Hardivillers
Hardivillers [aʁdivile] est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Hardivillers | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Maïlys Derivry 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60299 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hardivillois, Hardivilloises | ||||
Population municipale |
540 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 56 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 01″ nord, 2° 13′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 112 m Max. 187 m |
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Superficie | 9,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ses habitants sont appelés les Hardivillois et les Hardivilloises.
Géographie
Localisation
Village du Plateau Picard, desservi par la sortie (sortie 16) de l'autoroute A16, situé à proximité de la chaussée Brunehaut, ancienne voie romaine reliant Beauvais et Amiens, à l'est de Crèvecœur-le-Grand. La ville abrite une station-service portant son nom sur l'A16.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 19 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Hardivillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,1 %), forêts (7,9 %), zones urbanisées (4,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Lieu connu comme Hardinvillare en 1134[réf. nécessaire].
Histoire
- Site néolithique consacré à l'extraction et à la taille de silex, occupé à l'âge du bronze.
- Centre gaulois et gallo-romain très important, probablement occupé sans interruption du Néolithique aux invasions barbares.
- Le village se développe aux XIIe et XIIIe siècles autour de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Haut lieu rural du textile picard, fabrication de serges.
- Au XVIIe siècle, la seigneurie d'Hardivillers appartient à la famille de Kerfinem. À la fin du XVIIe siècle, elle entre par alliance dans celle de Barentin, qui la conserve jusqu'à la Révolution. Le dernier seigneur en est Charles de Paule de Barentin, conseiller, puis avocat général au parlement de Paris (1757-1775), puis président de la cour des aides de Paris (1775-1788) et enfin de à , garde des sceaux de France.
- Dans les dernières années de l'Ancien régime, Charles de Barentin fait construire à Hardivillers un vaste château tout en pierre, sur un plan en "H", qu'il insère dans un parc au centre d'allées tracées en étoile. Le chancelier de Barentin émigre lors de la Révolution française, ce qui entraine la confiscation de ses biens comme bien national, mais il parvient à reprendre ensuite possession du château et d'une partie de ses terres à Hardivillers. Après sa mort, en 1819, le domaine est vendu par ses enfants et le château presque entièrement démoli.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Froissy[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].
Liste des maires
Politique de développement durable
L'eau potable distribuée dans la commune en 2018 présente un taux de nitrates supérieure à la limite de qualité et est donc déconseillée aux femmes enceintes et aux nourrissons[31]. La nouvelle équipe municipale élue en se fixe comme objectif prioritaire la remise aux normes de l'eau potable et l'assainissement collectif, avec la création d'une station d'épuration[32],[30]. La mise en place du réseau d'assainissement débute en [33]
Un centre de stockage des déchets ultimes, qui reçut en 2014 39 000 tonnes de matériaux, est exploité depuis 2010 à Hardivillers par la SA Gurdebeke[34],[35],[36].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 540 habitants[Note 8], en diminution de 6,25 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 263 hommes pour 277 femmes, soit un taux de 51,3 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants du village sont scolarisés dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) organisé depuis plusieurs dizaines d'années par les communes d’Hardivillers, Troussencourt et Maisoncelle-Tuilerie, et qui accueille une centaine d'élèves en 2016-2017[42]. Compte tenu d'une légère croissance des effectifs, une nouvelle classe est créée pour l'année scolaire 2017-2018 à Hardivillers, dédiée aux CE1/CE2[43]. L'école dispose d'une cantine fréquentée en 2017-2018 par 23 à 25 enfants chaque midi[44]
Sports
Le premier terrain de landkite de Picardie été créé par l’association Kite unit en sur un terrain de 6 ha mis à disposition par l'intercommunalité dans la zone d'activité de la Belle Assise.
Ce sport consiste à se faire tracter par une voile dans laquelle le vent s'engouffre, le pratiquant se trouvant sur planche à roulettes, des rollers ou dans un buggy[45],[46],[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Maison du Serger : construite à la fin du XVIIIe siècle dans une rue alors occupée par de nombreux tisserands de serge, qui dépendaient de la fabrique de Grandvilliers, elle est le seul bâtiment du plâteau picard à avoir conservé sa structure traditionnelle d'atelier de tisserand.
- Acquise par la commune avec l'aide de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye, de l'écomusée des Pays de l'Oise et de la DRAC de Picardie, elle a été l'inscrite comme monument historique depuis 1992[48], et abrite un écomusée consacré aux activités économiques du monde rural traditionnel picard (ateliers de fabrication de serges, machines à tisser et de boutonnier)[49].
- L'Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, est constituée de deux parties nettement distinctes : la nef de 1770 et le chœur, datant du XVIe siècle. L'église contient quatre hauts-reliefs anglais en albâtre datant de la seconde moitié du XVe siècle, ainsi que des fonts baptismaux en pierre avec incrustation de silex taillé du XVe siècle. L'ensemble est classé monuments historiques[50].
- Chapelle Saint-Pierre, dans le cimetière.
- Chapelle de la Trinité.
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- La chapelle Saint-Pierre.
- La chapelle de la Trinité.
- La maison du Serger.
Personnalités liées à la commune
Charles de Paule de Barentin, garde des sceaux de France de à , dernier seigneur d'Hardivilliers.
Héraldique
Blason | De sinople à deux clés d'or passées en sautoir, à l'épée d'argent posée en pal brochante sur les clés, au chef d'argent chargé de trois lionceaux de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Hardivillers sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune d’Hardivillers (60299) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Hardivillers et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hardivillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Les maires de Hardivillers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Les conseils des maires qui arrêtent à ceux qui arrivent : Ces maires qui jettent l'éponge », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3274, , p. 4.
- « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 18 (ISSN 1144-5092).
- Sylvie Godin, « Changement au conseil municipal : Maïlys Derivry, nouveau maire du village : Agée de 29 ans, Maïlys Derivry a été élue maire vendredi soir. Elle succède à Annie Delaire, démissionnaire. Quatre adjoints l’entourent », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3502, , p. 17 « Depuis ce 8 juin, les 558 habitants d’Hardivillers ont un nouveau maire. Maïlys Derivry, 29 ans, succède à Annie Delaire qui a démissionné de son poste en mars dernier, tout comme Martine Autiquet et Dominique Petrez, respectivement 1er et 2e adjoints. Depuis, l’intérim était assuré par Stéphane Dautresire, troisième adjoint. Avant de choisir un nouveau maire, les électeurs ont dû repasser aux urnes le 3 juin pour compléter le conseil ».
- Matthias Schweisguth, « Pesticides et nitrates dans l’eau : François Veillerette explique les enjeux : Il y a quelques mois, des habitants de Cempuis ont été alertés du taux élevé de pesticides dans l’eau potable. Un spécialiste les a rencontrés pour faire un état de l’eau », L'Observateur de Beauvais, no 1049, , p. 19.
- « Une station d'épuration en projet dans le village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3480, , p. 21.
- Sylvie Godin, « Les travaux débutent le 3 juin - Hardivillers passe au tout-à-l'égout : Dès le 3 juin, les travaux d'assainissement débuteront à Hardivillers avec une station d'épuration écologique. Le prix du m³ d'eau sera affecté », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3550, , p. 7.
- « Vent debout contre le site de stockage : Toujours aussi remontés contre le centre de stockage de déchets ultimes, les opposants au projet ont profité d’une réunion publique, pour exprimer leur mécontentement », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Breteuil : L’exploitation de la décharge d’Hardivillers contestée : Les conseillers municipaux continuent de douter de l’utilité du centre de stockage d’Hardivilliers. Il ne tourne qu’au quart de ses capacités. Les élus vont aller en justice », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- D. L., « Les inquiétantes fuites de la décharge de Hardivillers », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hardivillers (60299) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Bonne retraite, Joëlle ! » : Après huit ans de service, la secrétaire du regroupement scolaire a mis fin à sa carrière d’agent de la fonction territoriale. Sa remplaçante est déjà en poste », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3423, , p. 17 « Les maires et enseignants du regroupement scolaire d’Hardivillers, Troussencourt et MaisoncelleTuilerie étaient rassemblés le jeudi à l’occasion du départ à la retraite de Joëlle Opéron, secrétaire du dit regroupement. « Cela faisait huit ans qu’elle exerçait dans cette fonction » , a souligné Jean-Pierre Randolet, maire-adjoint d’Hardivillers, président du Syndicat à vocation scolaire ».
- « Une nouvelle classe pour la commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3482, , p. 19.
- « Les voyants sont au vert au sein du regroupement scolaire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3463, , p. 17.
- Sylvie Godin, « Portes ouvertes les 16 et 17 : Le premier kite park picard s’installe près de l’A16 », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3463, , p. 15.
- Vincent Gautronneau, « Oise : le premier Kitepark de France prend son envol à Hardivillers : Des passionnés de vol à voile ouvrent, ce week-end, le premier Kitepark de France. Et entendent faire découvrir leur discipline », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Christophe Le-Bas, « A Hardivillers, ils filent comme le vent grâce au kite », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Boutique de Tisserand », notice no PA00114994, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- .
- La Maison du serger est ouverte au public les samedis et dimanches après-midi des mois de juillet, août et septembre.
- Les objets classés de l'église St-Pierre et St-Paul sur la base Palissy
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