Jean-Louis Forain
Louis Henri Forain, dit Jean-Louis Forain, Jean Forain ou Louis Forain, né à Reims le et mort à Paris le , est un peintre, illustrateur et graveur français.
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Décès |
(à 78 ans) Paris 16e |
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Nom de naissance |
Louis Henri Forain |
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Conjoint |
Jeanne Bosc (depuis ) |
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Académie des beaux-arts, commandeur de la Légion d'honneur |
Archives conservées par |
Biographie
Fils d'un peintre en bâtiment, Jean-Louis Forain s'établit à Paris vers les années 1860 et étudie la peinture et le dessin auprès de Louis Jacquesson de la Chevreuse, Jean-Baptiste Carpeaux et André Gill. Entré à l'École des beaux-arts de Paris, il a pour professeur Jean-Léon Gérôme.
Il participe à la guerre de 1870, puis devient l'ami de Paul Verlaine et d'Arthur Rimbaud. Il habite avec ce dernier dans une chambre louée par Verlaine à Paris, rue Campagne-Première, de janvier à . À cette époque on le surnomme Gavroche[2]. Il servira également de messager entre Verlaine et Rimbaud, leur permettant de se domicilier chez lui pour leurs envois de lettres aimantes ou « martyriques »[3].
Bientôt, il est un familier des salons de Nina de Callias et de la comtesse de Loynes, où il croise les écrivains Maurice Barrès, Paul Bourget, et fréquente Edgar Degas et Édouard Manet. Il commence sa carrière de peintre aux côtés des impressionnistes avec qui il participe à plusieurs expositions entre 1879 et 1886. Il est très proche de son aîné Degas, qui, évoquant ses futures funérailles, dira un jour : « Je ne veux pas de discours. Si ! Forain vous en ferez un, vous direz : il aimait le dessin[4]. » Degas, volontiers cinglant, dira aussi à propos d'une Danseuse de Forain : « Ce jeune homme vole de nos propres ailes[5]. »
Il débute comme illustrateur en 1876 dans la revue La Cravache parisienne et publie quelques caricatures dans différents journaux tels que Le Scapin en 1876, puis La Vie moderne, Le Monde parisien et La République des lettres, où il fait preuve d’une ironie pleine de verve. Découvrant le monde de l'opéra avec ses danseuses et ses abonnés, il en fait son thème de prédilection.
Jean-Louis Forain participe à quatre des huit expositions impressionnistes (1879, 1880, 1881 et 1886). Dans les années 1885 et 1886, il fréquente le café-restaurant Au Tambourin au 62, boulevard de Clichy[6].
Son tableau Le Buffet, qui montre une réception mondaine, est reçu au Salon des artistes français de 1884. Le Veuf est également accepté au Salon de 1885. À partir de 1887, Le Courrier français lance Forain en publiant régulièrement ses dessins satiriques et, en 1891, débute sa collaboration avec Le Figaro qui durera 35 ans. De nombreux journaux tels L'Écho de Paris, le New York Herald, le Journal amusant, Le Rire, Le Temps, L'Assiette au beurre, Le Gaulois se disputent également son esprit caustique. Il explique dans Le Fifre, son propre journal lancé en 1889[7], qu’il veut « conter la vie de tous les jours, montrer le ridicule de certaines douleurs, la tristesse de bien des joies, et constater rudement quelquefois par quelle hypocrite façon le Vice tend à se manifester en nous »[8].
En 1891, Forain épouse la portraitiste Jeanne Bosc.
Avec le boulangisme, le scandale de Panama, et l’affaire Dreyfus, Forain se détourne de la satire sociale et s’oriente progressivement vers la satire politique contre les « turpitudes » de la Troisième République. Il fréquente à cette époque le salon de la comtesse de Martel. Le polémiste se déchaîne dans le Psst…![9], journal anti-dreyfusard et antisémite qu’il fonde en 1898 avec Caran d'Ache et le soutien actif d'Edgar Degas et Maurice Barrès. Le guide Paris-Parisien, qui le considère en 1896 comme une « notoriété de la vie parisienne », le décrit comme un « dessinateur de grand talent qui voit les choses en laid »[10]. En 1900, il retrouve la foi catholique de son enfance et participe à plusieurs pèlerinages à Lourdes[11].
Forain fait désormais partie du Tout-Paris. Il a sa loge à l'opéra[12], sa table chez Maxim's, sa place à l'hippodrome[12] et son atelier au 30 bis, rue Spontini dans le 16e arrondissement de Paris)[13]. Il est membre de cercles sélects comme le Jockey Club et l'Automobile Club de France (ACF)[14]. Passionné de mécanique, il participe en 1901 avec sa voiturette Bertrand à l'excursion des touristes qui précède et accompagne la course de vitesse Paris-Berlin organisée par l'ACF. Une panne mécanique le contraint à abandonner[12].
Pendant la Première Guerre mondiale, il exalte le patriotisme de ses contemporains dans L’Opinion, Le Figaro et Oui avec des légendes telles que « — Pourvu qu’ils tiennent. — Qui ça ? — Les Civils », parue le [15].
Engagé volontaire en 1914, âgé de 62 ans, quand débute la Première Guerre mondiale, il intègre la Section camouflage avec d'autres artistes comme Lucien-Victor Guirand de Scevola et André Dunoyer de Segonzac[14]. Il accompagne les soldats dans les tranchées pour continuer à dessiner et à les soutenir moralement. Il est extrêmement populaire pendant ces années de guerre.
Après la guerre, durant l'hiver 1920, Forain participe avec d'autres artistes — Adolphe Willette, Francisque Poulbot, Maurice Neumont, Louis Morin, Maurice Millière, Raoul Guérin, Jules Depaquit — à la fondation de la fantaisiste République de Montmartre, et en est élu président[16]. Il est, aux côtés de Joë Bridge, Adolphe Willette, Francisque Poulbot, Maurice Neumont, etc. membre de la goguette du Cornet[17].
En 1921, par attachement à sa ville natale de Reims, il offre au musée municipal un lot important de dessins préparatoires. Certains de ses dessins de guerre sont d'ailleurs conservés au musée des Beaux-Arts de Reims.
Forain est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1923[18]. La même année, il devient président de la République de Montmartre et le restera jusqu'à la fin de sa vie. Il est membre de la Royal Academy en 1931 et promu commandeur de la Légion d'honneur[19]. Il est inhumé au cimetière du Chesnay-Rocquencourt, ville où il possédait une maison de campagne. Une note mentionne ses obsèques dans les Cahiers de Paul Valéry, à la date du .
Œuvres dans des collections publiques
Huile sur toile
- Le Salon, vers 1878, Albi, musée Toulouse-Lautrec.
- La Loge, vers 1880, 44 × 37 cm, Paris, musée Carnavalet[20].
- Les Courses, vers 1880, Moscou, musée des Beaux-Arts Pouchkine.
- Dans les Coulisses, vers 1880, 46,4 × 38,4 cm, Washington, National Gallery of Art[21].
- Dame à la cape de fourrure, vers 1880, 22 × 16,4 cm, Édimbourg, Galerie nationale d'Écosse[22].
- Femme dans une chaise-longue, vers 1880, 41 × 34 cm, Oxford, Ashmolean Museum[23].
- Portrait d'un acteur, vers 1880-1890, 41 × 34 cm, Philadelphie, Philadelphia Museum of Art[24].
- Le Pêcheur, 1884, 95 × 100 cm, Southampton, Southampton City Art Gallery (en)[25].
- Le Funambule, vers 1885, 46,2 × 38,2 cm, Chicago, Art Institute of Chicago[26].
- Le Tub, vers 1886-1887, 65,4 × 54,6 cm, Londres, Tate Britain[27].
- Danseuse, vers 1890-1895, 60,5 × 47,6 cm, Brême, Kunsthalle[28].
- Les Courses à Longchamp, vers 1891, 73,7 × 92,7 cm, Washington, National Gallery of Art[29].
- Le Ballet, 1895, 61,4 × 50,4 cm, Brême, Kunsthalle[30].
- Music-Hall, 1895-1896, 50,5 × 61 cm, Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage[31].
- Madame Forain pêchant à la ligne, 1896, 95,5 × 101 cm, Washington, National Gallery of Art[32].
- Autoportrait, 1898, 78,5 × 64 cm, Paris, Petit Palais[33].
- Dans les Coulisses, 1899, 60,5 × 73,8 cm, Chicago, Art Institute of Chicago[34].
- La Buveuse d'absinthe, fin XIXe début XXe siècle, 20,5 × 13,2 cm, Providence, Rhode Island School of Design Museum[35].
- L'Audition, vers 1900, 74,6 × 60,6 cm, Philadelphie, Philadelphia Museum of Art[36].
- Rencontre à Emmaüs, vers 1900-1910, 61 × 52 cm, Pittburgh, Carnegie Museum of Art[37].
- Assistance juridique, entre 1900 et 1912, 61 × 73 cm, Londres, National Gallery[38].
- Scène de tribunal, 1901, 55 × 74 cm, Dublin, Galerie nationale d'Irlande[39].
- Le Tribunal, 1902-1903, 60,5 × 73 cm, Londres, Tate Britain[40].
- Danseuses en coulisses, vers 1904, 87,5 × 72,8 cm, Manchester, Manchester Art Gallery[41].
- Maternité, vers 1904-1905, 65,7 × 81,4 cm, Chicago, Art Institute of Chicago[42].
- Scène de tribunal, vers 1904-1910, 61 × 73,7 cm, Providence, Rhode Island School of Design Museum[43].
- Anna de Noailles, vers 1905, 100 × 91 cm, Paris, musée Carnavalet[44].
- Danseuses en rose, vers 1905, 60,3 × 73,6 cm, Madrid, musée Thyssen-Bornemisza[45].
- Portrait de l'artiste, 1906, 73,5 × 60,5 cm, Paris, musée d'Orsay[46].
- La Pétition, 1906, 101,6 × 82 cm, Washington, National Gallery of Art[47].
- La Plaidoirie, 1907, 65 × 81 cm, Paris,musée d'Orsay[48].
- Avocat et Accusé, 1908, 65 × 81 cm, Londres, Tate Britain[49].
- La Palissade, vers 1908, Washington, National Gallery of Art[50].
- La Mère célibataire, 1909, 61 × 73,7 cm, Bristol, Bristol City Museum and Art Gallery[51].
- La Pétitionnaire, vers 1910, 61,5 × 50,5 cm, Washington, National Gallery of Art[52].
- La Borne, 1916, 50 × 65 cm, Paris, musée de l'Armée[53].
- La Maison retrouvée, 1918, 72 × 91 cm, Paris, musée d'Orsay[54].
- La Réquisition, vers 1919, 50 × 61 cm, Washington, National Gallery of Art[55].
- Le Calvaire, vers 1920, 80 × 118 cm, Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada[56].
- Artiste et Modèle, 1925, 54,4 × 65 cm, Washington, National Gallery of Art[57].
- Scène de tribunal, vers 1925, Paris, musée du Louvre.
- Le Charleston, 1926, 60,1 × 73,6 cm, Washington, National Gallery of Art[58].
- Scène dans les coulisses d'un théatre, non daté, 74 × 60 cm, Oxford, Ashmolean Museum[59].
- Le Veuf, non daté, 141 × 100 cm, Paris, musée d'Orsay[60].
- Buste d'un petit garçon au manteau rouge, non daté, 45,5 × 40 cm, Cambridge, Fitzwilliam Museum[61].
- La Salle d'attente, non daté, 60,5 × 73,5 cm, Aberdeen, Aberdeen Art Gallery (en)[62].
- Scène de tribunal, non daté, 54,5 × 65 cm, Paris, musée d'Orsay[63].
- Scène de tribunal, non daté, 61,1 × 73,4 cm, Cardiff, Musée national[64].
- Arrêt de la Cour, non daté, 60,6 × 73,3 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[65].
- Danseuse debout derrière un portant de coulisse, non daté, 46 × 61 cm, Paris, musée d'Orsay[66].
- Danseuse assise, non daté, 78,5 × 63 cm, Oxford, Ashmolean Museum[67].
- L'Atelier, non daté, 73 × 60,5 cm, Paris, musée d'Orsay[68].
- Soldat allemand au milieu d'un cimetière, non daté, 38,5 × 46 cm, Paris, musée d'Orsay[69].
Huile sur bois
- Scènes de tribunal-Le Prétoire, 1870-1880, Saint-Denis-de-la-Réunion, musée Léon-Dierx[70].
Pastel
- Portrait de J-K. Huysmans, vers 1878, Paris, musée d'Orsay[71].
- L'Orchestre, vers 1880, Chicago, Art Institute of Chicago[72].
- Femme respirant des fleurs, 1883, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en).
- Dans les Coulisses, vers 1900, Paris, Petit Palais.
- Femme à sa toilette, vers 1895-1896, Mexico, musée Soumaya.
- Paysanne en sabots de retour du marché, entre 1900 et 1930, Québec, Musée national des beaux-arts du Québec[73].
Aquarelle
- La Belle Véronique, vers 1877, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en)[74].
- Le Client, 1878, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en).
- Le Bar aux Folies-Bergère, 1878, New York, Brooklyn Museum[75].
- Entracte, Sur la Scène, 1879, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en).
- Soirée parisienne, vers 1878, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en).
- La Promenade, 1880, Brême, Kunsthalle[74].
- Dans les Coulisses, vers 1889, Budapest, musée des Beaux-Arts[76].
- Le Champ de course, 1918, Moscou, musée des Beaux-Arts Pouchkine[77].
Gouache
- L'Anglais au promenoir, vers 1879, gouache, 32 × 24 cm, Troyes, musée d'Art moderne[74].
- Intérieur de café, vers 1879, gouache et aquarelle, 32,8 × 25,5 cm, Memphis, Dixon Gallery and Gardens (en)[74]
- Le Champ de course, vers 1891, 80,5 × 114,9 cm, Washington, National Gallery of Art[78].
- La Confidence au bal, 1894, gouache sur papier brun, Paris, musée des Arts décoratifs[79].
- Le Trottin de Paris, 1894, gouache, Genève, Petit Palais.
Cartons
- Dix-sept cartons (1894) pour des panneaux de mosaïque en céramique illustrant la société parisienne et ses mœurs à la fin du XIXe siècle, réalisés par l'atelier du mosaïste Giandomenico Facchina (1826-1903) pour la façade du Café Riche, boulevard des Italiens à Paris, dont entre autres : La Confidence au bal[80], Le Crieur de journaux[81], La Cycliste, Jeune femme coiffée d'un chapeau au champ de courses, La Petite Marchande de violettes et l'étude Femme avec loup et gants noirs[82], Paris, musée des Arts décoratifs. À la même commande appartiennent Le Trottin, L'Enceinte du pesage ou Les Élégantes aux courses (collection particulière) et L'Artiste en villégiature[83].
- Le Bar aux Folies-Bergère (1878), New York, Brooklyn Museum.
- Le salon (1878), Albi, musée Toulouse-Lautrec.
- L'Acrobate (vers 1880), Chicago, Art Institute of Chicago.
- Bal à l'Opéra de Paris (vers 1880), Moscou, musée des beaux-arts Pouchkine.
- Le Veuf (1882-1885), Paris, musée d'Orsay.
- Les Courses (1888-1890), Moscou, musée des beaux-arts Pouchkine.
- Femme à sa toilette (vers 1895-1896), Mexico, musée Soumaya.
- Music-Hall (1895–1896), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage.
- Madame Forain pêchant à la ligne (1896), Washington, National Gallery of Art.
- Scène de tribunal (1907), Paris, musée d'Orsay.
- Scène de tribunal (vers 1925) Paris, musée du Louvre.
Salons
- Salon des artistes français :
- 1884 : Le Buffet.
- 1885 : Le Veuf.
- 1930 : Autoportrait.
Expositions
- 1879-1886 : 4e, 5e, 6e et 8e Expositions impressionnistes à Paris en 1879,1880,1881 et 1886.
- 1913 : exposition monographique à Paris au musée des Arts décoratifs.
- 1945 : Exposition Forain 1852-1931, Salon de la Société nationale des beaux-arts, Paris, palais de Tokyo.
- 1952 : exposition pour le centenaire de Jean-Louis Forain, Paris, Bibliothèque nationale de France, de juin à .
- 1978 : Jean-Louis Forain, Paris, musée Marmottan, de mai à .
- 2003 : Jean-Louis Forain, Avignon, musée Angladon ; puis aux Baux-de-Provence musée Yves Brayer.
- 2008 : The Dancer: Degas, Forain and Toulouse-Lautrec, Portland Art Museum.
- 2011 : La Comédie parisienne, rétrospective, Paris, Petit Palais, du au .
Notes et références
- « https://agorha.inha.fr/inhaprod/ark:/54721/0056535 » (consulté le )
- « Trois dessins de Rimbaud par Forain ».
- Jean-Jacques Lefrère, Arthur Rimbaud, Fayard, 2001, pp. 253, 441, 465 et 466.
- Leila Jarbouai et Marine Kisiel (dir.), Degas Danse Dessin. Hommage à Degas avec Paul Valéry, Paris, Gallimard, , 255 p. (ISBN 978-2-07-275197-4), p. 227.
- Pierre Mouliet, « Les petits Salons. Le Salon des Indépendants (1903) », Notes d'art et d'archéologie. Revue de la Société de Saint-Jean, quinzième année, Paris, Lyon, Emmanuel Vitte éd., 1903, p. 90 (en ligne sur archive.org).
- La Gazette de Montmartre, no 55, , p. 26.
- Quinze numéros du au .
- J.-L. Forain, « Bienvenue », Le Fifre, no 1, .
- « Psst…! ».
- Paris-Parisien, Ollendorff, 1896-1902 (lire en ligne), p. 277.
- Janine Chagnaud-Forain, Yves Brayer, Claude Richebé, Forain, catalogue de l’exposition au Musée Marmottan (mai-juin 1878), Paris, Éditions Steff 1978, Pairs, Ed.Reff, .
- [PDF] « Jean-Louis Forain, l’impressionniste dissous dans l’acide ».
- Marie-Aude Bonniel, « Une salle en délire pour la première collection d'Yves Saint Laurent », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Biographie Jean-Louis Forain ».
- « a-fleur-au-fusil-14-18-en-chansons/le-scandale-forain_1764291.html », sur France info.
- Florence Valdes-Forain, Mathilde Legendre, Jeanne Forain, Portraits d'une époque, Pont-Audemer, Éd. Musée Alfred Canel, , 84 p. (ISBN 978-2-918923-14-5).
- « Le Déjeuner Maurice Neumont », Le Cornet, , p. 5 (lire en ligne).
- « Jean-Louis Forain (1852-1931) data BNF ».
- « Dossier dans l'ordre de la Légion d'honneur de Louis Henri Forain », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « La Loge ».
- « Behind the Scenes ».
- « A Lady in a Fur Cape ».
- « Woman on a Chaise-longue ».
- « Portrait of an Actor ».
- « The Fisherman ».
- « Tight-Rope Walker ».
- « The Tub ».
- « Tänzerin ».
- « The Races at Longchamp ».
- « Das Ballett ».
- « Music-Hall ».
- « The Artist's Wife Fishing ».
- « Autoportrait ».
- « In the Wings ».
- « The Absinthe Drinker ».
- « The Hearing ».
- « Meeting at Emmaus ».
- « Legal Assistance ».
- « A Court Scene ».
- « The Tribunal ».
- « Dancers in the Wings ».
- « Maternity ».
- « Courtroom Scene ».
- « Portrait de la comtesse Anna de Noailles, née Brancovan (1876-1933), poétesse ».
- « Bailarinas en rosa ».
- « Portrait de l'artiste ».
- « The Petition ».
- « La plaidoirie ».
- « Avocat et Accusé ».
- « The Stockade ».
- « The Unwed Mother ».
- « The Petitioner ».
- RMN, « La Borne » (consulté le ).
- « La maison retrouvée ».
- « The Requisition ».
- « Le calvaire ».
- « Artist and Model ».
- « The Charleston ».
- « Scene in the Wings of a Theatre ».
- « Le Veuf ».
- « Bust of a Small Boy in a Red Coat ».
- « La salle d'attente ».
- « Scène de tribunal ».
- « Scene de Tribunal ».
- « Recess of the Court ».
- « Danseuse debout derrière un portant de coulisse ».
- « Seated Dancer ».
- « L'atelier ».
- « Soldat allemand au milieu d'un cimetière ».
- IHOI, « Scènes de tribunal - Le Prétoire » (consulté le ).
- « Joris-Karl Huysmans ».
- « The Orchestra ».
- « Paysanne en sabots de retour du marché | Collection MNBAQ », sur collections.mnbaq.org (consulté le ).
- .Jean-Louis Forain (1852-1931) "La Comédie humaine", Paris-musées, .
- « Le Bar aux Folies-Bergère ».
- « Behind the Scenes ».
- « The race course ».
- « The Race Track ».
- « La confidence au bal ».
- La Confidence au bal, peinture à la gouache, sur papier brun marouflé sur toile et tendu sur châssis, Inv. 2918.B, musée des Arts décoratifs, Paris (notice en ligne).
- Le Crieur de journaux, peinture à la gouache, sur papier jaune marouflé sur toile et tendu sur châssis, Inv. 18505, musée des Arts décoratifs, Paris (notice en ligne).
- Femme avec loup et gants noirs, peinture à la gouache, sur papier marouflé sur toile et tendu sur châssis, Inv. 19076, musée des Arts décoratifs, Paris (notice en ligne.
- Delphine Christophe, Georgina Letourmy, Paris et ses cafés, Action artistique de la Ville de Paris, 2004, p. 148.
Annexes
Bibliographie
- Les Maîtres Humoristes. J.-L. Forain, Société d'Édition et de Publications, Paris, Librairie Félix Juven, 1908.
- Les Maîtres Humoristes. J.-L. Forain, Deuxième Album, Société d'Édition et de Publications, Paris, Librairie Félix Juven, 1908.
- Gustave Geffroy, « Forain », L'Art et les Artistes, no 21, Paris, .
- Charles Kunstler, Forain, Paris, F. Rieder & Cie, , 63 p.
- Léandre Vaillat, En écoutant Forain, Flammarion, , 257 p.
- J.-L. Forain, peintre, dessinateur et graveur : exposition organisée pour le centenaire de sa naissance, Bibliothèque nationale, juin-septembre 1952, Paris, Bibliothèque nationale, , 45 p.
- Jean-François Bory, Forain, Paris, H. Veyrier, , 126 p. (ISBN 2-85199-197-3).
- (en) Alicia Craig Faxon, Jean-Louis Forain : a catalogue raisonné of the prints, New York, Garland Pub., , 297 p. (ISBN 0-8240-9343-7).
- (en) Alicia Craig Faxon, Jean-Louis Forain : artist, realist, humanist : organized and circulated by the International Exhibitions Foundation, Washington, D.C., 1982-1983, Washington, D.C., The Foundation, , 60 p. (ISBN 0-88397-042-2).
- Jean-Louis Forain : chroniqueur - illustrateur de guerre, 1914-1919 : catalogue édité à l'occasion de l'exposition organisée par la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, Musée des deux guerres mondiales, janvier-juillet 1986, , 82 p..
- Cécile Coutin, Jean-Louis Forain et la guerre de 1914-1918, Université de Paris 4, (thèse de doctorat).
- Cécile Coutin, Pourvu qu'ils tiennent… les français!, Paris, , 22 p. (ISBN 2-88453-010-X).
- Galerie Hopkins-Thomas, Jean-Louis Forain : les années impressionnistes, Lausanne, Bibliothèque des arts, , 170 p. (ISBN 2-88453-010-X).
- André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre : peintres, sculpteurs, graveurs, dessinateurs, illustrateurs, plasticiens aux XIXe & XXe siècles, Montmartre, Editions A. Roussard, , 640 p. (ISBN 978-2-9513601-0-5, OCLC 501018504), p. 237-238.
- (en) Jean-Louis Forain, 1852-1931 : catalogue d'exposition, 8 avril - 28 septembre 2003, Musée Angladon, Avignon, Musée Yves Brayer, Les Baux-de-Provence, Avignon/Les Baux-de-Provence, Fondation Angladon-Dubrujeaud / Musée Yves Brayer, , 80 p. (ISBN 2-9510540-1-7).
- Florence Valdes-Forain, Jean-Louis Forain, la Comédie Parisienne, Paris, Petit Palais, , 255 p. (ISBN 978-2-7596-0155-4).
- (en) Florence Valdes-Forain., Jean-Louis Forain, la Comédie Parisienne, Memphis, Tennessee, U.S.A., The Dixon Gallery and Gardens, , 255 p. (ISBN 978-2-7596-0155-4).
- Jean-Louis Forain (préf. Frédéric Chaleil), Traits et portraits, Paris, Éditions de Paris, , 132 p. (ISBN 978-2846211437)
Liens externes
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- WorldCat
- http://jeanlouisforain.com/
- « Estampes de Jean-Louis Forain », sur INHA (consulté le ).
- « Exposition La Comédie Parisienne ».
- France info, La fleur au fusil : 14-18 en chansons, Le scandale Forain
- « Généalogie »
- (en) « Jean-Louis Forain », sur Artcyclopedia.
- (en) « Peintures de Forain à la National Gallery of Art de Washington ».
- (en) « Dessins et caricatures de Forain ».
- (de) « Le Fifre - La version numérisée du journal de Forain ».
- (de) « Illustrations de Forain pour Le Fifre et Le Rire », sur la base de données HeidICON.
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