Gaetano Quagliariello
Gaetano Quagliariello (né le à Naples) est une personnalité politique italienne du Peuple de la liberté jusqu'au puis du Nouveau Centre-droit qu'il quitte en pour fonder Identité et action (IDeA).
Gaetano Quagliariello | |
Gaetano Quagliariello en 2010. | |
Fonctions | |
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Sénateur italien | |
En fonction depuis le (16 ans, 4 mois et 1 jour) |
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Élection | 9-10 avril 2006 |
Réélection | 13-14 avril 2008 24-25 février 2013 4 mars 2018 |
Circonscription | Toscane (2006-2013) Abruzzes (depuis 2013) |
Législature | XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe |
Groupe politique | FI (2006-2008) PdL (2008-2013) AP (2013-2015) GAL (2015-2017) FdL (2017-2018) FI (depuis 2018) |
Ministre pour les Réformes constitutionnelles | |
– (9 mois et 25 jours) |
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Président du Conseil | Enrico Letta |
Gouvernement | Letta |
Prédécesseur | Umberto Bossi (indirectement) |
Successeur | Maria Elena Boschi |
Biographie | |
Nom de naissance | Gaetano Quagliariello |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Naples (Italie) |
Nationalité | Italienne |
Parti politique | Parti radical (1975-1982) Indépendant (1982-1994) Forza Italia (1994-2009) PdL (2009-2013) NCD (2013-2015) IDeA (depuis 2015) |
Profession | Politologue, historien |
Biographie
Ancien chef du Parti radical italien, il rejoint Forza Italia en 1994 et devient un conseiller de Marcello Pera, président du Sénat entre 2001 et 2006.
Le , Gaetano Quagliariello est nommé par Giorgio Napolitano parmi les quatre « sages » (avec Mario Mauro, Luciano Violante et Valerio Onida) chargés d'émettre des propositions en matière d'organisation des institutions à la suite de la crise politique résultant des élections générales italiennes de 2013.
Il devient ministre sans portefeuille, chargé des Réformes constitutionnelles du gouvernement Letta. Le 28 septembre, il présente sa démission, comme tous les ministres du PDL du gouvernement, pour protester contre la possible destitution de Silvio Berlusconi de son mandat de sénateur[1] Toutefois, les députés ayant renouvelé début octobre leur confiance lors d'un vote au gouvernement Letta, leur lettres de démissions sont refusées, et les ministres restent en poste.
Il n'est pas reconduit dans le gouvernement Renzi, le .
Notes et références
- Richard Heuzé, « Letta combat pour sauver son gouvernement », in Le Figaro, mardi 1er octobre 2013, page 8.
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