Gilhac-et-Bruzac
Gilhac-et-Bruzac est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Gilhac-et-Bruzac | |||||
Les ruines du château de Pierregourde. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Privas | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Bouvier 2020-2026 |
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Code postal | 07800 | ||||
Code commune | 07094 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierregourdains | ||||
Population municipale |
178 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 5,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 51′ 38″ nord, 4° 43′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 160 m Max. 786 m |
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Superficie | 30,94 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Rhône-Eyrieux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La commune, étendue, n'a pas de village-centre mais de nombreux hameaux dont deux lui ont donné leur nom. Dans sa partie méridionale se trouve un édifice historique remarquable, le château de Pierre Gourde, perché sur une colline, qui date du XIIIe siècle. L'histoire du lieu et de ses hameaux environnants fut marquée par les guerres de religion entre protestants et catholiques.
Durant le Moyen Âge et l'Ancien Régime, quatre familles ont dominé la seigneurie de Pierre Gourde qui s'étendait sur l'ensemble du territoire communal actuel : les familles Barjac, Maugiron et Veynes[1]
Gilhac-et-Bruzac est une des 42 communes adhérentes à la communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche depuis le . C'est une des communes les moins peuplées de cette collectivité mais elle a le plus grand territoire en superficie, soit près de 31 km2.
Ses habitants sont appelés les Pierregourdains[2].
Géographie
Situation
Situé dans la partie nord-ouest du département de l'Ardèche, entre les villes de Privas et de Valence, le territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac domine en grande partie la vallée du Rhône, mais aussi la basse vallée de l'Eyrieux, au nord de la ville de Saint-Laurent-du-Pape.
Au niveau local, la commune est située sur la bordure orientale du Massif central, à la lisère du massif montagneux des Boutières.
La mairie se situe à 35 km au nord-est de Privas, préfecture de l'Ardèche, et à 20 km de Valence, ville-centre de la principale agglomération de la région.
Description
La commune essentiellement rurale ne possède pas de véritable bourg central, ni même de village notable. Elle s'est constituée autour de deux hameaux qui lui ont donné son nom : Gilhac, près du château de Pierre Gourde, et Bruzac, près du Moulin à Vent.
Avec ses 779 mètres d'altitude, la montagne du Serre de Mure est le point culminant de la commune.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le territoire communal est traversé par une rivière, affluent direct du Rhône, le Turzon, qui comprend six affluents s'écoulant tous sur la commune.
- Le Turzon est une petite rivière qui prend sa source à 735 m d'altitude, juste à côté du passage du GR 42 ou GR du Pays de Vernoux. Il creuse des gorges profondes et descend ensuite vers le sud-est pour rejoindre le Rhône au niveau de Saint-Georges-les-Bains, à 107 m d'altitude ;
- le ruisseau de Bruzac, 3,2 km ;
- le ruisseau de Barde, 2,6 km ;
- le ruisseau de Gilhac, 1,3 km
- le ruisseau de Perroter, 1,4 km ;
- le ruisseau de Roustain, 3,3 km ;
- le ruisseau des Fontanelles, 2,2 km.
Ces ruisseaux sont tous, entièrement ou partiellement, situés sur le territoire de la commune
Un ruisseau, affluent de la Dunière et sous-affluent de l'Eyrieux s'écoule au sud du territoire communal : le ruisseau de Grosjeanne (4,6 km).
Un ruisseau, affluent de l'Embroye s'écoule à l'est du territoire communal : le ruisseau des Vans (3,9 km).
Climat
Située à moins de 20 km de Privas (à vol d'oiseau) et à une altitude quasi semblable, la commune de Gilhac-et-Bruzac présente, comme la préfecture, un climat à l'extrémité septentrionale du climat méditerranéen.
Les hameaux de la commune subissent l'influence de leur situation aux abords du plateau ardéchois (Boutières, Coiron plus au sud). Cela se caractérise par des températures assez contrastées, du très chaud et sec en été à des températures très basses avec chutes de neige en hiver, particulièrement sur les secteurs les plus élevés de la commune.
Les relevés suivants ont été effectués à la station Météo-France du département de l'Ardèche, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Pierregourde :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,4 | 1,5 | 4,3 | 7 | 10,7 | 14,6 | 17,2 | 16,6 | 13,3 | 9,6 | 4,8 | 1 | 8,4 |
Température moyenne (°C) | 4,8 | 6,1 | 9,5 | 12,4 | 16,4 | 20,7 | 23,7 | 22,9 | 18,8 | 14,1 | 8,8 | 5 | 13,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,1 | 10,6 | 14,6 | 17,7 | 21,9 | 26,8 | 30,1 | 29,1 | 24,2 | 18,5 | 12,8 | 8,9 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−14 04-01-1971 |
−10,6 05-02-2012 |
−12,6 02-03-2005 |
−2 27-04-1981 |
−0,5 04-05-1979 |
5 01-06-1986 |
8 13-07-1993 |
4,8 23-08-1976 |
2 21-09-1977 |
−3,3 26-10-2003 |
−8,6 28-11-1985 |
−10,7 30-12-2005 |
−14 04-01-1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 20-01-2007 |
22,1 19-02-1989 |
27,4 18-03-1997 |
30,2 24-04-2007 |
32,8 24-05-2009 |
38 14-06-2003 |
39,2 17-07-2005 |
42,3 13-08-2003 |
36 03-09-2005 |
30,3 02-10-2011 |
26 03-11-1970 |
21 17-12-1985 |
42,3 13-08-2003 |
Ensoleillement (h) | 138 | 145,2 | 208,6 | 225,5 | 237,8 | 287,7 | 322,1 | 288,1 | 236,7 | 164,7 | 137,9 | 124,5 | 2 516,8 |
Précipitations (mm) | 47,4 | 65,4 | 49,8 | 67,8 | 78,9 | 46 | 29,2 | 34,7 | 63,3 | 149 | 112,7 | 71,5 | 815,7 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
9,1 0,4 47,4 | 10,6 1,5 65,4 | 14,6 4,3 49,8 | 17,7 7 67,8 | 21,9 10,7 78,9 | 26,8 14,6 46 | 30,1 17,2 29,2 | 29,1 16,6 34,7 | 24,2 13,3 63,3 | 18,5 9,6 149 | 12,8 4,8 112,7 | 8,9 1 71,5 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Voies routières
Le territoire de la commune se situe hors des voies de grande circulation. Il est cependant traversé par les routes départementales (RD) 232, 266, 279 et 479 qui relient les hameaux avec les communes voisines et l'ancienne route nationale 86 qui longe le Rhône et traverse la ville voisine de La Voulte-sur-Rhône.
L’accès autoroutier vers l'A7 le plus proche de la mairie de Gilhac-et-Bruzac se situe à 25 kilomètres, par la sortie no 16 de Loriol-sur-Drôme.
Voies ferrées
Les gares de voyageurs les plus proches de Gilhac-et-Bruzac sont celles de Livron-sur-Drôme et de Loriol-sur-Drôme (Drôme) à environ 20 kilomètres. La gare de Valence-Ville à 23 kilomètres et la gare de Valence TGV à 33 kilomètres bénéficient d'une desserte plus importante.
Urbanisme
Typologie
Gilhac-et-Bruzac est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[10]. La commune ne possédant pas de bourg central, voire de chef-lieu bien défini, les principaux hameaux sont indiqués en caractères gras.
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Risques sismiques
La totalité du territoire de la commune de Gilhac-et-Bruzac est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[11].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Toponymie
Le nom de commune est composé de deux aux origines mal connues :
Le suffixe « -ac » est généralement issu du suffixe gallo-latin -acum, qui désigne un lieu rappelant soit l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine, soit un élément de la géographie locale.
Gilhac
Eggius ? et suffixe -acum
Bruzac
Brus (Brusius ?) et suffixe -acum
Histoire
Antiquité
Pour Pline[13] la région autour Valentia se nomme « regio Segovellaunorum ». Il s'agit d'un peuple gaulois, les Segovellaunes, qui était géographiquement installé de part et d'autre du Rhône moyen avec toute la plaine de Valence, l'actuel Valentinois.
Si l'on considère l'oppidum du Malpas comme leur chef-lieu, le territoire des Segovellaunes devait également s'étendre sur la rive droite du Rhône, dans la région montagneuse comprise entre l’Eyrieux et le Doux, dans l'actuel Haut-Vivarais. L'étendue du diocèse médiéval plaide en ce sens.
Moyen Âge
Pierregourde formait une communauté avec la seigneurie de Beauchastel. Du XIIIe siècle au XVe siècle, les seigneurs de Pierregourde se prénomment Hugon et se lient avec les familles aristocratiques de la région par de nombreux mariages[14].
Renaissance
François de Barjac est le seigneur de Pierregourde durant les guerres de Religion au XVIe siècle. Il fut un important chef protestant de la province du Vivarais dont une importante partie de la population avait suivi la réforme.
Celui-ci fut tué durant les combats qui accompagnèrent la bataille de Mensignac le qui opposa les troupes protestantes aux troupes catholiques commandées par le comte de Brissac[15].
Époque contemporaine
En 1790, la création de la commune autonome de Gilhac et Bruzac est effectuée par démembrement de la commune de Pierregourde.
Politique et administration
Scrutins nationaux
Candidat | 1er tour | 2e tour | ||
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Gilhac et Bruzac | Ensemble de la France | Gilhac et Bruzac | Ensemble de la France | |
Emmanuel Macron | 20,18 % | 24,01 % | 63,3 % | 66,10 % |
François Fillon | 9,17 % | 20,01 % | ||
Jean-Luc Mélenchon | 22,94 % | 19,58 % | ||
Marine Le Pen | 22,02 % | 21,30 % | 36,67 % | 33,90 % |
Benoît Hamon | 11,93 % | 6,36 % | ||
Votants | 80,88 % | 77,77 % | 74,26 % | 74,56 % |
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2019, la commune comptait 178 habitants[Note 3], en augmentation de 7,88 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Rattaché à l'académie de Grenoble, le village de Gilhac-et-Bruzac, en raison d'une population trop modeste en nombre, ne gère pas d'école primaire ou d'école maternelle. Les enfants de la commune sont donc scolarisés dans les écoles des communes avoisinantes, notamment à Saint-Georges-les-Bains.
Médias
Deux journaux couvrent l'actualité de la commune :
- L'Hebdo de l'Ardèche, journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche ;
- Le Dauphiné libéré, journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas-centre-Ardèche.
Culte catholique
Le territoire communal dépend de la paroisse de « Saint-Nicolas du Rhône » avec dix autres communes. Le siège de la paroisse est implanté à La Voulte-sur-Rhône où se situe la résidence du curé. Cette création s'est faite en 2022 par fusion et redéfinition des limites des paroisses « Saint-Jean du Pays de Privas », « Saint-François d'Ouvèze-Payre» et « Saint-Michel du Rhône » [23].
Culte protestant
Le territoire communal dépend de la région Centre-Alpes-Rhône de l'Église protestante unie de France. le temple en activité le plus proche est situé dans la commune voisine de Saint-Georges-les-Bains[24].
Économie
Taux de chômage
Le taux de chômage des 15-64 ans dans la commune était de 5,1 % pour les hommes et de 21,9 % pour les femmes, pour un taux global de 12,7 % en 2014. (Source : Insee, EMPT4 Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans).
Statut professionnel
Le statut professionnel des travailleurs de la commune relève majoritairement du secteur libéral et plus précisément de travailleurs indépendants (la commune est en secteur agricole).
Statuts professionnels | 2014 | 2009 |
---|---|---|
Salariés | 23,4 % | 20,0 % |
dont femmes | 14,4 % | 13,3 % |
dont temps partiel | 14,4 % | 13,3 % |
Non salariés | 76,6 % | 80,0 % |
dont femmes | 24,0 % | 40,0 % |
dont temps partiel | 14,4 % | 6,7 % |
(Source : Insee, EMPT6 Emplois selon le statut professionnel)[25].
Tourisme
La commune ne compte aucun hôtel, mais certains particuliers proposent des locations de logement dans le cadre d'un gîte rural.
Un terrain de camping privé avec emplacement pour caravanes, tentes et des bungalows disponibles à la location est installé sur le territoire de la commune[26].
Culture locale et patrimoine
Historique
Datant du XIIIe siècle, le château de Pierregourde, dont le nom vient du vieux français "tour de guet de pierre", bien que marqué par les guerres de religions entre protestants et catholiques, doit plutôt sa ruine au fait qu'il fut utilisé comme carrière de pierre après son abandon au XVIIe siècle.
Accès
Pour accéder à l'ancien depuis la commune voisine de Saint-Laurent-du-Pape. Depuis l'église de cette commune, le visiteur doit emprunter la RD 266. Cette route s'élève à flanc de montagne jusqu'au village de Girbaud. Un chemin empierré situé sur la gauche permet d'accéder au château[27]. La visite est libre mais il n'y a pas de possibilité d'accéder au site pour les personnes à mobilité réduite (sauf portage).
- Ruines du château de Pierregourde.
- Vue depuis les ruines du château de Pierregourde.
- Autre vue depuis les ruines.
- Ruines du château de Pierregourde.
L'Église Notre-Dame (Sainte-Marie) de Bruzac
Il s'agit d'un édifice religieux consacré au rite catholique. Bien que n'étant plus utilisée pour les offices religieux, le portail de cette église a été rénovée en .
Patrimoine forestier et floral
- Tableau présentant la flore répertoriée par le DREAL dans le bassin de l'Eyrieux[28]
Erable de Montpellier (Acer monspessulanum), Chardon du Vivarais (Carduus vivariensis), Ciste à feuilles de sauge (Cistus salviifolius), Œillet du granite (Dianthus graniticus Jordan), Doronic mort-aux-panthères (Doronicum pardalianches), Rossolis à feuilles rondes (Drosera rotundifolia), Gagée des rochers (de bohême) (Gagea bohemica), Gagée jaune (Gagea lutea), |
Millepertuis à feuilles de Linaire (Hypericum linariifolium Vahl), Impatiente ne-me-touchez-pas (Impatiens noli-tangere), Cotonnière des champs (Logfia arvensis), Orchis punaise Orchis (coriophora), Orchis punaise Orchis (coriophora subsp), Orchis à fleurs lâches (Orchis laxiflora), Fougère royale (Osmunda regalis), Pédiculaire des forêts (Pedicularis sylvatica), Peucédan à feuilles de carvi (Peucedanum carvifolium), |
Potentille des rochers (Potentilla rupestris), Pulsatille rouge (Pulsatilla rubra Delarbre), Renoncule de Montpellier (Ranunculus monspeliacus), Renoncule des marais (Ranunculus paludosus), Réséda de Jacquin (Reseda jacquinii), Sagine noueuse (Sagina nodosa), Scorzonère peu élevée (Scorzonera humilis), Joubarbe d'Auvergne (Sempervivum tectorum). |
Patrimoine faunistique
- Tableau présentant la faune répertoriée par le DREAL dans le bassin de l'Eyrieux
Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata), Crapaud commun (Bufo bufo), Rainette méridionale (Hyla meridionalis), Grenouille agile (Rana dalmatina).
Barbeau méridional (Barbus meridionalis), Toxostome (Chondrostoma toxostoma).
Coronelle girondine (Coronella girondica) Couleuvre d'Esculape (Elaphe longissima), Lézard des souches (Lacerta agilis), Lézard ocellé (Lacerta lepida), Lézard hispanique (Podarcis hispanica). |
Barbastelle (Barbastella barbastellus), Castor d'Europe (Castor fiber), Genette (Genetta genetta), Loutre (Lutra lutra), Vespertilion de Bechstein (Myotis bechsteini), Vespertilion de Natterer (Myotis nattereri), Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii), Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), Molosse de Cestoni (Tadarida teniotis). |
Pipit rousseline (Anthus campestris), Grand-duc d'Europe (Bubo bubo), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus), Busard cendré (Circus pygargus), Grand Corbeau (Corvus corax), Pic épeichette (Dendrocopos minor), Bruant (fou Emberiza cia), Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Gobemouche noir (Ficedula hypoleuca), Pie-grièche grise (Lanius excubitor), Alouette (lulu Lullula arborea), Guêpier d'Europe (Merops apiaster), Merle de roche (Monticola saxatilis), Traquet motteux (Oenanthe oenanthe), Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus), Fauvette passerinette (Sylvia cantillans), Fauvette orphée (Sylvia hortensis), Fauvette pitchou (Sylvia undata), Huppe fasciée (Upupa epops). |
Héraldique
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Gilhac-et-Bruzac possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
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Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Page sur Gilhac et Bruzac, sur medarus.org.
- « Gilhac-et-Bruzac (07800) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Pline, H.N. III, 4, 34
- Revue Historique, archéologique littéraire et pittoresque du Vivarais. Privas, 1906
- Site csateland, page sur le Château de Pierregourde
- Résultats sur le site de l'Express
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Eglise en Ardèche>, newsletter catholique du diocèse de Viviers, N° spécial nomination, 13 avril 2022.
- Site de l'aglise protestante unie, recherche sur Gilhac et Bruzac
- Dossier complet sur la commune, sur le site de l'Insee.
- Camping Plein Sud, sur cybevasion.fr.
- Page sur le château de Pierregourde
- Site du DREAL concernant la ZNIEFF du bassin de l'Eyrieux
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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