École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne

L'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne, aussi dénommée Mines Saint-Étienne, est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[2]. Elle figure parmi les plus prestigieuses écoles d’ingénieurs de France et se distingue également dans les classements internationaux[3].

École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne
Mines Saint-Étienne
Histoire
Fondation
Statut
Type
Président
Dominique Poiroux
Directeur
Jacques Fayolle
Devise

Inspiring Innovation - Innovante par tradition

Ancienne devise : Operta Naturae Inveniunt Munera - Ils mettent à jour les œuvres cachées de la Nature
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
1 436[1]
Localisation
Pays
Campus
Ville
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saint-Étienne

Créée en 1816, elle est membre de l'Institut Mines-Télécom, sous tutelle du ministère chargé de l'industrie (aujourd'hui, ministère de l'Économie, de l'industrie et du numérique).

Histoire

À la chute du Premier Empire en 1815, le traité de Vienne sépare la Sarre et la Savoie de la France, la privant ainsi des écoles pratiques des mines de Geislautern et Peisey-Nancroix alors qu'à l'aube de la révolution industrielle, le pays a grand besoin de cadres pour l'extraction de la houille. Le , Louis XVIII produit une ordonnance royale portant création d'une "école des mineurs de Saint-Étienne", ville alors en plein essor grâce à ses mines de charbon.

L'école s'établit d'abord dans un petit bâtiment place Marengo, avec à sa tête Louis-Antoine Beaunier. La première promotion en 1819 ne comprend que douze élèves ; Benoît Fourneyron en est le major. Rapidement, les locaux s'avèrent mal adaptés face à la croissance des promotions. En 1848, les Frères des Écoles chrétiennes cèdent leur domaine sur la colline de Chantegrillet où l'école déménage. En 1882, l'"école des mineurs" devient "école des mines"[4]. Le , par arrêté ministériel, le diplôme d'ingénieur civil des mines, qui n'était alors délivré que par les Ecoles des mines de Paris et de Saint-Etienne[5], est enfin reconnu comme sanctionnant des "aptitude[s] à exercer les fonctions d’ingénieurs"[6], premier pas vers l'officialisation du statut d'école d'ingénieurs.

Les travaux miniers altèrent les bâtiments et un nouveau bâtiment destiné à accueillir l'école est construit à partir de 1924 à l'emplacement actuel situé cours Fauriel. En 1927, l'école rejoint ses nouveaux locaux — on la surnomme depuis la « grande dame du cours Fauriel »[7].

En 1992, l'école devient un établissement public national à caractère administratif. En 1994, une partie rénovée des anciens locaux de Manufrance, situés à quelques centaines de mètres, est annexée. En 2002, l'école prend le tournant de la microélectronique avec la création de son 5e centre d'enseignement et de recherche : le Centre Microélectronique de Provence Georges Charpak. En 2003, l'école franchit le cap des 1 000 élèves. La première année du cursus d'ingénieur civil des mines compte 130 élèves. En 2004, l'école crée son 6e centre de formation et de recherche, consacré à l'Ingénierie de la santé. En 2009, l'école franchit le cap des 1 500 élèves.

En , l'École devient un établissement public a caractère administratif rattaché à l'Institut Mines-Télécom[8] et en 2017, elle en devient une école interne[9].

Les formations

Les offres de formations

La stratégie de l’École en matière de formation est conçue de façon à assurer une bonne cohérence avec ses autres missions que sont la recherche, le soutien au développement économique et le dialogue entre sciences, industrie et société. C’est ainsi que l’École prend en compte et s’efforce d’anticiper la diversité et la variabilité de la demande du monde économique et des entreprises pour proposer une réponse adéquate. Cet objectif se traduit par une large offre de formations clairement identifiées permettant à l’École d’être présente dans presque tous les secteurs d’activité et sur l’ensemble des territoires.

Formations d'ingénieurs

Entrée du bâtiment de l'espace Fauriel.

L’École propose trois profils d’ingénieurs sur ses campus de Saint-Étienne et de Gardanne.

  1. L’Ingénieur Civil des Mines (ICM), est un généraliste dont la vocation première est de devenir un dirigeant engagé, éclairé et innovant ; grâce à sa culture pluridisciplinaire, son aptitude à appréhender les problèmes complexes, sa capacité à travailler en équipe multiculturelle et son sens de l’efficacité, il saura assumer des fonctions à haute responsabilité dans tous les secteurs.
  2. L’Ingénieur Spécialité Microélectronique et Informatique (ISMIN) : avec sa double compétence en microélectronique et en informatique, il saura s’adapter aisément au secteur des nouvelles technologies, à forte valeur ajoutée et en constante mutation, en apportant sa créativité, ses capacités à innover et à entreprendre et son goût pour le travail en équipe.
  3. L’ingénieur de spécialité, sous statut salarié, formé en alternance par la voie de l’apprentissage et de la formation continue, selon un modèle d’excellence original, où l’entreprise est acteur et bénéficiaire de la formation de l’élève-ingénieur, formé avec une entreprise partenaire, aura acquis pendant sa formation la capacité à intégrer la problématique de l’entreprise et à imaginer et mettre en œuvre les solutions adaptées. Il associe qualité opérationnelle et approche conceptuelle (anciennement ISFEn).

Le tableau suivant résume les spécialisations agréées par la CTI, avec les statuts des élèves et les localisations :

Formations qui permettent d'obtenir le titre d'ingénieur diplômé de l'École nationale supérieure des mines de St-Étienne
Spécialisation Statut des élèves Localisation
géographique
Ingénieur généralisteÉtudiant Saint-Étienne
Microélectronique et informatique (ISMIN) Gardanne
Génie des installations nucléaires
(en convention avec l'INSTN)

Génie industriel

Apprenti
Formation continue
Saint-Étienne
Énergétique Apprenti
Formation continue
Saint-Étienne
Systèmes électroniques embarqués Formation continueSaint-Étienne
Gardanne
ApprentiSaint-Étienne
Électronique et informatique industrielle Apprenti
Formation continue
Gardanne

Cursus d'ingénieur généraliste des mines (Ingénieurs Civils des Mines)

L’École des Mines de Saint-Étienne forme, depuis plus de 200 ans, des étudiants avec de petites promotions (environ 450 élèves-ingénieurs sur 3 années de formation). L’admission se fait principalement par le Concours commun Mines-Ponts, particulièrement sélectif.

C'est la formation historique de l'Ecole des Mines de Saint-Étienne. L’Ingénieur Civil des Mines[10] (ICM), est un généraliste dont la vocation première est de devenir un dirigeant engagé, éclairé et innovant ; grâce à sa culture pluridisciplinaire, son aptitude à appréhender les problèmes complexes, sa capacité à travailler en équipe multiculturelle et son sens de l’efficacité, il saura assumer des fonctions à haute responsabilité dans tous les secteurs.

Le cycle ingénieur civil a une forte composante d'internationalisation. Les élèves ICM ont la possibilité de réaliser un semestre de leur scolarité dans les plus prestigieuses universités étrangères. L'Ecole compte 141 accords internationaux[11] sur les 5 continents.

Cursus d’ingénieurs spécialisés en microélectronique informatique et nouvelles technologies

Centre Georges Charpak

Le cycle ISMEA (ingénieurs spécialisés en micro-électronique et applications) de l'ENSM-SE a été renommé en ISMIN (ingénieurs spécialisés en microélectronique, informatique et nouvelles technologies) au cours de l'année 2008.

Le cursus ISMIN est un cycle de formation d’ingénieurs spécialisés plus particulièrement orienté vers la microélectronique, les systèmes embarqués et les logiciels associés. Cette formation permet l'acquisition d'une double compétence informatique/électronique. Le recrutement s'effectue sur concours après les classes préparatoires aux grandes écoles sur le Concours Mines-Télécom pour les filières MP, PC et PSI et PT et sur Concours Centrale-Supélec pour la filière TSI[12].

Cette formation se déroule à Gardanne, sur le campus Charpak-Provence. Elle a été créée en 1982 dans le cadre du groupe ESIM (École supérieure d'ingénieurs de Marseille, aujourd'hui Centrale Marseille) et a été intégrée à l'École des mines de Saint-Étienne en 2003.

Cursus d’ingénieurs spécialisés en génie industriel ou en génie des installations nucléaires

L'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne propose plusieurs cursus de formation sous statut salarié en alternance. Ces formations se déroulent grâce au partenariat solidaire de l'ISTP à Saint-Étienne, et à une convention avec le CEA/INSTN (spécialité Génie des Installations Nucléaires). Elles se composent de deux filières (formation par apprentissage et formation continue) et offrent également la possibilité de VAE. L'école est habilitée par la commission des titres d'ingénieur (CTI) à délivrer le diplôme "d'ingénieur diplômé de l’École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne - Spécialité Génie industriel.

Cursus d’ingénieurs spécialisés en Systèmes Électroniques Embarqués (ISEE)

Cursus créé en 2017 et rassemblant des promotions d'une soixantaine d'élèves[13], il se déroule sous statut salarié. Les cours de déroulent sur le campus industriel de l'ISTP (à Saint-Etienne) ou directement au sein des batîments de l'école des Mines de Saint-Etienne. Ils traitent de l'électronique de manière générale (Électronique analogique et électrotechnique, électronique numérique, communication, compatibilité électromagnétique (CEM)) de l'informatique embarquée ou encore de l'ingénierie des systèmes embarqués, ouvrant la voie à des métiers comme Architecte applications embarquées, Ingénieur R&D, ...

Pour l'alternance, les étudiants effectuent leur alternance dans diverses entreprises comme : Thales, Renault, DCNS, ST Microelectronics, Airbus, MBDA, CNRS, CEA, Aéroport de Paris, ainsi que de nombreuses startups et PME …

Cursus d’ingénieurs en électronique et en informatique industrielle

À L'instar du cursus d’ingénieurs spécialisés en génie industriel, en systèmes électroniques embarqués ou en génie des installations nucléaires, cette formation se déroule sous statut salarié en alternance.

Ce cursus ISFEn est un cycle de formation qui se déroule au Centre microélectronique de Provence Georges-Charpak (CMP-GC) à Gardanne en partenariat avec l’ITII-PACA (Institut des techniques d’ingénieur de l’industrie).

Formation doctorale

Entrée de l'école des mines

L’Université Jean Monnet de Saint-Étienne et l’École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne, ont signé le une convention créant l’École doctorale de Saint-Étienne (ED-SE) et obtenu l’accréditation conjointe d’une École doctorale pluridisciplinaire et inter-établissements du site stéphanois. Cette école doctorale permet la création de filières de formations disciplinaires cohérentes, ayant des bases scientifiques élargies et la mise en place d’une formation globale des doctorants.

C’est dans le cadre de cette École Doctorale que sont organisées les études doctorales de l’École des mines de Saint-Étienne. Tout titulaire d'un master recherche ou d'un diplôme de même équivalence (comme un diplôme d'ingénieur, sous réserve de pouvoir justifier d'un parcours recherche) peut postuler à cette formation d'une durée de 3 ans. L'école des Mines de Saint Étienne délivre le diplôme de docteur sous son seul sceau[réf. nécessaire].

Masters

L'Ecole propose actuellement 14 masters :

Mastères spécialisés

L'Ecole propose actuellement 5 mastères spécialisés :

Classements nationaux

Nom 2019 (Rang) 2020 (Rang) 2021 (Rang)
L’Étudiant[14] 12 12
Daur Rankings[15] 29 15 (formation ICM)
36 (formation ISMIN)
16

Classements internationaux

Nom 2021 (Rang)
Times Higher Education (THE) 401-500
THE by subject 251 – 300 (Engineering & Technology)
301-400 (Physical Sciences)
QS World University Ranking by subject 551-660 (Computer Science and Information Systems)

La recherche

La recherche occupe une place fondamentale dans l'activité de l'école. À l'instar des autres écoles de la famille Mines, les unités de formation et de recherche de l'EMSE, au nombre de cinq, sont des assemblages pluridisciplinaires de départements thématiques, positionnés sur des "dorsales technologiques".

Cette organisation en unités propres permet à l'École de définir sa propre stratégie de recherche, de la coupler avec la formation des ingénieurs et de travailler en mode partenarial avec l'industrie, notamment au travers de l'association ARMINES.

Au 1/1/2012, les cinq centres de formation et de recherche de l'École sont, par ordre d'ancienneté :

  • Sciences des Matériaux et des Systèmes (SMS) : matériaux, mécanique, design
  • Sciences des Processus Industriels et Naturels (SPIN) : procédés, énergie, géosciences
  • Centre de Microélectronique de Provence (CMP, à Gardanne, créé en 2003) : packaging supports souples, logistique, sécurité, bioélectronique (créé en 2009)
  • Ingénierie et Santé (CIS, créé en 2004) : biomatériaux, génie hospitalier, toxicité des nanopoudres
  • Institut Henri Fayol (performance des processus et des organisations, créé en 2010) : génie industriel, mathématiques appliquées, informatique, analyse environnementale, management, environnement et RSE

Parallèlement, les 18 départements de recherche composant les 5 centres de l'École des Mines de Saint-Étienne sont fortement engagées dans des unités mixtes de recherche : 9 sont associés dans des UMR CNRS (dont 8 dans une UMR Matériaux-Mécanique-Procédés-Énergie, le Laboratoire Georges Friedel, en propre à l'École), 4 sont en cours d'association avec des UMR extérieures, 1 département est mixte avec le Laboratoire d'électronique et de technologie de l'information du CEA, 1 département compose une équipe d'accueil avec l'Université Jean-Monnet de Saint-Étienne

L'école possède un effectif de 412,5 chercheurs (?), dont 196 doctorants, 137 enseignants chercheurs et 93 HDR[16]. Ses ressources contractuelles annuelles s'élèvent à 6 millions d'euros.

Site

L'école est composée d'un bâtiment central relié en U par deux bâtiments latéraux. Sur la façade du bâtiment principal, le balcon est soutenu par deux atlantes figurant un mineur et un métallurgiste. Le tout est surmonté d'un fronton représentant l'école qui distribue à des enfants casqués la science sous forme de livres et d'outils. Deux statues symbolisant la science et l'industrie ont été insérées dans des niches. Différents noms d’élèves, de professeurs et de directeurs marquants sont sculptés sur la façade. L’école reçut différentes extensions, en 1969, avec la construction d’un bâtiment au sud. De 1973 à 1975, d'autres ajouts sont réalisés avec la construction de la Rotonde et d’autres bâtiments.

Personnalités liées à l'école

Anciens directeurs

Anciens professeurs[17]

Anciens élèves

Parmi les anciens élèves de l'École, on trouve :

Le Prix puRkwa

Ce prix international, vise à soutenir les initiatives les plus innovantes pour assurer la promotion et le développement de l'esprit scientifique des enfants du monde entier. Il est destiné à encourager les meilleures méthodes dans le domaine général de l'enseignement des sciences, dans les programmes scolaires pour les enfants de moins de 16 ans. Il récompense des pionniers en matière d'éducation des sciences qui se sont illustrés par leur démarche d'innovation. Le Prix puRkwa était décerné, jusqu'en 2009, conjointement par l'Académie des sciences et la Fondation de l'École des Mines, chaque année à deux lauréats.

Le jury était présidé par Georges Charpak, Prix Nobel et membre de l'Académie des sciences, et composé de personnalités de haute notoriété scientifique, Prix Nobel et Académiciens français et étrangers. À la suite de la disparition de M. Charpak en 2010, le Prix a été érigé en Grand Prix de l'Académie des Sciences et est désormais organisé conjointement par cette dernière et la Fondation d'entreprise Casino. L'École n'intervient plus dans la politique d'attribution du prix, ni dans son financement.

Association des anciens élèves

L'École des Mines de Saint-Étienne était une des rares écoles à posséder trois associations d'anciens : l'une pour le cycle ICM (Mines Saint-Étienne Alumni), l'autre pour le cycle ISMIN et les anciens du cycle ISFEn (Mines Saint-Étienne Alumni Campus de Gardanne) et la troisième pour la formation ISTP (ADIIM).

Lors de l'Assemblée Générale 2017 (), Mines Saint-Étienne Alumni a décidé d'ouvrir son association à un public plus large que les ICM. Les Docteurs et ISMIN pourront donc en bénéficier. L'association des anciens élèves du site de Gardanne (Mines Saint-Étienne Alumni Campus de Gardanne) a validé cette proposition lors de sa propre Assemblée Générale. Les statuts modifiés de Mines Saint-Étienne Alumni sont en cours de validation par le ministère.

Vie associative

La vie associative active de l'école se décompose en associations gérant la vie communautaire interne et des associations plus tournées vers l'extérieur et l'humanitaire.

Uniforme

Un projet pour réhabiliter l'uniforme a été lancé par les élèves du cycle ICM en 2007. L'uniforme a alors été modernisé. Les élèves du cycle ICM ont alors pu, au choix, avoir l'uniforme. En 2009, les élèves du cycle ISMIN de l'école créé un uniforme sur la même base que celui du cycle ICM mais avec leur propre couleur[20]. en 2009. À partir de 2011, tous les élèves du cycle ICM ou quasiment, ont l'uniforme de l'école[21].

Tombé en désuétude depuis 1974, l'uniforme était pourtant un des symboles de l'école depuis sa création.

Le cycle ICM porte l'uniforme d'origine de l'école (noir et bleu ciel).

Le cycle ISMIN, bien plus récent, porte un uniforme noir et rouge.

Le cycle ISFEN, pas d'uniforme.

En plus de l'uniforme, les élèves de ces deux cycles ont la possibilité de porter une épée de cérémonie, réplique de l'ancienne épée traditionnelle de l'école.

Notes et références

  1. « Classement 2021 des écoles d'ingénieurs : faites votre classement personnalisé - L'Etudiant », sur letudiant.fr (consulté le ).
  2. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  3. (en) « École des Mines de Saint-Étienne », sur Times Higher Education (THE), (consulté le )
  4. http://mines-saint-etienne.org/docs/2014163514_dossierdepresentationbicentenaireensmseassociationicmmars14.pdf
  5. Après la création de l'Ecole des mines de Nancy en 1919, ce diplôme d'ingénieur civil des mines fut également délivré par cette 3e école des mines
  6. Anne-Françoise Garçon, Entre l'État et l'usine : L'École des Mines de Saint-Étienne au XIXe siècle, Presses universitaires de Rennes, , 377 p. (ISBN 978-2-7535-2481-1, lire en ligne)
  7. Plusieurs nouveaux bâtiments sont construits en 1973 et 1974 pour les laboratoires de métallurgie, de chimie et d'informatique.
  8. Décret no 2012-279 du 28 février 2012 relatif à l’Institut Mines-Télécom
  9. Décret no 2016-1527 du 14 novembre 2016 modifiant le décret no 2012-279 du 28 février 2012 relatif à l'Institut Mines-Télécom.
  10. « Ingénieur Civil des MINES », sur École des Mines de Saint-Étienne (consulté le )
  11. « Les partenaires internationaux », sur École des Mines de Saint-Étienne (consulté le )
  12. « Ingénieur Spécialité Microélectronique et Informatique », sur École des Mines de Saint-Étienne (consulté le ).
  13. « Ingénieur Systèmes Électroniques Embarqués - Alternance », sur ISTP France, (consulté le )
  14. « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
  15. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Daur Rankings
  16. « Recherche - École des Mines de Saint-Étienne », sur École des Mines de Saint-Étienne (consulté le ).
  17. Liste des anciens professeurs sur le site annales.org
  18. Annales X, Pierre Michel Moisson-Desroches, lire (consulté le 05/01/2010).
  19. René Samuel-Lajeunesse, « Jean-Baptiste Marsaut (1833-1914) », sur Les Annales des mines
  20. l'uniforme de l'école (en photo lors de la visite de Issoufou Mahamadou, promotion 1976, actuellement président de la république du Niger)
  21. http://www.zoomdici.fr/actualite/Sainte-Barbe-les-etudiants-des-Mines-en-uniforme-id114823.html?PHPSESSID=480623f7117287e83417f941347a9d44#

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes


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