Escautpont

Escautpont (prononcer « Escaut pont », [ɛskopɔ̃]) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Escautpont

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Joëlle Legrand
2020-2026
Code postal 59278
Code commune 59207
Démographie
Gentilé Escautpontois, Escautpontoises
Population
municipale
4 208 hab. (2019 )
Densité 728 hab./km2
Population
agglomération
334 571 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 30″ nord, 3° 33′ 34″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 41 m
Superficie 5,78 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anzin
Législatives Vingtième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Escautpont
Géolocalisation sur la carte : France
Escautpont
Géolocalisation sur la carte : Nord
Escautpont
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Escautpont
Liens
Site web Ville d'Escautpont Site officiel

    Géographie

    Localisation

    Escautpont est un bourg périurbain et boisé du valenciennois, situé à proximité de la frontière belge et dans le parc naturel régional Scarpe-Escaut.

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    La commune comprend les hameaux de Le Trieu-Saint-Jean et Les Trieux-d'Escautpont.

    Hydrographie

    L'Escaut canalisée traverse la commune.

    Transports et déplacements

    Traversée de part en part par le CD 935A, Escautpont offre un accès privilégié vers l'autoroute A2 Paris-Bruxelles.

    Elle est desservie depuis le 24 mars 2014 par la ligne 2 du tramway de Valenciennes, ainsi que par les lignes de bus no 14 et 4 de Transvilles.

    Toponymie

    Escautpont tire son nom du seul pont qui passait au-dessus de l'Escaut sur la voie romaine reliant dans l'antiquité Bavay et Tournai.

    Histoire

    Entre les deux guerres mondiales, on a construit à l'est et à l'ouest de la commune des casemates destinées à être intégrées dans le dispositif défensif de la France contre une éventuelle invasion allemande : voir secteur fortifié de l'Escaut lui-même intégré à la ligne Maginot.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 731 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Escautpont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[18] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    Concentré initialement autour du pont romain, le centre du village s'est d'abord déplacé plus au nord, au lieu-dit Le Pas de L'Ayau (passage de l'eau ou par delà l'eau) puis sur la rive gauche de l'Escaut au cours du XIXe siècle, époque où la commune connut un formidable essor industriel, grâce à l'implantation de verreries et de brasseries.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (31,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,7 %), zones urbanisées (31,9 %), terres arables (11,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,3 %), prairies (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), mines, décharges et chantiers (3,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la vingt et unième circonscription du Nord . Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Condé-sur-l'Escaut[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton d'Anzin. Escautpont relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Intercommunalité

    Escautpont fait partie depuis 2006 de la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut.

    Liste des maires

    À droite, Joëlle Legrand maire d'Escautpont et Xavier Bartoszek maire d'Aniche, à gauche Kopierre lors d'un mariage le 9 juillet 2022

    Maire en 1802-1803 : Dorchies[26].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      septembre 1900 Émile Serret   Maître de verreries
    Décédé en fonction
    1925 1957 Louis Delhaye[27]    
    1957 1971 Louis Collet SFIO Ouvrier verrier
    Les données manquantes sont à compléter.
      novembre 1985 Georges Draux   Décédé en fonction
    novembre 1985 mars 2008 Francis Berkmans PS puis DVG[28]  
    mars 2008 mars 2014[29] Francis Mariage DVG  
    mars 2014[30] octobre 2017[31],[32] Francis Berkmans app. PCF Vice-président de la CA de la Porte du Hainaut (2014 → 2020 )
    Démissionnaire
    octobre 2017[33],[34] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Joëlle Legrand app. PCF Directrice générale des services de la ville retraitée
    Vice-présidente de la CA de la Porte du Hainaut (2020 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[35]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2019, la commune comptait 4 208 habitants[Note 8], en augmentation de 1,54 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    514639619671627706885897950
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0341 1361 2181 3201 3801 5271 5791 7472 251
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 5502 7152 6714 0154 1683 9923 9995 5305 953
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    5 7575 2344 7424 3274 2024 2104 2114 1444 173
    2019 - - - - - - - -
    4 208--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population fit un bond de 700 habitants en 1841 à 2200 en 1901, mais ce n'est rien à côté de celui provoqué par "l'ère de la houille", dont le début remonte à 1715. Grâce à la construction massive de logements entreprise après 1918 par la compagnie des mines d'Anzin, le nombre d'habitants est passé à 4168 en 1931. Stabilisée jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, la population augmenta encore nettement avec les nouvelles constructions des Houillères, dont celles du Trieu Saint-Jean. Cet essor explique qu'Escautpont a longtemps formé deux entités, le centre et les corons, auxquelles sont venus s'ajouter depuis de nouveaux quartiers et résidences, notamment pour une population immigrée qui dispose d'une mosquée.[réf. nécessaire]

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 989 hommes pour 2 184 femmes, soit un taux de 52,34 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,0 
    5,4 
    75-89 ans
    8,4 
    13,8 
    60-74 ans
    16,4 
    19,9 
    45-59 ans
    17,8 
    17,7 
    30-44 ans
    19,2 
    19,1 
    15-29 ans
    16,8 
    23,6 
    0-14 ans
    20,4 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 


    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Coupé d'un parti de sinople à une gerbe de blé d'or, et de gueules à une ruche d'or accompagnée en chef de deux abeilles en vol du même ; et d'azur à un pont isolé de trois arches d'or maçonné de sable et chargé, sur son tablier, des lettres capitales « S P Q R » du même[41],[42].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Escautpont
    D'azur semé de fleurs de lys d'or[43].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. page 417 - Statistique archéologique du Département du Nord - 1867 - archive de Harvard College Library - numérisé par google Books
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Escautpont et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Escautpont et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
    27. Escautpont : Louis Delhaye, le parcours d’un maire, La Voix du Nord, article du 20 août 2014.
    28. « Francis Berkmans rappelle son histoire d’un militant socialiste déçu à la suite du parachutage de Bernard Kouchner, et il quitta le PS » Il quitte le Parti socialiste en 1988 pour dénoncer le parachutage de Bernard Kouchner dans la 20e circonscription du Nord
    29. « Escautpont : au terme de son unique mandat de maire, Francis Mariage connaît la chanson : Francis Mariage, qui n’est pas candidat au renouvellement de ce qui restera son seul mandat de maire, a donc présidé samedi sa dernière cérémonie des vœux. Une cérémonie brillamment orchestrée, que le premier magistrat a conclue en chantant. À Escautpont, un élu chantant en a, en effet, révélé un autre. », La Voix du Nord, (www.lavoixdunord.fr/archive/recup%3A%252Fregion%252Fescautpont-au-terme-de-son-unique-mandat-de-maire-ia27b36915n1842526, consulté le ) « C’était sa dernière cérémonie d’élu, et Francis Mariage l’introverti s’épancha un peu sur son parcours de quarante années «  dans les affaires municipales  » (vie sociale incluse). Et sur le rôle de maire qu’il lui fallut «  apprendre  », avec pour «  guide  », pour «  coach  », son prédécesseur Francis Berkmans, qui s’apprête de ce fait à reprendre du service ».
    30. « Escautpont : Francis Berkmans disponible pour redevenir maire : C’était un scénario improbable : celui d’une transmission provisoire. Voici Francis Berkmans candidat à la succession de Francis Mariage, ce fidèle premier adjoint à qui il avait laissé les clés de la mairie il y a six ans, avec l’assentiment massif des Escautpontois, après vingt-trois années de mayorat. L’ex-maire était cependant resté alors en responsabilité, avec une vice-présidence de la Porte du Hainaut. Mais quelques mois plus tard, il perdait son épouse… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    31. V. T., « Démission surprise du maire Francis Berkmans : Lundi soir, certains habitants d’Escautpont ont reçu un courrier de leur maire annonçant sa démission. Francis Berkmans restera néanmoins conseiller municipal. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Une réunion de l’équipe municipale est prévue en fin de semaine, pour évoquer la succession de celui qui fut maire pendant vingt-six ans (avec une interruption, de 2008 à 2014, lorsque Francis Mariage a pris le relais) ».
    32. Vincent Tripiana, « Francis Berkmans: « Il est temps de laisser la place » : Il voulait d’abord informer ses concitoyens, avant de parler à la presse. Francis Berkmans, accompagné de sa première adjointe Joëlle Legrand, explique sa démission et évoque l’avenir. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Christophe Ansart, élu sur la liste Berkmans, a annoncé lundi 11 septembre qu’il présentait une liste aux municipales. Un événement vécu comme une trahison pour F. Berkmans et J. Legrand. ».
    33. Diane Lenglet, « Joëlle Legrand-Delaye a été élue maire, ce vendredi soir: « une grande responsabilité » : Ce vendredi soir, la liste d’opposition, qui n’a remporté que six sièges sur vingt-sept lors des dernières élections partielles, n’a pu qu’assister à la victoire de l’équipe sortante. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Pour rappel, le 8 octobre, la liste « Continuons ensemble », menée par Joëlle Legrand et soutenue par le maire honoraire Francis Berkmans avait recueilli 55,81 % des suffrages exprimés, contre 44,19 % pour la liste « S’unir pour réussir » de Christophe Ansart ».
    34. Murielle Tison-Navez, « Joëlle Legrand, un maire dans la lignée Berkmans : La mairie ? Joëlle Legrand- Delaye y vit depuis 44 ans. Elle y est entrée comme agent de bureau. Depuis vendredi soir, elle est devenue le premier magistrat de cette commune de 4 400 habitants. S’il a fallu la pousser, elle est maintenant prête à assumer le poste. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Joëlle Legrand a fait toute sa carrière professionnelle à la mairie. D’une famille de sept enfants avec une mère aimante et un père mineur « exigeant », elle a grandi avec un précepte en tête : «  Tu regardes vers le haut mais tu n’oublies jamais d’où tu viens ». En 1973, elle est embauchée à la mairie. Elle a 21 ans. De concours en formations, elle devient chef de service ».
    35. « Escautpont: Joëlle Legrand réélue maire : Le conseil municipal d’Escautpont s’est réuni mardi soir, à la salle Jean-Ferrat, pour l’élection du maire et des adjoints. Joëlle Legrand est réélue », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Escautpont (59207) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    41. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=9482
    42. http://escautpont59278.free.fr/blason.html
    43. Source: Le généalogiste fou et L'héraldique au CRGFA
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