Gardie

Gardie est une commune française, située dans l'ouest du département de l'Aude en région Occitanie.

Gardie

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes du Limouxin
Maire
Mandat
Jean Roger
2020-2026
Code postal 11250
Code commune 11161
Démographie
Population
municipale
127 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 04′ 32″ nord, 2° 18′ 00″ est
Altitude Min. 174 m
Max. 345 m
Superficie 4,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Carcassonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Région-Limouxine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gardie
Géolocalisation sur la carte : France
Gardie
Géolocalisation sur la carte : Aude
Gardie
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Gardie

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Baris, le ruisseau de Bouziers et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Gardie est une commune rurale qui compte 127 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 265 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne. Ses habitants sont appelés les Gardinois ou Gardinoises.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gardie[1]
    Saint-Hilaire
    Pieusse Villebazy
    Villar-Saint-Anselme

    Hydrographie

    La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Baris, le ruisseau de Bouziers, Rec de Merdaous, le ruisseau de Lauzy, le ruisseau de Tourniol et le ruisseau du Castelou, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[4],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoux », sur la commune de Limoux, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 647,7 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 16 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « bois du col de Saint-André et de Saux et Pradals » (1 290 ha), couvrant 7 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : les « Corbières occidentales » (59 005 ha), couvrant 66 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Gardie est une commune rurale[Note 6],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (73,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,9 %), forêts (4,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Héraldique

    Blason
    D'argent, à trois bandes de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Gardie est membre de la communauté de communes du Limouxin[23], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Limoux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[23].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Région-Limouxine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[23], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1989 Bernard Roger    
    1989 2008 Pierre Brunet    
    mars 2008 mai 2020 Roselyne Garrabou    
    mai 2020 En cours Jean Roger    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2019, la commune comptait 127 habitants[Note 8], en augmentation de 9,48 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    242218257265238249231233239
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    236235215233233215205187212
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    226250226228205214192177195
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    19016013211295101103104104
    2014 2019 - - - - - - -
    120127-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 4]9,7 %11,8 %9,6 %
    Département[I 5]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 71 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (67,1 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Carcassonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 50, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,1 %[I 8].

    Sur ces 50 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 35 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    13 établissements[Note 10] sont implantés à Gardie au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,1 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 13 entreprises implantées à Gardie), contre 13,3 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[30]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[31].

    198820002010
    Exploitations211214
    Superficie agricole utilisée (ha)334324314

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 21 lors du recensement agricole[Note 12] de 1988 à 12 en 2000 puis à 14 en 2010[31], soit une baisse de 33 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations[33]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 334 ha en 1988 à 314 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 22 ha[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Gardie » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    3. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
    4. « Fiche communale de Gardie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Limoux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Gardie et Limoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Limoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Gardie et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gardie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « bois du col de Saint-André et de Saux et Pradals » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « Corbières occidentales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Gardie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « communauté de communes du Limouxin - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    25. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gardie - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).

    Liens externes

    Articles connexes

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