Le Lindois

Le Lindois (Lo Lindois en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Le Lindois

Mur de l'ancienne église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Olivier Gaillard
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16188
Démographie
Population
municipale
341 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 48″ nord, 0° 35′ 32″ est
Altitude Min. 224 m
Max. 351 m
Superficie 17,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Lindois
Géolocalisation sur la carte : France
Le Lindois
Géolocalisation sur la carte : Charente
Le Lindois
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Lindois

    Géographie

    Localisation et accès

    Le Lindois est une commune de la Charente limousine située à km au sud-est de Montembœuf, chef-lieu de son canton, et 39 km à l'est d'Angoulême.

    Elle est aussi à 13 km au nord-est de Montbron, 17 km à l'est de La Rochefoucauld, 35 km de Confolens et 60 km de Limoges[1].

    À l'écart des grands axes routiers, la commune est limitée au nord par la D 13, route de La Rochefoucauld à Rochechouart. La D 27, route de moindre importance de Villefagnan aux Salles-Lavauguyon par Chasseneuil, Montembœuf et Sauvagnac, traverse d'ouest en est la commune et passe à 500 m au nord du bourg.

    Le bourg est desservi par la D 50 qui va au sud vers Roussines et la D 164 qui va au nord vers Mouzon[2].

    Hameaux et lieux-dits

    Le Lindois comporte quelques gros hameaux, comme au nord Chez Tandeau, la Sudrie, la Michelie, le Roule, la Morandie ; à l'ouest, Siardet, les Roudelières ; au sud, Cros, la Gilardie, Logeat et à l'est, la Garde et la Courrière.

    La Belle Étoile, en limite avec Montembœuf, marque le carrefour de la D 13 avec la D 16 et la D 27[2].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune du Lindois se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

    La moitié sud-est du bourg est occupée par le massif granitique de Saint-Mathieu, une grande partie nord-est par du gneiss, et du micaschiste à l'ouest du bourg[3],[4],[5].

    La commune est relativement élevée par rapport au reste de la Charente puisqu'on dépasse couramment les 300 m. Le point le plus bas, 224 m, est situé à l'est de la commune au sud de Logeat. Le point culminant, 351 m à l'ouest de la commune à côté de celle de Mazerolles, est le point le plus élevé de toute cette partie de la Charente, qu'on appelle aussi Massif de l'Arbre.

    Le relief est faiblement incliné vers le sud, vers le bassin versant de la Tardoire. Le bourg est à 283 m d'altitude.

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier du Lindois.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Moulde, le ruisseau de Montizon, le ruisseau de Logeat, le ruisseau de la Michelie, le ruisseau de l'étang de la Grange et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Sur la commune du Lindois naît La Moulde, rivière longue de 18,1 km, affluent de la Charente, barrée par le barrage du Mas Chaban ce qui donne une retenue d'eau de 176 ha : le lac du Mas Chaban. Elle coule vers l'est sur sa partie communale[8].

    À l'extrême nord de la commune, au nord de la D 13, la Michelie ruisseau temporaire, est un affluent de la Bonnieure et coule vers le nord en direction de Cherves-Châtelars.

    La grande partie sud de la commune est sur le bassin versant de la Tardoire, autre affluent de la Charente avec la Bonnieure. On y trouve le ruisseau du Cros ou de la Séguinie au sud-ouest en limite avec Rouzède, qui alimente l'étang de la Groie, et de Logeat au sud-est. La D.27 qui passe au bourg reste sur la crête entre Moulde au nord et Tardoire au sud.

    De nombreuses retenues d'eau, mares et étangs parsèment la commune. Les plus importants sont les étangs de la Groie et de Montizon situés au sud en limite avec Rouzède et Roussines.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme cette partie orientale de la Charente comprise dans le Massif central, le climat est océanique dégradé.

    Végétation

    La commune est assez boisée, plus de la moitié. Les arbres sont des châtaigniers, épicéas, bouleaux, chênes.

    Le reste de la commune est surtout consacré à l'élevage de vaches limousines, mais on trouve quelques pépinières de par la proximité de Montembœuf.

    Urbanisme

    Typologie

    Le Lindois est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,2 %), forêts (30,1 %), prairies (26,2 %), terres arables (6,1 %), cultures permanentes (3,4 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Lindoys au XIIIe siècle[17], Lindesio (non daté)[18].

    L'origine du nom du Lindois est assez mystérieuse. Selon certains, elle remonterait au latin indictum signifiant « foire », « champ de foire », qui pourrait s'expliquer par un lieu de passage entre vallées différentes[19]. Selon Dauzat, elle pourrait remonter à un surnom en vieux français, l'Indois, qui pourrait signifier l'Indien[20]. Toutefois, la forme ancienne et l'introduction plus récente du français dans cette région de langue d'oc infirment cette dernière explication[Note 2].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[21]. Elle se nomme Lo Lindois en occitan[22].

    Histoire

    Le Chemin des Anglais, voie antique d'Angoulême à Limoges, bordait la commune au nord[2].

    On a retrouvé un vestige de camp militaire (talus en terre), qui a sans doute servi pendant la guerre de Cent Ans, au sud-est de la Gilardie en direction de Rouzède[23],[24].

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1655.

    Le Lindois possédait autrefois un château dont il ne reste que quelques vestiges. Ce château avait été construit par Guy de Chasteigner, qui fut chambellan des rois Louis XI et Charles VIII et qui y mourut en 1547. La famille de Chasteigner conserva Le Lindois jusqu'à la Révolution.

    Au début du XXe siècle, la principale industrie dans la commune était la fabrication de cercles de barriques en bois de châtaignier. Ce bois était aussi livré en partie aux fabricants d'alcool à brûler.

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie du Lindois.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    maire en 1934  ? Martial Béjard
    (1887-?)[26]
    SFIO Propriétaire agriculteur, commerçant en bois
    1995 2008 Jean-Daniel Laforge DVD  
    2008 En cours Olivier Gaillard SE Agriculteur

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[27].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2019, la commune comptait 341 habitants[Note 3], en augmentation de 0,59 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9209248118969449761 0651 0331 014
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9541 0219329639711 0811 0401 006982
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    938908747733674639616615569
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    481388352311330323322341345
    2019 - - - - - - - -
    341--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 175 hommes pour 168 femmes, soit un taux de 51,02 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,8 
    7,5 
    75-89 ans
    12,0 
    30,3 
    60-74 ans
    26,2 
    26,8 
    45-59 ans
    24,3 
    9,0 
    30-44 ans
    13,4 
    15,8 
    15-29 ans
    10,0 
    10,1 
    0-14 ans
    12,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Équipements, services et vie locale

    L'école communale.

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Le Lindois, Mazerolles et Roussines. Roussines accueille l'école maternelle, et Le Lindois et Mazerolles les écoles élémentaires. L'école du Lindois comporte une classe unique. Le secteur du collège est Montembœuf[34].

    Lieux et monuments

    • Le porche de l'ancienne église Saint-Pierre date du XIVe siècle. L'église s'est effondrée peu après une messe de minuit[Quand ?]. Les vestiges sont classés monument historique depuis 1928[35].
    • L'église paroissiale Saint-Pierre actuelle a été reconstruite en 1924 avec les pierres de l'ancienne église de l'autre côté de la rue.
    • Château de Logeas.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Bizarrement, Dauzat n'a pas trouvé les formes anciennes attestées du Lindois.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique du Lindois » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale du Lindois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    8. Sandre, « la Moulde »
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 136
    18. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 39
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 405.
    21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    22. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    23. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 149
    24. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153
    25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 218
    26. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4593371h/f1.item.zoom
    27. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Lindois (16188) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    34. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    35. « Porche de l'ancienne église », notice no PA00104399, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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