Saint-Michel (Charente)
Saint-Michel est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Saint-Michel.
Saint-Michel-d'Entraygues redirige ici.
Saint-Michel | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Fabienne Godichaud 2020-2026 |
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Code postal | 16470 | ||||
Code commune | 16341 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Michaéliens ou Saint-Mickaëliens | ||||
Population municipale |
3 218 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 1 308 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 34″ nord, 0° 06′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 62 m |
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Superficie | 2,46 km2 | ||||
Unité urbaine | Angoulême (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Couronne | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | stmichel-entraygues.fr | ||||
Peu étendue en surface, elle est située à l'ouest d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération.
Ses habitants sont les Saint-Michaéliens et les Saint-Michaéliennes, ou les Saint-Mickaëliens et les Saint-Mickaëliennes[1].
Géographie
Localisation et accès
Plus petite commune du Grand Angoulême en superficie, Saint-Michel est située à 4 km à l'ouest d'Angoulême[2], sur la rive gauche de la Charente.
La N 10 entre Angoulême et Bordeaux limite la commune au sud-est. La D 699, route d'Angoulême à Nersac, Châteauneuf et Jonzac, bifurque de la N 10 à Girac et traverse le bourg d'est en ouest. L'échangeur de Girac, important carrefour, permet d'accéder à la N 10 qui joue aussi le rôle de rocade ouest d'Angoulême, ainsi qu'à la rocade sud et est.
La D 103, de La Couronne à Fléac, traverse aussi le bourg et contourne l'agglomération par l'ouest. La D 72, route de Basseau, d'Angoulême à Linars, traverse le nord de la commune et franchit la Charente. La D 104 qui arrive de Puymoyen et Girac passe au pied du bourg à Puygrelier[3].
Saint-Michel est aussi desservie par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, les lignes no 6 et 7.
Le train ne s'arrête plus à la gare de Saint-Michel-sur-Charente, et la gare la plus proche est celle d'Angoulême (lignes Paris-Bordeaux et Limoges-Saintes-Royan).
Hameaux et lieux-dits
On trouve le quartier des Saujets (ou Saugets) et des Sicauds à l'ouest, les Brandes au sud, et, au-delà de la gare, le Bois Personnier en haut et le Pont de Basseau en bas, quartier de la papeterie.
L'hôpital de Girac occupe l'extrémité sud de la commune.
Plus près du bourg, on trouve Puygrelier à l'est et les Douhauds à l'ouest[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le terrain communal est calcaire et appartient à la zone du Crétacé du Bassin aquitain.
On trouve toutefois une minuscule zone de Jurassique supérieur (Portlandien) sur le bord de la vallée de la Charente aux Saujets.
Le calcaire crétacé occupant les plateaux date du Cénomanien, avec une petite zone de Turonien inférieur (appelé aussi Ligérien) au sud-est de la commune.
Les fonds des vallées (Charraud, Eaux Claires et Charente) sont occupés par des alluvions récentes, du Quaternaire. On trouve des alluvions plus anciennes et plus en hauteur à Basseau[4],[5],[6].
La commune occupe un plateau bas sur la rive gauche de la Charente et dans sa vallée, entrecoupé par les vallées de la Charraud au sud et des Eaux Claires au nord, formant un promontoire sur lequel le bourg est construit, prolongeant le plateau de la Tourette situé à l'extérieur de la commune au sud-est. Le point culminant de la commune est à une altitude de 62 m, situé en limite de commune près de Girac. Le point le plus bas est à 25 m, situé le long de la Charente. Le bourg est à environ 52 m d'altitude[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charreau, les Eaux Claires, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La commune est située sur la rive gauche de la Charente en aval d'Angoulême, et elle est traversée par les Eaux Claires au nord, et la Charreau au sud, qui se jettent dans la Charente à l'ouest.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Saint-Michel est une commune urbaine[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[15] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (79,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,6 %), prairies (5,6 %), forêts (1,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Les formes anciennes, en latin, sont Inter duas Aquas en 1110[21] ; Sanctus Michael inter aquas en 1297, Sanctus Michael en 1405[22].
C'est l'archange Michel qui a donné son nom à la paroisse[23]. Sous la Révolution, la commune est créée et prend le nom de la paroisse[24]. En 1793, à la suite d'un décret incitant au changement de nom des communes françaises, Saint-Michel s'est appelé Michel d'Antraigue[25].
Du fait de sa position entre trois cours d'eau, la commune s'appelle aussi Saint-Michel-d'Entraigues[26],[27] ou Saint-Michel-d'Entraygues[28],[29].
Histoire
L'existence de vestiges préhistoriques atteste de l'ancienneté de l'occupation humaine.
De l'époque gallo-romaine, une ancienne villa dont les vestiges ont été retrouvés au XIXe siècle surplombait le pont de Basseau.
Près du pont de Basseau actuel, un peu en aval, une ancienne voie supposée romaine reliant Angoulême à Cognac et Saintes appelée plus tard le chemin des Anglais traversait la Charente par un pont en bois dont on pouvait voir encore quelques piles au XIXe siècle lorsque les eaux étaient basses.
L'ancien port d'Angoulême[Note 3], situé sur la rive gauche un peu en amont du pont de Basseau, est supposé d'origine antique[30].
L'église de Saint-Michel est une église-refuge construite en 1137 par le fondateur de l'abbaye de La Couronne pour accueillir les pèlerins sur la route de Compostelle[31],[32].
Au cours du Moyen Âge, Saint-Michel se trouvait en effet sur un itinéraire transversal est-ouest et un itinéraire secondaire nord-sud de la via Turonensis fréquentés par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle mais aussi aux reliques de saint Eutrope à Saintes depuis le Limousin et le Périgord[33].
Les moulins à papier datent du XVIIe siècle. Ainsi au moulin du Petit Saint-Michel, le moulin à papier, construit en 1644, fut entièrement reconstruit en 1747 pour Sazerac de Forge[34].
Le moulin à papier de Chantoiseau, mentionné en 1656, devient à la fin du XIXe siècle, une annexe à la papeterie de Basseau[35].
L'usine à papier du Martinet, situé sur la Charreau, a fait suite au moulin à papier de la fin du XVIIIe siècle construit par la famille Sazerac de Forge. Il a été transformé en usine à papier en 1837 et employait 200 personnes en 1846. L'activité a continué jusque vers 1960[36]. L'usine appartenait au début du XXe siècle à Alamigeon frères. L'ancien moulin devait son nom à une fabrique de chaudronnerie située à son emplacement, dans laquelle les pièces de cuivre étaient battues par un énorme marteau mû par la force de l'eau[27].
Un des quatre moulins à blé de Basseau est transformé en annexe de la papeterie du Martinet par Laroche frère, en 1857, puis devient à partir de 1888 l'usine à papier Laroche-Joubert qui est rachetée en 1988, par Godard de Cognac, et transformée en cartonnerie. En 1885, ces quatre moulins à blé de Basseau sont l'objet d'un essai de transformation en usine de pâte de bois[37].
Le Grand-Girac était aussi une papeterie, à cheval sur la commune de La Couronne[27].
La ligne d'Angoulême à Cognac et Saintes a été mise en service en 1867, desservant la commune par une gare. Elle a appartenu d'abord à la Compagnie des Charentes, puis à l'État en 1878, et la SNCF en 1938. Elle écoulait les produits des papeteries, qui étaient acheminés auparavant par le fleuve et les deux routes, de Châteauneuf et de Bordeaux[27].
Au tout début du XXe siècle, il y avait aussi une fabrique de sabots au Petit Saint-Michel. À cette époque, la poudrerie d'Angoulême a été reliée par un embranchement à la gare de Saint-Michel, ce qui lui a donné un nouvel essor.
La Colonie était une suite de maisons, construites au bord de la route de Bordeaux par les soins de la famille Laroche-Joubert, servant de logements aux ouvriers de leur usine de l'Escalier. Pendant la première moitié du XXe siècle, l'Escalier était aussi desservi par une halte sur la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Blanzac appelée le Petit Mairat, qui longeait plus ou moins la route de Bordeaux jusqu'à La Couronne.
Le Petit-Girac appartenait à un philanthrope angoumoisin, M. Leclerc-Chauvin, qui à sa mort, en fit don à la ville d'Angoulême, sous la condition qu'elle en ferait une annexe de l'hôpital. Elle a alors été transformée en maison de retraite[27],[Note 4].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[39].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].
En 2019, la commune comptait 3 218 habitants[Note 5], en diminution de 1,59 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Saint-Michel a bénéficié de l'industrialisation et sa population a augmenté à partir de 1851.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 451 hommes pour 1 772 femmes, soit un taux de 54,98 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Le collège d'enseignement secondaire Puygrelier regroupe 515 élèves de la 6e à la 3e répartis dans 19 classes (en 2011)[45],[46].
Saint-Michel possède une école élémentaire, Louis-Pasteur, comprenant six classes, et une école maternelle, Charles-Perrault[47].
Santé
- Le centre hospitalier d'Angoulême est situé au sud-est de la commune, à Girac.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
Saint-Michel est un édifice roman du XIIe siècle de forme octogonale, entouré de huit absidioles ouvrant sur la rotonde. La date de la construction est connue par un document de l'abbaye de La Couronne. Elle est dédiée en 1137 « en l'honneur et pour la gloire de Dieu et de la Vierge Marie, afin d'accueillir les pauvres du Christ »[48]. Elle est désignée comme église paroissiale dès la fin du XIIIe siècle. À la suite des troubles des guerres de Religion, la voûte s'effondre au début du XVIIe siècle. L'église, réduite à son rez-de-chaussée, est couverte d'une simple charpente vers 1644. Elle est classée monument historique sur la première liste de 1840[49] et restaurée par l'architecte Paul Abadie de 1848 à 1853. Dès 1852 elle est à nouveau consacrée. L'ensemble de l'étage des baies hautes et de la coupole de 13 mètres de diamètre, à huit pans, surmontée d'un lanternon, furent créés par Abadie, selon ses conceptions de l'architecture romane, sans rapport avec l'élévation originelle, beaucoup plus simple, que l'archéologie permet d'envisager. Il est aussi intervenu sur les sculptures du niveau des absidioles[48].
Le tympan roman du portail présente saint Michel terrassant le dragon[50].
Un clocher séparé est érigé en 1898, puis remplacé par l'actuel au début du XXe siècle.
Une tradition du XIXe siècle y vit un refuge pour les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle, par confusion avec un relais qui se trouvait en face de l'église, détruit au XIXe siècle[réf. nécessaire].
- L'église de Saint-Michel
- Le clocher séparé de l'église
Patrimoine civil
Le logis de Puygrelier possède une tour carrée avec échauguette en encorbellement qui est sa partie la plus ancienne et date du XVIe siècle Le logis a été très remanié depuis[51].
Héraldique
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Les armoiries de Saint-Michel se blasonnent ainsi :
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Personnalités liées à la commune
- Gil Roland, acteur français décédé à Saint-Michel (1902-1967).
- Vincent Zouaoui-Dandrieux, athlète de steeple français y est né le [Note 6].
- François Gabart, navigateur français y est né le [Note 6].
- Josseline Gaël, actrice française y est décédée le .
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Avant 1280, date d'établissement du port de l'Houmeau dit Saint-Roch au pied de la ville.
- Un autre asile d'indigents a été fondé par M. Leclerc-Chauvin, au Gond-Pontouvre.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- La naissance de ces athlètes à Saint-Michel est simplement due à la présence de l'hôpital de Girac.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Michel » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Michel », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 127
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 70,390
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 618.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Charente - Géographie, histoire - V.A. Malte-Brun, édition du Bastion, 1882
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 343
- Site de la commune
- Charles Daras, Saint-Michel d'Entraygues, impr. de Daupeley-Gouverneur, , 16 p. (présentation en ligne)
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 222
- Charles Daras, Angoumois roman, Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire, , 259 p. (lire en ligne), Saint-Michel-d'Entraygues
- Philippe Sénac, Aquitaine-Espagne (VIIIe-XIIIe siècle), vol. 12, Poitiers, Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, coll. « Civilisation médiévale », , 240 p. (ISBN 2-9514506-5-6, lire en ligne), p. 211
- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9
- « Moulin du Petit Saint-Michel », notice no IA00066390, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Moulins de Chantoiseau », notice no IA00066389, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Usine du Martinet », notice no IA00066388, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Papeterie Laroche-Joubert », notice no IA00066387, base Mérimée, ministère français de la Culture
- [PDF] « Flânerie au fil des rues », L'Entraygues Bulletin municipal n°8, , p. 5
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Michel (16341) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le )
- Site officiel du collège Puygrelier
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- Pierre Dubourg-Noves, « Saint-Michel d'Entraigues », in Congrès archéologique de France, 1995, p.329-338, (lire en ligne).
- « L'église de Saint-Michel », notice no PA00104508, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Charles Daras (président honoraire de la Société archéologique et historique de la Charente), « Archeologia, no 39 », (consulté le )
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Histoire de Puygrelier
- 1561 - Contrat de fermage d'un moulin à papier à Girac (Saint-Michel)
- 1562 - Contrat d'apprentissage au moulin à papier de Girac (Saint-Michel)
- Amigos del Románico, fiche descriptive de l'église romane Saint-Michel
- Catillus Carol, « Saint-Michel-d'Entraigues », (consulté le )
- Portail de la Charente
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