Espaubourg

Espaubourg est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Espaubourg

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Pays de Bray
Maire
Mandat
Patrick Batot
2020-2026
Code postal 60650
Code commune 60220
Démographie
Gentilé Spalburgiens, Splaburgiennes
Population
municipale
502 hab. (2019 )
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 22″ nord, 1° 52′ 02″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 230 m
Superficie 5,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Espaubourg
Géolocalisation sur la carte : France
Espaubourg
Géolocalisation sur la carte : Oise
Espaubourg
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Espaubourg

    Géographie

    Description

    Espaubourg est un village périurbain situé à 16 km à l'ouest de Beauvais, à la même distance au nord-est de Gisors, 53 km à l'est de Rouen et 31 km au sud-est de Forges-les-Eaux.

    Son territoire est limité au nord par le tracé de la route nationale 31.

    En 1841, Louis Graves décrivait la commune comme « resserrée entre la ligne moyenne de la vallée de Bray et la falaise crayeuse contiguë du Vexin. Son territoire figure un rectangle dont la principale direction est du nord au sud ; il donne naissance à un ruisseau.
    Le chef-lieu, rapproché de la falaise, est formé d'une longue rue sinueuse, mal nivelée[1]  ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 776 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 18 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Espaubourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,7 %), prairies (30,5 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (6 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune compte plusieurs hameaux, situés au nord du chef-lieu : La Quenette, les Clos et les Landrins, lesquels jouxtent la RN 31.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 210, alors qu'il était de 206 en 2014 et de 172 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 89,3 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Espaubourg en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,9 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Espaubourg en 2019.
    Typologie Espaubourg[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 89,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,4 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 6,3 7,1 8,2

    Toponymie

    Le village a été désigné comme Epaubourg, Espalburs en 1165, Espauborc en 1228, Espaubourc, Espaulbourg , Espauburc en 1215, Espaubourch en 1217, Espanborch, Espanboxch., Espalborc (Ispulburgurn, Spalburgum, Spalburgus , Esparburgum, Esparbur, Ebraldocurtis)[1]

    Histoire

    Louis Graves indique « Espaubourg est un des lieux les plus anciens du Beauvaisis et l'une de ses paroisses primitives. Son territoire comprenait dans l'origine ceux du Coudray-Saint-Germer et de Lalandelle, qui en furent démembrés à diverses époques.
    Renaud de Thourotte, moine de Saint-Germer, fit présent à son abbaye , vers 1095, de la seigneurie d'Espaubourg donation confirmée en 1152. Cependant la terre dépendait du comté de Beauvais, et l'on voit par le testament de Philippe de Dreux que cet évêque donna à la collégiale de Notre-Dame-du-Châtel, pour fonder quatre prébendes , le village d'Espaubourg avec ses dépendances ; mais la seigneurie revint à l'abbaye par arrangement conclu sous l'épiscopat de Miles de Nanteuil.
    Elle était vers 1710 à la maison. de Fouilleuse. Charles de Fouilleuse, seigneur de Montagny et d'Espaubourg, est enterré dans l'église[1] ».

    Il précise qu'en 1655, le village st détruit par le logement des gens de guerre en raison du passage de la route du Beauvaisis vesr la Normandie par Espaubourg, qui était alors la seule route praticable du Pays de Bray[1].

    En 1841, il y avait à Espaubourg deux moulins à eau, un four à chaux et une poterie. La population vivait alors essentiellement de l'agriculture[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Coudray-Saint-Germer[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Grandvilliers

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Espaubourg est membre de la communauté de communes du Pays de Bray, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Maire en 1921[23]   M. Bénard    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Patrick Batot   Commerçant
    Vice-président de la CC du Pays de Bray (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

    Équipements et services publics

    Eau et déchets

    La commune s'est équipée d'un réseau d'assainissement collectif[24].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Blacourt dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui, en 2020, accueille 140 élèves, et qui a permis la création d’une cantine scolaire et d’un accueil périscolaire[24].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 502 habitants[Note 8], en diminution de 3,46 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    279284316318348340355305301
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    271267264288257234227226250
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    229192198222252243229241216
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    228244206223308376393481509
    2019 - - - - - - - -
    502--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 237 hommes pour 269 femmes, soit un taux de 53,16 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,0 
    4,3 
    75-89 ans
    5,8 
    13,9 
    60-74 ans
    11,8 
    20,0 
    45-59 ans
    19,6 
    23,8 
    30-44 ans
    20,4 
    15,9 
    15-29 ans
    13,9 
    21,7 
    0-14 ans
    28,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église dédiée à saint Martin, construite en briques et constituée d’un long vaisseau qui s’achève par une abside à cinq pans, datant de la première moitié du XVIe siècle avec des vitraux de la même période. Le clocher en façade a été construit entre 1870 et 1872 en remplacement de l'ouvrage d'origine situé au centre de l'édifice.
      L’église est remarquable pour ses nombreuses fenêtres à meneaux. De tailles différentes, elles associent piédroits en briques et meneaux en pierre. Leur réseau est caractéristique du gothique flamboyant, avec soufflets et mouchettes[31]. La charpente en carène est remarquable, supportée par des engoulants et blochets sculptés de personnages.
      Le mobilier comprend une charité de saint Martin[32], un fauteuil de célébrant[33] et des fonts baptismaux en plomb du XIIe siècle, constitués de sept plaques décorées d’arcatures romanes qui abritent en alternance un décor végétal et des personnages parmi lesquels on reconnaît le Christ bénissant et saint Pierre avec sa clef[34] dont l'ensemble est classé aux monuments historiques[35].
    • Stèle-monument aux morts, inaugurée le [23]

    Personnalités liées à la commune

    En 1674, Louis de Fouilleuse est seigneur d'Espaubourg[36].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Espaubourg », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton du Coudray-Saint-Germer, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 46-48.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Espaubourg et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Espaubourg et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Section de La Chapelle-aux-Pots », Bulletin de l'Union des mutilés, réformés et anciens combattants du département de l'Oise, no 24, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    24. « Municipales 2020. À Espaubourg, Patrick Batot brigue un 7e mandat : Maire du village depuis 1983, Patrick Batot, vice-président de la communauté de communes du pays de Bray, a vu évoluer et grandir Espaubourg. Il a décidé de briguer un 7e mandat », L’Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Autour du Coudray-Saint-Germer, tour d’horizon des installations de maires : Plusieurs maires ont officiellement été élus ces derniers jours par les nouveaux conseils municipaux. On fait un point dans différentes communes autour du Coudray-Saint-Germer », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « À peine élu pour la septième fois consécutive au poste de maire, sa première élection date de 1983, Patrick Batot pensait déjà à l’avenir. « Il y aura l’enfouissement de réseau, l’amélioration des bâtiments avec peut-être un agrandissement de la salle des fêtes, l’éclairage public. Je prévois un city-stade si cela est possible. Ce n’est pas évident car il faut aller chercher les subventions et cela va être de plus en plus difficile ».
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Espaubourg (60220) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    31. « Verrières », notice no PM60000736, base Palissy, ministère français de la Culture.
    32. « Charité Saint-Martin », notice no PM60000738, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. « Fauteuil de célébrant », notice no PM60000737, base Palissy, ministère français de la Culture.
    34. « Fonts baptismaux », notice no PM60000735, base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. Dominique Vermand, « Espaubourg, église Saint-Martin : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    36. Ernest Roussel, « Convocation du ban et de l'arrière-ban du bailliage de Beauvais », Compte-rendu des séances / Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, , p. 24 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
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