Juillac-le-Coq

Juillac-le-Coq est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Juillac et Le Coq (homonymie).

Juillac-le-Coq

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Brice Dezemerie
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16171
Démographie
Gentilé Juillacais
Population
municipale
651 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 24″ nord, 0° 15′ 35″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 132 m
Superficie 14,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Juillac-le-Coq
Géolocalisation sur la carte : France
Juillac-le-Coq
Géolocalisation sur la carte : Charente
Juillac-le-Coq
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Juillac-le-Coq

    Ses habitants sont les Juillacais et les Juillacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Juillac-le-Coq est une commune située à l'ouest du département de la Charente, proche de la Charente-Maritime.

    Le bourg de Juillac-le-Coq est situé à km au sud-ouest de Segonzac, 13 km au sud-est de Cognac et 33 km à l'ouest d'Angoulême. Il est aussi à km d'Archiac et 16 km de Barbezieux[2].

    Le bourg de Juillac-le-Coq est situé sur la D 736 entre Jarnac et Saint-Fort-sur-le-Né par Segonzac, qui rejoint à Saint-Fort la D 731 reliant Cognac à Barbezieux[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Les principaux hameaux de la commune sont : Boucqueville, sur la route de Roissac; les Gabloteaux; le Foucaudat, près du bourg ; l'Échalotte, dans l'ouest de la commune, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé avec cuestas.

    La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et qu'on appelle la Champagne. La commune est limitée au nord par une cuesta regardant vers le nord. Une petite zone d'argile sableuse datant du Tertiaire occupe le sommet du plateau au sud-est, au Terrier du Coq[4],[5],[6].

    Située au centre de la Grande Champagne, la commune de Juillac-le-Coq est comprise dans sa partie la plus accidentée et, dans le sud de la commune, on trouve une des collines les plus élevées de la contrée.

    C'est le Terrier du Coq, mamelon haut de 132 m et point culminant de la commune, que l'on remarque par sa situation isolée, ainsi que par les bois qui en couvrent le sommet. Du haut de ce belvédère, la vue s'étend au loin sur la vallée du , et, au-delà, sur une grande partie de la Petite Champagne d'Archiac et de Barbezieux.

    Le point le plus bas de la commune est à 26 m, situé en limite nord-ouest près d'Angeac. Le bourg est à environ 55 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Juillac-le-Coq.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de la Motte et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le ruisseau de la Motte, minuscule affluent du donc sous-affluent de la Charente, fait la limite nord-est de la commune. Aucun autre cours d'eau traverse la commune. En revanche, on trouve de nombreuses sources, comme la Font du Peu à l'est du bourg, la Font Petite au sud, ou la source du Coq au sud-est[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Juillac-le-Coq est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (72,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,4 %), terres arables (2,4 %), zones urbanisées (2 %), forêts (1,8 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Julliaco en 1095, aecclesia Juliaci en 1110, Jullac en 1157, Julac en 1162[17].

    L'origine du nom de Juillac remonterait à l'anthroponyme romain Julius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Juliacum, « domaine de Julius »[18],[Note 3].

    Talbert avance que Lecoq a été le nom d'un propriétaire, ajouté à Juillac pour le distinguer de Petit Juillac (commune de Saint-Martial-sur-Né, Charente-Maritime)[19]. Au XVIIIe siècle, la paroisse est cartographiée Juillac le Cocq[20],[Note 4].

    Histoire

    La présence d'un fossé circulaire protohistorique au lieu-dit Saint-Pierre et d'un camp néolithique près du hameau des Matignons montrent l'ancienneté de l'occupation du lieu[21]. La découverte des camps préhistoriques des Matignons a donné son nom à la culture des Matignons.

    Juillac-le-Coq était une dépendance de la châtellenie de Bouteville et appartenait par conséquent aux comtes d'Angoulême.

    Vers 1147, Guillaume VI Taillefer engage la seigneurie de Juillac au chapitre de la cathédrale d'Angoulême pour réunir l'argent de l'expédition pour accompagner Louis VII à la Croisade. Mais, à son retour, il ne peut pas récupérer ses biens ni ses droits de haute, moyenne et basse justice.

    Le par un accord entre les chanoines et le comte Hugues de Lusignan les habitants de la paroisse sont exemptés de tous services, bans, corvées, guet, garde et réparations du château de Bouteville. Ces privilèges furent confirmés par deux fois par le comte Jean d'Angoulême.

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Cognac à Barbezieux, appelée le Petit Mairat[22].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Pascale Ragonneau    
    2008 2014 Roger Livet   Chef de culture retraité
    2014 2020 Jean-Marie Nouveau   Électricien retraité
    2020 En cours Brice Dezemerie   Gérant de société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2019, la commune comptait 651 habitants[Note 5], en diminution de 2,4 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    707820791914897893906921952
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    972956940887727644603612682
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    713760755739781775684785786
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    748673637684654657663668652
    2019 - - - - - - - -
    651--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 337 hommes pour 313 femmes, soit un taux de 51,85 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90 ou +
    2,9 
    7,4 
    75-89 ans
    8,3 
    20,4 
    60-74 ans
    23,2 
    21,6 
    45-59 ans
    24,2 
    16,9 
    30-44 ans
    15,9 
    15,1 
    15-29 ans
    9,2 
    17,5 
    0-14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Le multiple rural.

    La viticulture est la principale ressource de Juillac-le-Coq. Cette commune agricole située en zone de Grande Champagne[29], premier cru classé du cognac, comporte deux importantes distilleries, dont la distillerie du Peu des établissements Hennessy ainsi qu'une imprimerie dont l'activité principale est le packaging.

    Les commerces sont une boulangerie et un bar-tabac-épicerie, les artisans une coiffeuse, un peintre et un plombier-chauffagiste.

    Le Logis du Frêne est un hôtel de charme.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Juillac possède une école primaire publique comprenant quatre classes, dont une de maternelle. Le secteur du collège est Segonzac[30].

    Santé

    Il y a une infirmière.

    Sports

    Mollets juillacais.

    Les clubs et associations sont nombreux : pétanque, Société de chasse, Essor juillacais, Mollets juillacais, Bécanes juillacaises.

    Culture et vie locale

    Le club de l'Amitié et le Théâtre de Juillac le Coq animent la commune.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin

    L'église paroissiale Saint-Martin était une vicairie perpétuelle unie au chapitre de la cathédrale d'Angoulême depuis le début du IXe siècle. La construction du bâtiment actuel date des XIIe et XIVe siècles. La nef et les collatéraux sont au moins des premières années du XIe siècle ; les murs qui séparent les nefs sont percés de grandes arcades reposant sur des pieds droits. Aucun pilastre ne supportait les voûtes, qui faisaient défaut et qui étaient remplacées, au-dessus des fenêtres de la nef, par un riche plafond en charpenterie.

    Le sanctuaire est postérieur, ainsi que les chapelles du transept. Le clocher est à deux étages ; l'étage supérieur est du XVIe siècle. Il renferme une superbe sonnerie de trois cloches. L'édifice aurait été ruiné en 1568 et restauré en 1595, 1597, 1655, 1679 et 1714. On lui a ajouté une sacristie en 1740. Il a subi de nouvelles restaurations en 1844, sous la direction de l'architecte Peronnaud, puis en 1862 et 1878[31].

    Elle est à plan allongé à trois vaisseaux à voûte en berceau avec voûte d'ogives et coupole à trompes et clocher carré de deux étages. À l'intérieur, on peut admirer de beaux fonts baptismaux, recouverts de cuivre et de laiton.

    Elle est inscrite monument historique depuis le [32].

    Calvaire et croix

    Six croix de chemin et de cimetière sont réparties sur la commune dont celle de l'église, calvaire dont la construction date du XIIe et XVIe siècles inscrite monument historique depuis 1991[33].

    Ancien temple

    Ancien temple

    Un ancien temple protestant est situé au bourg. Il est aménagé en maison d'habitation.

    Le château

    L'entrée du château

    Au château de Juillac-le-Coq des travaux ont eu lieu en 1594 puis tout au long du XVIIe siècle. Le portail, avec grande et petite porte en plein cintre, et sur les mâchicoulis une murette avec rangée de pinacles baroques ornés de rosaces. La tourelle polygonale couverte d'un toit à pans attenante et la grange semblent dater du XVIe siècle. La tour servait alors de prison. Le logis a été très remanié au XIXe siècle[34].

    Château de Beauregard

    Entrée du château de Beauregard

    Le Château de Beauregard du XVIIIe siècle (daté de 1723 sur les écuries et de 1761 sur la porte nord du logis) remarquable par cheminées et les terrasses avec leurs balustres et leurs emmarchements est inscrit par arrêté du [35].

    Logis du Frêne

    Logis du Frêne, construit à flanc de coteau porte la date de 1589 inscrite près de l'oriel qui orne la façade du logis. Le portail et les tours de l'enceinte semblent bien dater eux aussi de la fin du XVIe siècle; ancienne possession des familles de Verdelin et de Brémond d'Ars[36].

    Il est aménagé en hôtel de charme.

    Autres

    Le patrimoine bâti comporte de nombreuses fermes, dont une du XVIIe siècle, quatre du XVIIIe siècle et deux du début du XIXe siècle, un pigeonnier, des puits, une fontaine et un lavoir au Coq et un moulin.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Voir aussi Juillaguet, qui signifie « le petit Juillac », et Juillé, dans le même département. Les autres communes françaises qui ont cette même étymologie sont : Juillac (Corrèze), Juillac (Gers), Juillac (Gironde), Juillé (Sarthe), Juillé (Deux-Sèvres), Juilley (Manche), Juilly (Côte-d'Or), Juilly (Seine-et-Marne), Jullié (Rhône), Jully (Yonne), Jully-lès-Buxy (Saône-et-Loire), Jully-sur-Sarce (Aube) (réf: Dauzat).
    4. Voir aussi Montignac-le-Coq (Montignac le Cocq au XVIIIe siècle), au sud du département.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Juillac-le-Coq » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Juillac-le-Coq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 127,172,180,175
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 371.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Carte de Cassini, visualisable sous Géoportail
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 203
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 205
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Juillac-le-Coq (16171) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    29. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    30. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    31. « Église de Juillac (notice) », notice no IA00042153, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. « Église de Juillac », notice no PA00104565, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Calvaire », notice no PA00104565, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Château de Juillac-le-Coq », notice no IA00042157, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Château de Beauregard », notice no IA00042165, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Logis du Frêne », notice no IA00042175, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 176

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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