Épiais-lès-Louvres

Épiais-lès-Louvres est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Épiais et Épiais-Rhus.

Épiais-lès-Louvres

La mairie
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CA Roissy Pays de France
Maire
Mandat
Isabelle Rusin
2020-2026
Code postal 95380
Code commune 95212
Démographie
Gentilé Épiaisois ou Épiaisiens
Population
municipale
109 hab. (2019 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 00″ nord, 2° 33′ 00″ est
Altitude 116 m
Min. 90 m
Max. 121 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Goussainville
Législatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Épiais-lès-Louvres
Géolocalisation sur la carte : France
Épiais-lès-Louvres
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Épiais-lès-Louvres
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Épiais-lès-Louvres
Liens
Site web http://www.epiais-les-louvres./

    Ses habitants sont appelés les Épiaisois ou Épiaisiens.

    Géographie

    Description

    Vue aérienne de 2014 de la commune et de l'aéroport.

    Épiais-lès-Louvres est un village du Pays de France dans le Val-d'Oise, limitrophe de la Seine-et-Marne situé à 30 km environ au nord-est de Paris et à quelques centaines de mètres seulement au nord des pistes de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle.

    Le territoire communal est traversé par autoroute A1, la Francilienne et la LGV Interconnexion Est.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Épiais-lès-Louvres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

    Toponymie

    Ancienne plaque Michelin d'entrée de la commune.

    Spieriae en 1150, Espieriae, Espierii,Espiers en 1175, Epiers, Espeais en 1648, Epiais-Tournedos, Espiès au XIVe siècle[11].

    Le village tire probablement son nom du latin spicarium, un dérivé de spica '("épi").

    Grange à épis (grenier)[réf. nécessaire].

    Histoire

    Des silex taillés datant du Néolithique ont été découverts à La Grande-Fosse, ainsi qu'une une poterie à fond rond dans une grande fosse à La Haie-Grindart[12].

    Des vestiges gaulois du IVe siècle av. J.-C. découverts au Fief-et-Canton-de-Magny attestent l'occupation du lieu durant l'Antiquité. Trois autres petits silos gaulois, deux fosses gallo-romaines d'extraction de calcaire et un puits qui pourrait être du haut Moyen Âge sont signalés à L'Onglet[12]. Il semble qu'au lieu-dit La Fosse se trouvait un relais routier gallo-romain, constitué d'un enclos fermé d'un demi hectare occupé notamment aux IIe et IVe siècles, avec de nombreux celliers, des puits et des vestiges d'une activité métallurgique importante[12].

    En 1994, des prospecteurs ont découvert deux fragments de sarcophages médiévaux en plâtre à L'Onglet[12].

    Au XIIIe siècle, le village était rattaché à la paroisse de Chennevières, qui dépendait de l'évêque de Paris[12].

    Avant la Révolution française, deux grosses exploitations agricoles se trouvaient à Épiais : la ferme seigneuriale était proche de l'église et celle du chapitre de Notre-Dame de Paris, à l'extrémité ouest du village[12].

    Resté une commune agricole, grande culture céréalière notamment, le village a perdu une partie de son territoire depuis les années 1970] à la suite de deux expropriations dues aux agrandissements successifs de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle voisin. Cette expansion provoque en partie la diminution progressive de la population depuis 1974.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[13], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Luzarches de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Gonesse[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Épiais-lès-Louvres fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse, et de celle du Tribunal judiciaire ainsi que de celui commerce de Pontoise[15],[16].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Goussainville

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Penvénan était membre de la communauté d'agglomération Roissy Porte de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération Roissy Pays de France dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1925   M. L. Bourgeois    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Françoise Lefèbvre    
    mars 2008[18] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Isabelle Rusin UMP Conseillère départementale de Goussainville (2015 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[19],[20]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2019, la commune comptait 109 habitants[Note 3], en diminution de 3,54 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    165148150157132130132130119
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    11090102887095968988
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8899100120120126130107120
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1011081518480607476108
    2017 2019 - - - - - - -
    107109-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Épiais-lès-Louvres possède deux monuments historiques sur son territoire :

    • Croix de cimetière, au cimetière, rue du Manoir (classée monument historique par arrêté du [24]) : Il a été sculptée en 1645 par Denis Danvin, sur la commande du curé Antoine Vautin et le premier marguillier, René Tardu. Le sommet de la croix atteint une hauteur de 5,80 m au-dessus du sol. Le fût adopte la forme d'un obélisque mince et élancé. Ses quatre faces sont entièrement couvertes de bas-reliefs d'un haut symbolisme, illustrant un sujet différent sur chaque face. La face principale sud orientée vers l'entrée du cimetière porte les instruments de la Passion, s'inscrivant dans un décor mortuaire avec un squelette revêtu d'un linceul esquissant un rictus, et de différents attributs mortuaires sur un fond de larmes. Avec cette ambiance macabre, contrastent les figurés angéliques des quatre têtes de angelot ornant les angles du socle, dont la forme évasée n'est pas sans élégance. Il a été en grande partie refaite, à l'instar des trois degrés supérieurs du soubassement, dont seul le fond subsiste d'origine[25],[26].
    • Croix hosannière, sur la place du village (classée monument historique en 1969[27]) : L'œuvre d'un maître inconnu date du XVIIe siècle, la datation précise n'ayant pas été établie. La croix ouvragée et flammée arbore le Christ d'un côté et la Vierge de l'autre côté. Elle est plantée sur un fût cylindrique cannelé, qui se dresse sur un piédestal Renaissance particulièrement élaboré. Chaque face est cantonnée de pilastres ioniques et comporte une niche aujourd'hui vide. Des frises de motifs végétaux stylisés terminent les faces en haut, et elles sont surmontées par de petits frontons en arc de cercle. Le soubassement se divise en quatre degrés ; à l'ouest, il comporte un petit autel avec un pupitre de lecture. Le dimanche des Rameaux, jour de procession, l'évangile y était lu[28],[26].

    On peut également signaler :

    • Mare pavée, rue du Manoir : Des abreuvoirs pour le bétail, souvent sous la forme d'une mare pavée appelée localement gué, existaient dans de nombreux villages du pays de France, comme en témoignent les cartes topographiques de la première moitié du XXe siècle. Dans une contrée rare en cours d'eau naturels, ils servaient également de réserves d'eau pour l'extinction d'incendies et étaient alimentés par un système de rigoles le long des voies du village, évacuant les eaux pluviales vers la mare. À proximité immédiate avec l'aéroport, le contraste ne pourrait être plus frappant, ces témoins de la ruralité étant devenus rares (n'en subsistent dans le pays de France qu'à Louvres et Villiers-le-Sec).
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, rue du Manoir : Son clocher semble subsister de l'église primitive mentionnée pour la première fois au XIVe siècle, dont la nef se situait au nord de la nef actuelle. Le clocher porte les traces visibles de remaniements au XVe et XVIe siècle, ayant apporté de simples moulures à pénétration. Consolidé par deux contreforts par angle, entrecoupés chacun de trois glacis intermédiaires, son étage supérieur est ajouré de deux baies abat-son ogivales gémelées par face. Il est coiffé d'un toit à deux croupes couvert d'ardoise. La porte en anse de panier est surmonté beaucoup plus haut par un arc de décharge ogival. Au sud, une tourelle d'escalier hexagonale s'arrêtant en dessous des baies abat-son flanque le clocher. À l'emplacement actuel de la nef l'église a été consacrée en 1531, mais tombe rapidement en ruines après la Révolution française. De ce fait, la nef est entièrement reconstruite entre 1845 et 1850. Elle n'est pas plus large que le clocher, ce qui est un fait assez rare, et ne possède ni bas-côtés, ni transept. Se composant de trois travées ainsi que d'une travée pour le chœur à pans coupés, elle possède des contreforts plats mais des baies ogivales à lancette simple. Le toit est couvert de tuiles plates du pays[29],[30]. À l'intérieur, l'église est voûtée d'ogives et possède une frise sculptée de figures d'évangélistes[31].
    • Ferme du Manoir, 1 rue du Manoir : La ferme avec son manoir seigneurial est mentionnée dans un document de 1641, mais la description du manoir avec trois tourelles ne correspond pas au bâtiment actuel, qui n'en comporte qu'une seule, fortement remaniée. Dans sa physionomie actuelle, l'ancienne ferme avec ses bâtiments agencés autour d'une cour rectangulaire remonte au moins au milieu du XVIIIe siècle, et comporte logis, écuries, étables, bergerie, granges et colombier. Il s'agit d'un colombier-porche situé au fond de la cour, dont trois murs sont percés de vingt-deux rangées de seize boulins. Depuis 1993, une partie des bâtiments de la ferme alors désaffectée accueillent un hôtel-restaurant[32].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er d'azur à trois épis de blé ordonnés en chevron versé, au 2e d'or à deux avions de ligne montants d'azur; le tout dans une filière d'or[33].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville : en Pays-de-France, par Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers.

    Paris, Association pour le Patrimoine Ile-de-France, Conseil Général du Val-d'Oise, 1998, 103 pages illustrées (Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Images du patrimoine)

    • Églises du Val-d'Oise. Pays de France, Vallée de Montmorency : dix siècles d'art sacré aux portes de Paris, ouvrage collectif dirigé par Mathieu Lours. Gonesse, Société d'histoire et d'archéologie de Gonesse et du Pays de France, 2008, p. 110-111.
    • Jardins en Val-d'Oise, par Annick Couffy, Laurent Lempereur et Geneviève Roche-Bernard. Cergy-Pontoise, Conseil général du Val-d'Oise, 1993, p. 131.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Épiais-lès-Louvres », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Communes limitrophes d'Épiais-lès-Louvres » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Épiais-lès-Louvres » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Archéologie & histoire d'Épiais-lès-Louvres, Page mentionnée en Liens externes.
    13. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    16. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    17. « Les maires de Épiais-lès-Louvres », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    18. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
    19. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
    20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. « Croix de cimetière », notice no PA00080052, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. « Inventaire général du patrimoine culturel - croix de cimetière », notice no IA95000109, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. François Doury et Dominique Foussard, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Épiais-lès-Louvres », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 307-308 (ISBN 2-84234-056-6).
    27. « Croix hosannière », notice no PA00080051, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Inventaire général du patrimoine culturel - croix hosannière », notice no IA95000114, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Inventaire général du patrimoine culturel - église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IA95000110, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Charles Huet, « Épiais-lès-Louvres - Notre-Dame de l'Assomption », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 110-111 (ISBN 9782953155402).
    31. Pour le mobilier, cf. « Liste des objets du mobilier - inventaire général du patrimoine culturel », sur Base Palissy, ministère de la Culture.
    32. « Inventaire général du patrimoine culturel - Ferme du Manoir », notice no IA95000112, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=2443
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