Jouqueviel

Jouqueviel (en occitan Jocavièlh) est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, un territoire s'étendant sur les départements du Tarn et de l'Aveyron, constitué de longs plateaux schisteux, morcelés d'étroites vallées.

Jouqueviel

Mairie de Jouqueviel au lieu-dit le Tel.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes Carmausin-Ségala
Maire
Mandat
Nelly Leblond
2020-2026
Code postal 81190
Code commune 81110
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2019 )
Densité 7,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 09″ nord, 2° 08′ 20″ est
Altitude 500 m
Min. 196 m
Max. 531 m
Superficie 12,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Carmaux-1 Le Ségala
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Jouqueviel
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Jouqueviel
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Jouqueviel
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Jouqueviel
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Viaur, le ruisseau de Lizert et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Jouqueviel est une commune rurale qui compte 96 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 698 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Jouqueviélois ou Jouqueviéloises.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Massif central. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Viaur, le ruisseau de Lizert, le ruisseau de la Cave, le ruisseau de Lauzentou, le ruisseau de Sauzet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    Le Viaur, d'une longueur totale de 168 km, prend sa source dans la commune de Vézins-de-Lévézou et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Laguépie, après avoir traversé 30 communes[4].

    Réseaux hydrographique et routier de Jouqueviel.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 006 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monteils », sur la commune de Monteils, mise en service en 1998[10]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 854,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 30 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[14] à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[17], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19] : la « basse vallée du Viaur » (3 509 ha), couvrant 11 communes dont cinq dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[20], et la « rivière du Viaur » (698 ha), couvrant 18 communes dont 14 dans l'Aveyron et quatre dans le Tarn[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] : la « vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), couvrant 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, dix dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Jouqueviel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,9 %), prairies (34 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), terres arables (2,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    • Sous l'ancien Régime, le village était sous la protection d'un château, pillé à partir du lors de la vague d'attaques de châteaux dans le Rouergue.
    • Au lieu-dit le Tel, le dimanche , un violent combat opposa la 4 214e compagnie FTP-MOI (francs-tireurs et partisans, Main-d'œuvre immigrée) - composée d'une majorité de Polonais sous l'autorité de Roman Pietrowski[26] - à un détachement de soldats allemands venus de Carmaux pour anéantir ceux qu'ils nommaient les « terroristes polonais », se saisir des déserteurs géorgiens et récupérer plusieurs officiers et sous-officiers prisonniers du maquis. À l'issue de la bataille, qui dura plusieurs heures, on devait déplorer le massacre de 8 civils et de 21 partisans[27].

    Héraldique

    Son blasonnement est : De sinople embrassé à senestre d'or.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1931 1935 Julien Garric SFIO  
    1943 mars 1971 Moïse Lacroix    
    mars 1971 mars 1977 Guy César    
    mars 1977 mars 2001 Roger Marty    
    mars 2001 décembre 2020 Monique Caste-Debar    
    décembre 2020 En cours Nelly Leblond[28]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30]. En 2019, la commune comptait 96 habitants[Note 8], en diminution de 5,88 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    560421563547551608608645650
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    676698695646640653636570545
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    506524458371331319328287235
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2341921581471191059710296
    2019 - - - - - - - -
    96--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]3,7 %6 %18,2 %
    Département[I 5]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 44 personnes, parmi lesquelles on compte 68,2 % d'actifs (50 % ayant un emploi et 18,2 % de chômeurs) et 31,8 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 23, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37,3 %[I 8].

    Sur ces 23 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 65,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 17,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    9 établissements[Note 10] sont implantés à Jouqueviel au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 9 entreprises implantées à Jouqueviel), contre 13,8 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations261497
    SAU[Note 11] (ha)439373205245

    La commune est dans le Segala, une petite région agricole située dans le nord-est du département du Tarn. C’est la relative pauvreté du sol de cette région où ne poussait jadis que le seigle qui a donné son nom à cette aire géographique. Situé en moyenne altitude, le Ségala s’étend sur des territoires vallonnés et riches en schiste.[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 245 ha[35],[Carte 5],[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1978[36]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[36].

    Située sur une pente du Viaur, l'église construite en schiste grossier et sans ouvertures « faisait partie dès le XIIe siècle du système de défense du lieu », rappelle Jean Roques dans son Guide du Tarn (Éditions de la Revue du Tarn, 1973).

    Le portail gothique date du XIVe siècle. Au maître-autel, statue de la Vierge à l'Enfant du XIIIe siècle.

    L'église des Infournats.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Jouqueviel » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    Notes de type "Carte"

      Site de l'Insee

      1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
      2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
      3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
      4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Jouqueviel » (consulté le ).
      5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
      6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
      7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
      8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Jouqueviel » (consulté le ).
      9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
      10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
      11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Jouqueviel » (consulté le ).
      12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

      Autres sources

      1. Carte IGN sous Géoportail
      2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
      3. « Fiche communale de Jouqueviel », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
      4. Sandre, « le Viaur »
      5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      10. « Station météofrance Monteils - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      11. « Orthodromie entre Jouqueviel et Monteils », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station météofrance Monteils - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      13. « Orthodromie entre Jouqueviel et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
      14. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
      17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Jouqueviel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      18. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Jouqueviel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      20. « ZNIEFF la « basse vallée du Viaur » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      21. « ZNIEFF la « rivière du Viaur » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      22. « ZNIEFF la « vallée du Viaur et ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      26. Jean-Pierre Przybylski, La Résistance polonaise dans le Tarn, (ISBN 978-2-7466-8707-3).
      27. Raymond Fournier, Terre de combat - Récits sur la Résistance, réédition ANACR Tarn - Aveyron, 1999
      28. Site de l'Association des maires du Tarn
      29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      34. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
      35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Jouqueviel - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      36. « Eglise Notre-Dame des Infournats », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

      Voir aussi

      Articles connexes

      Lien externe

      • Portail du Tarn
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