Gourlizon
Gourlizon [guʁlizɔ̃] est une commune française du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Gourlizon | |
La mairie (Ti Kêr). | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Quimper |
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Pays Bigouden |
Maire Mandat |
Emmanuelle Rasseneur 2020-2026 |
Code postal | 29710 |
Code commune | 29065 |
Démographie | |
Gentilé | Gourlizonnais |
Population municipale |
908 hab. (2019 ) |
Densité | 92 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 01′ 11″ nord, 4° 16′ 01″ ouest |
Altitude | Min. 67 m Max. 159 m |
Superficie | 9,91 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Quimper (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Plonéour-Lanvern |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune de Gourlizon |
Géographie
Gourlizon est une commune du sud du département du Finistère située entre Quimper et Douarnenez . La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays Bigouden.
Le finage de Goulizon est limité à l'est et au sud par le Goyen, un petit fleuve côtier, et au sud-ouest par un de ses affluents de rive droite ; au nord par le Ty an Taro, ou rivière de Pouldavid, autre petit fleuve côtier, qui a sa source au nord-est du territoire communal. Le relief de la commune est assez vallonné, les altitudes s'échelonnant entre 158 mètres pour le point le plus haut, situé dans l'angle nord-est du territoire communal entre Kerfréost et Kerdroual, et 66 mètres au sud-ouest de la commune, dans la vallée du Goyen ; le bourg est vers 130 mètres d'altitude.
Le paysage rural traditionnel est celui du bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de petits hameaux et fermes isolées.
La commune est à l'écart des grands axes de communication, même si l'axe routier D 765 (ancienne route nationale 165) Quimper-Douarnenez, longe la limite nord-est du territoire communal et si la D 43, en direction de Pont-Croix, traverse la partie nord de la commune ; le bourg n'est desservi que par la modeste D 57.
Bien qu'isolée, la commune n'est pas très éloignée de Quimper (17 km) et connaît un début de périurbanisation, avec la création de lotissements notamment au nord (Ménez Merdy) et à l'est (Pen ar Hoat) du bourg, ainsi qu'à proximité de la D 765 (à Bellevue).
Une importante carrière est exploitée au lieu-dit "Moulin de Fonteyou" à partir de la décennie 1960[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Quimper », sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[10], à 11,8 °C pour 1981-2010[11], puis à 12 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Gourlizon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimper, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,1 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), prairies (19,5 %), zones urbanisées (4,4 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Histoire
Étymologie et origines
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia Guorleisan en 1022 et 1058, Gourlizon en 1458.
Gourlizon vient de « guor » qui signifie en vieux breton "au-dessus" et de « Leison », nom qui serait celui d'un seigneur local.
Gourlizon est un démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Pouldergat, paroisse avec laquelle elle forme une entité géographique bien délimitée par le Goyen et le ruisseau de Stalas.
Au XIe siècle, le tiers de l'église Saint-Cornély fut donné à l'abbaye de Locmaria par l'évêque de Quimper[20].
Gourlizon est une ancienne trève de Pouldergat jusqu’à la Révolution française, époque à laquelle son territoire est rattaché à celui de la commune de Plonéis jusqu’à son érection en paroisse en 1879. Gourlizon fait partie du Pays Glazik.
La paroisse de Gourlizon dépendait autrefois de l'ancien évêché de Cornouaille.
Gourlizon ne devient une commune qu’en 1892.
Moyen Âge
Ancienne trève de Ploaré, sous le patronage de saint Cornély, Gourlizon est citée dans l'acte de fondation du prieuré de Locmaria de Quimper, environ l'an 1029, par lequel Benoît, évêque et comte de Cornouaille, donna à Sainte-Marie in Aquilonia civitate (prieuré de Locmaria), le tiers des revenus de l'église de Guorleison[21]. Gourlizon a continué, jusqu'à la Révolution, à être un fief du prieuré de Locmaria.
Étant une simple trève, Gourlizon ne pouvait pas procéder à des inhumations, n'ayant pas de cimetière.
Époque moderne
Au XVIIe siècle, Madame de Sévigné y possède des terres. En 1684[22], par suite d'un acquêt fait par Madame de Sévigné, de la seigneurie de Lestremeur, dont le manoir était au bourg de Gourlizon, elle prétend avoir droit à la verrière de l'autel Saint-Sébastien, et d'y apposer, au lieu le plus éminent, les armes de la seigneurie de Lestremeur, qui sont : "d'argent à la levrette de sable, surmonté d'un cor enguiché de même" .
La prieure de l'abbaye de Locmaria avait le droit d'avoir ses écussons sur la maîtresse vitre de l'église de Gourlizon et droit de présentation et nomination du vicaire de la paroisse[23].
Liste non exhaustive des curés de Gourlizon à l'époque moderne : - 1624 : Hervé Calvez. - 1715-1720 : Mathieu Josion. - 1730 : Jean Rogel. - 1738 : Le Floch. - 1739-1751 : Yves Kerloch, nommé recteur de Cuzon (paroisse annexée par la suite par celle de Kerfeunteun). - 1752-1772 : Jean Cornec. - 1785 : Le Gall. - 1790 : François Le Bosec, né à Maël-Carhaix en 1745 ; emprisonné au château de Brest puis déporté en Espagne le ; puis recteur de Landeleau en 1804 ; décédé le [24].
Révolution française
Le cahier de doléances de la paroisse de Ploaré, qui concerne aussi ses trèves de Gourlizon et Le Juch, fut rédigé le en la chapelle Sainte-Hélène de Douarnenez ; de trois cents à quatre cents paroissiens participèrent à la réunion, demandant notamment « que la religion catholique (...) soit la seule observée en France », « que toutes les corvées tant publiques que territoriales soient abolies », « que les boissons en général, telles que vin, eau de vie, et autres liqueurs, seront délivrés aux laboureurs, et autres du tiers-état aux mêmes prix qu'au clergé et aux nobles ». Jean Le Cœur, du bourg de Gourlizon, fut l'un des quatre délégués élus pour représenter la paroisse de Ploaré à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper[25].
La loi du « relative à la circonscription des paroisses du district de Pont-Croix » donne à la paroisse de Plonéis comme succursales Plogastel et Gourlizon[26].
Des habitants de Gourlizon adressent le une plainte aux autorités départementales ; ils se plaignent de la sous-représentation de Gourlizon au sein de la municipalité de Plonéis : alors que Gourlizon représente un tiers de la population communale, elle n'est représentée au sein du conseil général de la commune que par un officier municipal et deux notables contre cinq officiers municipaux et dix notables pour Plonéis.
L'église tréviale de Gourlizon fut désaffectée pendant la Révolution française ; les paroissiens de Gourlizon doivent se rendre à Plonéis pour les cérémonies.
Le XIXe siècle
« Ces malheureux habitants de Gourlizon et vos bons habitants de Ploaré ont toujours souffert du violent déchirement qui les a séparés et désirent ardemment leur réunion. (...) Ils seraient ainsi entièrement détachés de la commune de Plonéis qui leur est un corps étranger, et avec laquelle ils n'ont jamais eu d'intérêts » écrit le Hervé Le Gall, adjoint faisant fonction de maire, au préfet du Finistère[27].
Le pont sur le chemin reliant Gourlizon à Plonéis est en si mauvais état que l'emprunter, par temps de grandes eaux, c'est courir le risque de se noyer.
« Les villages les plus proches de Plonéis se trouvent à une lieue et les habitants de Gourlizon ne peuvent exercer la religion chrétienne qu'avec des peines qui peuvent occasionner la mort. (...) Sur les 450 personnes qui se trouvent à Gourlizon, je suis persuadé qu'il n'y en a pas dix qui vont à la messe » écrit en 1836 à l'évêque de Quimper et Léon Yves Le Joncour[Note 7], représentant de la trève de Gourlizon au conseil municipal de Plonéis[28].
En 1879 le Conseil général du Finistère accepta de verser une subvention à la commune de Plonéis pour financer en partie la construction d'un presbytère à Gourlizon[29].
Fin XIXe la construction de 67 écoles de hameaux a été autorisée dans le Finistère par deux décrets :
- Le décret du qui a délégué une subvention pour 18 écoles de hameaux sur l'arrondissement de Quimperlé ; toutes ont été bâties.
- Le décret du qui a délégué une subvention pour 50 écoles de hameaux sur les quatre autres arrondissements du département (Brest, Châteaulin, Morlaix, Quimper) à choisir dans les communes « dont le territoire est le plus étendu et les ressources les plus restreintes » ; 49 ont été bâties dont 1 à Plonéis (Gourlizon)[30].
Gourlizon devint une commune indépendante (séparée de Plonéis) par la loi du [31], par un décret du président de la République Sadi Carnot en date du [32].
Liste non exhaustive des Recteurs de Gourlizon depuis 1879 : - 1879-1884 : Jacques-Marie Poudoulec, de Plomodiern. - 1884-1891 : Louis-François Simon. - 1891-1902 : Narcisse Kerdavid, de Brasparts. - 1902-1906 : Jean-Corentin Castrec. - 1906 : Derrien-Marie Bothorel, de Locmélar[33].
La Belle époque
En 1902, le maire de Gourlizon, Le Floc'h, écrit au préfet : « D'après l'avis du Conseil municipal et les habitants de la commune, ils sont tous d'accord à ce que les instructions religieuses et le catéchisme soient faits en breton au moins pendant dix ans. L'école et la commune étant nouvellement créées, la majorité des habitants ne savent pas un mot de la langue nationale »[34].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Gourlizon porte les noms de 33 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 2 (Corentin Lauden et Jean Louis Youinou) sont morts sur le front belge dès le ; 1 (Guillaume Floch'lay) est mort en mer en 1916 à bord du navire-hôpital Divona ; les autres sont décédés sur le sol français : parmi eux Yves Ponthier de Chamaillard[35], fils d'Ernest de Chamaillard, sous-lieutenant au 21e bataillon de chasseurs à pied, tué à l'ennemi le à Estrées-Deniécourt (Somme), décoré à titre posthume de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre ; Joseph Le Floc'h, soldat au 116e régiment d'infanterie, fut le dernier tué de la guerre originaire de Gourlizon (tué à l'ennemi le à Sommepy (Marne)[36].
La Deuxième Guerre mondiale
Le monument aux morts de Gourlizon porte les noms de 4 personnes (Pierre Bolzer, Hervé Boussard, André Celton, Henri Jaffré) mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pierre Bolzer[37], résistant FTPF, a été fusillé au Fort du Mont Valérien le [36].
La disparition des commerces du bourg
« Par le passé, Gourlizon a connu de nombreux commerces (bars, restaurants, boucheries, boulangeries, hôtel) comme en témoignent les vitres peintes, rue de la mairie »[38].
En décembre 2018 un commerce communautaire (bar-épicerie-restaurant-boulangerie), ouvert avec le soutien financier de l'état et des collectivités locales, dans le but de revitaliser le bourg qui n'avait plus depuis plusieurs années aucun commerce, dénommé Barmad, a ouvert en décembre 2018. Il a été inauguré le [38].
Politique et administration
Langue bretonne
L'adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 24 septembre 2019.
Héraldique
Le ciboire représente celui offert à l’église de Gourlizon au XVIe siècle, qui fut caché pendant la Révolution française et qui réapparut en 1879 lors de la création de la paroisse de Gourlizon. Le bleu est la couleur du Pays Glazik, la partie inférieure du blason s’inspire des armes de la famille de Lestremeur dont le manoir s’élevait à l’emplacement du bourg[41].
Lieux et monuments
- L'église Saint-Cornely (XVIe - XVIIe siècles), dédiée à saint Cornély, francisé en saint Corneille. Il existait déjà une église dès le XIe siècle, car une partie de cette église est donnée à l’abbaye de Locmaria de Quimper par l’évêque et comte de Cornouaille, Binidic. Datant du XVIe siècle et agrandie à la fin du XVIIe siècle, l'église actuelle comprend une nef avec bas-côtés de cinq travées et un chœur : il n'y a pas de transept. Le clocheton est sans galerie. Le porche date du début du XVIe siècle. La sacristie porte l'inscription « M. G. P. R. » et au nord « Jac. Joncour. Fab. 1685 ». On y trouve les statues de saint Cornely en pape (XVIIe siècle), saint Tugdual en évêque (XVIIe siècle), la Vierge Mère et un Crucifix.
Façade principale. - Le porche.
Le calvaire. Saint Corneille bénissant les bestiaux. Statue polychrome de la Vierge Marie. 14e station du chemin de croix.
Nota : supprimée à la Révolution, la trève de Gourlizon fut annexée à la paroisse de Plonéis ; ce n'est qu'en 1879, qu'elle fut érigée en paroisse, et alors les paysans de la trève représentèrent un ancien calice, caché au moment de la Révolution française, et conservé précieusement jusqu'à la création de la paroisse. Ce calice porte l'inscription suivante : "POVR . LE . TREFFVE . D . GOVRLISON . S. CORNELLI . FEST . AV . TEMPS . D . J. MAZEV . F . 1583". En 1880, on y a ajouté cette autre inscription : "A . D. 1880 . VNO . FERE . SAECVLO . ASSERVATVS . IN . ABSCONDITO . IN . LVCEM . TANDEM . FVIT . EDITVS . ATQVE . RVRSVM . INAVRATVS . ET . CONSECRATVS".
- le calvaire du placître de l'église de Gourlizon (XVIe siècle) ;
- la croix du cimetière de Gourlizon (vers 1920) ;
- la croix du bourg (1946).
Démographie
Personnalités liées à la commune
- Ernest de Chamaillard, peintre de l'école de Pont-Aven, né à Gourlizon en 1862.
- François Bescond, agriculteur de Gourlizon, prisonnier de guerre comme tant d'autres, a fait l'objet en 2018 d'un ouvrage de son fils Xavier, qui raconte, dans la peau de son père, ses cinq années de prisonnier de guerre, à partir des nombreux témoignages que ce dernier aimait raconter à sa famille[44].
Bibliographie
- Pierrick Chuto, La terre aux sabots, édition de Saint-Alouarn, 2012 (ISBN 978-2-9540620-0-6).
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Yves Le Joncour, né le 12 thermidor an VIII () à Penhiel en Gourlizon, décédé le à Plonéis.
- Louis Le Floch, né le à Creachleurnel en Plonéis.
- Corentin Le Bars, né le à Leurvoyec en Plonéis.
- Jean-Louis Le Bars, né le à Penhell en Plonéis, décédé le à Gourlizon.
- Pierre Bescond, né le à Gourlizon, décédé le à Quimper (inhumé à Gourlizon).
- Maxime Hatton, né vers 1934 dans la Sarthe, décédé le .
Références
- http://www.lerouxtp.fr/notre-histoire/ et http://www.lerouxtp.fr/carrieres-travaux-btp/
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Quimper - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gourlizon et Pluguffan », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Quimper - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « G ourlizon fêtera ses 130 ans samedi », Journal Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
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- G. 111
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- Archives départementales du Finistère, 2 "O" 492 ; cité par Pierrick Chuto, "La terre aux sabots", édition de Saint-Alouarn, 2012, (ISBN 978-2-9540620-0-6).
- Archives départementales du Finistère 134, dépôt 11, cité par Pierrick Chuto, "La terre aux sabots", édition de Saint-Alouarn, 2012, (ISBN 978-2-9540620-0-6).
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- Archives de l'Évêché de Quimper
- Fanch Broudic, "L'interdiction du breton en 1902", Coop Breizh, 1997, (ISBN 2-909924-78-5).
- Yves Ponthier de Chamaillard, né le à Châteaulin.
- Eric Blanchais, « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
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- « Jour de fête à Gourlizon », Le Télégramme, (lire en ligne).
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- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
- « La mairie de Gourlizon revient sur l'histoire de sa commune. », sur Mairie de Gourlizon (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- François Bescond, Un paysan breton au Stalag VIII C, prisonnier de guerre, juin 1940-mai 1945, éditions Récits, 2018, 96 p. (ISBN 9-782918-945628).
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