Champniers (Charente)

Champniers (se prononce [ʃɑ̃pnje] ou [ʃɑnje][Note 1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Champniers.

Champniers

L'église de Champniers.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Michaël Laville
2020-2026
Code postal 16430
Code commune 16078
Démographie
Gentilé Chaniérauds
Population
municipale
5 149 hab. (2019 )
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 53″ nord, 0° 12′ 18″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 163 m
Superficie 45,29 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gond-Pontouvre
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Champniers
Géolocalisation sur la carte : France
Champniers
Géolocalisation sur la carte : Charente
Champniers
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Champniers
Liens
Site web www.mairie-champniers.fr

    Elle est située au nord de l'agglomération d'Angoulême et fait partie de son aire urbaine.

    Ses habitants sont les Chaniérauds et les Chaniéraudes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune est située en limite nord de l'agglomération d'Angoulême. D'après des calculs de l'IGN publiés en 2016, le centre géographique du département de la Charente est situé dans la commune[2].

    Champniers se situe à km du centre ville d'Angoulême, et 41 km de Cognac, les principales villes du département, 15 km à l'ouest de La Rochefoucauld et 18 km au sud de Mansle[3]. La gare la plus proche est celle d'Angoulême.

    L'aéroport international Angoulême-Cognac se trouve en grande partie sur la commune.

    La commune est traversée par les deux routes nationales qui passent dans le département : la N 10 de Bordeaux à Poitiers, et la N 141 de Saintes à Limoges, partie de la route Centre-Europe Atlantique. Ces deux routes contournent l'agglomération angoumoisine par l'ouest et le nord.

    La D 12, route départementale d'Angoulême à Chasseneuil traverse aussi la commune et passe à l'est du bourg. D'autres routes départementales traversent la commune, en particulier la D 105, D 23 et D 37 qui passent par le bourg[4].

    La commune a aussi une zone d'emploi importante avec une usine Leroy-Somer et la zone commerciale des Montagnes sur la sortie nord du Gond-Pontouvre.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comprend des hameaux importants[4] comme :

    • Viville (les Bouillons et la Grange à Pillarget)
    • Argence
    • Vouillac
    • la Chignolle
    • les Rossignols
    • les Chauvauds
    • Denat
    • Fontenille
    • Fraîchefond (ou Frègefond) et Chez Suraud
    • les Cloux
    • la Simarde
    • les Coussauds
    • Villeneuve
    • les Montagnes (zone commerciale)

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Champniers
    Vars Anais
    Balzac Brie
    Gond-Pontouvre Ruelle

    Géologie et relief

    La commune est située dans le calcaire datant principalement du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Mais les buttes sont du calcaire du Crétacé (Cénomanien) annonçant déjà la zone crétacée de la moitié sud de la Charente : Puy de Nelle au nord du bourg, et la colline des Rossignols au sud, qui englobe les Chauvauds, Fontenille et Denat. Le sommet de cette dernière butte, à Ferrière, est argileux et ferrugineux.

    On trouve par ailleurs quelques zones de grèzes ou colluvions datant du Quaternaire dans quelques combes de la vallée de l'Argence, au nord de la commune entre Argence et la Chignolle. Les vallées (Argence et ruisseau de Champniers) sont couvertes d'alluvions récentes[5],[6],[7],[8].

    La commune offre un relief relativement important, marqué par ces buttes culminant à 140 m d'altitude : le Puy de Sanguin au sud-est, le Puy de Ferrière au sud-ouest du bourg et le Puy de Nelle au nord. Le point culminant de la commune est toutefois à une altitude de 163 m, situé en limite orientale près du Puy de Nanteuil. Le point le plus bas est à 31 m, situé en limite sud-ouest près du Pontouvre. Le bourg est à environ 80 m d'altitude[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par l'Argence, le ruisseau de Champniers, le ruisseau de Viville, un bras de l'Argence, un bras de l'Argence, un bras de l'Argence, un bras de l'Argence, un bras de l'Argence, un bras de l'Argence, un bras du Champniers, un bras du Ruisseau de Viville et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[10],[Carte 1].

    Le nord-ouest de la commune est traversé par l'Argence, qui coule vers le sud-ouest et passe par les lieux-dits la Chignolle et Argence. D'une longueur totale de km, ce cours d'eau prend sa source dans la commune de Jauldes et se jette dans la Charente à Balzac, après avoir traversé 5 communes[11].

    Le ruisseau de Champniers, affluent de l'Argence coulant d'est en ouest, traverse le centre de la commune et passe par le bourg.

    L'est la commune est aussi traversée par le ruisseau de Viville, qui coule vers le sud-ouest et se jette dans la Touvre. Sa source est sur la bordure orientale de la commune, aux Bouillons, et son confluent à 100 m de la commune (limite des communes de Ruelle et du Gond-Pontouvre).

    De nombreuses fontaines parsèment aussi la commune[4].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Champniers est une commune rurale[Note 2],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (11,7 %), prairies (7,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), forêts (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), cultures permanentes (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Catmerio en 1110[21], Campnerio au XIVe siècle[22].

    L'origine du nom de Champniers remonterait à Catumarium fundum, du nom d'un homme gaulois Catumaros latinisé en Catumarius[23], ou villa, ce qui correspondrait au « domaine de Catumer »[24].

    Histoire

    La commune a longtemps été connue pour la culture du safran bien avant le XIXe siècle. Il y avait même une foire du safran chaque 11 décembre[25],[26].

    Les registres de l'état civil remontent à 1599.

    La commune de Champniers, assez étendue, possédait un grand nombre de fiefs dont les plus importants étaient Argence, le Puy de Nelle, le Breuil et Vouillac.

    Le fief d'Argence appartenait aux Tison d'Argence, famille noble célèbre dans l'Angoumois qui fait remonter son origine au VIIIe siècle. Elle est éteinte et il ne reste rien de leur logis à Argence.

    Le château de Puy de Nelle dressait ses tours et ses créneaux au sommet de la colline qui domine au nord le bourg de Champniers. Il n'en reste absolument rien. Au XVIIIe siècle, il appartenait, ainsi que le logis de Vouillac et le château du Breuil dont il ne reste que quelques bâtiments de servitude, à la famille Arnaud de Viville, dont le dernier représentant a émigré pendant la Révolution. Ses biens ont été alors confisqués.

    Avant la Révolution, l'église de Champniers, comme celle de Vindelle, dépendait de l'archiprêtré d'Ambérac. L'abbesse de Saint-Ausone relevait les dîmes, mais un quart en restait au curé[27].

    Au début du XXe siècle, l'industrie n'était représentée que par une fabrique de carton sur l'Argence, au Moulin Garraud.

    La commune était aussi desservie par la ligne Angoulême à Saint-Angeau des Chemins de fer économiques des Charentes appelée le petit Mairat, à voie métrique. Elle passait près du logis des Montagnes et montait aux Rossignols, puis descendait au bourg où était un arrêt, avant de continuer vers Brie.

    Des foires relativement importantes, principalement pour le bétail, se tenaient au bourg de Champniers chaque 29 du mois[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Champniers
    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953 1994 Paul Dambier RGR  
    1995 2001 Guy Denis    
    2001 2009 Robert Piaud DVG Agriculteur retraité
    2009 2020 Jeanne Filloux ex-PS[29] Conseillère générale puis departementale
    2020 En cours Michaël Laville DVG Vice-président de GrandAngoulême

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2012[30].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[31].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2019, la commune comptait 5 149 habitants[Note 4], en diminution de 1,08 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    3 8794 2334 4044 1324 5544 0624 1284 1023 848
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 6483 5603 3883 3623 2552 9342 8462 7302 719
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 5952 6262 3372 3132 3332 4312 2772 3832 613
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    2 7623 4934 0944 3584 6044 9515 0015 1715 151
    2019 - - - - - - - -
    5 149--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 526 hommes pour 2 623 femmes, soit un taux de 50,94 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    0,8 
    8,3 
    75-89 ans
    9,7 
    21,2 
    60-74 ans
    21,4 
    23,9 
    45-59 ans
    22,8 
    17,1 
    30-44 ans
    17,7 
    12,6 
    15-29 ans
    12,4 
    16,3 
    0-14 ans
    15,1 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

    Industrie

    • usine Leroy-Somer

    Commerces

    • commerces de proximité au bourg
    • zone commerciale des Montagnes

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Champniers possède plusieurs écoles :

    Le secteur du collège est Gond-Pontouvre (collège René-Cassin), sauf pour Viville (Ruelle, collège Norbert-Casteret)[39].

    Culture locale et patrimoine

    Église Sainte-Eulalie
    L'église Sainte-Eulalie.

    Au XIIe siècle, l’église paroissiale Sainte-Eulalie est construite sur les fondations d’une église plus ancienne. Composée d’une nef unique, d’un transept et d’une abside en hémicycle sans travée de chœur, elle subit plusieurs modifications jusqu’en 1863 où une importante restauration modifie la façade.

    Des restaurations importantes ont eu lieu aux XVIIIe et XIXe siècles.C'est au cours de ce dernier siècle que fut construite la façade et que furent reconstruites les deux travées ouest de la nef.

    L'église est classée monument historique depuis 1913[40].

    Patrimoine environnemental

    La commune comporte de nombreuses fontaines et lavoir. Un sentier de randonnée local de 10 km en relie la plupart, entre le bourg et les Rossignols[41].

    Personnalités liées à la commune

    • Lucien Deschamps (1906-1985), artiste-peintre imagier de la Charente. Né le 9 juillet 1906 à Champniers, décédé le 30 mars 1985 à Saint-Michel-d'Entraygues. Fils d'un couple d'ouvriers (son père travaillait à la Fonderie nationale de Ruelle), il a dès son plus jeune âge eu le goût pour la peinture. Ses parents l'ont encouragé, et il est devenu le « parfait imagier de la Charente ». Il a peint dans son atelier du Quéroy (commune de Mornac) et a exposé ses tableaux au milieu de ceux de ses amis peintres charentais[42]. La médiathèque de Champniers a été baptisée en son honneur le 7 septembre 2006 Médiathèque Lucien-Deschamps.
    • Jeanne Petit (1924-1991), artiste-plasticienne et poétesse. D'origine espagnole et mariée à un Chaniéraud, elle fut poétesse et auteur de trois ouvrages non édités (Flammes, Poèmes sur la brise légère, Poèmes sur l'aile du vent). "Plasticienne" avant l'heure, elle a donné libre cours à son imagination créatrice au travers de ses "tableaux de verre", dont l'originalité avant-gardiste a dérouté, surpris puis séduit ceux qui l'ont côtoyée[43]. Les salles d'exposition de la médiathèque portent son nom.
    • Le général d'aviation français Edmond Jouhaud (1905-1995) y est inhumé.
    • Jules Bertrand (1864-1942), homme politique français né à Champniers.

    Héraldique

    Blasonnement :
    écartelé au 1) d’or u lions léopardés de gueules passant l’un sur l’autre, surmontés d’un lambel d’azur, au 2) d’or aux deux fasces de vair, chaque pièces du champ chargé de trois étoiles de sable, au 3) d’argent aux trois fermaux de gueules, au chef d’azur, au 4) d’azur au croisant d’argent surmonté d’une étoile versée d’or[44].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les années 1980, le Conseil municipal était divisé sur la prononciation. La prononciation ancienne est [ʃɑnje], mais comme pour Saint-Yrieix, l'arrivée importante de nouveaux habitants au XXe siècle a favorisé la prononciation du « p ».
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Champniers » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Jean-François Hangouët, « Quels sont les centres des 96 départements métropolitains ? », IGN Magazine, no 82, avril-mai-juin 2016, p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
    3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    8. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    9. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    10. « Fiche communale de Champniers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    11. Sandre, « l'Argence »
    12. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    14. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 124
    22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 79,89,114
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 171.
    24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    25. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 159-162
    26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 113-114
    27. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 139
    28. Historique des maires de Champniers
    29. « Charente : l’ardoise de Jeanne Filloux passe mal au PS », sur charentelibre.fr, (consulté le ).
    30. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Champniers, consultée le 26 octobre 2017
    31. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    Voir aussi

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