Drefféac

Drefféac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Sur le plan historique et culturel, elle fait partie de la Bretagne, ancien territoire uni au royaume de France en 1532 et démembré lors de la Révolution française.

Drefféac

L'église Saint-Malo.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Pont-Château - Saint-Gildas-des-Bois
Maire
Mandat
Philippe Jouny
2020-2026
Code postal 44530
Code commune 44053
Démographie
Gentilé Drefféens
Population
municipale
2 270 hab. (2019 )
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 28′ 38″ nord, 2° 03′ 18″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 33 m
Superficie 14,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontchâteau
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Drefféac
Géolocalisation sur la carte : France
Drefféac
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Drefféac
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Drefféac
Liens
Site web http;//www.dreffeac.fr

    Géographie

    Situation de la commune de Drefféac dans le département de la Loire-Atlantique.

    Drefféac est située à 22 km au sud de Redon et km au nord de Pontchâteau.

    Géologie

    La roche dominante est le stéaschiste recouvert d'argile. A l'est du bourg, calcaire psammitique jaunâtre, prolongement du vaste bassin de Saint-Gildas[1].

    Hydrographie

    • Le Brivet est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Drefféac.
    • Ruisseau du Mareau

    Lieux-dits, écarts

    • Le Plessis-Casso - La Perche - Beaubois -

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 776 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Joachim_sae », sur la commune de Saint-Joachim, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 824,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 18 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Drefféac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), prairies (22,2 %), zones urbanisées (10,6 %), forêts (5,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Desfreac en 1331 [22].

    Drefféac vient, semble-t-il, du breton dref (chêne) et du suffixe latin acum (propriété)[23].

    Devrieg en breton[22]. D·rfé ou D·rfè[24] en gallo .

    Histoire

    Au Moyen Âge, la paroisse est membre de la baronnie de la Roche-Bernard. Drefféac est sous la coupe des moines de l'abbaye de Saint-Gildas-des-Bois qui sont chargés de son administration spirituelle jusqu'en 1614. En 1713, un incendie détruit l'église et toutes les maisons du bourg. La cure est en la présentation des moines de l'abbaye Saint-Gildas-des-Bois. Il y a deux maisons nobles : Casso ou Le Plessis-Casso et celle de Beaubois, avec une haute justice qui appartient au comte de Kouan[25].

    Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, le territoire drefféen est en partie recouvert par la forêt de la Perche et des marais tourbeux qui seront ensuite asséchés au début des années 1770 pour le mettre en état d'être cultivé. Pendant la Révolution, le village se révèle plutôt républicain, à la différence de la grande majorité des habitants du canton. C'est peut-être pour cela que le surnom des habitants de Dréfféac en gallo est "pataod", "les pataod de D·rfé". Selon le Petit-Matao[26], "Pataod" signifie Bleu (soldat), républicain, révolutionnaire.

    Le curé de Drefféac, Nicolas Pichon, renonce à son sacerdoce en 1794 et devient curé constitutionnel. Il deviendra par la suite maire de Drefféac[27].

    Politique et administration

    L'école de « L'arbre enchanté ».
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Julien de la Brosse    
    1947 1953 Jacques de Baudinière    
    1953 1995 Jean Martin de Baudinière DVD puis UDF Conseiller général (1967-1994)
    1995 août 2015[28] Claude Gabillard[Note 6] PS puis DVG Instituteur et directeur d'école publique, puis retraité
    novembre 2015[29] En cours Philippe Jouny DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Drefféac fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Saint-Gildas-des-Bois. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[30]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 98 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 2 % dans des zones « très peu denses »[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2019, la commune comptait 2 270 habitants[Note 7], en augmentation de 9,56 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    513359525520617685602650672
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    688793803808852896944928931
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    933977950804820784802830861
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    8678598031 1451 2961 3221 5031 5292 031
    2017 2019 - - - - - - -
    2 2282 270-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 112 hommes pour 1 131 femmes, soit un taux de 50,42 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,8 
    3,5 
    75-89 ans
    4,9 
    13,0 
    60-74 ans
    13,4 
    17,2 
    45-59 ans
    16,9 
    25,5 
    30-44 ans
    24,8 
    15,0 
    15-29 ans
    13,5 
    25,7 
    0-14 ans
    25,8 
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    5,8 
    75-89 ans
    8,6 
    14,7 
    60-74 ans
    16 
    19,6 
    45-59 ans
    18,9 
    20,1 
    30-44 ans
    19,2 
    19,2 
    15-29 ans
    17,5 
    20 
    0-14 ans
    18 

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Malo : simple chapelle à l'origine, édifiée par les moines de Saint-Gildas-des-Bois, elle brûle en 1713 avec une partie du bourg. Une note dans l’état civil écrite par le curé de la paroisse à ce sujet : « memorare acteram » (« souvenez-vous pour toujours »). Le cimetière entoure l’église jusqu’en 1720. Le chœur d’origine est gothique du XVe siècle. En 1851, l’édifice est agrandi puis est largement restauré en 1965 avecune nouvelle nef, des murs en partie rebâtis et la verrière dégagée et restaurée. Le niveau inférieur de l’église est creusé et abaissé. Sa voûte est en bois vernis. Les vitraux actuels proviennent des ateliers des moines d’Encalcas[Quoi ?]. Les chapelles latérales abritent deux retables classés à l’inventaire des monuments historiques en 1982. Le retable nord (XVIIIe siècle) est orné de la statue de saint Jacques le mineur et de saint Jean l’évangéliste. Le retable sud (fin XVIIIe siècle) de style breton abrite une statue de saint Malo, le patron de la paroisse, ainsi que celles de saint Pierre et saint Paul.
    • Une réplique de la grotte de Massabielle de Lourdes.

    Langues

    Le breton a été parlé dans le village des alentours du VIIe jusqu'au XIIe siècle. Il y a 39,10 % de toponymes bretons dans la commune. Le gallo aurait ainsi succédé au breton dans la commune aux alentours du XIIe au XVe siècle, la population y était probablement en partie bilingue.

    Biodiversité

    Drefféac abrite un espace Natura 2000. Les Landes du Bilais, situées sur une ancienne carrière, y abritent des espèces protégées.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à neuf quartefeuilles d'or posées 3, 3 et 3.
    Commentaires : Brevet d'Hozier.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu en mars 2008 et mars 2014.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Molliex, 1843, t.I, p.260.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Joachim_sae - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Drefféac et Saint-Joachim », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Joachim_sae - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Drefféac et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    23. François Falc'hun - Bernard Tanguy, Les Noms de lieux celtiques, Éditions armoricaines, 1966, page 23.
    24. « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consulté le ).
    25. Ogée, op. cit..
    26. « Le Petit Matao - Dictionnaire gallo-français français-gallo - Gallo - Regis Auffray, Rue Des Scribes », sur Coop Breizh (consulté le ).
    27. « Quelques mots d'histoire… », sur www.cc-paysdepontchateau.fr, consulté le .
    28. « Le maire Claude Gabillard est décédé aux Canaries », Presse-Océan, 10 août 2015.
    29. « Sans surprise : Philippe Jouny élu nouveau maire », Ouest-France, (consulté le ).
    30. « Commune de Drefféac (44053) », Insee (consulté le ).
    31. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Drefféac (44053) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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