Dompierre (Oise)

Dompierre est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Dompierre.

Dompierre

La mairie, l'ancienne école et le château d'eau.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Véronique Grignon-Ponce
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60201
Démographie
Population
municipale
241 hab. (2019 )
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 43″ nord, 2° 32′ 11″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 119 m
Superficie 2,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dompierre
Géolocalisation sur la carte : France
Dompierre
Géolocalisation sur la carte : Oise
Dompierre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Dompierre
Liens
Site web http://www.dompierre60.fr

    Géographie

    Description

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    En 1839, Louis Graves indiquait que Domfront était une « faible commune dont le territoire est traversé par la vallée dans laquelle coule la petite rivière du Dom. Le village est placé sur la rive gauche ; il comprend deux rues principales et une ferme à quelque distance vers le midi[1] ».

    Vue aérienne de Ferrières et Dompierre

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Dompierre
    Royaucourt Domfront
    Ferrières
    Ferrières Godenvillers

    Hydrographie

    La rivière les Trois Doms prend sa source à Dompierre.

    C'est un sous-affluent du fleuve la Somme, par l'Avre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 678 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 34 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Dompierre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,3 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), zones urbanisées (9,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 114, alors qu'il était de 108 en 2013 et de 105 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 88 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Dompierre en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Dompierre en 2018.
    Typologie Dompierre[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 88 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 12 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Domfrond , Donsfront, Donfront, Donffront (Domnus frons, Domus Frontonis)[1].

    Dompierre fait partie de l'association Dompierre de France regroupant 23 communes françaises dont le nom comporte Dompierre. Chaque année, une commune différente accueille la fête. Dompierre n'a jamais accueilli la fête nationale, mais l'assemblée générale à quatre reprises (1998, 2003, 2004 et 2010)[22].

    Histoire

    Au début du XIXe siècle une sucrerie était exployée à Domfront, qui n'existait plus en 1839. À cette époque, on comptait sur le territoire communal un moulin à vent. Les habitants vivaient alors de la culture des terres et de la vigne[1].

    La commune a été desservie de 1875 à 1955 par la gare de Dompierre - Ferrières, sur la ligne Paris- Cambrai, facilitant le déplacement des habitants et le transports des marchandises, à une époque où la motorisation individuelle était inexistante ou limitée.

    La Première Guerre mondiale

    Dompierre se trouve sur la ligne de front en septembre 1914[23].

    Durant la guerre, de 1916 à mars 1919, un hôpital militaire d'évacuation français était installé à Dompierre, le long de la voie ferrée, à l'emplacement de l'actuel cimetière militaire français. Entre le et le , il disposait de 61 baraques et de 3 200 lits. Partiellement évacué à cette date à Noyon, il reprend de l'importance jusqu'au , où ses 478 blessés sont évacués à Grandvilliers[24],[25].

    En 1918, la gare est utilisée comme centre de récupération de canons lourds[26].


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Annie Blangy UMP[27] chef d'entreprise
    mars 2014[28] En cours
    (au 6 avril 2022)
    Véronique Grignon-Ponce PS Présidente de la société historique de Maignelay-Montigny et environs[26]
    Réélue pour le mandat 2020-2026[29]

    Équipements et services publics

    La colmmune dispose d'une salle communale, aménagée dans d'anciens locaux scolaires, et qui porte le nom de l'ancien instituteur de de la commune entre 1958 à 1987, Pierre Gilles[30].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Domfront, Godenvillers, Crèvecœur-le-Petit, Ferrières, Sains-Morainvillers, Royaucourt et Welles-Pérennes dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) construit à Ferrières, l'école des huit villages[31].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2019, la commune comptait 241 habitants[Note 7], en augmentation de 1,26 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    406444396402410412425433427
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    373373359344339338321312292
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    295270266254257215216208203
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    211207197187200231232229241
    2015 2019 - - - - - - -
    243241-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 117 hommes pour 124 femmes, soit un taux de 51,45 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,8 
    4,3 
    75-89 ans
    5,6 
    17,1 
    60-74 ans
    21,6 
    17,1 
    45-59 ans
    16,0 
    23,9 
    30-44 ans
    17,6 
    16,2 
    15-29 ans
    20,8 
    21,4 
    0-14 ans
    17,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    D'or à trois chevrons de sable ; au chef d'azur chargé de trois tables octogonales d'argent[39].
    Détails
    Armes de la famille de Blottefière, avec en chef les armes de la famille Taviel de Mastaing, qui résida au château de Dompierre.

    adoptée par la commune.
    Alias
    Alias du blason de Dompierre
    D'or à trois chevrons de sable.
    Armes de la famille de Blottefière et ancien blason de la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Dompierre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 122 p. (lire en ligne), p. 38-39, sur Google Books.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Dompierre et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Dompierre et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Site des Dompierre de France
    23. Annie Deperchin, « Justice et front pendant la première guerre mondiale : le cas de la Somme », Revue du Nord, vol. 2014/1-2, nos 404-405 « La première guerre mondiale dans le nord de la France et en Belgique », , p. 187-206 (lire en ligne, consulté le ), sur Cairn.info.
    24. « Histoire », Patrimoine, sur http://www.dompierre60.fr/ (consulté le ).
    25. Lucien Djani, « L’hôpital d’évacuation de Dompierre sort de l’oubli : Un panneau d’informations a été installé samedi 26 octobre sur le site de l’hôpital d’évacuation, opérationnel entre 1916 et 1919 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Lucien Djani, « Un projet de circuit historique entre Dompierre et Ferrières : La maire de Dompierre, Véronique Grignon-Ponce, veut développer le tourisme de mémoire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    28. « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283, , p. 21.
    29. « Ils sont vous nouveau élus », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 24.
    30. Lucien Djani, « La salle Pierre-Gilles inaugurée à Dompierre : La commune a décidé de donner le nom de cet enseignant à sa salle municipale. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Vie locale », sur http://www.dompierre60.fr (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dompierre (60201) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    38. Dominique Vermand, « Dompierre, église Saint-Pierre : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique (consulté le ).
    39. « 60201 Dompierre (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.