Lagnes

Lagnes est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Lagnes

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Claude Silvestre
2020-2026
Code postal 84800
Code commune 84062
Démographie
Gentilé Lagnois, Lagnoises
Population
municipale
1 641 hab. (2019 )
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 39″ nord, 5° 06′ 55″ est
Altitude 110 m
Min. 64 m
Max. 622 m
Superficie 16,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction L'Isle-sur-la-Sorgue
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cheval-Blanc
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lagnes
Géolocalisation sur la carte : France
Lagnes
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Lagnes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lagnes
Liens
Site web http://www.lagnes.fr

    Géographie

    Vue aérienne du bourg.

    Lagnes est une commune de Provence située sur la pointe sud-ouest des monts de Vaucluse entre Fontaine-de-Vaucluse, Saumane-de-Vaucluse et Cabrières-d'Avignon, aux portes du parc naturel régional du Luberon.

    Le village de Lagnes est un « village fleuri » au pied du rocher du Pieï. On y accède depuis la RN 100 par le CD 99 ou par le CD 186.

    Accès et transports

    Les routes départementales 99, 100 et 186 arrivent au village.

    Au nord, une route sinueuse, la « route touristique de Gordes », route départementale 100a.

    Lagnes est à 7 km de L'Isle-sur-la-Sorgue et à 28 km d'Avignon.

    La gare TGV la plus proche est la gare d'Avignon TGV. La commune est desservie par les sorties de l'autoroute A7 à Avignon sud ou Cavaillon.

    Relief

    À l'ouest du territoire, la plaine de la Sorgue (en bordure). À l'est et au nord, collines (Monts de Vaucluse) de garrigues ou de chênes verts (dont présence de pins).

    Environnement

    Lagnes abrite des milieux naturels patrimoniaux, qui sont un sous-ensemble de milieux inventoriés comme ZNIEFF (ZNIEFF 84-100-140 ; Les Sorgues sr 410.03 hectares et la ZNIEFF n°84-129-118, dite Combes occidentales des Monts de Vaucluse, de Valescure à la Grande Combe, qui couvre 1 624,57 ha)[1]. La commune abrite aussi un site d'importance européenne (Site N°FR9301578 de La Sorgues et l'Auzon), inclus dans le réseau Natura 2000[1].
    Lagnes est par ailleurs une des communes du parc naturel régional qui teste différentes actions et moyens de mieux éclairer la nuit, en économisant l'énergie et en protégeant l'environnement nocturne de la pollution lumineuse.

    Géologie

    Les monts de Vaucluse sont formés de calcaires de l'ère secondaire, souvent perméables, ce qui permet l'infiltration de l'eau en profondeur et l'apparition de rivières souterraines. Plus en profondeur, les pierres plus dures, non perméables, empêchent l'écoulement naturel de ces rivières et provoque alors des résurgences comme la toute proche Fontaine de Vaucluse, la plus grosse source de France.

    Climat

    La commune est située dans la zone d'influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare.

    La station météorologique de référence est située à Cavaillon[2].

    Relevé météorologique de Cavaillon
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 3 6 8 12 15 18 18 14 11 6 3 9,6
    Température moyenne (°C) 6 8 11,5 13 17,5 22 24,5 24 19 15 10 6,5 15,1
    Température maximale moyenne (°C) 10 12 16 18 23 27 30 30 24,7 20 13,1 10 20,3
    dont pluie (mm) 36,5 23,3 24,9 47,7 45,6 25,4 20,9 29,1 65,8 59,6 52,8 34 437

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[3].

    Hydrographie

    Le canal de Carpentras traverse la commune.

    Histoire

    Les restes de l'ancien château, vus par le nord.

    Emplacement d'habitats préhistoriques au lieudit Claparousse.

    Moyen Âge

    Lagnes est citée en 1154 : Lagnas.

    Co-seigneurie du XIIIe au XVIe siècle puis indépendance administrative[précision nécessaire]. Du XIe au XIIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait une église, Sancti Joannis de Greso (Saint-Jean du Grès), qui passa ensuite à l’évêque de Cavaillon[4].

    Période moderne

    En 1648, malgré les promesses faites aux habitants souhaitant rester sous l'autorité du Saint-Siège, Innocent X érigea le fief en marquisat, au profit de Louis de Cambis.

    En 1720, la peste commence à remonter de Marseille à travers toute la Provence. Pour protéger le Comtat Venaissin des pestiférés de Provence, les communes de la région commencent alors la construction d'un mur sur 27 kilomètres, le « mur de la peste » dont certaines parties sont encore visibles sur la commune.

    Au XVIIIe siècle, la seigneurie est partagée entre les Cambis et les Fortia qui occupaient deux résidences distinctes, séparées par une cour à l'intérieur de l'enceinte castrale.

    Période contemporaine

    Lagnes a été chef-lieu de canton durant la Révolution (du au 8 pluviôse an IX ().

    En 1838, l'exploitation des gisements ferrugineux de la commune cesse.

    Seconde Guerre mondiale : le maquis du Chat

    Il fut constitué sur la commune dès l'occupation de la zone sud. Il eut comme point de déclenchement la loi mettant en place le service du travail obligatoire, décrété le par le gouvernement de Vichy. Ceux qui refusaient ce diktat, les réfractaires, prirent le maquis ou entrèrent en clandestinité. La commune, située sur les contreforts des monts de Vaucluse, devint un lieu idéal de repli et de rassemblement pour les patriotes. Dès les premiers mois de 1943, ils furent le noyau des résistants du centre du département de Vaucluse[5].

    Alphonse Bégou, Jean Garcin et Jules Ten.
    La ferme du Chat en 1944.
    Le groupe-franc Kléber au maquis du Chat en 1944.

    La ferme du Chat leur servit, à la fois de point de ralliement et d'organisation. Celle-ci est due aux fortes personnalités que furent dans l'action Jean Garcin, dit colonel Bayard, le secondèrent avec un courage et une efficacité à toute épreuve Jules Ten, capitaine Grillon et Alphonse Bégou, capitaine Balkan. Ils formèrent avec de simples réfractaires ou contestataires de vrais combattant de la Résistance. Cette fraction du maquis du Chat, qui prit le nom de Groupe-franc Kléber, réalisa « près de 300 opérations armées de sabotage, de destruction de biens ennemis et d'évasion de patriotes emprisonnés. ». Son action s'exerça non seulement dans tout le département de Vaucluse, mais aussi dans les départements voisins portant des coups importants pour enrayer la machine de guerre nazie[5].

    Cette équipe de choc réussit, dès 1943, à « se procurer les armes, munitions et explosifs indispensables dans la lutte clandestine en désarmant des militaires isolés, en interceptant des camions ennemis pour récupérer leur chargement ». Pendant ce temps, les maquisards, grâce au soutien de la population, se voyaient fournir « les moyens de vivre dans la clandestinité : nourriture, matériels de couchage, vêtements, chaussures et équipements divers. ». Le groupe-franc multiplia, dès lors, des coups de main tant contre les agents de la Gestapo à Avignon que contre les patrouilles allemandes. Leurs points d'intervention se situaient, en particulier, sur notamment la route stratégique de la Gabelle entre Carpentras et Sault, cité emblématique du maquis Ventoux et sur celles menant à Cavaillon, l’Isle-sur-la-Sorgue et Apt, pour protéger d'autres maquis[5].

    Puis le groupe-franc Kléber descendit à Marseille pour libérer douze détenus politiques incarcérés à la prison Chave. Un autre exploit dans la cité phocéenne lui permit de faire évader des détenus résistants de l’hôpital de la Conception puis de l’hôpital Salvador. De retour dans le Vaucluse, à Avignon, le groupe-franc « organisa l’évasion de deux résistants emprisonnés à Sainte-Anne. ». Cette efficacité valut à Jean Garcin d'être porté à la tête des groupes-francs de la région R2 (Provence)[5].

    Lors de la Libération, le soir du , les résistants du maquis du Chat et du groupe-franc Kléber occupèrent la mairie de Lagnes. Leur première décision fut de constituer un comité local de libération nationale, ouvert à tous les républicains dont le premier président fut Jules Ten, enfant du village. Ce fut ce comité qui, le , réunit maquisards et républicains pour fêter le premier anniversaire de la Libération[5].

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    De gueules au gonfanon de sinople frangé d'argent sur une hampe du même posé en pal, à la clef d'or et à la clef d'argent posées en sautoir, brochant.

    Les armes symboliques de l'autorité papale ont été adoptés officiellement vers 1960 mais datent en fait de 1693.


    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Jean Lèbre PCF  
    mars 2001 2020 Robert Donnat    
    2020 En cours Claude Silvestre    

    Intercommunalité

    La commune de Lagnes fait partie de la communauté de communes de Coustellet avec quatre autres communes : Cabrières-d'Avignon, Maubec, Oppède et Robion.

    Urbanisme

    Typologie

    Lagnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[9] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de L'Isle-sur-la-Sorgue dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

    Habitat regroupé sur le bourg.

    Plaine agricole au sud (fermes, hangars, villas).

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43 %), forêts (32,5 %), cultures permanentes (12,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,8 %), zones urbanisées (2,8 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

    En 2019, la commune comptait 1 641 habitants[Note 3], en augmentation de 0,31 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +2,09 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700732765831852876901900891
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    900945930966973998960946912
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8989199028329229639571 0201 006
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0181 0251 0211 1081 3971 4731 6471 6741 633
    2017 2019 - - - - - - -
    1 6351 641-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Vue depuis le village sur la vallée en direction de Cavaillon.

    Tourisme

    Dû en partie à la proximité du Luberon et de la Sorgue, le tourisme a permis le développement de plusieurs centres d'activités (équitation, canoë, paint-ball, parcours dans les arbres, centre sportif, etc.) et de nombreux aménagements de parcours pédestres.

    Proximité du golf de Saumane.

    Agriculture

    L'on trouve sur la commune différents types de cultures : oliviers, vergers de cerises et de pommes, cultures maraîchères et vignes. La commune produit des vins AOC ventoux. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[20].

    Artisanat

    Plusieurs artisans : paysagistes, plombiers, maçons, peintres, santonniers, ferronniers, etc.

    Lieux et monuments

    Le château par l'ouest.
    • Château du XIIIe siècle (remanié au XVIe et au XVIIe siècle) au sommet du village ; ancienne chapelle Saint-Antoine (XIIe siècle, inscrit aux Monuments Historiques) dans la cour du château.
    • Deux tours rondes, portes et un kiosque : restes des anciens remparts (des XIVe et XVe siècles) démolis en 1825.
    • Maisons anciennes du XVIe et XVIIe siècles dont rue Venteuse, inscrit aux Monuments Historiques, plusieurs passages couverts, lavoirs et fontaines dans le vieux village.
    • Église paroissiale Saint-Pierre (1844) avec clocher (1746) de l'ancienne église Notre-Dame-des-Anges.
    • Beffroi de l'horloge carré avec son campanile.
    • Plusieurs chapelles transformées ou en ruines (Saint-Véran, Pénitents-Blancs, Saint-Jean, Saint-Nicolas).
    • Théâtre de verdure (plein air) au nord-ouest du village (manifestations culturelles estivales).
    • Point de vue panoramique depuis le rocher du Pieï (belle vue sur la vallée de la Durance et le Luberon).
    • Restes du mur de la peste.
    • Fontaines.

    Équipements et services

    Bon équipement communal (bibliothèque, salles communes, etc.).

    Commerces (fruits et légumes, épicerie, café, etc.) et pharmacie. Le bureau de poste semble menacé de fermeture. Secours populaire.

    Enseignement

    Les habitants de la commune disposent d'une école maternelle et d'une école élémentaire. Collèges sur Cabrières d'Avignon et l'Isle-sur-la-Sorgue, lycées sur l'Isle-sur-la-Sorgue.

    Sports

    La pratique de diverses activités : équitation, canoë, paint-ball, parcours dans les arbres, centre sportif (tennis, piste de skateboard, etc.).

    Un club de cyclotourisme, un de tennis TC Robion-Lagnes (club qui ont fusionné).

    Le terrain de football accueille l'équipe du S.C. Lagnes dans la catégorie senior ainsi que l'entente des Monts de Vaucluse pour les plus jeunes.

    Nombreux aménagements de parcours pédestres.

    Proximité du golf de Saumane.

    Un club de supporters de l'AC Arles-Avignon prénommé Lagn'ACA est créé en .

    Santé

    Hôpital sur Cavaillon.

    Vie locale

    Rue de Lagnes.

    Le marché hebdomadaire a lieu le vendredi.

    Lagnes dispose d'un ensemble d'associations.

    Cultes

    L'église.

    Église.

    Environnement

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés est géré dans le cadre de la communauté de communes de Coustellet. Déchèterie sur Coustellet et tri sélectif.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas de Staël (1914-1955), peintre. Séjourna l'été 1953 dans l'ancienne magnanerie Lou Roucas, où il peignit certains de ses tableaux provençaux les plus emblématiques.
    • Jacques Polge (né en 1943 à Lagnes), parfumeur.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
    • Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Le Pontet, A. Barthélemy, Avignon, 2000, , 207 p. (ISBN 2-87923-041-1)

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Notes

      Références

      1. Inventaire Znieff et Natura 2000
      2. « Station météo la plus proche : Cavaillon », MSN Météo.
      3. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
      4. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 219
      5. Le Maquis du Chat à Lagnes
      6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      9. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de L'Isle-sur-la-Sorgue », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
      13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      20. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
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