Romescamps

Romescamps est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Romescamps

La mairie de Romescamps.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jacques Peigné
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60545
Démographie
Population
municipale
531 hab. (2019 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 43″ nord, 1° 48′ 20″ est
Altitude Min. 174 m
Max. 217 m
Superficie 10,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Romescamps
Géolocalisation sur la carte : France
Romescamps
Géolocalisation sur la carte : Oise
Romescamps
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Romescamps

    Géographie

    La grande rue de Romescamps.

    La commune de Romescamps se situe à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Somme. Le village est situé à 10 km au nord-est de Formerie. Le relief est peu marqué, l'altitude varie entre 174 et 217 m.

    Le centre est bâti sur le schéma type du village-rue que l'on retrouve dans la Picardie Verte[1] : les habitations sont réparties de part et d'autre de l'ancienne route nationale 319 aujourd'hui départementale 392 qui relie Abancourt à Poix-de-Picardie, formant ainsi l'axe principal du village. Ces habitations sont souvent mitoyennes.

    La commune est traversée par la ligne de Saint-Roch à Darnétal-Bifurcation, qui relie Amiens à Rouen. Une halte dotée d'un bâtiment voyageur desservait autrefois la commune[2]. La gare la plus proche est celle d'Abancourt.

    Voies de communication et transports

    Écarts et lieux-dits

    La commune compte deux hameaux, Bernapré et Carroix.

    Communes limitrophes

    Habitat

    Logements[3]Nombre en 2016 % en 2016nombre en 2011 % en 2011
    Total259100 %248100 %
    Résidences principales22386,4 %21385,8 %
    → Dont HLM2511,3 %3014,2 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    114,4 %145,5 %
    Logements vacants[Note 1]249,2 %228,7 %
    Dont :
    → maisons242*93,6 %22891,8 %
    → appartements166,4 %197,5 %

    Selon le rencensement de 2016, 75,1 % des résidences principales sont occupées par leurs propriétaires.

    Climat

    Données générales
    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Formerie[5] 1650657171854
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Climat de la Picardie
    Données météorologiques dans l'Oise de 1961 à 1990[6]
    MoisJanFévMarAvrMaiJuiJuiAoûSepOctNovDécAnnée
    Températures minimales (°C) 1 1,1 2,7 4,4 7,6 10,3 12,2 12,2 10,4 7,7 3,9 1,8 6,3
    Températures maximales (°C) 5,6 6,5 9,4 12,4 16,2 18,9 21,0 21,3 18,9 14,8 9,4 6,5 13,4
    Températures moyennes (°C) 3,3 3,8 6,0 8,4 11,9 14,6 16,6 16,7 14,7 11,3 6,7 4,2 9,8
    Ensoleillement (h) 52,6 81,3 114,0 165,6 199,0 209,7 215,4 207,8 151,5 113,7 74,4 47,5 1637,9
    Pluviométrie (mm) 59,2 48,3 55,0 48,1 53,6 61,8 57,4 57 68 71,8 81,2 70,2 731,5

    Urbanisme

    Typologie

    Romescamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67 %), prairies (17 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (4 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Le village est mentionné sous les formes suivantes[14] :

    • Romiscans, en 1190 (Charte de l'abbaye de Saint-Germer. archives de l'Oise) ;
    • Romescans en 1203 (Charte, collection Dom Grenier) ;
    • Romecan en 1450 ;
    • Fief de Romescams, au XIVe siècle ;
    • Romeschamp, vers 1475 ;
    • Romescamps en 1517 (Titres terriers, titres ecclésiastiques, archives de l'Oise).

    Histoire

    Le monument aux morts de Romescamps.

    Romescamps se trouve sur l'emplacement de l'ancienne voie romaine reliant Amiens à Rouen, dont des vestiges auraient subsisté dans le village jusqu'au-delà de la Première Guerre mondiale. « On suppose que des Romains de passage y établirent une station ou tout au moins une halte comme semblent le prouver les médailles d'or' et de bronze avec des objets divers recueillis sur le territoire de cette commune[14] ».

    En 1855, des auteurs scolaires mentionnaient que la commune avait une activité textile de production de serge[15], comme de nombreuses localités des cantons de Grandvilliers et de Crèvecœur-le-Grand..

    En 1864 était mentionné l'existence d'une foire ou d'un marché au village chaque 1er octobre[16].

    La commune d'Abancourt est rattachée à Romescamps[17] entre 1791 à 1823.

    Première Guerre mondiale

    Lors de la Première Guerre mondiale, afin de permettre à l'armée britannique de desservir ses troupes sur les fronts français, une gare régulatrice est construite de toutes pièces par le génie militaire français sur le territoire de Romescamps.

    Les gares régulatrices mises en place par l'armée étaient des sortes de vastes gares de triage et de déchargement destinées, selon l'article 23 du règlement du sur les transports stratégiques, à se tenir « en relation avec l'armée ou les armées que leurs lignes sont amenées à desservir ; elles reçoivent les demandes de transport, de ravitaillement ou d'évacuation, et y donnent satisfaction »[18]. Le choix de l'emplacement de la gare régulatrice était destiné à lui permettre « de recevoir les envois des trois bases maritimes (c'est-à-dire à l'est de Serqueux), mais également ceux des grands dépôts créés à Abancourt et Blargies, ce qui obligeait à la placer au-delà d'Abancourt; le terrain, très accidenté en se rapprochant de Poix, ne laissait pas beaucoup d'espace pour trouver un emplacement favorable. Pour tous ces motifs, l'on fit choix de Romescamps, où l'on pouvait, avec des terrassements d'importance moyenne, réaliser une installation remplissant toutes les conditions voulues. (...) Complètement terminée en juillet [1916], elle avait demandé, pour sa construction, la main-d'œuvre suivante : trois compagnies de notre 5e Génie, une section d'ouvriers en bois, un bataillon territorial, 200 Kabyles. Elle comportait 32 kilomètres de voies, 90 000 mètres cubes de terrassement et 7 000 mètres carrés d'empierrement.

    Elle avait, comme l'on voit, été complètement réalisée par la main-d'œuvre française; les Britanniques n'y avaient participé, au début, que pour quelques installations annexes, camps, baraquements, etc.

    D'ailleurs, les autorités britanniques, qui avaient fait quelques objections à la création d'une G. R. intermédiaire entre les bases et la région d'Amiens, n'en sentirent vraiment toute l'utilité qu'au moment des opérations de la Somme, pendant lesquelles le ravitaillement par les bases du Sud et les évacuations vers ces bases auraient été impossibles sans l'existence de Romescamps, remarquable instrument d'exploitation qui a permis de rendre plus active la circulation sur la ligne Rouen - Amiens, d'alléger le travail des bases maritimes et d'augmenter ainsi leur rendement[19] ».

    Cette gare comportait deux faisceaux de triage, de part et d'autre de la ligne Amiens – Rouen ainsi qu'en gare d'Abancourt et comprenait deux parcs de matériels, celui de Blargies-Nord consacré à un dépôt de munitions britannique, et celui de Blargies-Sud servant au Génie britannique situés de part et d'autre de la ligne vers Beauvais et Paris. Un dispositif complexe de boucles de raccordement à double voie permettait une desserte commode de toutes les directions, y compris vers la ligne stratégique de Feuquières à Ponthoile construite de mai à , et dite ligne de 100 jours, qui servit lors des grandes offensives alliées de la fin de l'été et de l'automne 1918[20],[21]. Elle disposait d'une annexe pour les munitions à Formerie, où l'on construisit six grands groupes d'entrepôts au moyen d'éléments standardisés en bois[18]

    À la suite de la Première Guerre mondiale, Romescamps reçoit la Croix de guerre 1914-1918[22], avec la citation suivante à l'ordre de l'armée : « A supporté courageusement les violents bombardements par avions, dont elle a été l'objet au cours de la guerre.

    Malgré ses deuils, les souffrances endurées et les dégâts commis, a toujours fait preuve de la plus grande confiance dans la victoire finale[23] ».

    Politique et administration

    La communauté de communes de la Picardie verte dans le département de l'Oise.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle était de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un éphémère canton de Romescamps, avant d'être rattachée, cette année-là, au canton de Formerie[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Grandvilliers, dont elle est désormais membre.

    Intercommunalité

    Romescamps fait partie, comme quatre-vingt-huit autres communes, de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond l'ensemble des communes des anciens cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille-en-Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.

    La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays a constituer le « Pays de Picardie ».

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24],[réf. nécessaire]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1863 1872 Tasse Leroy    
    1880   Arsène Mantel   Notaire
    1890 1921 Émile Roussel[25]
    (1850-1934)
    Rad. Médecin
    Conseiller d'arrondissement (1886 → 1895)
    Conseiller général de Formerie (1895 → 1901 et 1907 → 1913)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1977 Roger Cocu    
    mars 1977[26] 2001 Denis Petit[27]   Président de la société de chasse
    mars 2001[26] 2008 Sanguy Bocquet DVD  
    mars 2008[26] 2014 Jacques Magnier    
    mars 2014[28],[29] En cours
    (au 23 mai 2020)
    Jacques Peigné SE[30] Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2019, la commune comptait 531 habitants[Note 3], en diminution de 7,65 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1021 3391 3291 311877908902861856
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    825755728651648618566546514
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510505506500457463423515469
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    468499457406439482520530575
    2018 2019 - - - - - - -
    534531-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 263 hommes pour 271 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,7 
    7,2 
    75-89 ans
    10,3 
    12,2 
    60-74 ans
    12,2 
    21,3 
    45-59 ans
    18,8 
    19,4 
    30-44 ans
    17,3 
    16,7 
    15-29 ans
    15,5 
    22,8 
    0-14 ans
    25,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement

    Le groupe scolaire Roger-Cocu avant son extension de 2016-2017.

    L'enseignement primaire est assuré par un regroupement pédagogique concentré (RPC) qui accueille à la rentrée 2017 109 élèves (44 maternels, 65 élémentaires) issus des communes d’Escles-Saint-Pierre, Fouilloy, Gourchelles et Romescamps dans cinq classes.

    Elles sont implantées dans l'école Roger-Cocu de Romescamps, du nom du maire qui, en 1965, avait donné le terrain nécessaire à sa construction. Le syndicat intercommunal qui gère le RPC a étendu en 2016-2017 les locaux d'origine de 600 m2 qui accueillent des salles de classe (équipées de tableaux blancs interactifs et d'une connexion à internet), de motricité et de nombreuses annexes[38],[39].

    Services publics

    Romescamps ne possède aucun service public, hormis la mairie et le groupe scolaire[Quand ?]. Son seul commerce est un garage d'automobiles.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Jean-Baptiste.
    • Romescamps compte une église paroissiale, Saint-Jean-Baptiste, datant du XIIIe siècle et dont le clocher en charpente et ardoises est terminé par une haute flèche octogonale flanquée de deux autres plus petites, et qui semble dater de la fin du XVIe siècle. L'église desservait une commanderie de l’ordre de Malte, dont des vestiges subsistent au sud, ainsi qu'une croix de Malte, au sommet du contrefort nord de la façade. Les bas-côtés et le chœur ont été partiellement refaits au XVIe siècle en silex et briques[40].
      À l'intérieur, le lutrin[41] et les fonts baptismaux[42] sont répertoriés aux monuments historiques.
    • au hameau de Bernapré, petit château construit tout en brique, au XVIIIe siècle, et chapelle à proximité ;
    • monument aux morts de la Première Guerre mondiale, ainsi que plusieurs plaques commémoratives à l'intérieur et à l'extérieur de l'église.
    • Le cimetière, situé à côté de l'église, comporte un carré militaire de militaires du Commonwealth morts pendant la Seconde Guerre mondiale[43].
    • L'emprise de la gare régulatrice de Romescamps, de la Première Guerre mondiale, est encore visible sur les photos aériennes de la commune[44].

    Personnalités liées à la commune

    • André Barroyer, Étienne Routin, Eugène Secrétin et Maurice Vigreux, soldats français tués au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de France le en défendant le village contre l'avancée ennemie. Un monument commémoratif est érigé en 2020 par l'association des anciens combattants de Romescamps pour honorer leur souvenir[45]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Atlas des paysages de l'Oise, Diren Picardie, 2005
    2. Jean-Claude Drion, « Carte postale ancienne : gare de Romescamps (Oise) », Image du Jour, sur Le p'tit train de Jicé, (consulté le ).
    3. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
    4. Données de la station de Beauvais, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
    5. Données de la station de Beauvais, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
    6. Relevés météorologiques d'Abbeville, Somme (80), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. F. Gellée, « Essai étymologique sur les noms de lieux habités et les lieuxdits territoriaux du canton de formerie », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XXVI, première partie, , p. 152-153 (lire en ligne, consulté le ) sur Gallica.
    15. Alexandre Pinet et Adolphe Guérard, Géographie départementale historique de l'Oise : à l'usage des écoles primaires, Paris, Librairie élémentaire de E. Ducrocq, , 102 p. (lire en ligne), p. 34 sur Gallica.
    16. Almanach de Beauvais et du département de l'Oise : : administratif, scientifique, littéraire, historique, Beauvais, Librairie Victor Pineau, , 136 p. (lire en ligne), p. 96-98 sur Gallica.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Aurélien Prévot (préf. François Caron et colonel Daniel Vauvillier), Les chemins de fer français dans la Première Guerre mondiale : Une contribution décisive à la victoire, Auray, LR Presse, , 423 p. (ISBN 978-2-903651-76-3), p. 53, 61, 216-217.
    19. Colonel Le Hénaff et capitaine Henri Bornecque (préf. général Gassouin), Les chemins de fer français et la guerre, Paris, Librairie Chapelot, , 276 p. (lire en ligne), p. 229 sur Gallica.
    20. M. Moutier, « Note sur quelques-unes des dispositions techniques adoptées pendant la guerre sur le réseau du Nord », Revue générale des chemins de fer « 38e année, 2d semestre », no 5, , p. 273 et suivantes (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    21. M. Javary, L'effort du réseau du Nord, pendant et après la Guerre : Conférence faite à la Société industrielle du Nord de la France à Lille le 16 janvier 1921, Lille, Imprimerie L. Danel, , 124 p. (lire en ligne), p. 34 sur Cnum - Conservatoire numérique des Arts et Métiers.
    22. Décret du 6 avril 1922, Journal officiel du , page 3817.
    23. « On décore toujours : M. Chéron distribue des Croix de guerre », Le Rappel, no 18936, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Les maires de Romescamps », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    25. « Roussel, Émile Julien », base Léonore, ministère français de la Culture.
    26. « Employé communal depuis 28 ans : Dominique Foubert prend sa retraite », Le Réveil, édition Bresle Oise Sommz, no 3591, , p. 18 « Le jeune retraité a connu quatre maires à Romescamps : Denis Petit (1977 à 2001), Sanguy Bocquet (2001 à 2008), Jacques Magnier (2008 à 2014) et Jacques Peigné depuis 2014 ».
    27. « L'ancien maire Denis Petit avait fait beaucoup pour sa commune : Denis Petit était né à Romescamps en 1928. Il a permis à la commune de se moderniser durant les années où il était maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3371, , p. 17.
    28. « Romescamps : l’adjoint au maire se dévoile », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La liste comprend cinq conseillers sortants et dix nouveaux. Elle a le soutien du maire sortant, Jacques Magnier ».
    29. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 7.
    30. M. C. et C.L.-B., « Parrainages: des maires sans étiquette lassés : Depuis quelques jours, la course aux parrainages s’accélère. Les candidats ont jusqu’au 17 mars pour convaincre, notamment les nombreux maires de l’Oise sans étiquette », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    31. Matthias Schweisguth, « Le maire se représente - Jacques Peigné, pour un dernier mandat : Epaulé par une équipe soudée, Jacques Peigné est pre^t à assumer la fonction de maire si les électeurs lui font confiance », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585, , p. 25.
    32. Pierre-Emmanuel Reger, « A Romescamps, Jacques Peigné a été réélu maire : Jacques Peigné, maire sortant de Romescamps (Oise), a été réélu à la tête de son village samedi 23 mai à la salle des fêtes de Romescamps », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Il n’y a pas eu de surprise samedi 23 mai 2020 à l’’élection du maire de Romescamps (Oise) et de ses trois adjoints à la salle des fêtes. Jacques Peigné, maire depuis 2014, a été réélu premier magistrat du village ».
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Romescamps (60545) », (consulté le ).
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    38. Ingrid Cordier, « Le regroupement scolaire de Romescamps inauguré : L’école Roger-Cocu regroupe désormais les classes de quatre villages voisins », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Les habitants ont pu découvrir la nouvelle école », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3519, , p. 18.
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    41. « Le lutrin de l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no PM60001370, base Palissy, ministère français de la Culture.
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    43. MemorialGenWeb.org - Romescamps : carré militaire des soldats du Commonwealth
    44. « Romescamps », Google maps (consulté le ).
    45. « Un monument en mémoire de quatre soldats morts en juin 1940 : Les anciens combattants de Romescamps vont dresser un monument en souvenir de quatre soldats morts le 6 juin 1940 à Romescamps. Une cérémonie est prévue le 27 juin », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3646, 20/22/2020, p. 18.
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