Gimeux

Gimeux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Gimeux

L'église et la mairie de Gimeux.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Danièle Lambert Daney
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16152
Démographie
Gentilé Gimeusiens
Population
municipale
719 hab. (2019 )
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 11″ nord, 0° 22′ 06″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 72 m
Superficie 7,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gimeux
Géolocalisation sur la carte : France
Gimeux
Géolocalisation sur la carte : Charente
Gimeux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Gimeux

    Ses habitants sont appelés les Gimeusiens et Gimeusiennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Gimeux est une commune de l'ouest du département de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime située à km au sud-ouest de Cognac et 41 km à l'ouest d'Angoulême, en Grande Champagne, 1er cru classé du vignoble d'appellation cognac.

    Gimeux est aussi à 12 km à l'ouest de Segonzac, 15 km au nord-est de Pons et 24 km de Saintes[2].

    La commune est à l'ouest de la route départementale 731 qui relie Cognac à Barbezieux, et proche de la zone industrielle de Merpins et de la base aérienne de Cognac. Elle est aussi proche de la route départementale 732 qui relie Cognac à Royan par Pons et qui passe à km à l'ouest du bourg. La D 47 relie Gimeux à l'agglomération cognaçaise[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux de la commune se reroupent autour du bourg et le long de la route de Cognac : les Guillons, le Pas Robin, la Tour, la Croix de l'Oumelet, la Grave. Il y a aussi l'Anglade au nord, sur la D 147 (ancien chemin Boisné)[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gimeux
    Merpins
    Ars Salles-d'Angles
    Celles
    (Charente-Maritime)

    Géologie et relief

    Géologiquement, comme toute cette partie de la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé supérieur avec cuestas.

    Le Santonien occupe la grande moitié septentrionale de la commune. Il correspond à la plaine de Châteaubernard. La partie méridionale est occupée par le Campanien, calcaire plus crayeux, qui donne les paysages de Champagne dans cette partie des Charentes.

    À l'intérieur du Campanien, s'amorce une cuesta faisant face au nord-ouest et sur laquelle le bourg s'étage. Cet escarpement caractéristique s'amplifie vers l'est et traverse tout le département jusqu'à Gurat ; il délimite la Champagne au sud jusqu'au Blanzacais. Dans la commune, il est interrompu par la vallée du Né à l'ouest. Celle-ci est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6],[7].

    La commune de Gimeux occupe la vallée du Né sur sa bordure occidentale, et la plaine de Cognac sur une grande moitié nord-est. Les coteaux occupent la bordure méridionale. Le point culminant de la commune est à une altitude de 72 m, situé au sud du bourg à l'ancien moulin à vent de Fanaud. Le point le plus bas est à m, situé le long du Né près de l'Anglade. Le bourg est à environ 20 m d'altitude sur le flanc de la vallée[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Gimeux.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Né, biau de l'anglade, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[9],[Carte 1].

    Gimeux est traversé par le , affluent du fleuve Charente. Il forme sur le territoire de Gimeux une zone de marais, irriguée par des biaus (Biau de la Grave qui fait la limite de commune et Biau de l'Anglade)[10].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Toponymie

    Les formes anciennes, non datées mais du Moyen Âge, sont Gemodiis[13], Gemois[14].

    L'origine du nom de Gimeux remonterait à un nom de femme germanique Gelmod, ce qui correspondrait à Gemoldiae villa[15],[16].

    Histoire

    Gimeux était habitée à l'époque romaine comme l'attestent les découvertes faites à Langlade, d'une part des sépultures renfermant des monnaies d'Adrien et d'Antonin, d'autre part de petits bronzes et grands bronzes d'Antonin, Marc Aurèle, Adrien, différents vases et pièces de vaisselle[17],[18]. Une voie très ancienne, Saintes-Périgueux, présente sur diverses cartes et dite chemin Boisné, passait par Gimeux où elle franchissait le Biau de l'Anglade à gué. Ce serait une voie gauloise devenue voie romaine.

    Un site de tegulæ a été prospecté sur le coteau de Fanaud[19].

    La paroisse existait déjà au XIe siècle car elle est donnée en 1121 par Pierre de Confolens, évêque de Saintes, au prieuré de Merpins[20].

    Au XVIe siècle, la seigneurie de Gimeux appartenait à François de La Rochebeaucourt, seigneur de Saint-Même et sénéchal d'Angoumois. Son fils, François de Brémond, fut un ardent défenseur du protestantisme. La seigneurie passa ensuite par mariage aux Pasquier de Mainxe. Un des fils, connu sous le nom de Monsieur de Gimeux, fut tué, croit-on, au siège de La Rochelle en 1628. La terre de Gimeux passa ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires, entre les de Donissan, et enfin les de Verdelin avant la Révolution.

    Les registres de l'état civil remontent à 1610[21].

    Le , les représentants de Gimeux à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont P. Robin et F. Jean[22].

    La commune de Gimeux à sa création en 1793, appartenait au district de Cognac et au canton de Salles-d'Angles puis en 1801 à l'arrondissement et au canton de Cognac et en 1973 au canton de Cognac-Sud.

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 mai 2012 Joël Baudin SE Éleveur retraité
    juin 2012 En cours Chantal Nadeau    

    La fiscalité est d'un taux de 14,73 % sur le bâti, 45,18 % sur le non bâti, et 9,61 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    Gimeux fait partie de la communauté d'agglomération du Grand Cognac qui prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Urbanisme

    Typologie

    Gimeux est une commune rurale[Note 1],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

    Les 276 logements de la commune sont sauf six des logements individuels. Ce sont 255 résidences principales, cinq des résidences secondaires et 16 logements vacants d'après le recensement de 1999. Ces logements ont été construits pour 96 avant 1949, 38 entre 1949 et 1975 et 148 depuis 1975. C'est un parc de logements particulièrement neufs pour le Cognaçais[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (27,7 %), terres arables (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (9,9 %), forêts (9,8 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2019, la commune comptait 719 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    345372373357449427429455460
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    463462443478392399420381363
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    393388355341298287341364346
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    390465686751713715716719719
    2019 - - - - - - - -
    719--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 352 hommes pour 367 femmes, soit un taux de 51,04 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    0,3 
    5,7 
    75-89 ans
    9,0 
    25,0 
    60-74 ans
    24,3 
    23,9 
    45-59 ans
    23,2 
    15,9 
    30-44 ans
    16,6 
    13,6 
    15-29 ans
    12,8 
    15,3 
    0-14 ans
    13,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Remarques

    La population est restée stable de 1800 à 1975 puis a fortement augmenté depuis ce qui est à mettre en parallèle avec les 148 logements neufs durant cette même période.

    Suivant le recensement de 1999, Gimeux comptait 391 habitants actifs dont 346 ayant un emploi, 190 hommes et 156 femmes (309 salariés et 37 non salariés)[28].

    Économie

    La viticulture est l'activité économique principale de cette commune située dans la Grande Champagne, premier cru classé de la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac[36].

    Une quinzaine de viticulteurs et petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais, ainsi qu'une distillerie, sont installés sur la commune de Gimeux.

    Il y a un seul commerçant, quelques artisans du bâtiment et une infirmière libérale.

    Le centre de stockage liquide d'Antargaz, classé Seveso, est installé depuis une trentaine d’années loin des habitations[37].

    Équipements et services

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ars et Gimeux. Ars accueille l'école élémentaire et Gimeux l'école primaire. L'école de Gimeux comporte trois classes, deux de maternelle et une d'élémentaire. Le secteur du collège est Cognac (Élysée-Mousier)[38].

    Santé

    Il y a une infirmière, un cabinet médical et une pharmacie à Ars.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Église de Gimeux.

    L'église Saint-Germain date du XIIe siècle puis a été rénovée au XVe siècle puis à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Elle est de plan allongé, à un vaisseau, avec coupole sur pendentifs. Elle possède un escalier demi-hors-œuvre, en vis sans jour[20].

    Il existe aussi à la Chapelle, un bâtiment très simple du XVIIe siècle, anciennement chapelle Notre-Dame-de-Piété[39].

    Du moulin à vent de Fanaud qui daterait selon certaines sources de 1760, il ne reste que des vestiges[40].

    Patrimoine civil

    • La Sauzade, déjà notée sur la carte de Cassini, comporte une ferme et un moulin à huile. Elle est dotée d'une distillerie moderne[41].
    Pigeonnier à la Grave.
    • La Grave est un logis du XIXe siècle avec ferme et pigeonnier[42].

    Sur la base Mérimée huit édifices sont étudiés et 20 sont repérés. Ce sont des maisons et des fermes datées 1652, 1749, 1806 pour les plus anciennes[43].

    Patrimoine environnemental

    Le marais d'Ars-Gimeux et la vallée du forme une zone humide remarquable. Toute la vallée est classée zone Natura 2000 et l'on y trouve comme animaux remarquables la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Triton crêté (Triturus cristatus) des invertébrés remarquables, Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), Gomphe à cercoïdes fourchus (Gomphus graslinii) et Rosalie des Alpes (Rosalia alpina) mais surtout la Loutre (Lutra lutra) et la Vison d'Europe (Mustela lutreola)[44].

    Chemins de randonnée : sentier du Fanaud et chemin de découverte du marais.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Gimeux » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Pons », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Gimeux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    10. Sandre, « le Né »
    11. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 350
    14. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1865, p. 372
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 320.
    16. Foerstemann, Altdeutsches Namenbuch, Berlin, 1856 in Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    17. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1862, p. 281
    18. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1863, p. 271
    19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 230
    20. « Église paroissiale », notice no IA00059175, base Mérimée, ministère français de la Culture
    21. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 188
    22. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882 ; réédition 2007 (ISBN 2-84618-496-8)
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Gimeux sur le site de l'Insee
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gimeux (16152) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    36. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    37. Charente libre
    38. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    39. « La Chapelle », notice no IA00059184, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Moulin à vent », notice no IA00059186, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. « Moulin à huile », notice no IA00066283, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. « La Grave », notice no IA00059187, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Gimeux », base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. Vallée du Né, Natura 2000

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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