Grez-Neuville

Grez-Neuville est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Grez et Neuville.

Grez-Neuville

La Mayenne, l'église et le port de Neuville vus de Grez.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou
Maire
Mandat
Pascal Crubleau
2020-2026
Code postal 49220
Code commune 49155
Démographie
Gentilé Grez-Neuvillois,
Population
municipale
1 432 hab. (2019 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 36′ 07″ nord, 0° 40′ 59″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 97 m
Superficie 26,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Grez-Neuville
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Grez-Neuville
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Grez-Neuville
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Grez-Neuville

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à la frontière du Haut-Anjou. Elle se situe à 22 km au nord-ouest d'Angers, 20 km au sud-est de Segré, 12 km au nord-ouest de Montreuil-Juigné, km au sud-est du Lion-d'Angers, à km à nord-ouest de Feneu, à km au nord de La Membrolle-sur-Longuenée (commune de Longuenée-en-Anjou), à km au sud de Thorigné-d'Anjou ainsi qu'à km à l'ouest de Sceaux-d'Anjou.

    La commune bénéficie un accès direct pour se rendre à Angers avec la départementale 775 reliant Angers à Rennes à 1,5 km du bourg.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Mayenne traverse la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 676 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 85 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Grez-Neuville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,9 %), terres arables (30,7 %), prairies (26,7 %), forêts (2,6 %), zones urbanisées (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom pour Grez : Gradus en 1530, Greto en 1082, Greio en 1094, Grez en 1183[21],[22]. Formes anciennes du nom pour Neuville : Nova Villa in Andecavo en 837, Nova Villula en 1080, Nova Villa en 1111, Novilla en 1134-1150, Parochia de Novile en 1265, Nefville outre Maine en 1378, Nova Villa en 1454, La paroisse de Neufville-sur-Maine en 1539, St-Martin-de-Neuville et Gré aux XVIIe et XVIIIe siècles[23],[22]. Grez Neuville en 1793 et Grez-Neuville en 1801[24],[Note 8].

    Nom des habitants (gentilé) : les Grez-Neuvillois[25] (ou Grezneuvillois[22]).

    Histoire

    La commune

    Grez-Neuville, malgré son nom composé, n’a toujours formé qu’une seule et unique paroisse sous l'Ancien Régime, mais une paroisse regroupant deux bourgs, Grez et Neuville, séparés par la Mayenne. Voilà comment les habitants décrivaient leur paroisse en 1777 :

    « la rivierre de la Mayenne coulle du Nord au Midy et divise la paroisse et le bourg de Grez et de Neuville, au couchant est le bourg, l’église de Neuville et environ les deux tiers de la paroisse, au soleil levant est le bourg et le territoire de Grez, formant le tiers de laditte paroisse ».

    La population, relativement nombreuse par rapport aux paroisses voisines (193 feux en 1688, 226 feux en 1700, 300 feux en 1789, 1 269 habitants en 1790), était assez également répartie puisque, toujours selon les habitants, en 1777 : « la partie de Grez (…) [était] composée de château et maisons considérables, de dix-sept métairies, de vingt-six closeries, plusieurs villages et d’un bourg beaucoup plus gros et peuplé que celuy de Neuville, de sorte qu’il y [avait] dans la partie de Grez, environ quatre cent communiants » ; sachant que les enfants ne communiaient généralement pas avant l’âge de dix à quatorze ans, au XVIIIe siècle, les deux parties de la paroisse devaient être à peu près aussi peuplées. Enfin, du point de vue religieux, administratif et judiciaire, la paroisse dépendait du diocèse d'Angers et de l’archidiaconé d’Outre-Maine, elle relevait de l’autorité du gouverneur d’Anjou et de l’intendant de Tours, et était du ressort du Parlement de Paris et du bailliage d’Angers.

    Divisée territorialement par la Mayenne, Grez-Neuville devait connaître une organisation et un développement différenciés de part et d’autre de la rivière. Différenciés au niveau de la chronologie tout d’abord : contrairement à ce que pourrait laisser penser la toponymie, c’est le bourg de Neuville qui est le plus ancien puisqu’il est mentionné dès 834, lorsque saint Aldéric y établit une métairie. Son nom, Nova Villa in Andecavo, pourrait « l’indiquer comme une agglomération récente comparé au Lion-d’Angers ». Quant à Grez, c’est en 1122 qu’il est mentionné pour la première fois, lorsque Nicolas de Neuville autorisa son vassal, Raoul de Grez, à construire une chapelle dédiée à saint Jacques, près de sa maison, sur la rive gauche de la Mayenne. « Raoul de Grez donna cette chapelle en 1125 aux moines de Saint-Serge d’Angers, qui en firent un prieuré ». L’église paroissiale se trouvant, elle, comme le presbytère, à Neuville. Grez et Neuville étaient reliés par un pont, mentionné en 1462, mais dont la date de construction est inconnue, et qui fut détruit au plus tard en 1576. On n’eut alors d’autre solution que le recours à un bac, dangereux puisqu’il coula à plusieurs reprises[26],[27],[28].

    Le collège

    C'est à Grez qu'Hélène Fournier avait prévu l’installation du collège qu’elle fonda par son testament passé devant le notaire Claude de Villiers, le . L'activité du collège débutant vraisemblablement en 1594.

    De la fondatrice, Hélène Fournier, nous savons relativement peu de choses : son grand-père, Pierre Fournier, fut échevin à Angers en 1494, puis maire de cette ville en 1503 ; quant à son père, Guillaume Fournier, qui avait épousé Hélène Erreau, la mère de la fondatrice, il fut élu échevin d’Angers en 1552. Elle était donc issue d’une importante famille angevine et elle épousa à une date inconnue, Jean de Bréon.

    Mais ce fut elle, et elle seule, qui fonda le collège de Grez-Neuville… Bien doté (un logis principal avec ses dépendances, une métairie, des terres, des prés et des vignes), ce petit établissement qui ne comptait sans doute qu’un seul enseignant, le principal, fut actif pendant deux siècles, et huit principaux se succédèrent à sa direction : René Viot (1594-1602), Maurice Buffé (1602-1628), Jean Godillon (1628-1680), Pierre Blanchet (1681-1699), Jean Richard (1700-1730), Pierre Goudé (1730-1746), Louis-Sébastien Bertrie (1746-1774) et Jacques-François Foucault (1774-1790).

    On y enseignait le catéchisme, le latin, la géographie, sans doute un peu d’arithmétique et de français. Mais la Révolution eut raison de lui et son activité cessa vraisemblablement dès 1790. En revanche, les bâtiments qui abritaient l’établissement ne furent détruits qu’en 1869, lorsque l’on décida de construire un nouveau presbytère à Grez, à la place de la Garenne, l’ancien collège, qui en fait servait déjà de presbytère à Grez depuis 1834. Seuls les murs d’enceinte du jardin subsistent encore aujourd’hui[26].

    La Grandière

    Ce nom apparaît dès le XIIe siècle sur la rive gauche de la Mayenne, du côté de Grez, où existe déjà une motte féodale appelée "Le Bois Grandière".

    Suivent une lignée de Seigneurs de La Grandière dont le premier, un certain Luc de La Grandière apparaît dans un cartulaire de 1150. Cette famille, l'une des plus anciennes d'Anjou avec les Quatrebarbes, conserve le château et les terres du même nom depuis plus de trente générations.

    La Beuvrière

    Pendant quatre siècles, c'est la même famille qui habite la Beuvrière, changeant de nom par les alliances successives : d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves[29].

    Blasons des d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1797 Mathurin Foucault    
    1797 1804 Vincent Davy    
    1804 1821 Pierre-Étienne Dumesnil du Pineau   Officier, émigré, chef royaliste en 1815
    1821 1830 Hilaire Desprez    
    1830 1837 Jean-Baptiste Hubert Modiquet    
    1837 1848 Palamède de La Grandière    
    1848 1866 Gustave Bucher de Chauvigné Légitimiste Représentant du peuple, ancien magistrat
    1866 mai 1912 Henri Desprez    
    mai 1912 décembre 1919 Charles Lemesle    
    décembre 1919 mars 1959 Jacques de La Grandière    
    mars 1959 1969 Dominique de Broglie, (prince de)   Propriétaire du Château de la Violette en 1926
    1969 mars 1989 Francis Michau    
    mars 1989 mars 2001 Françoise Martin UDF  
    mars 2001 mars 2014 Jean-Yves Surrault[31],[32],[33] UMP Informaticien retraité
    mars 2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Pascal Crubleau[34],[35]   Enseignant-chercheur en innovation à Polytech Angers
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou, après l'avoir été jusqu'en 2016 de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[36], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

    Jumelages

    Grez-Neuville est jumelée avec deux villages anglais du Lancashire dans le nord-ouest de l'Angleterre.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2019, la commune comptait 1 432 habitants[Note 9], en diminution de 2,19 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2691 1311 1751 4471 4011 3931 3831 3691 418
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3591 4271 3601 2521 2121 1551 1911 2281 212
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1221 1731 1411 0561 0139839668731 016
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9358537658601 0401 3071 4361 4731 464
    2018 2019 - - - - - - -
    1 4331 432-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 728 hommes pour 705 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,6 
    4,8 
    75-89 ans
    4,1 
    14,4 
    60-74 ans
    14,6 
    25,1 
    45-59 ans
    24,8 
    18,3 
    30-44 ans
    18,3 
    18,5 
    15-29 ans
    15,0 
    18,7 
    0-14 ans
    22,6 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    6,9 
    75-89 ans
    9,5 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    19,4 
    45-59 ans
    18,8 
    18,6 
    30-44 ans
    17,7 
    18,6 
    15-29 ans
    17,5 
    20,2 
    0-14 ans
    18,2 
    La Mayenne, le Grand Moulin à Grez.
    L'église Saint-Martin de Neuville.

    Sports

    La commune possède un club de basket-ball et un club de boule de fort. Elle accueille également deux clubs loisirs de volley-ball et de badminton. Elle est équipée de deux salles multi-sports et d'un court de tennis extérieur.

    Il n'y a pas de club de football dans la commune. Le club le plus proche se trouve à km au Lion-d'Angers.

    Enseignement

    Grez-Neuville dispose d'une école maternelle et élémentaire publique, La Garenne.

    Labels

    Dans les ruelles de la commune on peut apercevoir les différentes maisons faites de pierres apparentes ou de schiste, et sur le quai de Grez, les maisons de Neuville et son église romane. Grez-Neuville compte parmi les villages de charme du département de Maine-et-Loire[42].

    La commune est récompensée par deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[43].

    En 2015, la commune est élue « Plus Beau Village du Maine-et-Loire » par les lecteurs du quotidien Le Courrier de l'Ouest[44].

    Économie

    Sur cent-dix établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 43 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[45].

    On trouve sur son territoire un supermarché Super U situé à km au nord du bourg, sur le lieu-dit de la Grée. Bien qu'il soit sur le territoire de la commune, il est plus près du Lion-d'Angers et est appelé le centre commercial du Pays Lionnais.

    Lieux et monuments

    À Grez

    À Neuville

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Dominique de Broglie, Grez-Neuville, dactylographié, 1962, 190 pages.
    • Pierre Cochard, Grez-Neuville, son histoire, son patrimoine, Association “Les Amis de Grez-Neuville”, Grez-Neuville, 1994, 54 pages.
    • Célestin Port (Édition révisée par J. Levron, P. d'Herbécourt, R. Favreau et C. Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 34649310, lire en ligne), p. 258.
    • Mickaël Pouteau, Le collège de Grez-Neuville (1592-Révolution française), Éditions Hérault, Maulévrier, 2001, 263 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Grez-Neuville et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Grez-Neuville et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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    51. Ouest-France, À Grez-Neuville, l’hommage à un compagnon de la Libération mort en 1944, article du 8 octobre 2011
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