Saint-Dizier-la-Tour

Saint-Dizier-la-Tour est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Dizier (homonymie).

Saint-Dizier-la-Tour

Les deux petites mottes féodales jumelées de la Tour.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Jacques Cordier
2020-2026
Code postal 23130
Code commune 23187
Démographie
Population
municipale
195 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 46″ nord, 2° 09′ 17″ est
Altitude Min. 444 m
Max. 554 m
Superficie 16,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gouzon
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Dizier-la-Tour
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Saint-Dizier-la-Tour
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Saint-Dizier-la-Tour
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Dizier-la-Tour

    Géographie

    Généralités

    Étang alimenté par la Goze à Saint-Dizier-la-Tour, le long de la route départementale 990.

    Dans le quart nord-est du département de la Creuse, la commune de Saint-Dizier-la-Tour s'étend sur 16,99 km2. Elle est arrosée par la Goze, affluent de la Voueize et par le Verraux, affluent de la Petite Creuse.

    L'altitude minimale avec 444 mètres se trouve localisée au nord en deux endroits différents, au nord du lieu-dit Ponty, là où le Verraux quitte la commune, et au nord du lieu-dit les Lusseix, là où la Goze quitte la commune, les deux cours d'eau entrant sur le territoire communal de Gouzon. L'altitude maximale avec 554 mètres est située au sud-ouest, en limite de la commune de Saint-Pardoux-les-Cards, au sud-est du château de la Faye.

    À l'écart des routes principales, le bourg de la Tour, où est implantée la mairie, est situé, en distances orthodromiques, 21 kilomètres au nord d'Aubusson, la sous-préfecture, et 22 kilomètres à l'est de Guéret, la préfecture. Le bourg de Saint-Dizier se trouve un kilomètre et demi au sud-sud-est de celui de la Tour.

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales 7, 50, 65 et 990. L'ouest de la commune est traversé par la ligne ferroviaire de Montluçon à Saint-Sulpice-Laurière dont les gares les plus proches par la route sont celles de Parsac – Gouzon, à sept kilomètres au nord de la mairie, et de Busseau-sur-Creuse, à douze kilomètres à l'ouest-sud-ouest.

    Communes limitrophes

    Saint-Dizier-la-Tour est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 966 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gouzon », sur la commune de Gouzon, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 841,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 82 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Dizier-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,3 %), prairies (45 %), forêts (9 %), eaux continentales[Note 7] (0,6 %), terres arables (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

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    Saint-Dizier-la-Tour est une commune essentiellement rurale, constituée de deux anciennes communes, la Tour-Saint-Austrille et Saint-Dizier, réunies en 1848[20].

    Son territoire est traversé par deux gros ruisseaux, la Goze et le Verraux, et deux voies gallo-romaines reliant Ahun à Gouzon. Sur les rives de la Goze, on trouve les restes de nombreuses implantations romaines, villas munies d’étangs.

    La-Tour-Saint-Austrille est citée en 957 et 958 dans deux actes du cartulaire de Saint-Étienne de Limoges, concernant la fondation du prieuré de la Tour-Saint-Austrille, dont les biens englobaient le bourg de la Tour, et les villages de Châtelus et Champagnole. De 957 à 1095, ce prieuré appartenait à l’évêque de Limoges, qui le céda à l’abbaye du Bourgdieu à Déols en 1095. Avant 1212, les moines avaient créé des églises au bourg de la Tour et à celui de Saint-Dizier, en plus de la chapelle Saint-Austrille du prieuré. En effet une bulle du pape Innocent III, datée de 1212, confirme à l’abbaye de Déols la possession du prieuré et de ces églises. Celle de la Tour-Saint-Austrille était dédiée à Saint-Michel. Le prieuré n’avait probablement plus de moines dès le XVe siècle, mais un prieur qui percevait les droits, et la dîme jusqu’à la Révolution.

    Par ailleurs la seigneurie de la Tour-Saint-Austrille, qui appartenait à la famille de Brosse en 957, s’est transmise, de 1200 à 1609 à divers membres de la famille de Déols, branche de Preuilly. En 1609, Claude du Puy, veuve de Loys Chasteignier, Seigneur d'Abain, Chantemille, la Tour-Saint-Austrille, l'a vendue à François Mérigot, seigneur de Sainte-Feyre pour 18 000 livres. Le prieuré et la seigneurie exerçaient leurs pouvoirs sur de nombreux villages des paroisses voisines. La plus proche était celle de Saint-Dizier, qui encerclait celle de la Tour. Saint-Dizier était un fief, lieu de rapport, aussi bien pour le prieuré que pour la seigneurie de la Tour. Mais jusqu’à la Révolution, les seigneurs de Villemonteix, Orgnat, Vidignat, Malleret, Haute-Faye, les religieux des Ternes, ceux de Bonlieu, la vicairie de Sainte-Catherine d’Etansannes, pour les principaux, percevaient des droits sur les deux paroisses.

    La paroisse de Saint-Dizier était constituée du bourg de Saint-Dizier et des villages de Montbrenon, Busserolles, les Chaises, Vige, Ponty et Orgnat, et quelques villages aujourd’hui disparus : les Olliers, Gravayoux.

    La seigneurie de la Tour-Saint-Austrille appartenait à la puissante et lointaine famille de Déols, mais sur place existaient de petites seigneuries dotées d’un château : le Mas de la Tour, ainsi qu’Orgnat, et la Faye à Saint-Dizier.

    Ces domaines seigneuriaux s’étaient établis à l’emplacement des villas romaines, alors que les paysans se partageaient des terrains éparpillés, ainsi que l’usage des communaux, dont certains étaient immenses.

    À la Révolution, les domaines appartenant à des abbayes ont été vendus comme biens nationaux. Il faudra tout le XIXe siècle pour changer la physionomie de la commune. Dans certains villages, les ventes de communaux ont chassé les plus pauvres. Dans d’autres, leur partage par amodiation a transformé d’immenses chaumes en une mosaïque de minuscules terrains.

    Beaucoup d’hommes partaient comme maçons, et l’arrivée du train, en 1869, rendra cet exil définitif, en permettant aux familles de les rejoindre. Le train permettra aux paysans d'exporter leurs productions vers les grandes agglomérations, et de sortir de la pauvreté. C'est alors que les maisons à deux ouvertures seront remplacées par ces belles « maisons de maçons » qui forment l'essentiel des villages.

    Politique et administration

    La mairie en 2022.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1879 1908 Jean Meaume    
             
    1959 1983 Pierre Lavédrine UDR puis RPR Conseiller général du canton de Chénérailles (1970-1994)
             
    mars 2001 mai 2020 Odylle Turpinat DVD Retraitée
    mai 2020 En cours Jacques Cordier    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2019, la commune comptait 195 habitants[Note 8], en diminution de 8,02 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    464470499477583609608631786
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    721705721711668670654678644
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    616616581526501484453438412
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    408370321276234228232235219
    2015 2019 - - - - - - -
    217195-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Mottes castrales de la Tour-Saint-Austrille : trois mottes castrales datant des environs de l'an Mil, dont deux très bien conservées. Ces mottes, fouillées en 1865, ont livré d'importants vestiges : armes et outils. Les tours qui les surmontaient avaient été brûlées, probablement au XIVe siècle. Dégagé et mis en valeur en 2012, le site est maintenant ouvert au public. Ces mottes sont inscrites au titre des monuments historiques depuis 2020[24].
    • Le château d'Orgnat.
    • Le château de la Faye des XVe et XVIIe siècles, inscrit partiellement en 1995 au titre des monuments historiques[25].
    • Étangs de Viges et de la Tour.

    Patrimoine religieux

    • L'eglise Saint-Blaise-Saint-Dizier de Saint-Dizier ou église Saint-Dizier-et-Saint-Blaise de Saint-Dizier  dont l'intérieur porte des peintures de 1650-1680  ainsi que la croix située sur son parvis, sont inscrites au titre des monuments historiques depuis 2004[26]. L'édifice recèle un ensemble formé par le maître-autel et son retable, datant du XVIIe – XVIIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1977[27], une sculpture du XVIIe siècle en bois polychrome également inscrite en 1977, représentant la Vierge de Pitié[28], et un bras-reliquaire en bois doré du XVIIe – XVIIIe siècle inscrit en 2008[29].
    • L'église (ou la chapelle) Saint-Michel de la Tour-Saint-Austrille recèle trois sculptures du XVIIIe siècle en bois polychrome inscrites au titre des monuments historiques en 2008, représentant la Vierge de Pitié[30], saint Jean-Baptiste[31] et saint Michel terrassant le démon[32].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Gouzon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Dizier-la-Tour et Gouzon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Gouzon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Dizier-la-Tour et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. « Mottes de la Tour-Saint-Austrille », notice no PA23000028, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
    25. « Château de la Faye », notice no PA00135405, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
    26. « Église Saint-Didier-et-Saint-Blaise », notice no PA23000012, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
    27. « autel, gradin d'autel, tabernacle à ailes, retable architecturé, tableau d'autel : le Calvaire, 3 statues : deux saints évêques et saint Jean-Baptiste (maître-autel) », notice no PM23000789, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
    28. « groupe sculpté : Vierge de Pitié », notice no PM23000788, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
    29. « bras-reliquaire », notice no PM23001009, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
    30. « groupe sculpté (statuette) : Vierge de Pitié », notice no PM23001006, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.
    31. « statue : saint Jean-Baptiste », notice no PM23001007, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.
    32. « statue : saint Michel terrassant le démon », notice no PM23001008, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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