Escles-Saint-Pierre
Escles-Saint-Pierre est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.
Escles-Saint-Pierre | |||||
Carte postale du village vers 1910. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC de la Picardie Verte | ||||
Maire Mandat |
Sabrina Renault 2020-2026 |
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Code postal | 60220 | ||||
Code commune | 60219 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Esclois[1] | ||||
Population municipale |
167 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 44′ 30″ nord, 1° 48′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 170 m Max. 216 m |
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Superficie | 3,37 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Escles-Saint-Pierre est un village rural picard situé à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime.
L'ex-route nationale 15bis (actuelle RD 315) constitue la limite est de la commune.
La station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Abancourt TER Normandie (Ligne Amiens - Rouen) et TER Picardie (Ligne Amiens - Rouen) (Ligne Épinay - Le Tréport).
En 1850, Louis Graves indiquait qu'Escles-Saint-Pierre est une « Très-petite commune comprise dans le prolongement qui, vers le nord , s'étend entre les départements.de la Seine-Inférieure (actuelle Seine-Maritime) et de la Somme. Le territoire, de figure à. peu rectangulaire, est découvert, plane, donnant naissance vers le sud à un ravin qui descend dans le Val de la haie. Le chef-lieu presque central réunit plusieurs rues formées de maisons séparées par des jardins et des herbages[2] ».
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 38 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Escles-Saint-Pierre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,6 %), prairies (24,5 %), zones urbanisées (7,7 %), forêts (5,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 78, alors qu'il était de 71 en 2014 et de 68 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 82,4 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Escles-Saint-Pierre en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Escles-Saint-Pierre[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 82,4 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,3 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,3 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie
La commune a changé de nom au cours des siècles : Hecles, Escles, Ecle, Eccles, Excles, Excle, Ecles (Eccla)[2], puis prend sa dénomination actuelle d'Escles-Saint-Pierre le 20 juin 1954[23].
Histoire
Sous l'Ancien Régime, le village relevait du duché d'Aumale[2]
En 1850, une partie de la population vivait de la fabrication de Bonneterie et des étoffes de laine[2].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Formerie[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Grandvilliers.
Intercommunalité
Escles-Saint-Pierre fait partie, comme quatre-vingt-huit autres communes, de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.
La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays a constituer le « Pays de Picardie »[réf. nécessaire].
En 2018, la commune participe également à divers regroupements communaux[25] :
- Syndicat d'énergie de l'Oise
- Syndicat des eaux de Blargies (SIAEP de Blargies)
- Syndicat intercommunal de regroupement scolaire du RPI de Romescamps (SIRP de Romescamps).
Liste des maires
Distinctions et labels
- Ville fleurie : deux fleurs en 2004[30] renouvelées en 2007 par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France[31].
Équipements et services publics
La commune dispose d'une salle des fêtes et a construit en 2021 un terrain de pétanque[32].
Eau et déchets
L'adduction en eau potable de la commune est assurée par le syndicat des eaux de Blargies, qui dessert également Monceaux-l'Abbaye, Moliens, Broquiers, Saint-Thibault, Romescamps, Fouilloy, ainsi que les hameaux de Hennicourt et Marcoquet[33].
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique créé en 2005[34].
Il s'est transformé en regroupement pédagogique concentré (RPC) grâce à l'extension du groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, qui a ouvert à la rentrée 2017, doté d'une cantine et d'une garderie et entrainant la fermeture des autres écoles. Pour l'année scolaire 2018-2019, l'école accueille 125 élèves des communes de Romescamps, Fouilloy, Gourchelles et Escles-Saint-Pierre[35],[36],[37].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 167 habitants[Note 7], en augmentation de 14,38 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 79 femmes, soit un taux de 52,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre, reconstruite au XVIe siècle. Elle dispose d'un beau mobilier cultuel, dont ses fonts baptismaux, de style gothique flamboyant, en pierre sculptée et bassin en plomb sont du XVIe siècle[43],[44]
- Croix de chemin, de la Renaissance.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune d’Escles-Saint-Pierre (60219) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Escles-Saint-Pierre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Escles-Saint-Pierre » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Escles-Saint-Pierre » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Escles-Saint-Pierre - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Escles-Saint-Pierre - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Résultats de votre recherche de noms d'habitants
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise)), p. 46-47, sur Google Livres.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Escles-Saint-Pierre et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Escles-Saint-Pierre et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Décret 15 juin 1954, Journal Officiel du 20 juin 1954 p. 5846, http://www.locom.org/loc_anc21.htm#ES
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Outil de recherche de la base BANATIC, consulté le 24 février 2019.
- « Les maires de Escles-Saint-Pierre », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
- « Sabrina Coët réélue maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3290, , p. 12.
- « Quatre maires sur 22 sont des femmes : Sabrina Renault, Escle-Saint-Pierre : la première femme maire de son village », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3594, , p. 17 « Sabrina Renault est maire depuis 2008 d'Escle-Saint-Pierre. Elle achève son deuxième mandat ».
- « Á Escles-Saint-Pierre, Sabrina Renault réélue maire : Sabrina Renault, maire d'Escles-Saint-Pierre (Oise) depuis 2008, a été réélue première magistrate de son village », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Sabrina Renault a été réélue première magistrate. Elle est maire du village depuis 2008 ».
- Florent Barbe, « Des villes et des villages bien fleuris », Le Parisien, "dition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
- Maxime Bouhier, « Escles-Saint-Pierre : un terrain de pétanque installé : Depuis quelques jours seulement, la commune d’Escles-Saint-Pierre dispose d’un terrain de pétanque. Une possibilité pour les adeptes de ce jeu de se réunir. », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'eau redevient potable », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- C.G., « La nouvelle classe prête pour jeudi », Le Parisien, édition de l'Oise, 232/8/2005 (lire en ligne, consulté le ) « Les enfants du Sirs Romescamps, Gourchelles, Fouilloy et Escles-Saint-Pierre seront répartis dans 5 classes : au groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, deux classes de maternelle et une classe de cours primaire. A la mairie de Romescamps, une classe de CE 1 et CE 2. A la mairie de Fouilloy, une classe de CM 1 et CM 2 ».
- « Quatre villages construisent leur école ensemble », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « ROMESCAMPS Le groupe scolaire s’agrandit : Des travaux d’extension sont en cours de réalisation au groupe scolaire Roger Cocu. Trois nouvelles salles de classe sont attendues », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « À la rentrée 2017-2018, le groupement scolaire pourra accueillir les maternelles ainsi que les cinq niveaux de l’école élémentaire. Le nombre d’élèves n’a pas encore été comptabilisé. L’enveloppe totalitaire (extension + réhabilitation) s’élève à 1 718 156 euros. Les subventions proviennent de la région : 131 000 euros, de l’état Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) : 127 000 euros, et du département 605 000 euros ».
- « Les écoliers en stage avant la rentrée », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3532, , p. 4.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Escles-Saint-Pierre (60219) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Fonts baptismaux (cuve baptismale à infusion) », notice no PM60000734, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, « Escles-Saint-Pierre, église Saint-Pierre », Diocèse : Amiens, sur Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
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