Gond-Pontouvre
Gond-Pontouvre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Gond-Pontouvre | |||||
Carrefour du Pontouvre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Gérard Dezier 2020-2026 |
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Code postal | 16160 | ||||
Code commune | 16154 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gonpontolviens | ||||
Population municipale |
6 119 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 821 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 40′ 09″ nord, 0° 09′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 27 m Max. 94 m |
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Superficie | 7,45 km2 | ||||
Unité urbaine | Angoulême (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gond-Pontouvre (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.gond-pontouvre.fr | ||||
Elle est située au nord de la ville d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération.
Ses habitants sont les Gonpontolviens et les Gonpontolviennes[1].
Géographie
Localisation et accès
Elle est traversée du sud au nord par la N 10 entre Paris et Bordeaux (déviation d'Angoulême), l'ancienne route de Paris (D 910), la route d'Angoulême à Aigre dite route de Vars (D 737) et la ligne ferroviaire Bordeaux-Paris qui franchit la Touvre au viaduc de Foulpougne.
Au sud de la commune la ligne ferroviaire Angoulême-Limoges se sépare de celle de Bordeaux-Paris et longe la Touvre.
Cette situation privilégiée permet aux automobilistes d'accéder facilement à la déviation Bordeaux-Paris (N 10, aussi rocade ouest d'Angoulême), à celle d'Angoulême à Limoges (N 141) et à la rocade Est, achevée en .
Quartiers et lieux-dits
La ville est formée de deux villages anciens : Le Gond, au confluent de la Touvre et de la Charente, situé sur la route de Vars, et Le Pontouvre, situé plus en amont de la Touvre, au pont de la route de Paris.
La commune comprend de nombreaux quartiers : au sud, près du Gond, on trouve Pisany, Rochine, et le Terrier. Sur la rive droite de la Touvre, au Gond, il y a le Petit Vouillac, les Bourguets, et Roffit près du pont sur la Charente en direction de Saint-Yrieix. Au Pontouvre, il y a la Basse Ville, la Garenne et Bourlion. La zone industrielle n° 3 borde la commune au sud-est.
Le Treuil est un nouveau quartier dominant la rive droite de la Touvre. Plus au nord, le hameau de Chalonne est au bord de la Charente.
La zone commerciale des Montagnes, le long de l'ancienne route nationale 10, est presque entièrement dans la commune de Champniers[2].
Communes limitrophes
À l'ouest, la Charente sépare la commune de Saint-Yrieix.
Géologie et relief
La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien) dans sa plus grande partie et du Crétacé (Cénomanien) dans une petite partie sud-est. Quant aux vallées, elles sont recouvertes d'alluvions du Quaternaire, plus anciennes lorsqu'elles sont plus hautes (quartier du Gond).
Dans la partie jurassique, il existe une faille orientée est-ouest séparant le Kimméridgien au nord du Portlandien au sud et se terminant à Bourlion[3],[4],[5].
Les vallées de la Charente et de la Touvre occupent principalement le sol communal. La plus grande partie de la commune est comprise en dessous d'une altitude de 50 m. Le point culminant est à une altitude de 94 m, situé sur la colline du Treuil, en limite avec Champniers. Le point le plus bas est à 27 m, situé en aval du conflent de la Touvre et de la Charente[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, l'Argence, la Touvre, la Fontaine Noire, le ruisseau de Viville, le ruisseau de Lunesse et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Gond-Pontouvre est située au confluent de la Charente et de la Touvre. La Charente limite la commune à l'ouest et la Touvre traverse la commune, en passant d'abord au Pontouvre puis au Gond où se situe son confluent[8].
La Font Noire et la Font de Lunesse en provenance de Soyaux et l'Isle-d'Espagnac traversent le sud de la commune pour se jeter dans la Touvre sur sa rive gauche. Sur sa rive droite, on peut trouver le ruisseau de Viville en provenance de Champniers et limite avec Ruelle qui se jette aussi dans la Touvre, et l'Argence qui se jette dans la Charente au nord de la commune sur sa limite avec Balzac. Quelques fontaines sont aussi à signaler comme celle de Pisse-Menu à Chalonne[2].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,1 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Gond-Pontouvre est une commune urbaine[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[15] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (46,3 %), terres arables (16,2 %), forêts (11,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), prairies (4,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le Gond est attesté par les formes anciennes Algonno peu avant 1028, Algunt vers 1028-1030, Algont[21], terra deu Gont au XIIIe siècle[22], Agunt (non daté)[23], Algunz, Ougont (non datés)[24].
L'origine du nom Le Gond remonterait à un nom de femme germanique Algundis avec confusion possible entre al et l'article le[25],[Note 3].
L'origine de Pontouvre est tout simplement la contraction de « pont sur la Touvre », rivière qui traverse la commune[25],. Ce pont était très ancien et antérieur à celui de Ruelle[26].
Créée en 1793 commune de Lhoumeau dans le canton d'Angoulême, elle devient Le Houmeau dans le canton d'Angoulême-2 puis L'Houmeau-Pontouvre en 1801, Le Gond-Pontouvre en 1904[Note 4], puis Gond-Pontouvre dans le canton de Ruelle en 1973, enfin érigée en chef-lieu de canton en 1982[27].
Le centenaire du nom de Gond-Pontouvre a donné lieu en 2004 à l'organisation de manifestations.
Histoire
Des vestiges préhistoriques ont été trouvés au XIXe siècle : une défense d'éléphant, des ossements.
L'occupation humaine est ancienne. Un dolmen ou pierre levée dans le plantier de Roffit a été mentionné par Corlieu sous la dénomination de Tombeau du Bourguignon; il n'en reste plus de traces. Près de Roffit, au village des Blanchards, dans une sablière, ont été retrouvées des sépultures avec tegulae et poterie sigillée[28],[29].
Au Moyen Âge, déjà des moulins situés sur la Touvre devaient redevance aux comtes d'Angoulême, dont les principaux étaient situés au Gond, au Pontouvre et à Bourlion. Dès le XVe siècle, ces moulins ont réussi à s'affranchir de cet impôt onéreux.
Le territoire possédaient de nombreux fiefs, comme celui de Chalonne, possédé au XVIIIe siècle par le sieur Prévost de Touchimbert, capitaine de cavalerie.
Au XVIe siècle le Pontouvre possédait un temple, à l'époque où les protestants se réunissaient lorsqu'il leur était interdit d'exercer leur religion à l'intérieur des villes, mais lors de la Révocation de l'édit de Nantes en 1685 il a été détruit par les écoliers d'Angoulême échaudés par leurs professeurs jésuites.
Depuis l'époque de François Ier jusqu'au début du XXe siècle, le mercredi des Cendres donnait lieu à un carnaval, où un mannequin représentant Mardi gras était juché sur un âne puis jeté dans la Touvre par des jeunes gens déguisés. De nombreuses barques se dirigeaient vers lui pour le repêcher, car c'était un honneur pour celui qui y arrivait le premier. Il y avait même parfois un second mannequin, représentant sa femme Mardi Grelle. Cette étrange coutume attirait une foule importante d'Angoulême et de ses environs[30],[31].
Aux XIXe et XXe siècles, en plus des minoteries existantes, des industries se sont implantées dans la commune, comme des fours à chaux aux Fontenelles près du Pontouvre, l'usine de feutres au Gond (devenue COFPA), etc.[32].
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était aussi traversée par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Saint-Angeau, et qui passait par Champniers, appelée le petit Mairat, qui traversait la Touvre au Pontouvre, ainsi que par la voie métrique des Chemins de fer départementaux appelée le petit Rouillac, qui allait à Rouillac par Fléac et traversait la Charente au Gond. La commune hébergeait aussi le dépôt et l'usine électrique des tramways d'Angoulême, situés près du cimetière du Gond à Rochine.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2019, la commune comptait 6 119 habitants[Note 5], en augmentation de 4,01 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 804 hommes pour 3 253 femmes, soit un taux de 53,71 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Industrie
La partie orientale de la commune est occupée par la zone industrielle no 3, en limite avec la commune de L'Isle-d'Espagnac.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
- collège d'enseignement secondaire public : René-Cassin. Durant l'année scolaire 2012-2013, il regroupe 512 élèves de la 6e à la 3e répartis dans 21 classes[41].
- trois écoles élémentaires publiques : le Treuil, Pierre-et-Marie-Curie et le Pontouvre
- trois écoles maternelles : le Treuil, la Capucine et Charles-Perrault[42].
Sports et activités
- Le club de tennis de table est le TTGP.
- Le club de pétanque (ALGP) 1er club en Charente en nombre de licenciés.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église paroissiale Notre-Dame-de-la-Paix est située au Gond, sur la route de Vars, non loin du confluent de la Touvre et de la Charente. Elle fut construite entre 1950 et 1956 grâce aux fonds d'une association paroissiale. Sa paroisse est celle de Saint-Jacques de l'Houmeau à Angoulême.
- L'ancienne chapelle du Pontouvre était située à côté du pont sur la Touvre, près de la route de Paris. Elle s'appelait l'Immaculée-Conception et a été construite en 1875 et offerte par une habitante, Augustine Tardieu. Son clocheton a été enlevé lorsqu'elle a été transformée en entrepôt au XXe siècle.
- La chapelle de la Providence est située près d'Angoulême, sur la route de Paris. Elle a été construite en 1868 et faisait partie d'un asile pour indigentes de la commune d'Angoulême de la famille Leclerc-Chauvin. C'est maintenant la chapelle de la maison de retraite de la Providence[43].
- L'église Notre-Dame-de-la-Paix, au Gond.
- L'ancienne chapelle du Pontouvre (tout au fond), en 1900.
- La chapelle de la Providence.
Patrimoine civil
Patrimoine environnemental
La Touvre offre de belles promenades en canoë. Un parc ombragé est situé entre l'hôtel de ville et le viaduc de Foulpougne, sur des îles de la rivière.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Claude Beauchaud (1936- ) : homme politique français, né au Gond-Pontouvre dont il a été le maire.
- Daniel Bœuf (XXe siècle) : peintre paysagiste, né à Gond-Pontouvre.
- Francis Delage (1950-), chef cuisinier français, né à Gond-Pontouvre.
Jumelages
La commune a développé une association de jumelage avec : |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- L'étymologie de Les Gonds (Charente-Maritime), aussi situé au bord de la Charente, est la même.
- Elle est déjà écrite Gond-Pontouvre (sans l'article) en 1917, dans le livre Géographie communale de la Charente, de Martin-Buchey.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Gond-Pontouvre » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- « Carte géologique du BRGM » sur Géoportail.
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Gond-Pontouvre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « la Charente »
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur Infoclimat (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 13,59,126
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 184
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 39
- Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 17
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 324.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 233
- Bulletins de la Société archéologique et historique de la Charente, 1892, 1897, 1958
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 188,189
- Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 140,141
- « Gond-Pontouvre », base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice GUIONNET François, Henri, version mise en ligne le 2 novembre 2010, dernière modification le 2 novembre 2010
- « Jean-Claude Beauchaud, élu depuis un demi-siècle », Sud Ouest, (lire en ligne)
- « Municipales Gond-Pontouvre 2014 », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gond-Pontouvre (16154) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges publics », (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles publiques », (consulté le )
- Site de la commune
- Site web de Boticas
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Catillus Carol, « Gond-Pontouvre », (consulté le )
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