard donne à ses tableaux plus de matière et plus de couleur. Intéressé alors par les travaux de Claude Viallat, simultanément fasciné par une Descente de croix de Fra Angelico, il s'affirme « expressionniste » et « narratif », mais aussi poursuivi par l'idée de chaos. Plusieurs récits désordonnés interfèrent en un seul tableau, comprend ainsi Annie Pagès[2]. Tel Dessin napolitain (pastel)[5] est de la sorte constitué d'« îlots de sens » : hétéroclite, pluriel, il met en situation des bribes de croix, des clous christiques ensanglantés, légendés du mot « relique », et l'écriture omniprésente du nom de Pythagore qui surgit là inopinément, à la façon d'une immixtion mathématique (ce qu'Autard appelle « le bon sens ») dans un univers mystique (ce qu'il conduit par jeu de mots à devenir « le Bon Sang »). « Raffolant à l'extrême des jeux de mots, des doubles sens et des analogies »[6], faisant de la sorte glisser les « sens », Autard jette des ponts qui font se rejoindre des champs différents, l'ordre logique et l'ordre sacré[2], « l'analytique et le métaphysique »[1], voire plus directement encore le Christ (les clous-reliques) et l'anti-Christ (Pythagore)[Note 2], offrant à Élisabeth Védrenne d'interpréter que « la perte de ce sang a entraîné la perte du sens, puis l'absence de centre, puis l'absence du linéaire, entraînant à son tour la multiplication des faisceaux, elle-même égale à la perte du sens unique, au règne de la simultanéité[6] ». Distribuant donc les « îlots de sens » que sont les motifs figuratifs (ici le clou et les bribes de croix) et les légendes (ici les mots « relique » et « Pythagore ») en une surface abstraite, privée de centre et cependant géométriquement organisée en stries et arabesques multicolores, l'œuvre suggère finalement à Jean-Pierre Delarge un fragment de papier peint des années 1930[7].

C'est à compter de 1998 que Georges Autard se rend régulièrement dans les hauts-lieux du bouddhisme tibétain (huit séjours au Ladakh et au Zanskar) et du bouddhisme zen (quatre voyages au Japon, dont il étudie la langue) qui lui inspirent tant des séries abstraites  les Prosternations[8] inspirées des traces des moines tibétains qui rampent sur le sol[9]  que de semi-figuratifs Dessins sur papier non titrés évoquant tout autant la vie monacale[10]. Dans le même temps d'autres tableaux le conduisent des citations de Paul Cézanne, des Nymphéas de Claude Monet, de Pablo Picasso et de Joseph Beuys à sa suite des Slogans (Paradise Now, My black is back, Wisdom and compassion…).

« Le parcours de Georges Autard traverse des styles si différenciés, des démarches si diverses, des techniques si inconciliables, écrit François Bazzoli, qu'il atteint aujourd'hui à une cohérence et une logique reconnaissables […] Ayant intégré dans sa violence picturale, maintenant contenue et canalisée, les architectures théoriques de Paul Cézanne aux cubistes jusqu'à nos jours, Georges Autard les détoure et les détourne avec les moyens techniques et analytiques de son temps ». Et Frédéric Valabrègue d'ajouter : « On a là tout le vide-poche, tous les bavardages d'atelier, toute la sédimentation de possibles rassemblant le geste ultime ou de dernier ressort. On traverse la multiplicité des intérêts, des époques et des admirations […] pour en ressentir que c'est là le contraire d'une œuvre tendancieuse, mais demeurant mobile et d'une jeunesse regagnée »[11].

Bibliophilie

  • Bernard Lamarche-Vadel, L'eusses-tu cru que ton père fut là peint?, illustré de 13 alugraphies de Georges Autard, 320 exemplaires numérotés, édité par Centre de création contemporaine, Tours, Éditions Voix Richard Meier, 1985.
  • Lettre à Georges Autard, Poème de Michel Butor, avec une peinture de Georges Autard, un vidéogramme de Jean-Michel Vecchiet et une photographie d'André Villers. 60 exemplaires numérotés, Éditions de la Malautière, 1993.

Expositions

Grand E blanc, 1984, 220 × 230 cm, localisation inconnue.

Expositions personnelles

  • Galerie associative Robert Grimaldi, Aix-en-Provence, 1981.
  • Galerie Christian Laune, Montpellier, 1984.
  • Galerie Arlogos, Nantes, 1984, 1986.
  • Galerie Terzo Livello, Florence, 1984.
  • A.R.C.A., Marseille, 1985.
  • Galerie Montenay-Delsol (puis Montenay-Giroux), Paris, 1985, 1986[12], 1987, 1990 (Thème des Dessins napolitains[4]), 1991 (stand FIAC), 1994, 1997, 1998.
  • Studio Guenzani, Milan, 1987.
DAS…, 2017, 150 × 150 cm, localisation inconnue.
Black is black, 2017, 20 × 30 cm, localisation inconnue.
  • Galerie Françoise Vigna, Nice, 1999[16].
  • L'eusses-tu cru que ton père fut là peint?, Galerie AL/MA, Montpellier, [17].
  • Galerie Porte avion, Marseille, janvier-[18].
  • Villa Tamaris, La Seyne-sur-Mer, janvier-.
  • Georges Autard, Peintures et dessins, galerie Künstburoberlin, Berlin, [19].
  • Prosternations, galerie AL/MA, Montpellier[9] et galerie Porte avion, Marseille[20],[8], 2009.
  • Paradise Now, galerie du Tenyidor, Collioure, 2011[21].
  • Paradise Now, galerie Porte avion, Marseille, 2013[22].
  • Black is back, galerie AL/MA, Montpellier, novembre-[23],[24],[25].
  • Mystik Esthetik Kommando, CAIRN Centre d'art, Digne-les-Bains, avril-[26],[27].
Série Statements, 2017, localisation inconnue.
  • Statements, Brigitte March International Contemporary Art, Stuttgart, 2019[28].
  • La forme informe, galerie AL/MA, Montpellier, 2020[29].
  • Mystik Esthetik Kommando, galerie Patrick Bartoli, Marseille, 2020.

Expositions collectives

  • Dix ans de création, musée Cantini, Marseille, 1980.
  • Midi et demi, Festival d'Avignon, 1981.
  • 7e Biennale de la peinture méditerranéenne, galerie des Ponchettes, Nice, 1981.
  • Attention, peinture fraîche ! - Georges Autard, Gilbert Della Noce, Didier Demozeau, Claude Goiran, Didier Mencoboni, Henri Olivier, galerie d'art contemporain des musées de Nice, 1983.
  • Trans-figuration, ARCA, Marseille, 1983.
  • Cent ans après, dix ans plus tard, cinq peintres d'aujourd'hui, galerie 73, Giverny.
Ego trip, 2016, 150 × 150 cm, localisation inconnue.
  • Ils collectionnent. Premiers regards sur les collections privées d'art contemporain, musée Cantini, Marseille, 1985.
  • 2e Biennale d'art contemporain, Tours, 1985.
  • Le style et le chaos, musée du Luxembourg, Paris, 1985.
  • Sagas venant du sud, parcours dans l'art contemporain de Bordeaux et de Nice, Palau Meca, Barcelone, 1985.
  • Trente-huit artistes de la Collection Peter Stuyvesant, Institut néerlandais, Paris, 1986.
  • Musée des beaux-arts de Calais, 1986.
  • Georges Autard, Jean-Luc Poivret, Gérald Thupinier, Espace lyonnais d'art contemporain, gare Perrache, Lyon, décembre 1986 - janvier 1987.
  • Exposition itinérante : 9 artistes franceses, Madrid, Valence, Grenade (Espagne), 1987.
  • Biennale d'Alexandrie (Égypte), 1988.
  • La peinture en France, une génération, exposition itinérante, musée d'Art moderne de la ville de Paris, musées de Bogota, Brasilia et Rio de Janeiro, 1989.
  • Nos années 80, Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris, 1989.
  • Georges Autard, Pascal Kern, Jean-Luc Poivret, galerie Miguel Marcos, Madrid, mars 1990.
  • Samazamaraki, Sogetsu Art Gallery, Tokyo, 1991.
  • Ben. Autard. Alechinsky, FRAC Centre, Orléans, 1992.
  • Vingt artistes marseillais, Anvers, 1993.
  • Regard du savant, regard de l'artiste, CCSTI Arts et sciences, Marseille, 1993.
  • Sélection du FRAC PACA, galerie marchande, Anvers, 1994.
Croix blanche sur fond noir, 1985, 150 × 180 cm, localisation inconnue.

Collections publiques

Allemagne

Les quatre Singularités, 1984, 75 × 110 cm, localisation inconnue.
Paradise now, 2017, 25 × 25 cm, localisation inconnue.

Canada

France

Italie

Collections privées

Réception critique

  • « Autard est un peintre abstrait qui peint avec des images figuratives[49]. » - Marc Partouche
  • « La vitalité des œuvres de Georges Autard est rageuse, excessive, acharnée. Dans son œuvre, le bien-peint succède au mal-peint, l'abstrait au figuratif et le narratif au dépouillement[50]. » - Pierre Manuel
  • « À force de s'être imprégné de raisonnements et de schémas mathématiques, Georges Autard continue à les utiliser comme une grille commode, une toile de fond familière prête aux recouvrements de toutes sortes[6]. » - Élisabeth Védrenne
  • « Le travail d'Autard, qui trouve son propre renouvellement dans sa remise en question, introduit la notion de dérèglement[51]. » - Gérald Schurr
  • « Prolixe artiste marseillais, Georges Autard enveloppe les visiteurs au creux d'un ensemble d'œuvres d'une agressivie spiritualité. Proches de la publicité et du graffiti tout en entretenant des rapports avec l'Histoire de l'art, le Bouddhisme zen et le rock, ces travaux, déclinés sous différents médiums, donnent lieu à un moment de fluorescente synesthésie. Préméditée et spontanée[22]. » - Antoine Gautron
  • « Ne jamais laisser la surface en repos; l'assaillir également par tous les bords; l'emplir de tout un répertoire d'images disparates ; y organiser des rencontres fortuites; la ponctuer de signes; la réserver ici, l'occulter là ; en suggérer l'idée d'une extension à l'infini ; l'enguirlander enfin de paroles érudites[52]. » - Philippe Piguet
  • « Pour Georges Autard, la seule harmonie possible est celle qui fond intimement la décision et le geste réconciliés, la pensée et le corps, la pensée faite corps. La spiritualité extrême-orientale dont il se nourrit sans puritanisme stimule sa recherche d'un satori pictural[11]. » - François Valabrègue
  • « Les voyages de Georges Autard lui ont fait découvrir ces autres mondes, cultures, formes d'expression où le Rien ne s'oppose pas au Tout, où le Vide seul permet de faire résonner le Plein, où la Permanence ne prend son sens que si elle fait apparaître, fulgurante, le passage sur la toile d'un instant qui déjà s'efface[19]. » - Jean-Claude Crespy
  • « Mû par cet élan vital parfois exacerbé qui aiguise toute recherche d'un esprit quelque peu scientifique, mais aussi par la spiritualité d'un Extrême-Orient dont son œuvre est amplement nourrie, Georges Autard, pour qui l'acte même de peindre fait œuvre, affirme dans sa démarche l'entière souveraineté de la peinture[20]. » - Caroline Figwer

Récompenses et distinctions

  • Grand prix du 17e festival international de la peinture du Haut-de-Cagnes, 1985[53].

Bibliographie

  • « Georges Autard », dans les actes du colloque Les revues d'art aujourd'hui en Europe, Marseille, Sgraffite, 1983.
  • Bernard Lamarche-Vadel, Georges Autard, ARCA, 1985.
  • Neuf artistes français, Édition Museo español de arte, Madrid, 1987.
  • Élisabeth Védrenne, « Georges Autard, portrait », Beaux Arts magazine, no 50, .
  • Alain Julien-Laferrière, Philippe Piguet et Claude Ber, Georges Autard, Éditions du Centre de création contemporaine de Tours, 1988.
  • Nicolas Cendo, L'art moderne à Marseille, la collection du Musée Cantini, Éditions du Musée Cantini, 1988.
  • Philippe Piguet, Georges Autard : dessins napolitains, Institut français de Naples, 1990[52].
  • Georges Autard, Georges Autard : Per Ornamento, Images en Manœuvres Éditions, 1990.
  • Antón Castro (es) et Ramón Tío Bellido, Georges Autard, Pascal Kern, Jean-Luc Poivret, éditions Galerie Miguel Marcos, Madrid, 1990.
  • François Bazzoli, Claude Ber, Michel Butor, Jean-Michel Di Falco, Camille Guichard, Une œuvre de Georges Autard, six auteurs interrogent une même œuvre, Éditions Bernard Muntaner, 1993.
  • Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1993.
  • Claude Ber, Une œuvre de Georges Autard, Éditions Muntaner, 1994.
  • François Bazzoli, Georges Autard, le dessin dans le dessin dans le dessin (fractalité du dessin), Éditions Claude Ber, 1996.
  • Jacques Henric, Georges Autard ou l'éternité développée, Marseille, éd. galerie Athanor, 1996.
  • « Georges Autard », Turbulences, Actes Sud, 1997.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Éditions Gründ, 1999.
  • Philippe Piguet, Françoise Deflandre, Maïtien Bouisset et Léone Javal (préface de Michel Tournier), SACEM. Vingt-cinq ans de collection d'art contemporain, 1974-1999, Éditions SACEM, 1999.
  • « Georges Autard, images numérotées », L'Œil, no 520, .
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Éditions Gründ, 2001.
  • Michel Enrici et Philippe Piguet, Georges Autard, co-édition Galerie Athanor Marseille/ Musée de Céret, 2001.
  • Frédéric Valabrègue, entretien avec Pierre Manuel, Georges Autard, collection « Grandes Méridianes », 2005.
  • Jean-Pierre Alis, Galerie Athanor, Marseille, Éditions J.-P. Huguet, 2005.
  • Robert Bonaccorsi et Frédéric Valabrègue, Georges Autard, édité par la Communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée, 2006.
  • « Georges Autard. Catalogue d'artiste », Beaux Arts magazine, .

Filmographie

Notes et références

Notes

  1. « Per ornamento » était la justification apportée par Paul Véronèse aux inquisiteurs qui lui reprochaient de sortir des sujets canoniques (Source : Jean-Pierre Delarge, sur Georges Autard, Dictionnaire des arts plastiques et contemporains, p. 61).
  2. Carl Huffman (université de Cambridge) lance l'idée dans son essai Pythagorisme que Jamblique écrivit au IIIe siècle une édifiante Vie de Pythgagore dans le but de faire de ce dernier un autre dieu incarné « susceptible de faire pièce au Christ ». Pythagore, que les habitants de Crotone appelaient « Apollon », qu'Aristote affirmait thaumaturge, s'imposa en être semi-divin qui reçut des dieux et transmit aux hommes toutes les vérités de la philosophie. Il enseignait l'immortalité de l'âme ainsi que les règles de vie pour y accéder. « De nombreux spécialistes, conclut Huffman, ont suggéré qu'il serait approprié de voir dans l'œuvre de Jamblique une sorte d'Évangile » (On trouve cet essai de Carl Huffman dans l'ouvrage collectif Le savoir grec, Flammarion, , pp. 1115 à 1137).
  3. Muséographie établie à partir des dictionnaires Bénézit et Delarge ainsi que d'une biographie établie par la Galerie AL/MA, Montpellier.

Références

  1. L'École supérieure d'art et de design Marseille-Méditerranée présente ses enseignants et professeurs sur son site. Texte de présentation de Georges Autard, artiste nomade.
  2. « Georges Autard », in: Dictionnaire Bénézit, tome 1, Paris, Éditions Gründ, 1999, p. 557.
  3. Georges Autard, Georges Autard, Per ornamento, Éditions Images en Manœuvres, 1990.
  4. Philippe Piguet, Dessins napolitains, éditions de l'Institut français de Naples, 1990.
  5. Philippe Piguet, Georges Autard, Dessins napolitains, Institut français de Naples, 1990, tableau reproduit en page 17.
  6. Élisabeth Védrenne, « Georges Autard, portrait », Beaux Arts magazine, no 50, , pp. 106 à 109.
  7. Jean-Pierre Delarge, « Autard, Georges », in: Dictionnaire des arts plastiques et contemporains (en ligne).
  8. Claude Ber, Prosternations Georges Autard, Peinture-dessin, galerie Porte avion, 2009.
  9. Georges Autard à la galerie AL/MA, film de Thibaut Martinez, durée 1'14", You Tube, Georges Autard, prosternation, 2,10 m x 11,10 m.
  10. Les Dessins sur papier, diaporama, 106 œuvres.
  11. Frédéric Valabrègue, Georges Autard, Easy painting, Journal Sous Officiel, no 22, hiver 2005.
  12. Jérôme Sans, Georges Autard at Montenay-Delsol in Artcribe International, décembre 1985-Janvier 1986.
  13. Vincent Gaston, « Georges Autard à la Galerie Athanor », Le Provençal, .
  14. Géométries de Georges Autard, Galerie Athanor, 1999.
  15. Claire Gravel, Georges Autard, peintre-mathématicien in Le Devoir, Montréal, septembre 1988.
  16. « L'art combinatoire de Georges Autard », Nice-Matin, .
  17. Bernard Teulon-Nouailles, Georges Autard, coup de cœur à Montpellier, mai 2003.
  18. Présentation de l'exposition galerie Porte avion, 2005.
  19. Présentation de Georges Autard par Jean-Claude Crespy, Directeur de l'Institut français de Berlin, Inauguration de l'exposition Georges Autard, Berlin, .
  20. Caroline Figwer, Georges Autard, souverain corps à corps Prosternation, performance de Georges Autard, galerie Porte avion, .
  21. [PDF] Compte-rendu de presse, Le journal de Collioure, exposition Georges Autard, galerie Tenyidor, Collioure.
  22. Antoine Gautron, compte-rendu dans Paris Art , exposition Georges Autard, Galerie Porte avion, Marseille.
  23. Document d'artiste: photographies et compte-rendu d'exposition Black is back, Galerie AL/MA, Montpellier, 2013.
  24. Art contemporain en Languedoc-Roussillon, Black is Black, Galerie AL/MA, communiqué de presse, 2013
  25. Magazine culture: compte-rendu d'exposition Georges Autard , galerie AL/MA, Montpellier, 2013.
  26. CAIRN Centre d'art, Georges Autard. Mystik Esthetik Kommando, présentation de l'exposition, 2018.
  27. UNESCO, Géoparc de Haute-Provence, Georges Autard au CAIRN, centre d'art de Digne-les-Bains, reportage, durée : 2'11".
  28. Gisela Sprenger-Schoch, « Georges Autard », Brigitte March International Contemporary Art, 2019.
  29. « Georges Autard - La forme informe », En revenant de l'expo, .
  30. Compte-rendu de presse, exposition Replay. Séquence 1, galerie Porte avion, Marseille, 2014.
  31. Arles-agenda, Abstraction(s). Galerie Circa, présentation de l'exposition, 2014.
  32. Artothèque Antonin-Artaud, Marseille, Sortir de la réserve, l'artothèque expose sa collection de A à Z.
  33. Les 25 ans de la Galerie du Tableau, Marseille.
  34. La collection d'un amateur éclairé marseillais Jean-Louis Marcos, présentation.
  35. Studio Aza, Le Japon. Fukushima pour l'avenir, présentation de l'exposition, 2015.
  36. Musée d'Art de Toulon, Délices d'artistes, présentation de l'exposition, 2015
  37. « Le Vigan : la peinture et le geste au château d'Assas »
  38. Musée de l'abbaye Sainte-Croix des Sables-d'Olonnes, Aux sources des années 1980, présentation de l'exposition, 2019.
  39. Musée des Beaux-Arts de Pau, Quasar, la collection, présentation de l'exposition, 2019
  40. « George Autard | Collection Musée national des beaux-arts du Québec », sur collections.mnbaq.org (consulté le )
  41. Les acquisitions 1983-1990 du FRAC Centre Georges Autard par Nadine Labedade.
  42. Georges Autard dans la collection FRAC Franche-Comté
  43. Inventaire de la collection sur le site FRAC PACA
  44. Philippe Piguet, Françoise Deflandre, Maïtien Bouisset et Léone Javal, SACEM - Vingt-cinq ans de collection d'art contemporain, 1974-1999, Éditions SACEM, 1999.
  45. Collection Quasar, Georges Autard
  46. Gautier Battisella, Chroniques du guide Michelin, 8 octobre 2012.
  47. Présentation de quelques œuvres et artistes de la Collection Vacances bleues Hôtel Royal Westminster, Menton.
  48. Marcel Maréchal, La collection Jean et Gisèle Boissieu, octobre 2009
  49. Cité par Gérald Schurr in: Le guidargus de la peinture.
  50. Frédéric Valabrègue (entretien avec Pierre Manuel), Georges Autard.
  51. Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, op. cit.
  52. « Georges Autard : Dessins napolitains / Texte de Philippe Piguet », notice de la bibliothèque Kandinsky.
  53. Francis Parent, Entendre l'écrit. Recueil de textes critiques, E.C. éditions, 1999, pp. 250 et 344.
  54. Présentation du film Ornamento, Georges Autard en l'abbaye du Thoronet.

Liens externes

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