Le Pescher

Le Pescher [lə pɛʃe] est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Le Pescher

L'étang, au bourg.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté de communes Midi Corrézien
Maire
Mandat
Éric Galinon
2020-2026
Code postal 19190
Code commune 19163
Démographie
Population
municipale
292 hab. (2019 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 17″ nord, 1° 44′ 26″ est
Superficie 11,32 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Midi corrézien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Pescher
Géolocalisation sur la carte : France
Le Pescher
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Le Pescher
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Pescher
    Emprise du château en 1835

    Géographie

    Commune du Massif central située sur la Sourdoire

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 085 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Branceilles », sur la commune de Branceilles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 002,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 19 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Pescher est une commune rurale[Note 5],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,5 %), prairies (30,1 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le Pescher est une partition du village de Sérilhac qui se fit en deux temps : création difficile de la paroisse en 1877 puis décret de fondation de la commune en 1897.

    ORIGINES DU CHATEAU : Le château du Pescher(1) a très probablement été bâti dans le courant du XIe siècle afin de contrôler la haute vallée de la Sourdoire, véritable couloir d’invasion mettant en communication deux bassins versants distincts : celui de la Dordogne et celui de la Corrèze, séparés par le seuil du Planchat.

    Le patronyme, le toponyme, le château et sa seigneurie sont connus dès l’aube du second Moyen Âge et affirment l’importance que cette place forte stratégique avait alors. En effet, Félize – alias Hélix, Félise ou Élise – dame du Pesch(i)er, née en 1165, épouse en 1180 Hercule de Saint-Chamans, chevalier, seigneur de Saint-Chamant en Limousin(2). Il est appelé par La Chesnayte Desbois Hercule de Saint-Chamans du Pescher(3). De leur union naquit Léonard, lui-même seigneur de Saint-Chamans, marié en 1212 à Marie de Scorailles. Bien qu’ayant essaimé en Auvergne, les Saint-Chamans se disaient, encore au XVIe siècle, seigneur du Pescher, de Branceilles, de Saint-Marc, etc.

    SEIGNEURIE DU PESCHER : La seigneurie du Pescher est un fief en justice dont le seigneur rendait foi et hommage au vicomte de Turenne dès le XIVe siècle. En 1401, le fief est confirmé appartenir aux Aymar(d) de Lostanges puis passe par alliance aux La Brande(4) puis aux Ce(p)pes. La terre de Lostanges, à toute proximité du Pescher qu’il surplombe, « qui a donné son nom à une maison qui était considérable dès le XIIe siècle », a eu pour premiers seigneurs une ancienne famille du nom d’Adémar ou Aymar(d). Marthe épousa Bertrand de la Brande, damoiseau, coseigneur de Beyssac, descendant de Aimeri, chevalier, vivant en 1243. Unique héritière des Aymar(d), ses enfants en recueillirent les biens vers 1350, à charge pour eux de porter le nom et les armes des Aymard de Lostanges. Les La Brande – devenus Aymard de Lostanges – et les Ce(p)pes leurs alliés détinrent le Pescher en co-seigneurie ; elle échut ensuite à Gilbert et Raymond d’Ornhac, ce dernier mort vers 1390, puis à ses fils Jean et Guillaume et de là aux Conros(5) qui le titrèrent baronnie puis vicomté à la fin du XVIIe siècle et même comté en 1729, et enfin aux Saint-Chamant et à l’antique famille des Cars.

    GUERRES FRANCO-ANGLAISES(6) : Jean et Guillaume d’Ornhac, emboîtant les pas de leur père et oncle Raymond et Gilbert, s’affranchirent de leurs devoirs féodaux envers les vicomtes de Turenne et prirent fait et cause pour les bandes anglaises qu’ils servirent et avitaillèrent sans retenue : alors que Guillaume et Raymond de Beaufort, vicomte de Turenne, servaient la cause française, les deux seigneurs de Sérilhac et du Pescher servaient les Anglais. Non seulement ils apportèrent des secours à Gunet del Peyronnet, l’un de leurs capitaines, mais ils permirent à un autre capitaine, Romanet Desort de s’emparer du château de Sérilhac – el repaire de Saralhac – en 1381 ou 1382 et à un troisième, Nolot-Barbe qui commandait à Beynat, d’entrer dans celui du Pescher. La perte de ses deux châteaux causa un préjudice énorme à toute la vicomté. Raynaud de Lasteyrie, lieutenant du vicomte et presque tous les gentilshommes du pays furent faits prisonniers et « il en coûta des sommes considérables pour les libérer ». Ne pouvant tolérer cette situation, le vicomte de Turenne, petit-neveu du pape Clément VI, capitaine des armes du Comtat-Venaissin et capitaine pontifical, fit saisir le 7 mars 1389 les deux châteaux de Sérilhac et du Pescher et toutes les terres occupées par les rebelles. Le jugement condamnant Gilbert et Jean d’Ornhac pour refus d’hommage au vicomte de Turenne et soutien accordé aux Anglais fut confirmé le 7 janvier 1407. Les choses n’en restèrent pas là puisque les échauffourées se multiplièrent pendant encore sept années puisque, finalement, les frères d’Ornhac rendaient hommage au vicomte en 1414.

    GUERRES DE RELIGION : en 1586, le château subit le siège de six cents huguenots conduits par Guiscard de Cavagnac, un lieutenant du vicomte de Turenne. Jean de Saint- Chamant, auquel les seigneurs de Gimel, de Marcillac et de Pompadour vinrent prêter main forte, réussit à faire lever le siège et les assaillants durent s’enfuir et se réfugier dans les maisons du village. Ils eurent la vie sauve et purent battre en retraite à la condition toutefois d’abandonner les pièces d’artillerie avec lesquelles ils battaient le château.

    DEMANTELEMENT : Pillé le 13 mai 1792, le château féodal du Pescher qui avait miraculeusement échappé aux pillages et aux destructions de la guerre de Cent Ans, fut livré au pic des démolisseurs pendant la Terreur de sinistre mémoire. Le cadastre dit napoléonien, levé ici en 1835, représente les douves inondées par le détournement du ruisseau du Breuil et, par voie de conséquence, l’emprise au sol du château. Rien toutefois ne permet d’en déduire les élévations.

    CHAPELLE CASTRALE ET EGLISE PAROISSIALE : La chapelle castrale est connue dès avant le XVIe siècle. Placée sous le vocable de Saint Jean l’Évangéliste, elle faisait probablement office d’église paroissiale. C’est au seigneur qu’appartenait le pouvoir de présenter à la vicairie. Marguerite Green de Saint-Marsaud, veuve de Jean-Antoine de Saint-Chamant et tutrice de ses enfants nomma à cette vicairie : en 1663, Henri de Saint- Martial, vicomte du Pescher en 1684 ; en 1722 Charles-Louis son fils. Le 13 septembre 1779, Jean Chabrignac, prêtre, était présenté pour le petit bénéfice par le seigneur de Saint-Chamant, successeur des Saint-Martial. À la toute fin du XIXe siècle la chapelle fut profondément modifiée, surhaussée et agrandie de toutes parts (collatéraux, clocher, transept, presbytère, ...) pour devenir l’église paroissiale que nous connaissons, placée par confusion sous le vocable de saint Jean Baptiste. Poulbrière indique qu’il aurait existé une chapelle dédiée à saint Roch, érigée « sur le bord du ruisseau du Breuil et à l’extrémité du champ de foire, en un point aujourd’hui occupé par une croix de pierre ». De cette chapelle, il ne resterait que la statue de saint Roch actuellement dans l’église paroissiale.

    1 Cette notice est en tout ou partie issue du Dictionnaire historique et archéologique des paroisses du diocèse de Tulle de l’abbé Jean-Baptiste Poulbrière, tome II, Tulle, J. Mazeyrie, 1894-1899 pour la première édition, et du Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges de l’abbé Joseph Nadaud, 4 vol., Limoges, Vve Ducourtieux, 1882-1886 là aussi pour la première édition.

    2 Le château de Saint-Chamans se situe entre Tulle et Argentat. Du logis médiéval ne subsiste qu’une tour résidentielle massive de plan circulaire.

    3 cf. La Chesnaye des Bois, tome 6, page 231.

    4 D’argent au lion de gueules, lampassé, armé et couronné d’azur, accompagné de cinq étoiles de gueules en orle. Les Lostanges se transportèrent en Périgord au XVe siècle.

    5 Vieille famille issue de Guillaume de Conros, fils bâtard d’Astorge d’Orelhac, légitimé et anobli en 1341.

    6 cf. Augustin Vayssière, « Les seigneurs de Sérilhac et les vicomtes de Turenne » in Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze, t. VI, 1884.

    Héraldique

    Son blasonnement est : Parti, au 1er d'or à trois corbeaux de sable, au 2d, de sinople à trois fasces d'argent à la dentelure de même en chef. (Armes des Ornhac et des Saint-chamant), blason voté le


    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Christiane Monteil UMP  
    mars 2014 En cours Éric Galinon [20]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    DVD Agriculteur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2019, la commune comptait 292 habitants[Note 7], en augmentation de 6,57 % par rapport à 2013 (Corrèze : −0,29 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    808806768607559543523493437
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    416349297265249267270276285
    2019 - - - - - - - -
    292--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et sports

    Shotokan Karaté

    L'association Shotokan Karaté organise des cours et des stages de karaté sous l'autorité de Dominique Nguyen. Le club a produit des champions régionaux et nationaux en kumité et en kata.

    Lieux et monuments

    Notes et références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Branceilles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Pescher et Branceilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Branceilles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Pescher et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

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