Léobard
Léobard est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Pour l’article homonyme, voir Léobard (homonymie).
Léobard | |
L'église de l'Abbaye Nouvelle | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Cazals-Salviac |
Maire Mandat |
André Vayssières 2020-2026 |
Code postal | 46300 |
Code commune | 46169 |
Démographie | |
Population municipale |
206 hab. (2019 ) |
Densité | 20 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 43′ 23″ nord, 1° 18′ 39″ est |
Altitude | Min. 130 m Max. 263 m |
Superficie | 10,30 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Gourdon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gourdon |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Céou et par un autre cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Léobard est une commune rurale qui compte 206 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 348 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon. Ses habitants sont appelés les Léobardois ou Léobardoises.
Géographie
Léobard est située à l'ouest de Gourdon, sur une petite hauteur dominant par le nord la vallée du Céou (affluent de la Dordogne).
L'Abbaye, ou l'Abbaye-Nouvelle est un hameau (et ancienne commune indépendante) implantée au sud, sur la rive opposée du Céou.
Communes limitrophes
Léobard est limitrophe de six autres communes, dont deux dans le département de la Dordogne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[6] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[8], à 12,7 °C pour 1981-2010[9], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[10].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[13],[14].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[15] : les « bois et pelouses sèches des collines d'Albecassagne » (643 ha), couvrant 3 communes du département[16] et le « boisement des Vitarelles » (57 ha), couvrant 3 communes dont une dans la Dordogne et deux dans le Lot[17].
Urbanisme
Typologie
Léobard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), zones agricoles hétérogènes (39,3 %), prairies (3,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Léobard est basé sur un anthroponyme germanique formé à partir de leud le peuple et bald audacieux[21].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2019, la commune comptait 206 habitants[Note 7], en diminution de 6,36 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 95 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 202 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 980 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 3,2 % | 12,1 % | 9,8 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 120 personnes, parmi lesquelles on compte 76,4 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 23,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gourdon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 81, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,4 %[I 10].
Sur ces 81 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
14 établissements[Note 10] sont implantés à Léobard au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,4 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 14 entreprises implantées à Léobard), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la « Bourianne », une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 23 | 25 | 21 | 12 |
SAU[Note 12] (ha) | 383 | 460 | 493 | 447 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 25 en 2000 puis à 21 en 2010[29] et enfin à 12 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[30],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 383 ha en 1988 à 447 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 37 ha[29].
Culture locale et patrimoine
Abbaye nouvelle de Léobard
L'Abbaye nouvelle[31] : magnifique abbaye cistercienne ruinée du XIIIe siècle. En 1242, Guillaume de Gourdon légua à l'abbaye d'Obazine des possessions qu'il avait dans la seigneurie de Salviac. Cette donation avait peut-être pour but de faire oublier des accusations de catharisme portées contre lui. L'abbaye a été construite sur un monticule calcaire, le Pech-Gisbert, dominant la Céou. Elle est construite entre 1260 et 1287. L'église est de style gothique simple : une nef unique sans transept de cinq travées, ayant une longueur à l'origine de 45 mètres. Elle était construite sur une salle basse voûtée qui servait de cellier.
On constate que la structure de l'église est assez semblable à celle de l'église des Cordeliers à Gourdon terminée en 1285.
La guerre de Cent Ans va conduire à l'abandon de l'abbaye par les moines. Ils reviennent au XVe siècle et entament des réparations sur l'église et les bâtiments conventuels.
Les moines quittent l'abbaye et l'église est sécularisée en 1650 et sert d'église paroissiale. Elle est alors réduite à deux travées et est percée d'un portail classique en 1669.
À la Révolution, l'abbaye et ses biens sont vendus comme bien national, sauf l'église. Les bâtiments conventuels vont servir de carrière de pierre.
Les bâtiments sont partiellement restaurés au XIXe siècle. L'église est inscrite au titre des Monuments historiques en 1926. En 1978 est créée l'Association de sauvegarde de l'Abbaye Nouvelle. Des campagnes de restauration sont alors entreprises. L’Association organise des manifestations culturelles dans l'église. L'abbaye est propriété de la commune de Léobard et elle est classée monument historique en 1991[32].
Église Sainte-Madeleine de Léobard
L'église Sainte-Madeleine se trouve dans le bourg de Léobard. L'église d'origine romane porte les traces de ses nombreuses modifications au cours du temps[33],[34]. Des fenêtres ont été décorées de vitraux réalisés par l'atelier Creunier en 2007[35].
À côté de l'église, on peut voir une demeure bourgeoise construite à l'emplacement de l'ancien château qui appartenait à la famille des Junies. Le château a été dépecé par le conventionnel Jean Guillaume Taillefer au début de la Révolution. Il en subsiste une fenêtre à meneaux utilisée en remploi dans l'école.
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[36]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[36].
L'Abbaye-Nouvelle : vestiges de bâtiments conventuels et de l'église L'Abbaye-Nouvelle : vestiges de l'église Fenêtre à meneaux de l'ancien château L'église Sainte-Madeleine de Léobard Chœur de l'église Sainte-Madeleine de Léobard Vitrail de sainte Madeleine du XIXe siècle
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Léobard » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Léobard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Léobard » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Léobard » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Léobard et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
- « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF le « boisement des Vitarelles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 115.
- « Les maires de Léobard », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Léobard - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
- Quercy tourisme : Pays de Salviac - L'Abbaye Nouvelle
- « Abbaye Nouvelle », notice no PA00095134, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Office de tourisme de Cazals Salviac : Léobard
- Sous la direction de Nicolas Bru, Archives de pierre. Les églises du Moyen Âge dans le Lot, p. 226, SilvanaEditoriale, Milan, 2012 (ISBN 978-8-836621-04-0).
- Atelier Creunier : vitrail figuratif "Roses"
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA46101324, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 juin 2021.
Voir aussi
Bibliographie
- Colette Chantraine, La Bouriane, p. 52-52, Les éditions du Laquet, Martel, 1996 (ISBN 978-2-910333-17-1)
Article connexe
Lien externe
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