Dirac (Charente)

Dirac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Dirac.

Dirac

L'église Saint-Martial et le monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Anne-Marie Terrade
2020-2026
Code postal 16410
Code commune 16120
Démographie
Gentilé Diracois
Population
municipale
1 520 hab. (2019 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 19″ nord, 0° 14′ 57″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 183 m
Superficie 29,29 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boëme-Échelle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dirac
Géolocalisation sur la carte : France
Dirac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Dirac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Dirac
Liens
Site web www.dirac.fr

    C'est une commune résidentielle à proximité d'Angoulême. Ses habitants sont les Diracois et les Diracoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Située au sud-est de l'agglomération d'Angoulême, le bourg de Dirac est à km du centre d'Angoulême[2].

    La commune est traversée par les routes D 104 (route de Sers à Puymoyen) et D 101 (route de Garat à Torsac) qui passent dans le bourg, mais aussi la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, qui passe à l'est de la commune et contourne la vallée de l'Anguienne. L'ouest de la commune est traversé par la D 81, route d'Angoulême à Villebois-Lavalette, ainsi que par la D 1000, rocade est d'Angoulême qui franchit la vallée de l'Anguienne par un viaduc[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Depuis les années 1980, la commune a une forte occupation résidentielle de par la proximité d'Angoulême, et les lotissements sont souvent disséminés dans les chênes en lisière de la forêt de Dirac (hameaux des Ribondaines, du Got, de Puyrajoux, de Sauvignac, du Boisseau...).

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Dirac
    Angoulême Soyaux Garat
    Puymoyen Sers
    Torsac Dignac

    Géologie et relief

    La commune occupe la partie calcaire crétacée du Bassin aquitain, qui elle-même se partage avec le Jurassique les trois quarts ouest du département de la Charente (Jurassique au nord, Crétacé au sud).

    On trouve le Turonien (appelé aussi Angoumien), calcaire à rudistes, qui occupe la moitié de la commune en dessous d'une altitude d'environ 130 m, et le Coniacien, calcaire plus graveleux, au-dessus.

    L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille, souterraines ou à ciel ouvert, souvent reconverties en champignonnières ou abandonnées. Dans la commune, on en trouve chez Marty, ou dans les vallées de l'Anguienne et des Eaux-Claires, mais moins que plus en aval.

    Ce plateau est toutefois recouvert par endroits de dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), sont appelées localement landes ou brandes. Sur la commune, cela concerne une petite zone au centre et une grande au sud-est, couvertes par la forêt de Dirac (à plus de 150 m d'altitude)[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau légèrement incliné vers l'ouest, d'une altitude moyenne de 150 m, bordé par les vallées de l'Anguienne au nord et des Eaux-Claires au sud. Le point culminant est à une altitude de 183 m, situé dans la forêt de Dirac près de la commune de Dignac. Le point le plus bas est à 65 m, situé sur l'Anguienne en limite avec Angoulême au Lyon. Le bourg est à environ 147 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Dirac.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Anguienne, les Eaux Claires, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Dirac est au bord de la vallée de l'Anguienne et aux sources de ce même ruisseau qui se jette dans la Charente à Angoulême et découpe son plateau[9]

    Les Eaux-Claires, autre petit affluent de la Charente qui traverse la commune de Puymoyen et se jette dans la Charente à Saint-Michel-d'Entraigues, prend sa source en limite sud de la commune. D'une longueur totale de 13,7 km, prend sa source dans la commune de Torsac et se jette dans la Charente à Fléac, après avoir traversé 7 communes[10].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[13].

    Végétation

    Le bourg de Dirac forme une vaste clairière dans la forêt de Dirac qui occupe le plateau entre les vallées de l'Anguienne et des Eaux-Claires ainsi que tout le sud de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Dirac est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,5 %), terres arables (14,9 %), prairies (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), zones urbanisées (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Adiraco en 1110[20], Adiriaco en 1120[21], Diraco en 1233, Dyracum au XIIIe siècle[22].

    L'origine du nom de Dirac remonterait à un personnage gallo-romain Atirius (dériv de Atilius)[23], ou germanique Adarus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Atirius »[24].

    Dialectes

    La commune est en grande partie dans la langue d'oïl, et marque la limite avec le domaine occitan, dialecte limousin (à l'est et au sud)[25].

    Histoire

    Des vestiges d'objets gallo-romains ainsi que des thermes rudimentaires datant du Haut Empire (IIe ou IIIe siècle) ont été trouvés sur la commune[26].

    Une voie romaine secondaire allant d'Angoulême à Périgueux traversait l'ouest et le sud de la commune par le Lyon, Hurtebise, les Maisons Blanches[27].

    Vers le XIXe siècle, dans un terrain nommé Terre sarrasine[Note 4], on a retrouvé de nombreux cercueils en pierre, et ce terrain était dans la tradition populaire un champ de sépultures à des Sarrasins établis dans le pays, descendants des bandes d'Arabes repoussés en 732 par Charles Martel.

    Vers le XIIe siècle, la vallée de l'Anguienne presque tout entière appartenait aux moines de l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême. La paroisse de Dirac a par la suite relevé de l'évêque d'Angoulême[28].

    Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Dirac se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Villebois-Lavalette, Gurat et Aubeterre[29].

    Un acte de 1572 des terres de l'évêque mentionne un dolmen, la Pierre levade, aujourd'hui disparu[30].

    L'état des paroisses de 1686 précise que l'évêque d'Angoulême est le seigneur de cette paroisse de 139 feux dont la terre ne produit que peu de grain[31].

    Le château féodal de Dirac, dont il reste des oubliettes creusées dans le roc et deux tours, appartenait à l'une des plus vieilles et illustres familles de l'Angoumois, les Tison d'Argence. Au XIIIe siècle, les Tison reconnaissaient à l'évêque le droit d'y séjourner lorsqu'il le requérait, « ami ou ennemi, en paix ou en guerre ».

    L'évêque était aussi suzerain d'autres fiefs dans la paroisse, comme Puydonant[Note 5]. Lorsque l'évêque donnait sa première messe à la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême, lors du festin qui s'ensuivait, le seigneur de Puydonant devait fournir trois cuves, deux pour le vin qu'il prenait dans les caves de l'évêché, une pour l'eau, et devait surveiller que les invités ne manquent ni de vin ni d'eau pendant la durée du repas. À la fin, le restant lui appartenait. De plus, les Tison d'Argence devaient offrir le repas, découper le premier plat et le présenter à l'évêque lors de cette installation[30],[32].

    L'évêque partageait aussi avec les seigneurs d'Argence le revenu sur les foires et la halle de Dirac[28].

    Cimetière de la ville de Dirac, pris depuis le bourg.

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était encore représentée par quelques tuileries et moulins à eau (moulin Barré, Combe-Loup)[30].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2008 Roland Tranchet    
    2008 2020 Alain Thomas DVG Ingénieur DCN retraité
    2020 En cours Anne-Marie Terrade SE-LREM  

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2019, la commune comptait 1 520 habitants[Note 6], en diminution de 0,13 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    8959221 0061 080951984951970889
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    825855768748744677722609606
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    616595570545545557556611620
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    5798071 0371 2601 3361 3791 3921 5131 511
    2019 - - - - - - - -
    1 520--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 753 hommes pour 766 femmes, soit un taux de 50,43 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6 
    90 ou +
    3,5 
    8,9 
    75-89 ans
    10,5 
    23,0 
    60-74 ans
    23,5 
    22,2 
    45-59 ans
    19,2 
    16,2 
    30-44 ans
    18,0 
    13,0 
    15-29 ans
    11,0 
    15,1 
    0-14 ans
    14,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    La forêt occupe une grande partie du territoire communal.

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[39].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Dirac possède une école élémentaire comprenant quatre classes. Le secteur du collège est Soyaux[40].

    Sports et activités

    • Stade des Ribondaines

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martial

    L'église Saint-Martial.

    L'église Saint-Martial, du XIIe siècle a été remaniée au XVe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1913[41].

    Château de Dirac

    Le château de Dirac vu depuis la vallée de l'Anguienne.

    Le château de Dirac n'a conservé que ses deux tours médiévales des XIIIe et XVe siècles. Elles encadrent le logis carré construit au XIXe siècle à la place du logis primitif[42]. Ce fief a appartenu pendant plusieurs siècles (dès 1180) à la famille Tizon d'Argence, famille importante de l'Angoumois, qui y ont établi une forteresse[43]. Ses nouveaux propriétaires ont restauré l'ensemble dans les années 2010 et aménagé des chambres d'hôtes, et deux émissions de La Maison France 5 leur ont été consacrées en partie[44].

    Logis d'Hurtebise

    Le logis d'Hurtebise actuel a été construit à partir de 1723 en respectant l'ancien logis et sa porte en plein cintre surmontée d'une bretèche[42].

    Patrimoine environnemental

    La forêt de Dirac occupe l'ouest et le sud de la commune.

    Le GR 4 de Royan à Grasse et le GR 36 de la Manche aux Pyrénées sont confondus en un sentier commun qui contourne Angoulême par le sud et qui traverse la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Georges Ancel (1870-1960), homme politique sous la Troisième République, s'est retiré au château d'Hurtebise.
    • Paul Dirac (1902-1984), physicien et mathématicien britannique, colauréat (avec Erwin Schrödinger) du prix Nobel de physique de 1933, dont la famille paternelle est issue de Dirac[45].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Actuellement les Sarrazines, d'après la carte IGN, surplombant la vallée des Eaux Claires.
    5. Le toponyme semble disparu. Il serait à situer au sud de Frégeneuil vers Hurtebise et le Maine d'après le texte de 1318.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Dirac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Dirac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « l'Anguienne »
    10. Sandre, « les Eaux Claires »
    11. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    13. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 124
    21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 231
    22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 25,72,94
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 247.
    24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    26. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 391-392
    27. Auguste-François Lièvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, Niort, L.Clouzot, , 127 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 97
    28. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 128-129
    29. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    30. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 152
    31. Histoire passion
    32. Aveu de Jehan Chauval à l'évêque d'Angoulême Mgr Gaillard en 1318 in M.L. Sandret, Revue nobiliaire, Librairie de la Société des Antiquaires de France, , 567 p. (lire en ligne), p. 249
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dirac (16120) », (consulté le ).
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    44. « Le château de Dirac devant les caméras de la Maison France 5 », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
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    Voir aussi

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