Fleuré (Vienne)
Fleuré est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
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Fleuré | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Clain | ||||
Maire Mandat |
Vivian Perroches 2020-2026 |
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Code postal | 86340 | ||||
Code commune | 86099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fleuréens[1] | ||||
Population municipale |
1 054 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 28′ 42″ nord, 0° 31′ 22″ est | ||||
Altitude | 138 m Min. 98 m Max. 136 m |
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Superficie | 16,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vivonne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
Commune de 1 000 habitants située à 18 km au sud-est de Poitiers.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Pays de plaine et bocage au sous-sol argilo-marneux.
Le paysage de bocage dans le département de la Vienne se caractérise par des champs cultivés ou des prés enclos par des haies avec des alignements plus ou moins continus d'arbres et arbustes . Ces haies si caractéristiques contribuent à une meilleure qualité des eaux, permettent son infiltration et protègent ainsi contre l'érosion des sols. Elles constituent des zones de refuge pour la biodiversité. Elles ont, aussi, un rôle de régulation climatique et de nombreux intérêts agronomiques (brise vent, protection du bétail...).
Le sol de Fleuré contient des argiles de plusieurs natures. Les unes ont été extraites du sous sol pour réaliser les briques réfractaires sous la marque "Château Bonadière" Plus tard, la terre extraite, a été expédiée dans différentes zones de production de céramique. Elle a servi pour les calages des pièces de céramique . Il s'agit de la « terre à gazette », argile de médiocre qualité, mais dont les caractéristiques réfractaires sont satisfaisantes pour former des cylindres de 2 cm de diamètre et de 10 à 15 cm de longueur.
On note la présence de plusieurs zones dites de gouffres qui aspirent l'eau des pluies d'automne et de printemps.
Le terroir, situé sur les plateaux du seuil du Poitou, se compose donc[2] :
- pour 53 % de terres fortes,
- pour 38 % de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse),
- pour 9 % de terre de brandes.
En 2006, 89 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 8,4 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2,6 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vernon », sur la commune de Vernon, mise en service en 1986[10] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 792,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 20 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].
Voies de communication et transports
La commune se situe au croisement des axes RN 147 (Poitiers - Limoges) et de la RD 2 (Chauvigny - Gençay).
Depuis 2011, une déviation à 2×2 voies au titre de la RCEA (route Centre-Europe Atlantique) a été mise en place. Le bourg de la commune est désormais d'un calme impressionnant. La vie locale a longtemps été cadencée par le rythme de la circulation intense qui y régnait. Ce changement de paradigme était à la fois craint (par les commerces) et souhaité par de nombreux habitants tant la pollution sonore était importante.
Les gares et les haltes ferroviaires proches de Fleuré sont :
- la gare de Mignaloux-Nouaillé à 9,7 km,
- la halte ferroviaire de Ligugé à 14,9 km,
- la halte d'Iteuil-Centre à 15,2 km,
- la gare de Lussac-les-Châteaux à 17,5 km,
- la gare de Poitiers à 18,3 km.
Les aéroports et aérodromes proches de Fleuré sont :
- l'aéroport de Poitiers-Biard à 20,2 km,
- l'aérodrome de Niort - Souché à 73 km.
Urbanisme
Typologie
Fleuré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,8 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Fouilles préhistoriques réalisées dans les années 1950 sur le territoire de la commune par le professeur Étienne Patte. Trouvailles dans plusieurs tumulus conservées au musée de Poitiers. Château dont la tradition orale rapporte qu'il aurait été le rendez-vous de chasse de Diane de Poitiers.
Fours à chaux[précision nécessaire]
Seconde Guerre mondiale
Lors de la suppression de la ligne de démarcation le 1er mars 1943, des points de passage principaux sont conservés par l’Allemagne nazie, dont un à Fleuré sur la nationale 147[23]. ça se discute, le point de passage, était plutôt à la gare de Fleuré (passage à niveau).[précision nécessaire]
Le château a servi de Kommandantur et d'ailleurs, jusque dans les années 1960, les arbres du château gardaient la trace de nacelles (miradors) de surveillance de la route nationale.[réf. nécessaire]
Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, Fleuré comportait une activité habituelle pour un petit bourg rural, un maçon, un charron, un menuisier, deux maréchaux, un garage auto, quatre cafés (bistrots), deux épiceries, un marchand de tissus, un bureau de tabac-coiffeur, deux cordonniers, un marchand de céréales, un marchand d'engrais, une gare, une poste, un curé.
Politique et administration
Intercommunalité
Depuis 2015, Fleuré est dans le canton de Vivonne (no 18) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Fleuré était dans le canton no 28 de La Villedieu-du-Clain dans la 2e circonscription.
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Politique environnementale
Le territoire de la commune de Fleuré n’est concerné par aucun type de protection d’espaces naturels.
Jumelage
Fleuré est jumelée depuis 1979 avec Wachtberg en [27] Allemagne et depuis 2004 avec la ville italienne de Bernareggio[27] .
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 1 054 habitants[Note 8], en diminution de 1,4 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 60 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 006 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (onze personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 995 habitants.
La commune est proche de la communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999-2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de + 16,5 %[32]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre.
La répartition par sexe de la population est la suivante selon l'Insee :
- en 1999: 52,8 % d'hommes et 47,2 % de femmes.
- en 2007: 50,4 % d'hommes et 49,6 % de femmes.
- en 2010: 50,0 % d'hommes pour 50,0 % de femmes.
- en 2011: 48,4 % d'hommes et 51,6 % de femmes.
Selon l'Insee :
- Le nombre de célibataires était de :
- en 2007 : 32,1 %,
- en 2011 : 34,1 %,
- Les couples mariés représentaient :
- en 2007 : 60 % de la population,
- en 2011 : 52,4 %,
- Les divorcés représentent :
- en 2007 : 3,8 %,
- en 2011 : 5,7 %,
- Le nombre de veuves et veufs était de :
- en 2007 : 4,1 %,
- en 2011 : 7,8 %.
Pourcentage d'habitants ayant plus de 60 ans (Insee) : en 2011: 20,6 %.
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école primaire dépend de l'inspection académique de la Vienne. L'école accueille 138 élèves.
Santé
L'EHPAD Saint-Thibault a été inauguré le 9 novembre 2010. C'est une structure de plain-pied, d'une capacité de 38 chambres dont 11 chambres sont dédiées aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
Sport
- Fleuré dispose depuis les années 1930 d'un club de football au rayonnement départemental, le Football Club de Fleuré.
- Entre Clain et Miosson (ECM) est un club cantonal de gymnastique : la Baby Gym, la gymnastique artistique féminine ou masculine, la gymnastique rythmique, le trampoline, la teamgym, le parkour, la gymnastique de forme et santé (renforcement musculaire, step et gym douce). Affilié à la Fédération française de gymnastique, le club est détenteur du Label Petite Enfance, depuis 1996, du Label Qualité pour l'ensemble de ses activités, depuis 2011 et du Label Public Sénior depuis 2014.
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[33], il n'y a plus que 7 exploitations agricoles en 2010 contre 21 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 171 hectares en 2000 à 870 hectares en 2010. 32 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi du maïs), 13 % pour les oléagineux (tournesol) et 13 % pour le fourrage[33].
Les élevages de bovins et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement: 326 têtes sur sept fermes en 2000 et 131 têtes sur onze exploitations)[33].
L'activité a longtemps été rythmée par le travail de la terre, mi-élevage, mi-céréales. Le nombre d'exploitations a fortement diminué et celui des agriculteurs aussi.
Une équipe de chercheurs de la Vienne vient d'installer sur le territoire communal, en 2015, un élevage de mouches américaines « Black Soldier Fly ». Elle s'appuie sur les très bons résultats réalisés par une entreprise sud-africaine produisant de façon industrielle des larves de mouches, initiative récompensée par le prix de l'innovation décerné par les Nations unies en 2013. Destinées à l'alimentation animale, ces larves de mouches permettent non seulement de recycler des déchets d'abattoir et des déchets alimentaires mais elles pourraient aussi être utilisées pour produire des farines animales.
Industries
Une zone industrielle gérée au titre de l'intercommunalité est structurée autour des transports Jammet, entreprise historique du secteur de la logistique en température dirigée.
Commerce
En 2012, trois commerces existaient encore sur la commune de Fleuré : une station-service, une boulangerie et une épicerie.
Activité et emplois
Le taux d'activité était de 77,3 % en 2007 et 72,8 % en 1999.
Le taux de chômage est de :
- en 1999 : 7,5 %.
- en 2007 : 4,3 %
- en 2011 : 7,8 %
Les retraités et les pré-retraités représentaient 16,6% de la population en 2007 et 14,4% en 1999.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Martin est construite au XIXe siècle[34]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[35]. Elle a été édifiée sur le site de l'ancienne église probablement romane mais dont l'état de délabrement faisait craindre l'éboulement. Le cimetière qui l'entourait a été transféré dans les années 1940-1950, les tombes ont été relevées (tradition orale).[réf. nécessaire]. Elle se présente sous la forme d'une croix latine avec un chevet plat. La nef est d'un seul vaisseau. Son architecte est Alcide Bouteaud. Dans le croisillon gauche de l'église se trouve une piéta. Elle est en terre cuite. Elle pourrait dater datée du XVIe siècle ou du XVIIe siècle.
- Près de l'église, à gauche en entrant dans l'église, est exposé une tombe du XIIe siècle. Elle est en bâtière et est ornée de damiers et à chaque extrémité. Une croix est inscrite dans un médaillon circulaire.
- La chapelle Saint-Thibault construite au XIXe siècle maintient le souvenir du prieuré Saint-Thibault qui dépendait de l'abbaye de Nouaillé-Maupertuis et qui a été vendu comme bien national à la Révolution[36]. La chapelle primitive était dédiée à saint Thibault ou saint Théobald. Elle existait encore en 1869. Elle abritait un autel de pierre reposant sur quatre piliers. Elle se situait près d'une source qui est, aujourd'hui, à sec. L'ancien prieuré a été transformé en ferme pendant le XXème siècle et est aujourd'hui une résidence d'habitation.
- Une borne en pierre du XIXe siècle. Rare exemple de ce patrimoine utilitaire. Elle se trouve le long du chemin d'accès au stade. Elle a servi au moment du creusement de la route Limoges - Saumur sous Napoléon III.
Équipement culturel
Une bibliothèque qui a ouvert ses portes en juin 2012. En 2019, grâce au festival Les Heures Vagabondes, la ville a accueilli la chanteuse canadienne Cœur de Pirate devant 12000 spectateurs.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
- Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vernon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fleuré et Vernon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vernon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fleuré et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean-Henri Calmon et Jean-Clément Martin (dir.), Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », (ISBN 2-910919-98-6), p. 63, p. 13.
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- Vivian Perroches élu maire, Fleuré.fr, consulté le 31 juillet 2013
- Vivian Perroches, Fleuré.fr, consulté le 31 juillet 2013
- « Jumelage - jumelagevilledieu », sur jumelagevilledieu.eklablog.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Église Saint Martin, Fleuré.fr, consulté le 31 juillet 2013
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//IA00045009
- Prieuré et chapelle Saint Thibault, Fleuré.fr, consulté le 31 juillet 2013
- les notes sur la géographie, sur la géologie et sur l'histoire sont sommaires et ne demandent qu'à être complétées elles sont à mettre au crédit d'un ancien de Fleuré - Christian Pouthier
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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