La Plaine-sur-Mer
La Plaine-sur-Mer est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
La Plaine-sur-Mer | |||||
Pêcheries à Port Giraud. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Saint-Nazaire | ||||
Intercommunalité | Pornic Agglo Pays de Retz | ||||
Maire Mandat |
Séverine Marchand 2020-2026 |
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Code postal | 44770 | ||||
Code commune | 44126 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plainais | ||||
Population municipale |
4 379 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 267 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 08′ 17″ nord, 2° 11′ 30″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 38 m |
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Superficie | 16,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Unité urbaine | Saint-Nazaire (banlieue) |
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Aire d'attraction | Pornic (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pornic | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.laplainesurmer.fr/ | ||||
Les habitants, qui s'appellent les Plainais, étaient 4 018 au recensement de 2014. La commune comprend les villages du Cormier et de Port-Giraud.
Géographie
Localisation
Océan Atlantique | Estuaire de la Loire | Saint-Michel-Chef-Chef | ||
Océan Atlantique | N | Pornic | ||
O La Plaine-sur-Mer E | ||||
S | ||||
Préfailles | Préfailles | Pornic |
La commune faisait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.
La Plaine-sur-Mer est située à l'ouest du département de la Loire-Atlantique, dans son quadrant sud-ouest, à 25 km au sud de Saint-Nazaire.
La commune occupe les trois quarts nord de la presqu'île de Saint-Gildas située à l'extrémité occidentale du pays de Retz (la Côte de Jade) et se terminant par la pointe Saint-Gildas.
Les communes limitrophes sont Saint-Michel-Chef-Chef (quartier de Tharon-Plage) au nord, Pornic (quartier de Sainte-Marie-sur-Mer) à l'est et Préfailles au sud.
Hydrographie, relief et paysages
La commune est parcourue par un seul petit cours d'eau : le ruisseau de la Tabardière. Il existe également quelques zones humides très réduites au lieu-dit Le Marais, à la Prée.
Le relief est relativement plat (altitude moyenne de 5 mètres) ; les points les plus élevés du territoire se situent aux lieux-dits de Chantepie et de la Renaudière.
Littoral
La côte orientée nord à nord-ouest, d'une longueur de 7 km, est relativement plate et présente une succession d'anses et de plages séparées par des pointes rocheuses.
Toutefois, d'est en ouest, le littoral ne présente pas le même aspect : au Cormier, l'estran est très étendu et majoritairement sablonneux, un site propice à la pêche à pied de coquillages fouisseurs (bucardes, etc.). S'enchaînent ensuite zones rocheuses et sablonneuses jusqu'à la Tara, où la taille de l'estran se fait plus modeste. Des plateaux rocheux s'ensuivent à l'est jusqu'aux récifs de l'Îlot, à la Prée.
Avant d'être massivement urbanisée, la frange littorale était bordée de dunes, de prés côtiers et de quelques courtes falaises. Quelques reliefs dunaires subsistent entre la Gravette et la Tara.
Le littoral plainais forme une partie de la limite sud de la baie de l'estuaire de la Loire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pornic », sur la commune de Pornic, mise en service en 1919[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 738,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
La Plaine-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[17] et 184 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pornic dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,4 %), terres arables (28,4 %), zones urbanisées (26,1 %), prairies (2,9 %), zones humides côtières (0,2 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme La Pleine en 1287[27].
Le nom de La Plaine-sur-Mer, autrefois nommée La Plaine, viendrait :
- soit du latin plana : “plaine”, “pays plat” ;
- soit de l’ancien terme palaine : “terre de peu de valeur”.
La Plaine possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : La Plaènn (écriture ELG)[28].
Plaen-Raez en breton[27].
Histoire
Préhistoire, Antiquité
Quelques vestiges attestent d'une présence humaine sur le site assez ancienne :
- stations de silex du Néolithique ;
- Menhir de l'Ennerie, à la Piraudière (Néolithique) et vestiges du Dolmen du Moulin de la Guerche ;
- trois habitats de l'âge du bronze ;
- quelques habitats gaulois et leurs fours à sel. Fours à « gros piliers » des VIIIe et VIe siècles av. J.-C. (sites de la Govogne et des Raguennes) ; fours « allongés » du VIe et IVe siècles av. J.-C. (sites de la Govogne, de la Renaudière et de la Raitrie) ; fours à « grille » ou « augets » du Ier siècle apr. J.-C. (sites de la Frenelle et de la Tara).
Au cours des premiers siècles, un village se constitue au lieu-dit de la Croix Saint-Étienne autour d'une église paléochrétienne. Des fouilles menées sur ce site ont également mis au jour un monastère primitif et les sépultures et sarcophages d'une nécropole mérovingienne. Au VIe siècle, la région subit les invasions normandes ; époque à laquelle le monastère est détruit.
Moyen Âge
Par le traité d'Angers, en 851, la seigneurie de Rais (à laquelle le village appartient) est incorporée au Duché de Bretagne.
Aux alentours de l'an mil, une nouvelle église est construite un kilomètre au sud (à l'emplacement d'un ancien temple gallo-romain) sur le site de l'actuel bourg. Ce petit centre religieux est fondé par les moines de Geneston, sous la dépendance de l'abbaye Sainte-Marie de Pornic.
Époque moderne
Au XVIe siècle, le clocher est érigé. Sa vétusté attestée, il sera reconstruit sur une base plus large au XIXe, ainsi que toute l'église. Il s'agit d'une massive tour quadrangulaire de style néo-gothique, dont la flèche servit d'amer pour la navigation jusqu'à la construction du sémaphore de la pointe St. Gildas.
Au XVIIIe siècle, la Plaine devient paroisse. À la même époque, se crée une mini-station thermale sur la côte est, près du village de Quirouard (sur l'actuelle commune de Préfailles)
La Plaine située dans le duché de Retz, Rais comprend entre autres fiefs, ceux de la Guerche, Cens, ces derniers appartiennent aux de Ruays de sieurs la Noë avec droit de juridiction, Teillac, Billy, la Musse relèvent directement du duché, Vigneux aux de Boishorant du Bois-Macé, du Pigneau, la sieurerie du Bois-roux aux Baye. En 1757 a lieu le baptême de Françoise de Ruays, fille de Jean de Ruays seigneur de la Briandière et de Françoise Michelin son épouse. En 1766 est inhumé en l'église, François de Ruays, capitaine des armées royales, décédé au château de la Noë. En 1774, a lieu le mariage de Jean Rousse avec Marie Hilleret et celui de François Bridon, sieur de La Giquelière, avec Marie Denis.
Le , les citoyens Plainais combattent à Pornic aux côtés de la garde républicaine pour contrer les armées royalistes vendéennes dirigées par François de Charette venues soutenir une tentative de pénétration des Anglais. Au cours des affrontements, le maire de la commune Jean Fourneau, maire, sera grièvement blessé, il décèdera le en sa demeure à la Peinière. Un autre plainais, Gildas Fourneau, capitaine de navire, sera « dangereusement » blessé le 27 mars et décèdera le 28, chez Paul Dupont, métayer aux Mousseaux, commune de RochePeltier (Ste Marie sur mer)
Époque contemporaine
Le , un terrible ouragan détruit le clocher et fragilise les structures de l'église. Des travaux de reconstruction sont alors engagés à partir de 1845 : le clocher reprend son ancienne forme avec la flèche qui sera remplacée par une toiture pyramidale, à la suite d'un incendie dû à la foudre ; lui est adjoint l'actuel corps d'église de style néogothique. En 1869, le nouvel édifice devient Notre-Dame-de-l'Assomption.
En 1906, s'ouvre la ligne ferroviaire de la ligne de Pornic à Paimbœuf, financée par le département de la Loire-Inférieure. Le « petit train » suit le contour de la côte. La gare de la Plaine fait alors office de plaque tournante selon que le train s'oriente vers l'une ou l'autre des directions. Un embranchement de 1,6 km partant de la gare desservira également la station balnéaire de Préfailles au sud, qui dépendait jusqu'alors de la commune.
En 1908, à la suite de diverses querelles politiques, économiques et religieuses, la loi du 19 février organise le démembrement de la commune de la Plaine pour permettre la création de la commune de Préfailles. La commune de la Plaine devient la Plaine-sur-Mer par décret, le .
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea à La Plaine-sur-Mer comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d'août 1944 au ), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.
En 1947, face au succès grandissant des automobiles et autobus, la ligne de train Pornic - Paimbœuf est fermée.
Héraldique
Blasonnement :
D'azur aux six poissons d'argent posés en fasce 2, 2 et 2 ; au chef d'or chargé d'un pétoncle de sable veiné d'argent.
Commentaires : Les six poissons symbolisent les six plages de la commune : Le Cormier, La Govogne, Port-Giraud, Mouton, Joalland et La Prée ; le fond d'azur représente l'océan qui borde tout le nord du territoire. Un gisement de pétoncles de mer était connu dès l'Antiquité au nord de la pointe Saint-Gildas. La coquille de pétoncle servait à polir le marbre. Le pétoncle rappelle ici qu'autrefois les côtes de la commune recélaient de nombreux gisements de ce coquillage mais également que les grèves de la Plaine-sur-Mer sont réputées et propices à la pêche à pied. Le chef du blason est aux couleurs or et sable du blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de La Plaine-sur-Mer au pays de Retz. Blason conçu par M. Ferrand (délibération municipale du ). |
Il est à remarquer que, depuis une dizaine d'années, le blason employé par la commune s'est progressivement modifié. En effet, le pétoncle de sable veiné d'argent a tendance à s'inverser en un pétoncle d'argent veiné de sable, voire simplifié en un pétoncle d'argent. Outre le fait que cette altération élimine la référence faite aux armes du pays de Retz, cette modification constitue aussi une erreur majeure d'un point de vue héraldique comme entorse à la règle de contrariété des couleurs : « jamais métal sur métal, ni émail sur émail. ». Dans ce cas précis, argent se retrouvant sur or.
Politique et administration
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, La Plaine-sur-Mer fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine et du bassin de vie de Saint-Brevin-les-Pins et de la zone d'emploi de Saint-Nazaire[30]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 99 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « très peu denses »[31].
Évolution démographique
En 1908, la commune cède Préfailles.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2019, la commune comptait 4 379 habitants[Note 8], en augmentation de 10,11 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,1 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 124 hommes pour 2 245 femmes, soit un taux de 51,38 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Patrimoine
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption
L'un des éléments du patrimoine de cette commune est son église. Un premier édifice religieux, l'église de Notre-Dame de la Plaine fut construit aux environs de l'an mil, par les moines de Geneston. Cette église dépendait alors de l'abbaye de Sainte Marie de Pornic. L'édifice fut remanié à plusieurs reprises pour lui donner son aspect actuel.
L'une des particularités architecturales est son clocher carré. Construit sur une protubérance naturelle, sa flèche servit d'amer durant des siècles. Puis le , un ouragan détruisit complètement le clocher, et fragilisa le reste de la structure. La reconstruction de l'édifice eut lieu en 1845 et fut à la charge de l'état, la commune étant trop pauvre pour assumer la dépense s'élevant à 8 000 francs. La base du clocher fut élargie, sa flèche n'existe plus.
Tourisme
Vie locale
Culture
La commune dispose d'une médiathèque qui porte le nom du poète Adolphe-Marie-Joseph Rousse, né en 1838 à La Plaine-sur-Mer.
Personnalités liées à la commune
- Barthélémy Baraille (1882-1970), membre de la bande à Bonnot, a habité à La Plaine vers 1915.
- Joseph Rousse (1838-1909), né à La Plaine (alors en Loire-Inférieure), poète.
Santé
Des professionnels de la santé sont présents sur la commune. On y trouve un cabinet médical, des infirmiers, une pharmacie et un service de taxis-ambulances. Des praticiens spécialisés exercent aussi : orthophoniste, masseurs-kinésithérapeutes, ostéopathe, dentiste. La maison de retraite l'Accueil de la Côte de Jade héberge des personnes âgées.
Enseignement
- École Publique René Cerclé
- École Privée Notre-Dame
Jumelages
- Champs-sur-Tarentaine-Marchal (France) depuis 2007[38]
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Tué à Pornic.
- Réélu en 2001, 2008 et 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « La Plaine-sur-Mer. Séverine Marchand devient le 28e maire de La Plaine », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Commune de La Plaine-sur-Mer (44126) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Plaine-sur-Mer (44126) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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