Hirsingue

Hirsingue (en Allemand Hirsingen) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Hirsingue
Hirsingen

Saint-Jean-le-Baptiste, côté sud-ouest.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Altkirch
Intercommunalité Communauté de communes Sundgau
Maire
Mandat
Christian Grienenberger
2020-2026
Code postal 68560
Code commune 68138
Démographie
Gentilé Hirsinguois, Hirsinguoises
Population
municipale
2 120 hab. (2019 )
Densité 165 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 13″ nord, 7° 15′ 12″ est
Altitude Min. 307 m
Max. 411 m
Superficie 12,88 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hirsingue
(ville isolée)
Aire d'attraction Bale - Saint-Louis (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Altkirch
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Hirsingue
Hirsingen
Géolocalisation sur la carte : France
Hirsingue
Hirsingen
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Hirsingue
Hirsingen
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Hirsingue
Hirsingen
    L'abri du Banholz.
    Fontaine de la rue de Ferrette.
    Hirsingue vue du Banholz.

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Ses habitants sont appelés les Hirsinguois et les Hirsinguoises.

    Géographie

    Urbanisme

    Typologie

    Hirsingue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hirsingue, une unité urbaine monocommunale[4] de 2 121 habitants en 2017, constituant une ville isolée[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bale - Saint-Louis (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (47,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,8 %), terres arables (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,7 %), zones urbanisées (9,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    • Hirsunge (708), Hirsingen (837), Hirsuongen & Hirsungen (1221), Hirsungen (1308), Hyrssingen (1498), Hürsingen (1579), Hirsingen (1793 & 1801)[11].
    • En allemand : Hirsingen.

    Histoire

    Période révolutionnaire

    Le château des comtes de Montjoie-Hirsingue fut pillé les 29 et , « les portes, fenêtres et volets sont démolis » et « le mobilier emporté »[12]. Le château en ruine resta vide quelques années, parfois occupé par des soldats, puis fut vendu comme bien national et entièrement détruit par ses nouveaux propriétaires pour éviter le retour du comte (et de sa famille) qui s'était enfui vers Remiremont puis vers Bâle, en conservant des liens étroits avec le futur Louis XVIII. Après le départ du comte, le village est administré comme une municipalité. En 1794, l'arbre de la liberté de la commune ayant été renversé, les reliques de saint Fortuné, qui avaient été remises à la paroisse en 1736, sont brûlées en représailles. Le presbytère est démoli sous la terreur et les cloches fondues pour contribuer à l'effort de guerre.

    Histoire industrielle

    Vers 1856, Emanuel Lang[13], Jacques Lang, Gabriel Lang et M. Bloch tous originaire de Durmenach, installent un atelier de tissage, avec 4 métiers à tisser, dans l'ancien moulin à eau de Waldighofen[14].
    En 1865, la société Les Fils d'Emanuel Lang voit le jour.
    En 1870, la société emploie 300 personnes et 550 métiers à tisser. Après la guerre de 1870 et l'annexion de l'Alsace par l'Allemagne, l'usine de Waldighofen ferme et la société quitte le Sundgau pour s'établir à Nancy où ils construisent une importante usine[15].
    En 1888, l'usine de Waldighofen est rouverte par Raphaël Lang qui y fait construire la cheminée, toujours visible de nos jours[16].
    En 1908, Paul Lang crée une filature et un tissage à Hirsingue, sous le nom de Lang Frères, qui est agrandie en 1912 et endommagée par un incendie le .
    Après la guerre, l'Alsace redevenue française, la famille décide de réunir les usines de Nancy, de Waldighofen et de Hirsingue sous le nom de Établissements des fils d'Emanuel Lang.
    Jusqu'en 1962, la petite société familiale prospère et fait prospérer les régions où elle est installée. En 1963, elle rachète l'usine textile Schlumberger-Steiner située à Roppentzwiller, fondée par Camille Gabriel Schlumberger et Charles Frédéric Steiner[17].

    En 1968, elle rachète l'usine de filature et de tissage Xavier Jourdain, fondée en 1827 et située à Altkirch. L'entreprise prend alors le nom de Siat[18] . En 1971, l'usine Schlumberger-Steiner de Roppentzwiller ferme ses portes. L'entreprise se recentre alors sur les tissus de haute couture.
    En 2003, la Société Industrielle Altkirchoise de Textile-Lang licencie, dans un premier temps, 87 employés sur 2 de ses 3 établissements puis deux mois plus tard 115 autres salariés des sites de Hirsingue et d'Altkirch.
    En 2005, l'entreprise, qui emploie encore 370 salariés, est placée en redressement judiciaire.
    En 2006, une nouvelle procédure de dépôt de bilan est lancée à l'encontre de SIAT et de ses 3 sites (Cernay, Hirsingue, Altkirch) et est placée sous administration judiciaire.
    En 2007, afin d'apurer les dettes, l'usine SIAT d'Altkirch cesse toute activité et les ateliers sont démolis. L'entreprise, qui n'emploie plus que 173 salariés, se concentre sur Hirsingue, mais l'usine est scindée en deux entités : Siat et Lang pour la création et la vente de tissus et S&L Productions pour la teinture et le tissage.
    En , un incendie se déclare dans l'unité de production. En août, le tribunal de grande instance de Mulhouse prononce la liquidation des 2 entreprises. En octobre, le plan de reprise est accepté par le tribunal mais il s'accompagne de 90 licenciements supplémentaires. L'entreprise prend le nom de Virtuose SAS et reste à Hirsingue.
    Après deux années positives, la flambée des cours du coton met l'entreprise de nouveau en difficulté. En , la municipalité d'Hirsingue propose une aide de 655 000 euros à travers une offre de leaseback qui ne verra jamais le jour.
    En , le tribunal de Mulhouse prononce la liquidation judiciaire de la société Virtuose et rejette le plan de reprise qui aurait pu sauver 35 des 58 emplois. En mai, 13 salariés font encore tourner l'usine d'Hirsingue afin d'honorer les dernières commandes, avant qu'elle ne ferme définitivement ses portes en [19].

    Le , la Cour d’appel de Colmar confirme la liquidation. Le , une poignée de personnes employées par une société d’intérim assure la production d’une commande pour Mark & Spencer. Parallèlement, Pierre Schmitt et Christian Didier, les repreneurs potentiels, poursuivent leurs négociations pour pérenniser le redémarrage de l’entreprise qui reprend son nom historique d’Emanuel-Lang. Le [20] a lieu la vente aux enchères des machines qui sera annulée à la suite des manifestations d’élus, d'ancien salariés et d'habitants. Le [21], visite sur le site de Hirsingue du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, qui annonce la mobilisation des services de l’État pour permettre la reprise de l’entreprise par Pierre Schmitt. Le [22], le juge commissaire de la chambre commerciale accepte le rachat des actifs au prix de 1,510 million d’euros incluant l’ensemble du parc des machines, le stock de chemises, la marque et les brevets.

    Héraldique

    Les armes d'Hirsingue se blasonnent ainsi :
    « D'azur aux deux lettres capitales H et S d'or rangées en fasce et surmontées d'une couronne de même. »[23]


    Politique et administration

    Liste des maires

    Depuis la Libération, quatre maires se sont succédé :

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Arthur Specklin   Scieur et marchand de bois, chef des pompiers de Heimersdorf
    Croix de Guerre 1939-1945
    Paul Meyer[28] MRP puis RPF
    puis RS puis UNR
    puis UDR
    Médecin généraliste
    Conseiller général du canton de Hirsingue (1945 → 1970)
    Gérard Klemm[29] UDR puis
    DVD
    Professeur d'enseignement agricole
    Conseiller général du canton de Hirsingue (1970 → 1988)
    Président du SIVOM du Haut-Sundgau et du Syndicat mixte de l'Ill
    Délégation spéciale[30]   Présidée par Marcel Klinger, attaché principal de préfecture
    Gérard Klemm[29] DVD puis
    UDF-CDS
    Professeur d'enseignement agricole
    Conseiller général du canton de Hirsingue (1970 → 1988)
    Président du SIVOM du Haut-Sundgau et du Syndicat mixte de l'Ill
    Armand Reinhard DVG Éducateur spécialisé retraité
    Conseiller général du canton de Hirsingue (2008 → 2015)
    Vice-président de la CC du canton de Hirsingue
    Vice-président de la CC Sundgau (2017 → 2020)
    [31] En cours
    (au 4 février 2022)
    Christian Grienenberger[32] SE Technicien de maintenance, ancien adjoint

    Budget et fiscalité 2015

    La mairie de Hirsingue.

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 251 000 , soit 996  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 133 000 , soit 959  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 637 000 , soit 282  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 538 000 , soit 238  par habitant ;
    • endettement : 4 615 000 , soit 2 042  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 16,62 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,87 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 62,97 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 19,48 %.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2019, la commune comptait 2 120 habitants[Note 3], en diminution de 3,72 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +1,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8268028241 0431 2811 3271 3661 4441 470
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 3561 3431 3531 2781 2781 3181 2381 2451 180
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1771 1891 4441 2561 3001 3861 3451 3001 296
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4031 5651 5441 8862 0152 0572 1272 1322 224
    2015 2019 - - - - - - -
    2 1392 120-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Hirsingue a un collège public d'enseignement secondaire, le collège Jean-Paul de Dadelsen. Hirsingue a également une école maternelle et une école élémentaire (6 classes).

    Lieux et monuments

    Saint-Jean-le-Baptiste, côté sud-est.
    Chapelle de la Vierge-Marie-des-Douleurs.

    Patrimoine religieux

    • Église néoclassique Saint-Jean-le-Baptiste (1772-1774)[37],
    son orgue de Joseph Callinet et Christian Guerrier [38],[39],[40],
    et une des plus grandes sonneries de cloches de village d'Alsace[41].
    • Couvent des Pères capucins (1958)[42].
    • Synagogue (vestiges 1848)[43].
    • Synagogue (1911-1912)[44].
    • Chapelle Sainte-Catherine dite des Montjoie (1111)[45].
    • Itinéraire des 15 croix et calvaires (1736-1945)[46].
    • Monument aux morts[47],[48].

    Patrimoine civil

    • Mairie (1844)[49].
    • Ancien tribunal cantonal (1909)[50].
    • Maison commune antérieure à 1831[51].
    • Bâtiment annexe du château des Montjoie (1745)[52].
    • Pont en pierre - D'HoliBroucka (1751).
    • Pont en pierre dit des Montjoie (1745).

    Patrimoine agricole, rural et industriel

    • Grange à bois long (1777), rue de Bâle[53].
    • Moulin (1808)[54].
    • Ferme à colombages (bois longs et courts)[55].
    • Usine textile dite usine Emanuel Lang[56]

    Personnalités liées à la commune

    • Dr. Xavier Haegy, autonomiste alsacien (1870-1932)[57],[58].
    • Père François Marie Meyer, fondateur de lunettes sans frontière (1929-2010)
    • Élizabeth Rachel Felix, dite Rachel, tragédienne[59].
    • Jean-Baptiste Artzet, maire « optant » (1863-1872)[60].
    • Marc-Antoine Berdolet, évêque du Haut-Rhin[61].
    • Johann Caspar Bagnato (1696-1757), architecte, constructeur du château des Montjoie (1744).
    • La famille de Montjoie ou von Froberg.
    • Simon Nicolas de Montjoie, prince-évêque[62].
    • François Joseph Antoine Hell, bailli (1731-1794)[63].
    • Sigmund Jelsch, un bouillonnant pré-révolutionnaire (1712-1788)[64].
    • Pierre Schneyder, architecte et archéologue (1733-1814).
    • François Joseph Fues, curé historien à Hirsingue (1868-1878)[65].
    • Gabriel Ignace Ritter, ornementaliste néoclassique (1773).
    • Carlo Limido, peintre (1939).
    • Joseph Jelsch, chapelain (1722-1808).
    • Thiébaut Schott, maire bâtisseur (1789-1843).
    • Dr Joseph-Aloîse Froberger, père blanc, enseignant, linguiste et auteur (1871-1931).
    • Edouart Schuster (1881-1956), maître luthier[66].
    • Jean-Paul de Dadelsen, poète (1913-1957).
    • Isidore Ygon, héros de la Libération (1920-1944)[67].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Hirsingue », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Les Paroisses du canton de Hirsingue
    13. Emanuel avec un seul M
    14. L'usine Lang de Waldighoffen
    15. Roppentzwiller, d'Hier à Aujourd'hui
    16. L'industrie à Waldighoffen
    17. Arbre généalogique Charles Frédéric Steiner
    18. Société Industrielle Altkirchoise de Textile
    19. Hebdomadaire L'ami Sundgau no 34 page 6
    20. http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2013/12/29/hirsingue http://www.itele.fr/economie/video/virtuose-les-salaries-font-reculer-la-vente-sur-le-fil-58264
    21. http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2013/12/31/virtuose-un-sauvetage-aux-forceps http://alsace.france3.fr/2013/10/17/hirsingue-arnaud-montebourg-rencontrera-les-salaries-de-virtuose-demain-apres-midi-340523.html
    22. la renaissance de Virtuose sous son nom d'origine, Emanuel Lang
    23. Archives Départementales du Haut-Rhin
    24. Galerie des maires et des conseillers municipaux de Hirsingue, hirsingue.patrimoine.free.fr, Hirsingue Patrimoine.
    25. « Le maire Artzet - Décision patriotique en 1872 : La décision patriotique du maire Jean-Baptiste Artzet : le sauvetage du drapeau communal », sur Hirsingue Patrimoine
    26. « Les descendants du maire Artzet », L'Alsace, (lire en ligne)
    27. « Eugène Haegy (1855-1929) : Eugène Haegy, le maire du centenaire », sur Hirsingue Patrimoine
    28. « Notice NetBDA MEYER Vincent Paul Ernest », sur Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace,
    29. Jean-Pierre Kintz et Philippe Legin, « Notice NetBDA KLEMM Gérard », sur Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace,
    30. Mise en place à la suite de la dissolution du conseil municipal.
    31. Vivian Millet, « Christian Grienenberger, nouveau maire de Hirsingue : L’ex-adjoint Christian Grienenberger a officiellement repris le flambeau d’Armand Reinhard, qui a raccroché l’écharpe de maire après un quart de siècle ans de mandature. », Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne)
    32. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    33. Les comptes de la commune
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. « église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA68002847, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Inventaire de l'orgue de l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IM68006106, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Historique de l'église et de son orgue
    40. orgue de l'St-Jean-Baptiste
    41. Église Saint-Jean-Baptiste : « 8 cloches en région Alsacienne, une pure merveille!!! »
    42. « couvent de capucins du-Sacré-Cœur », notice no IA68002848, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « synagogue, puis dépendance d'une maison », notice no IA68002849, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « synagogue », notice no IA68002850, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. La chapelle Notre-Dame et Sainte Catherine
    46. Itinéraire des croix et calvaires
    47. Monument aux morts
    48. Monument aux morts de la Première Guerre Mondiale, inauguré en 1927, détruit par les Allemands en 1941, bas relief restauré en 1951
    49. « mairie », notice no IA68002852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « ancien tribunal », notice no IA68002853, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « maison commune », notice no IA68002851, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Château, communs dit Château des comtes de Montjoie », notice no IA68002854, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Maison-bloc avec logis », notice no IA68002859, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « moulin, minoterie », notice no IA68002872, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Ferme », notice no IA68002862, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « usine textile dite usine Emanuel Lang », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. Elsass Frei - Tiny Content
    58. Hirsingue - Xavier Haegy : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/p2_hist.htm
    59. Hirsingue - Rachel : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/rachel_1.htm
    60. Hirsingue - Jean-Baptiste Artzet : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/artzet1.htm
    61. Hirsingue - Berdolet séjourne à Hirsingue. http://hirsingue.patrimoine.free.fr/berdolet2.htm
    62. Hirsingue - Simon Nicolas de Montjoie : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/mont7.htm
    63. Hirsingue - La famille de Hell: http://hirsingue.patrimoine.free.fr/de_Hell1.htm
    64. Hirsingue - Sigmund Jelsch : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/sigmund0.htm
    65. Hirsingue - François Joseph Fues : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/fues_1.htm
    66. Hirsingue - Edouard Schuster, maître-luthier : http://hirsingue.patrimoine.free.fr/schuster1.htm
    67. Le cuirassier Isidore Ygon, héros de la Libération
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