Gerville

Gerville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Gerville (homonymie).

Gerville

Vue de la mairie vers l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté d'agglomération Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Estelle Guénot
2020-2026
Code postal 76790
Code commune 76300
Démographie
Gentilé Gervillais, Gervillaises
Population
municipale
431 hab. (2019 )
Densité 143 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 48″ nord, 0° 19′ 49″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 125 m
Superficie 3,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fécamp
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gerville
Géolocalisation sur la carte : France
Gerville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Gerville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Gerville

    Géographie

    Communes limitrophes de Gerville
    Froberville
    Les Loges Maniquerville
    Fongueusemare

    Le village dispose d'un bois partagé avec la commune des Loges, une partie de celui-ci est en domaine privé. Un ancien chemin permettait de relier les hameau du Mont Rôti à la ferme du Coquet (propriétaire Antoine Debris). On dit que Gerville était situé sur une ancienne voie romaine, le village étant très ancien.

    Le GR 21 traverse une partie du village.

    La commune comprenait plusieurs hameaux :

    • la Mare Chanseuse (Sanseuze, Sausseuze ? Dans ce cas, comme pour Sausseuzemare-en-Caux, Salicosa mara 1080, il s'agit de la « mare aux saules » du vieux français saus / sauce, saule. Cf. Sauchay, La Saussaye, Sausseuse, etc.[1])
    • le Bihorel (homonymie avec Bihorel, du nom du bihoreau ?)
    • la Hêtrée
    • le Parlement
    • le Beau Soleil
    • Vue-du-Coquet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 986 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 72 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Gerville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), prairies (0,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village est mentionné sous les formes Geyrivilla vers 1040[22], latinisée Girae villa entre 1057 et 1067 et semi-latinisée Guirevilla au XIVe - XVe siècle, avec [g] dur du dialecte cauchois[23]. La forme du français central avec [ʒ] a prévalu.

    Il s'agit d'un nom en -ville caractéristique (cf. Toponymie normande), au sens ancien de « domaine rural ».

    Il est précédé du nom de personne de type germanique Gero ou Giro pour François de Beaurepaire[24], idem pour René Lepelley[25] ou du nom de personne norrois Gerri pour Albert Dauzat et Charles Rostaing[26] qui l'associent à Guerville (Guerrevilla XIIe siècle), autre commune de Seine-Maritime. Il faut sans doute comprendre Geri, car *Gerri n'est pas attesté en vieux norrois.

    Wolfgang Laur cite le nom norrois Geri à propos de Gereby (de) (Allemagne, Schleswig-Holstein). C'est celui-là qui pourrait être contenu dans Gerville-la-Forêt (Manche), car il présente au contraire des formes anciennes plus compatibles avec cette explication : Gerivilla en 1080 et Gerevilla en 1146. Geri est la forme vieux danois du nom de personne vieux norrois GæiRi (variante Geiri)[27]. De la même manière, Gerville (Criquetot-le-Mauconduit, Geyrivilla vers 1040) contient manifestement la variante vieux norrois Geiri / GæiRi.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Les Sans-Culottes-de-la-Manche[28].

    Histoire

    Sous la Révolution, il existait un club révolutionnaire nommé les Sans-Culottes-de-la-Manche. Ses membres devaient jurer « 'être fidèle à la Nation, d'obéir à ses lois, de maintenir tout son pouvoir à la République, de dénoncer les traîtres, les royalistes et les fanatiques ». Ils avaient enlevé trois livres d'argenterie à l'église - datant à l'époque du XIIIe siècle. Au XVIIIe siècle, le village avait 600 habitants mais en 1850, on ne dénombrait que 500 âmes et 573 dénombrés en 1895. La première pierre de l'église actuelle fut posée en 1879 et le se déroula la bénédiction de l'édifice par le cardinal Henri de Bonnechose. Un pensionnat renommé (3 classes) fonctionna jusqu'en 1899. La création du chemin de fer d'Étretat en supprimant les diligences et en rendant ainsi difficiles les relations avec Gerville, serait à l'origine de sa fermeture. Le château ayant appartenu à Camille Albert, architecte réputé à Fécamp, a été détruit le par un incendie. Un centre de jeunesse y avait été établi avant que les Allemands n'occupent la propriété.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Émile Lebreton    
    1923 1940 Jean Basille    
    1959 1976 Marcel Gruchy    
    1976 1978 Michel Auger    
    1978 1987 Roger Paris    
    1988   Josette Gautier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Christiane Fréger    
    mars 2008 mai 2020 Thierry Masurier ÉCO Chargé de mission au ministère des collectivités territoriales
    Vice-président de la CA Fécamp Caux Littoral Agglomération (2017 → 2020)
    mai 2020[29] En cours
    (au 10 août 2020)
    Estelle Guénot   Secrétaire de mairie
    Vice-présidente de la CA Fécamp Caux Littoral Agglomération (2020 → )

    Anciens maires : Gilbert Delahais, Josette Gautier, Roger Paris, Michel Auger, Marcel Gruchy, etc.[réf. nécessaire]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2019, la commune comptait 431 habitants[Note 8], en augmentation de 11,37 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490550546455491466473635592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    608625654534500443432425419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    378363384317329311319320305
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    309272235250351381409413377
    2017 2019 - - - - - - -
    424431-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église

    L'église.

    L'église de Saint-Michel de Gerville dont le chœur datait du XIIIe siècle comptait quatre-vingt paroissiens et 51 feux en 1758. Le clocher fut ruiné par les ouragans en 1708, et l'archidiacre fit réédifier la tour. Au bout de la nef, on voyait encore en 1895 plusieurs grandes pierres tombales qui semblaient recouvrir les cendres des seigneurs de ce lieu. Les inscriptions étaient presque effacées.

    La mairie

    La mairie.

    La mairie a été rénovée, la pierre a été mise en valeur, quelques drapeaux ont été ajoutés récemment. Cette maison qui jouxtait l'ancienne boulangerie-café-hôtel, tenue par madame Paris, était dans le passé beaucoup moins typique. Dans la partie « bibliothèque municipale » logeaient les instituteurs (M. et Mme Escarieux). Ce dernier a occupé les fonctions de secrétaire de mairie.

    Le bourg, centre du village

    Dans le passé, il y avait une boucherie, deux épiceries dont une avec débit de tabac, deux cafés, un coiffeur, un hôtel restaurant, et le village était bien différent. Aujourd'hui, c'est un lieu de quiétude, la vie des riverains a changé, chacun possédant une voiture et les activités sont différentes d'autrefois. Plusieurs fermes existaient : l'entrepreneur agriculteur Delahaie, les agriculteurs Debris, Bouillon, Golin, Lebreton, Foubert et d'autres.

    Le bourg était particulièrement vivant les dimanches après la messe, à côté de la forge, il y avait face à l'église le café où se réunissaient les Gervillais de l'époque.

    L'ancienne forge

    Elle a appartenu à monsieur Roland Saunier, puis monsieur Jacobet. Ce dernier ne l'utilisait plus comme telle, son œuvre était des reproductions miniatures, il semble qu'il avait réalisé une miniature du palais Bénédictine de Fécamp, qui serait exposé.

    L'école communale

    L'école, à l'origine, avait un arbre dans la cour, à gauche sur la photo et proche du grillage. Les deux préaux séparaient les garçons et les filles. Cette école est toujours en activité aujourd'hui, mais il y a un regroupement de communes pour que l'établissement demeure une enceinte scolaire.

    Le château

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Tallebot, décédé le , sieur de Gerville, conseiller et procureur du roi. Inhumé dans l'église de Criquetot.
    • Camille Albert (1852-1942), architecte (Légion d'honneur).
    • Maurice Jules Calixte Delamare, né le à Gerville (Légion d'honneur).

    Héraldique

    Les armes de la commune de Gerville se blasonnent ainsi :
    d’argent à la bande d’azur chargée de trois molettes d’or, accompagnée de deux bonnets phrygiens de gueules.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. François de Beaurepaire, op. cit..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Gerville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Gerville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) [article], page 149.
    23. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    24. ibidem
    25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, éditions PUC, 1996, p. 133b.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Librairie Guénégaud, Paris 1978.
    27. Site de Nordic Names : nom de personne Geri
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. « Municipales 2020. Estelle Guénot devient maire de Gerville : Elle était secrétaire de mairie de ce petit village, situé près de Fécamp. La nouvelle élue succède à Thierry Masurier », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis 2003, elle était secrétaire de mairie à Gerville. Estelle Guénot est devenue maire du village samedi 23 mai, succédant à Thierry Masurier ».
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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