Le Teilleul (commune déléguée)
Le Teilleul est une ancienne commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Teilleul.
Le Teilleul commune déléguée | |
L'église Saint-Patrice et le monument aux morts. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Avranches |
Commune | Le Teilleul |
Statut | Commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Véronique Kunkel 2020-2026 |
Code postal | 50640 |
Code commune | 50P31 |
Démographie | |
Gentilé | Teilleulais |
Population | 1 188 hab. (2018) |
Densité | 39 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 32′ 18″ nord, 0° 52′ 24″ ouest |
Altitude | Min. 103 m Max. 222 m |
Superficie | 30,45 km2 |
Élections | |
Départementales | Le Mortainais |
Historique | |
Date de fusion | |
Commune(s) d'intégration | Le Teilleul |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.leteilleul.fr |
Elle est peuplée de 1 188 habitants[Note 1].
Géographie
La commune est au sud-est de l'Avranchin historique, au sud du Mortainais, près de la limite administrative entre la Basse-Normandie, les Pays de la Loire en Bretagne. Son bourg est à 14 km au sud de Mortain, à 16 km au nord de Gorron, à 18 km à l'est de Saint-Hilaire-du-Harcouët et à 19 km à l'ouest de Domfront[1].
Hydrographie
Le territoire est situé sur la ligne de partage des eaux de la mer de la Manche et de l'océan Atlantique. Sur le versant nord les ruisseaux et rivières vont se jeter dans la Sélune alors que ceux sur versant sud, vont rejoindre le ruisseau de la Morette, affluent de la Mayenne pour finir dans la Loire. L'étang de Morette est sur la limite avec Mantilly, commune du département de l'Orne. Morette vient du nom hébreu Mareth.
Bassin versant de la Sélune
- Ruisseau des Gués, prenant sa source au lieu-dit la Gasneraie, devenant ruisseau du Marignon, au passage de la D184, limite avec la commune de Sainte-Marie-du-Bois, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau du Moulin de Pontorsier, prenant sa source au lieu-dit la Palière, devenant rivière dite du Moulin de Chevrier au lieu-dit la Chaloisière, limite avec la commune de Husson, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau du Gués des Ferrières prenant sa source au lieu-dit la Fouquerie, limite avec la commune de Notre-Dame-du-Touchet, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau de Mesnelle, devenant ruisseau du Gués des Ferrières à la Fouquerie, limite avec la commune de Notre-Dame-du-Touchet.
- Rivière de la Francière, prenant sa source au lieu-dit la Tressinière, limite avec la commune de Saint-Cyr-du-Bailleul, pour y rentrer.
- Ruisseau de la Roussarière, prenant sa source au lieu-dit la Roussardière, limite avec la commune de Sainte-Marie-du-Bois pour y entrer ensuite.
Bassin versant de la Loire
- Ruisseau de Longuèves, prenant sa source au lieu-dit la Gortière, limite communale avec Heussé, pour y entrer ensuite.
- Ruisseau de Morette, prenant sa source au lieu-dit la Boulangerie, formant durant son passage l'étang de Morette, limite avec la commune de Mantilly, se jetant dans le ruisseau de Longuèves au lieu-dit Nantrais.
- Ruisseau dit de la Menillière, prenant sa source au lieu-dit Beauchamps, limite avec la commune de Saint-Cyr-du-Bailleul, pour ensuite entrer dans la commune de Saint-Mars-d'Égrenne.
Transport ferroviaire
Le Teilleul avait, en commun avec Barenton, une gare ferroviaire, dénommée Barenton - Le Teilleul, située sur la ligne Domfront - Avranches.
Axes routiers
Le bourg se trouve au croisement de la D 976 (ancienne route nationale 176) et de la D 32 qui mène de Gorron à Mortain (route construite au XIe siècle[2]).
Transport inter-urbain
Le bourg est desservi par le transport en commun départemental par bus (Manéo) via les lignes 119 (Le Teilleul - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Avranches) et 305 (Le Teilleul - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Avranches - Coutances, ligne scolaire).
Communes limitrophes
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Telliol en 1082, de Telliolo en 1158[4].
Forme ancienne Telliolum[5].
Issu du latin tilia, le tilleul était désigné en ancien français til ou teil[6]. Le toponyme semble formé à partir de ce dernier terme.
Histoire
La châtellenie du Teilleul remonte au Xe siècle et semble n'avoir vécu que deux siècles[2]. La première trace écrite d'une souveraineté au Teilleul apparait avec Unsfrield, dit le Danois (Unfred le Danois ou Unfrid le Danois), terre donnée par Guillaume Longue-Épée pour le zèle de ces preux chevaliers (933). Ces terres furent érigées en baronnie[2].
C'est à partir de ce moment que la ville se fortifie[7] : Massif formidable de tours, de contreforts, de fort et de créneaux, dominant la vallée et présentant le flanc au tertre de Montécot. L'une des issues des remparts est nommée « la Basse-Porte ».
Robert du Teilleul donna aux moines d'Ouches l'église du Teilleul et plusieurs fiefs : Terra in quaest templum Sancti Petri quom Robertus de Rodeland (Ruddlam) olamabat ad Teiland[8].
Alors seigneurie d'Omfroy-du-Teilleul, son château-fort fut l'un des quatre pris par Geoffroy, comte d'Anjou courant XIIe siècle.
En 1169 et 1173[Note 2], la ville fut brûlée par des rebelles[9] dans les guerres entre Matthieu comte de Boulogne Hascouet de Saint Hilaire[10] et les troupes de Henri II, roi d'Angleterre, sous les ordres de Robert de Fougères : Castrum Tellioli traditit incendio. Robert-du-Mont dit que ce fut ce dernier qui incendia Le Teilleul.
La sergenterie d'Ouessey était un demi-fief de Haubert, la charte de Navarre 1401 dit : Un demi-fief, le fief d'Ouessey, le chef, assis au Teilleul, appartenant à Jéhan d'Ouessey, écuyer, tenu de Guillaume le Sotherel, écuyer, à cause de la barronerie des Biard, vault le renvenue de C livres.
En 1418, Jean d'Ouessey se soumet au roi anglais ce que ne fait pas Geffroy d'Ouessey, époux de Catherine d'Harcourt, ses biens sont confisqués et donnés à Nicolas Burdet.
Une tempête s'abat le , renversant bon nombre d'arbres et de demeures[2].
Le , le bourg est incendié par quelques centaines de Chouans qui mettent le feu aux maisons afin de faire sortir les gardes nationaux et volontaires retranchés. Ce qui met 300 personnes sans abri[11].
Le [12], à 15 h, une météorite, d'un poids de 0,8 kg, de type achondrite howardite AHOW, tombe à la Vivionère[13].
En 1801, la commune fait partie de l'arrondissement de Mortain. En 1926, elle passe sous celui d'Avranches.
En 1944, Le Teilleul est bombardé du au [14].
XXIe siècle
En 2016, la commune s'associe à d'autres communes pour former une commune nouvelle, Le Teilleul. L'ancienne commune prend alors le statut de commune déléguée.
Plus précisément, le , Le Teilleul fusionne avec quatre autres communes, formant la commune du Teilleul[15] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Ferrières, Heussé, Husson, Sainte-Marie-du-Bois et Le Teilleul (ancien territoire) deviennent des communes déléguées et Le Teilleul est le chef-lieu de la commune nouvelle.
Politique et administration
Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[16]. Treize de ces conseillers[15] intègrent le conseil municipal de la commune nouvelle le jusqu'en 2020 et Véronique Künkel devient maire délégué.
Population et société
Démographie
En 2018, la commune comptait 1 188 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Le Teilleul (commune déléguée)[17]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 6].
Écoles
- École publique Antoine-de-Saint-Exupéry.
- École privée mixte Saint-Patrice fermée depuis .
Collège
- : fermeture du collège public Pierre-Mottier.
Festivités et manifestations
- Foire de la Saint-George, fête annuelle de la commune, un titre de 1609 la mentionne.
- Tous les jeudis matin : marché, place du champ de foire. Ce marché est mis en place à la suite d'une demande des habitants en 1573[20].
- Tous les premiers samedis de mois pendant la période estivale : marché des produits locaux et artisanaux.
Économie
Les grandes entreprises situées sur la commune :
- ZA la Pommeraie
- Jacky Leduc : fabrication et fumage d'andouille de Vire (avec appellation AOC),
- Kunkel : fabrication de palettes en bois,
- MBS : fabrication de meubles d'agencement.
- Lieu-dit la Pierre Blanche
- Mongodin : entreprise travaux publics.
- Lieu-dit le Bois Badon
- Pépinières Lecomte.
- Route de Saint-Hilaire
- Blanchard : vente et réparation matériel agricole ;
- D2N : commerce de gros de céréales, de semences et d'aliments pour le bétail.
Culture locale et patrimoine
L'église Saint-Patrice
La paroisse de Saint-Patrice, existant avant la construction du château, remonte à l'évangélisation du pays vers le VIe ou VIIe siècles. L'église primitive est détruite lors de l'invasion des Normands et est reconstruite à la même place. L'église Saint-Patrice et ses dépendances sont données par la suite à l'abbaye de Savigny.
L'église baptismale fut construite à l'actuel lieu-dit Saint-Patrice après accord de l'abbé de Savigny (vers 1204-1212). Un cimetière se situa au château pour y enterrer ses morts[21]. Il ne reste de cette église que deux piliers de la porte d'entrée. Le presbytère de cette église se situait au lieu-dit actuel la Chérulière[22]. Elle était construite en arête de poisson (opus spicatum)[2].
Ce fief ecclésiastique gardera son siège jusqu'en 1851. C'est aussi cette année qu'elle est détruite et dépouillée lors de la Révolution.
L'actuelle église Saint-Patrice abrite la statuette de saint Patrice le saint patron de cette église inscrite aux monuments historiques le [23]. Les fonts baptismaux et leur couvercle sont classés à titre d'objet[24].
- : Charles-François de Vieuville, abbé commendataire de Savigny
- Guillaume Tarot
- Richard Tarot
- : Jean Séquard
- Claude Pillet
- 1658 : Jean Blin, curé de Saint-Théobald de Rosay-Gastebled
- 1709 : Jean-Baptiste Pontaud
- : Guillaume Jéhan : prête du diocèse
- : Gilles Bouillon, curé de Barenton
- Pierre Cousin
- : Charles Pasturel prêtre du diocèse
- : Julien Thébault († , vicaire du Teilleul
- : François-Auguste Santerre
- : Gilles-Louis de Vauflery
- : Étienne-Jacques Breillot (° , Le Teilleul - )
- 1791 : M. Breillot
- Jean-Noël Joubin
- 1804 : Jean-Baptise-François Bouvet
- Père Michel Seigneur
- : Père Philippe Navet
Autres monuments religieux
- Chapelle Sainte-Catherine d'Ouessey
- Chapelle domestique du logis d'Ouessey, en 1670, elle avait un titulaire, mais n'en avait plus en 1752. Elle est de construction gothique. Elle y est encore présente.
- Chapelle de la Durandière
- Elle était la chapelle domestique du château de la Durandière. Elle fut épargnée pendant la Révolution, mais depuis n'existe plus.
- Chapelle Saint-Aubert de Languèves
- Chapelle domestique du manoir de Languèves, le dernier titulaire de cette chapelle était Jean Rivière, prêtre de Heussey (actuellement Heussé) le .
- Chapelle Saint-Senier
- Petit oratoire près du lieu-dit Gué-de-Cassour.
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié
- Chapelle du cimetière de Saint-Patrice fondée et dotée par les seigneurs de la Campionnière. En 1752, Siméon Séquard, prêtre du Teilleul, en était titulaire. Elle était située entre l'emplacement de l'église et l'entrée du cimetière.
- Chapelle de la maladrerie de la Madeleine
- Elle fut construite vers l'époque de la mort de Louis VIII, et dès 1336, elle n'avait guère de lépreux, un trésorier refusait à la maladrerie ce qu'auparavant elle pouvait réclamer[2], elle était en ruine en 1609 et fut détruite avant 1790.
- Une croix au carrefour de la route de Domfront et de Mantilly rappelle en ce lieu la présence d'une chapelle liée à la maladrerie plantée par la famille Ferré-des-Ferris.
Le château de la Durandière
Me Siméon-Léonard Séquard (1713-1786), prêtre et chapelain du château de la Durandière, fils d'Estienne Séquard (1678-1742) seigneur des Gués et de La Bergeottière et de Barbe Cousin de Jarrosay[25].
Au XVIIIe siècle, la Durandière et la vavassorerie de la Buissonnière appartenait aux De Vaufleury[26].
Étienne de Vaufleury (d'azur au sautoir d'or cantonné de quatre roses de même), écuyer, procureur du Roi à Mortain, anobli par l'édit du Canada en 1628[27], seigneur de la Durandière et du Bouet (Jeanne apporta en dot le fief de La Nocherie), époux d'Anne de Jumilly ;
Jean de Vaufleury (1632-, Le Teilleul) (d'azur à une croix d'argent), sieur de la Durandière et de Pouey, fils d'Étienne, écuyer ;
Henry de Vaufleury (1675-, Le Teilleul), écuyer, seigneur de Pouay, de la Durandière et de la Rivière, fils de Jean ;
Joseph de Vaufleury (, Le Teilleul - ), sieur de la Durandière, de la Buissonière, de la Rivière et de Montfoucault, fils d'Henry, époux d'Antoinette Bourget ;
Henry François de Vaufleury (° , Le Teilleul), seigneur de Pouey et de la Durandière, fils de Henry et frère de Joseph, quitta la région pour s'installer dans la Mayenne et y continuer la seigneurie de la Durandière ;
Henri Antoine de Vaufleury (, Le Teilleul - , Mortain), seigneur de la Durandière, de la Rivière et de Montfoucault, fils de Joseph.
Louis César de Vaufleury, fils de Joseph et Antoinette Bourget fut maire du Teilleul en 1811.
Louis Couture de Toismonts, petit-fils de Louis César y naquit le [28] et en fut le châtelain.
Autres lieux
On retrouve sur la commune, ainsi que sur celles limitrophes, des manoirs, grandes maisons bâties de pierre et souvent associés à un corps de ferme attenant mais indépendant et détaché de la maison en elle-même.
- Manoir de la Rouérie-Bénusson (XVIe – XIXe siècles).
- Son appareil défensif rappelle la violence extrême des guerres de religion dans le Mortainais.
- Le manoir est construit à la fin du XVIe siècle par Martin Davy, écuyer, frère cadet du seigneur de Vezins.
- Château des Louvellières (XVIIe siècle).
- Ce manoir porte la date de 1658. Au milieu du XIXe siècle, son propriétaire, M. Ferré de Ferris fait transférer et remonter des éléments provenant de l'abbaye de Savigny.
- Château de la Basse-Porte (XVIIIe siècle).
- Centre de secours jusqu'en 1981.
- Château des Ouches (XIXe siècle).
- Château des Conches
Autres bâtiments
- La maison de retraite publique.
- Le centre multimédia permet d'utiliser les équipements informatiques de la médiathèque.
Seigneurs et barons
- Unfrid le Danois, seigneur du Teilleul[29], déjà baron d'Hiesmese devint baron du Teilleul, il fit construire le château du Teilleul et fit entourer la ville de murs.
- Onfroy du Teilleul[30] ; Adelise de Grentemesnil, sa femme.
- Robert du Teilleul, fils de Onfroy et Adelise, baron du Teilleul.
- Robert du Teilleul, fils de Robert du Teilleul.
- Robin et Alexandre du Teilleul (1198), fils de Robert du Teilleul.
- Gilles de vaufleury, seigneur d'Ossé au Teilleul.
- Othon du teilleul.
- Jean Juhé (XVe siècle).
- Jéhan du Teilleul (1365).
- Jacques Cochards (1577-1600) (de gueules à trois fasces d'argent), sieur de la Cochardière, fut maître des Eaux et Forêts à Mortain.
Autres
- Guillaume Morel, (1505-1564) imprimeur et érudit.
- Jean Morel (1541-1559), frère du précédent, martyr protestant.
- Fédéric Morel (1558-1639), fils de Guillaume, imprimeur du roi.
- Jean Le Bigot (1549- ????), écrivain.
- Émile Malon (1888-1940), député de La Manche.
- Jean-Marie Prévost (1918-1997), footballeur et entraîneur français, est né au Teilleul.
- Émile Bizet (1920-1983), homme politique.
- Jean Bizet (1947-), homme politique.
Héraldique
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Les armes de la commune du Teilleul se blasonnent ainsi :
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Voir aussi
Sources et références
Notes
- Population municipale 2018, légale en 2021.
- Plusieurs sources différentes donnent deux dates, mais une majorité d'entre elles avancent celles vers 1173, et deux autres sources donnent ces deux dates, un document confirmerait que la ville fut bien brûlée deux fois.
- Père d'Émile Malon, maire de 1938 à 1940
- Fils d'Émile Malon, maire de 1888 à 1912
- 1er adjoint, par intérim
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- Extrait des mémoires sur le Teilleul, par Émile Dubois, vicaire de Husson, 1883.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1266.
- Laurence Echard, M. Vosgien (trad. Laurence Échard), Dictionnaire géographique portatif, Didot, (lire en ligne), p. 528.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 103
- Panorama pittoresque de la France, Didot and Firmin, .
- Domesday Book in Hist. Angl. Script. III 759 G.Gale.
- Louis Dubouis, Recherches archéologiques, historiques, biographiques et littéraires sur la Normandie (lire en ligne), p. 159.
- N.-R. Potin de La Mairie, Recherches sur les possessions des Sires normands de Gournay, le Bray normand et le Bray picard et sur toutes les communes de l'arrondissement de Neufchâtel, (lire en ligne), p. 153.
- Léon de La Sicotière, Louis de Frotté et les insurrections normandes, Adamant Media Corporation (ISBN 978-0-543-96310-9), p. 351.
- Académie des sciences (France), Comptes-rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences, t. LXXXVIII, Bachelier (Paris), , p. 544.
- (en) Monica M. Grady, Andrew Graham, Robert Hutchinson,, Catalogue of Meteorites- With Special Reference to Those Represented in the Collection of the…, Cambridge University Press, , 689 p. (ISBN 978-0-521-66303-8 et 0-521-66303-2, lire en ligne), p. 301.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 370.
- « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Le Teilleul » [PDF], sur le site de la préfecture de la Manche (consulté le ).
- « Le Teilleul (50640) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- Date du prochain recensement à Le Teilleul (commune déléguée), sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches, t. 6, E. Tostain (Avranches), 1842-1902 éd. (ISSN 1770-6106), p. 82
- Annuaire du département de la Manche, 25e année publié par Julien Gilles Travers en 1853, p. 85.
- Sauvage Hippolyte, Mortain pendant la terreur…, Impr. de J. Durand (Avranches).
- « Église Saint-Patrice », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fonts baptismaux et leur couvercle », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Revue départementale de la Manche, .
- Jean ?
- Annuaire administratif, statistique et historique du département de l'Eure, (lire en ligne), p. 176
- Hippolyte Sauvage, Louis Couture de Troismonts, , p. 12
- Jean Jacques Desroches, Histoire du Mont Saint-Michel et de l'ancien diocèse d'Avranches, (lire en ligne), p. 164
- Petit-fils de Unfred le Danois, fils de Ansfrild, dit Gotz ( - 1035)