Giberville

Giberville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 4 916 habitants[Note 1].

Giberville

L'église Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Gérard Leneveu
2020-2026
Code postal 14730
Code commune 14301
Démographie
Gentilé Gibervillais
Population
municipale
4 916 hab. (2019 )
Densité 983 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 54″ nord, 0° 16′ 56″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 36 m
Superficie 5,00 km2
Unité urbaine Caen
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Ifs
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Giberville
Géolocalisation sur la carte : France
Giberville
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Giberville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Giberville
Liens
Site web www.giberville.fr

    Les habitants sont appelés les Gibervillais.

    Géographie

    Localisation

    Giberville est en plaine de Caen, dans la banlieue est, à 6,5 km du centre-ville de la capitale régionale[1]. Son territoire est situé sur un plateau et se compose de deux parties principales : le centre-ville et le Plateau, séparés entre eux par la D 403 et l'ancien chemin de fer minier. Le Plateau est un quartier construit pour accueillir les ouvriers de la Société métallurgique de Normandie, ancienne usine métallurgique toute proche. La commune est traversée par la Gronde, affluent de l'Orne.

    Voies de communication et transports

    Giberville est desservie par les lignes 11, 11 express, 112[4], 115[5] et F3[6] des transports en commun de l'agglomération caennaise[7]. La zone d'activité du Martray est desservie par la ligne 31[8] de ce même réseau ainsi que la ligne BV36 des Bus verts du Calvados[9].

    La commune est traversée à l'ouest par la route départementale 403 et au sud par la RD 675. L'autoroute A13 passe par le sud de la ville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 643 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[16] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 12 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[20] à 11,2 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Giberville est une commune urbaine[Note 7],[23]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caen, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[26] et 205 163 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), zones urbanisées (27,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[32].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Goisbertivilla en 1066 dans la charte de dotation de Guillaume et Mathilde au monastère de la Trinité de Caen[33], Guesbervilla en 1078[34]. Après 1105, le nom apparaît dans la formation du temporel de l'abbaye Saint-Martin de Troarn sous la forme Gosbertivilla puis sous la forme Guibervilla dans une bulle du pape Clément IV confirmant les biens de l'abbaye[33].

    Le toponyme est issu de l'anthroponyme germanique Gisbert[34],[35] et de l'ancien français ville dans son sens originel de « domaine rural » hérité du latin villa rustica.

    Histoire

    Origines

    En 2020, les plus anciennes fosses de chasse alors repérées dans la plaine de Caen sont fouillées sur le site de la zone d'aménagement concerté du chemin de Clopée, au nord de la commune. Elles remontent au Mésolithique ou au début du Néolithique (6 000-5 000 ans avant notre ère). La fouille a également livré quatre ensembles funéraires de l'âge du bronze ancien. L'un de ces groupes contient deux très grandes tombes et une dizaine d’autres plus modestes associées à une exceptionnelle tombe dite « princière » datée de 1800-1600 ans avant notre ère (qui renvoie à la culture des Tumulus armoricains de l'âge du bronze armoricain[36]). Dans la commune se trouve enfin une nécropole de 45 tombes datant elle de la période gauloise. Elle semble contenir des inhumations d’individus, dont certains portent des parures (bracelet en lignite ou en bronze, fibules en bronze et en fer), ainsi que quelques urnes à incinération[37].

    Ainsi qu'en témoignent les constructions gallo-romaines découvertes à proximité de l'église en 1812, Giberville est un ancien vicus romain, une installation de type industriel, possiblement une tannerie[38]. Des objets trouvés lors de fouilles archéologiques (des monnaies et un trépied en bronze de belle facture[33]) sont d'ailleurs conservés au musée de Normandie à Caen.

    Au Moyen Âge

    Par la suite, le site a connu une première occupation franque à la fin du VIe siècle ou au début du VIIe siècle. Des fouilles menées en 1998 et prolongées l'année suivante ont mis au jour sur le site de la Delle de sur le Marais un habitat rural composé de trois groupes de cabanes, circonscrits par des fossés et des palissades. Le mobilier en bronze, en verre et en céramique recueilli à cette occasion témoigne d'un habitat prospère. Il semblerait qu'une nouvelle exploitation agricole s'y soit implantée dans la deuxième moitié du IXe siècle dont il reste les traces de grands bâtiments associant la pierre et le bois et d'équipements annexes, tels des fumoirs et des silos[39][40],.

    On sait aussi qu'un important propriétaire du nom de Gibertus occupait les lieux au VIIIe siècle[réf. nécessaire].

    Époque moderne et contemporaine

    Ancienne halte de Giberville

    À partir des années 1880, la commune est desservie par la ligne de Caen à Dozulé - Putot. L'ouverture de la halte de Giberville, située sur la route de Rouen, ne provoque toutefois pas une augmentation notable de la population qui passe même sous la barre des 300 habitants en 1881. Cette ligne est fermée au trafic des voyageurs en 1938.

    À la fin des années 1920, l'activité de la Société métallurgique de Normandie et l'extension de la cité du Plateau sur le territoire communal font plus que tripler la population de Giberville entre les recensements de 1926 (501 habitants) et 1931 (1 744 habitants).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 2008 Jean-François Romy PCF  
    mars 2008[41] En cours Gérard Leneveu[42] PCF  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et huit adjoints[43].

    Circonscription

    En 1793, la commune est rattachée au canton du Mesnil-Frémentel dans le district de Caen. En 1801, il est incorporée au canton de Troarn dans l'arrondissement de Caen[44]. En 2015, dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, la commune est rattachée au canton d'Ifs[45].

    Éducation

    • Le collège Émile-Zola scolarise environ 500 élèves originaires de Giberville, de Démouville et de Cuverville.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

    En 2019, la commune comptait 4 916 habitants[Note 9], en diminution de 1,48 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    203216229288301323355356361
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    332350332312295277239216219
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2392074415011 7441 7721 1402 4542 788
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    3 4693 5604 3814 5744 6064 7354 7714 9904 951
    2019 - - - - - - - -
    4 916--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Giberville accueille notamment la plateforme logistique de la société UPS pour le Calvados, et une entité du groupe Transdev-Vini Calvados.

    Culture locale et patrimoine

    Distinction

    Candidate au palmarès 2019 du Concours départemental des villes et villages fleuris de France, Giberville a reçu le 1er prix dans la 3ème catégorie (communes de plus de 5 000 habitants) le [49].

    Lieux et monuments

    Le lavoir.

    Sports

    L'Association sportive gibervillaise fait évoluer une équipe de football en division de district[50].

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Hidalgo (1933-2020), joueur de football et entraineur international, a habité Giberville, dans le quartier du Plateau, rue des Marguerites, avant le débarquement[51].
    • Bruno Grougi (né en 1983), joueur de football professionnel, a évolué à Giberville[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Les armes de la commune de Giberville se blasonnent ainsi :
    D'azur à la roue dentée de sable bordée d'or, traversée de trois épis de blé du même posés en barre, au chef cousu de gueules chargé de deux léopards aussi d'or [52].


    Jumelages

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Distance routière la plus courte selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
    4. « Ligne 112 - Twisto », sur twisto.fr
    5. « Ligne 115 - Twisto »
    6. Twisto, « 5 lignes de soirée ! », sur www.twisto.fr (consulté le )
    7. Twisto, « Les lignes de bus », sur www.twisto.fr (consulté le )
    8. « Ligne 31 - Twisto », sur twisto.fr
    9. « Ligne BV36 », sur twisto.fr
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Giberville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Giberville et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2020 de Caen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    27. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    33. Les nécropoles de Giberville (Calvados) fin du V°s- fin du VII°s après J-C., vol. XX, coll. « Archéologie médiévale », (lire en ligne), p. 3 à 140
    34. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    35. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 134
    36. https://www.franceculture.fr/emissions/carbone-14-le-magazine-de-larcheologie/decouverte-dune-tombe-princiere-de-lage-du-bronze-armoricain-a-giberville-calvados
    37. « Une tombe princière de l’âge du bronze ancien à Giberville (Calvados) », sur Institut national de recherches archéologiques préventives,
    38. Christian Pilet et Jacqueline Pilet-Lemière, Giberville, vol. VI, coll. « Archéologie médiévale », , p. 371 à 373
    39. Jean-Xavier de Saint-Jores, Giberville, occupation franque, coll. « Archéologie médiévale » (no 28), , p. 188-189
    40. Jean-Xavier de Saint-Jores, Vincent Hickler, Giberville, occupation franque, coll. « Archéologie médiévale » (no 29), , p. 240
    41. « Gérard Leneveu dans le fauteuil de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    42. Réélection 2014 : « Ouest-france.fr - Municipales à Giberville. Gérard Leneveu réélu maire » (consulté le )
    43. « Giberville (14730) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Décret no 2014-160 du 17 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Calvados
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    49. « Concours des villes et villages fleuris », sur www.calvados.fr (consulté le )
    50. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – A.S. Gibervillaise » (consulté le ).
    51. « Football. Michel Hidalgo, récit d'une histoire normande », sur trouville-deauville.maville.com, Ouest-France (consulté le )
    52. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=10442

    Liens externes

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