Le Gendarme se marie

Le Gendarme se marie[1] est un film comique italo-français réalisé par Jean Girault, sorti en 1968.

Le Gendarme se marie
Réalisation Jean Girault
Scénario Jacques Vilfrid et Jean Girault
Musique Raymond Lefèvre
Acteurs principaux
Sociétés de production SNC (Paris)
Medusa Distribuzione (Rome)
Pays de production France
Italie
Genre Comédie
Durée 92 min
Sortie 1968

Série

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Troisième film de la série du Gendarme, suivant Le Gendarme à New York et précédant Le Gendarme en balade, il a eu un succès égal au premier film et son tournage fut perturbé par une longue grève déclenchée par les événements de mai 68.

Synopsis

Le modèle de Ford Mustang 1968 Cabriolet, de Josépha jouée par Claude Gensac.

Le film débute un 1er juillet, date traditionnelle de départ en vacances en France.

Le maréchal des logis-chef Cruchot se voit confier une mission d'envergure afin de traquer les chauffards et les verbaliser. Cette opération va s'avérer pleine de surprises et d'imprévus notamment celui qui termine l'opération par la poursuite d'une conductrice se souciant peu des règles du code de la route et conduisant sa Ford Mustang décapotable avec fougue. Cette poursuite se terminera devant la gendarmerie de Saint-Tropez. La pimpante veuve du colonel de gendarmerie Lefrançois, Josépha, est l'intrépide conductrice de la belle décapotable. Elle vient se faire connaitre à la gendarmerie du lieu de son séjour estival et est accueillie fort civilement par l'adjudant Gerber, qui doit s'absenter provisoirement. Cruchot arrivant sur ces entrefaites, tombe nez à nez avec la « chauffarde » dont il ignore l'identité et en profite pour la sermonner, puis la verbaliser. Mais au retour de son supérieur, qui lui fait aussitôt prendre conscience de sa méprise, il se verra remis très sérieusement à sa place et devra se faire tout petit face à cette superbe femme aux relations puissantes. Le « coup de foudre » s'opère aussitôt, d'autant que Josépha est ravie de faire la connaissance de la toute petite fille de Cruchot, Nicole, qui en réalité s'avérera nettement plus grande…

Bientôt, celle-ci n'hésite pas à pousser son nouvel amant à prendre du galon, en l'incitant à préparer le concours d'adjudant-chef, avec la complicité de Nicole. Il se verra soumis à un régime sévère garant d'un incontestable succès, au grand dam de l'adjudant Gerber qui vise lui aussi l'avancement.
Cruchot gagne l'examen et est promu adjudant-chef au regret de Gerber. Mais le règne de Cruchot prendra vite fin lorsqu'on apprend qu'il y a eu une erreur dans les résultats et c'est Gerber qui obtient le grade d'adjudant-chef. Celui-ci compte bien prendre sa revanche sur Cruchot.

Pendant ce temps, Fredo le Boucher, un dangereux bandit s'évade (il s'était glissé dans un cours de danse où se trouvait Cruchot pour essayer d'échapper aux gendarmes. Cruchot, ne voulant pas être vu par ses hommes et ne reconnaissant pas tout de suite le bandit, tente de s'échapper avec lui mais finit par aider ses hommes à le capturer). Désireux de se venger de Cruchot, il utilise Josépha comme appât pour l'attirer mais c'est Gerber qui répond à l'appel à la suite d'une erreur. Fredo tente alors de s'enfuir vers la frontière avec Josépha comme otage. Cruchot le prend en chasse et réussit à l'arrêter. À la fin, Cruchot se marie avec Josépha en même temps que Nicole avec un de ses amis.

Fiche technique

Distribution

Production et réalisation

Développement

Louis de Funès observé par Jean Girault, lors du tournage du Gendarme et les Extra-terrestres, en 1978.

Après Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) et Le Gendarme à New York (1965), deux grands succès, le réalisateur Jean Girault, son co-scénariste Jacques Vilfrid, et leur partenaire Richard Balducci décident d'un troisième film dans lequel le personnage de Louis de Funès se marierait[2]. Dès 1966, des rumeurs évoquent l'idée de marier Ludovic Cruchot à une riche Américaine en villégiature à Saint-Tropez[2]. Il est ensuite imaginé de lui faire épouser une veuve d'un colonel de gendarmerie, qui place en Cruchot de grandes ambitions, fondements du scénario[2]. Pour être sûr que le sujet plaise aux amateurs de la série, Girault et Vilfrid lancent un sondage dans la presse, avec des résultats favorables pour un film où Cruchot se marie[3]. Au détour d'un interview, en juin 1967, lorsqu'il tourne Les Grandes Vacances, Louis de Funès révèle que l'un de ses projets à venir serait « un ultime Gendarme, Le Gendarme se marie »[4].

L'acteur principal aimant retrouver les mêmes comédiens autour de lui, le rôle de la nouvelle épouse de Cruchot est distribué à Claude Gensac[2]. L'année précédente, l'actrice avait déjà été l'épouse de ses personnages dans Oscar et Les Grandes Vacances, sur l'idée de la véritable épouse de Louis de Funès[2]. Selon Bertrand Dicale, biographe funésien, ce serait le jeu de Claude Gensac, « volontiers vieille France », qui aurait inspiré la stature du personnage, veuve d'un militaire haut placé[2]. Louis de Funès apprécie cette partenaire efficace, qui a le même tempo de jeu que lui, du répondant, et ne s'épuise pas et reste bonne au fil des nombreuses prises qu'il réclame pour peaufiner son jeu[5]. Il la contacte début mars 1968, deux mois avant le tournage[Note 2]. Le réalisateur aurait néanmoins préféré une autre actrice[6].

Des précédents films, reviennent tous les autres gendarmes  Michel Galabru, Jean Lefebvre, Christian Marin, Guy Grosso et Michel Modo  ainsi que Geneviève Grad dans le rôle de la fille de Cruchot et France Rumilly dans le rôle de la religieuse[7]. Grad joue ici dans son dernier Gendarme : « Au départ, je n'étais pas tellement d'accord pour tourner une autre suite, mais à présent que je suis cantonnée dans ce rôle d'ingénue, autant m'y tenir. Au moins, je retrouve le chemin des studios »[8]. Le rôle du colonel de gendarmerie rendant visite à la brigade est confié à Yves Vincent, qui avait permis à Louis de Funès de jouer dans Un tramway nommé Désir lors de ses années de galère[7].

Marcel Grignon est engagé comme directeur de la photographie, après l'avoir été pour Les Grandes Vacances[9].

Ce qui devient une série de films est alors conspué par certains gendarmes, qui considèrent leur institution tournée en ridicule[7]. Après Le Gendarme à New York, des gendarmes à la retraite  n'étant plus tenus au devoir de réserve  lancent des pétitions, relayées par L'Essor de la Gendarmerie et de la Garde, pour interdire le tournage de nouveaux films du Gendarme de Saint-Tropez[7]. Yvon Bourges, secrétaire d'État chargé de l'Information, répond officiellement qu'aucune interdiction de ces films n'est envisagée par le gouvernement[7]. Dans un esprit d'apaisement, un message d'avertissement est présenté avant le générique[7] :

« Ce film vous présente de nouvelles aventures d'un gendarme « hors-série ».
Œuvre d'imagination faite pour votre divertissement, il est, par delà la fantaisie, un hommage indirect, puisqu'il en est l'objet, à un grand Corps de l'État dont les personnels se signalent au respect des populations par leur pondération et leur valeur. »

 Message ouvrant Le Gendarme se marie et Le Gendarme en balade[7].

Le Gendarme et mai 68

« Ils étaient à Saint-Tropez, ils étaient tranquilles, gagnaient de l'argent, tournaient au soleil, les pieds dans l'eau… et ils se préoccupaient tous de ce qu'il se passait à Paris ! »

 Richard Balducci, 2005[5].

Le tournage du film est paralysé par mai 68, ce qui n'est pas du goût de Louis de Funès.

Le tournage commence le , à la date prévue[7]. La production n'a pas jugé bon de repousser le tournage, alors le pays est agité et bloqué par les grèves et révoltes de mai 68 depuis quelques semaines, imaginant que Saint-Tropez ne serait pas touché, étant une ville à part, de villégiature, loin de Paris[5]. Les premiers jours de tournage ont lieu dans une ambiance sereine[7]. Le producteur Gérard Beytout confirme à Grosso et Modo, coincés à Paris, que le tournage a bien lieu : surmontant la pénurie d'essence, ceux-ci descendent en trois jours à Saint-Tropez, où ils apprennent à leur arrivée qu'une réunion syndicale a lieu pour envisager une grève[5],[10].

Le milieu du cinéma français est alors gagné par le mouvement national : dans les studios parisiens ou en extérieurs, des machinistes, des techniciens et des acteurs rejoignent la grève[11]. Des techniciens de Paris  où tous les tournages s'arrêtent le 23 mai[11]  viennent convaincre l'équipe du Gendarme se marie de faire grève[12]. Par solidarité avec les autres grévistes français, des membres de l'équipe se retirent peu à peu[11]. Les discussions politiques débordent sur les heures de travail[11]. Le tournage en est ralenti[10]. De même que Louis de Funès[10], le producteur est hostile à la grève, effrayé par les pertes financières d'une suspension de tournage[12].

La plupart des tournages en France, français ou étrangers, sont déjà interrompus, paralysés par les grèves ou par les pénuries d'essence. Une réunion pour décider de l'arrêt du tournage a lieu en présence des première et secondes équipes, tous les corps de métiers, dans une villa louée par la production, où chacun prend la parole[11],[5],[13],[Note 3]. Christian Marin se souvient qu'« à un moment, de Funès a dit quelque chose comme « eh bien moi, je ne sais pas. Si vous faites la grève, je la fais ; si vous ne la faites pas, je ne la fais pas. » Et sa femme a dit « Louis ! » en lui faisant signe de se calmer »[13]. Le producteur annonce aux membres de l'équipe qu'il ne paiera plus leurs défraiements et leurs locations s'ils font grève[14]. Louis de Funès menace de pas engager les grévistes sur ses prochains films[14]. La grève est finalement votée[14].

Louis de Funès continue pourtant de se présenter au maquillage chaque jour, pour marquer son opposition, n'étant préoccupé que par son film[13],[10]. Le Syndicat français des acteurs lui enjoint de faire grève[10]. Ne parvenant pas à le convaincre d'arrêter le travail, Jean Girault fait appel à Daniel Gélin, alors en vacances à Saint-Tropez[10],[12]. Cet acteur, vieil ami de Louis de Funès, qu'il a lancé au cinéma, lui conseille de cesser son entêtement[12],[10],[Note 4]. Louis de Funès rejoint les grévistes le 24 mai[10]. Le Gendarme se marie était probablement le dernier film encore en tournage à ce moment-là en France[13]. Beytout tourne néanmoins quelques plans avec les non-grévistes pour rassurer ses associés[14].

« Louis, même les Américains qui tournent en France, par solidarité, font grève… La distribution de ton film est en grève, les techniciens sont pour la plupart en grève, aucun accessoiriste ne travaille… et toi… et toi tu tournes ! Je te le dis, tu te couvres de ridicule !
— Je les aime bien, tous ces gens, mais je n'ai pas que cela à foutre !
— Sois sérieux, Louis, de Gaulle n’est pas là. Si la gauche prend le pouvoir, ce sera comme l'épuration. Tu t'en souviens… Et tu seras montré du doigt ! »

 Discussion entre Daniel Gélin et Louis de Funès, à propos de la grève[10].

La grève  « une belle grève, aux frais du producteur », selon Michel Galabru  se déroule dans une agréable ambiance de vacances, sous le soleil[5],[13]. Privée de logements, une partie de l'équipe loge dans la propriété de Macha Méril[5], d'autres gratuitement au très chic hôtel Byblos[14]. Les grévistes sont seuls dans un Saint-Tropez isolé et vide de ses touristes[14]. Les commerçants, sans clients, leur bradent leurs marchandises[14]. Toute l'équipe  acteurs, techniciens, machinistes, figurants  passe ses journées à la plage ou la piscine[16]. Des membres de l'équipe s'amusent de ce décalage entre la grève, mouvement ouvrier, et son cadre, une station balnéaire de luxe[5]. Marin raconte : « Entre le grondement parisien et le dilettantisme tropézien, on passait beaucoup de temps à la plage. Pendant ce temps-là, de Funès avait vraiment l'air de bouillonner »[13]. Modo fait remarquer que la réunion pour décider de la grève a lieu dans une luxueuse villa des Parcs de Saint-Tropez, l'endroit le plus riche de la ville[5]. Galabru se souvient qu'un réalisateur célèbre est venu, accompagné d'une belle pépée, à bord d'une rutilante voiture de sport, les inciter à faire grève[5]. Le coordinateur des cascades Rémy Julienne juge lui aussi la grève inappropriée : « Je ne comprenais pas que le personnel du film puisse se mettre en grève alors que nous étions comme des coqs en pâte, logés dans des hôtels quatre étoiles avec des défraiements somptueux. En comparaison, le monde de la moto que j'avais connu avant était beaucoup plus âpre »[17].

Selon Jean-Paul Schwartz, l'ambiance se dégrade après plusieurs jours, notamment à cause du manque à gagner pour les grévistes[13]. La rumeur se propage que le producteur compte déplacer le tournage en Italie pour y terminer le film sans les techniciens français, ce qu'ont déjà fait tous les producteurs américains qui avaient prévu un tournage en France ce printemps 1968[13]. Une réunion est organisée pour poursuivre ou non la grève[16]. Michel Galabru, grandiloquent, y fustige les membres de l'équipe et leur rhétorique d'extrême gauche  notamment à propos des bas salaires du cinéma français  contradictoire avec leurs conditions de travail actuelles à Saint-Tropez et leurs paies[5],[18]. Le producteur menace d'ailleurs de ne plus payer personne si la grève se poursuit[16]. Le tournage du Gendarme se marie reprend le 6 juin, après un vote à bulletins secrets de l'équipe, avec 46 voix contre 26 en faveur de l'arrêt de la grève[19],[16]. Une délégation menée par le président du syndicat CGT du cinéma Denys de La Patellière  qui venait de diriger de Funès dans Le Tatoué  était venu pour faire respecter les décisions syndicales, en vain[19]. Les autres tournages français ne reprennent que le 10 juin, le lendemain de l'obtention d'augmentations salariales par les syndicats du cinéma[19].

Comme il l'avait annoncé, Louis de Funès ne reprend pas les techniciens grévistes sur ses films suivants, à l'exception du cadreur Jean-Paul Schwartz et de la scripte Colette Robin[14].

Un tournage décalé et pénible

Casque de plongée, gants et palmes utilisés par Louis de Funès lors du tournage. Exposé au musée de la Gendarmerie et du Cinéma de Saint-Tropez.

Le tournage se déroule à Saint-Tropez, dans le Var. Et plus particulièrement dans les communes de Grimaud, Cogolin et La Motte. La villa de Josepha est la villa Rebijoye, propriété privée, qui se trouve sur les hauteurs du golfe de Saint-Tropez[20] ; elle a par la suite appartenu à l'homme d'affaires Claude Dray[21].

Bande originale

Comme pour toute la série, la musique du film est composée par Raymond Lefebvre[Note 5].

Paul Mauriat, qui avait refusé de composer la musique du premier film pour des histoires d'emploi du temps, mais qui avait participé à l'écriture de la musique du Gendarme à New York avec Raymond Lefèvre (les deux ont longtemps collaboré), a laissé une nouvelle fois son acolyte composer la musique du film seul : il en sera de même pour les films suivants de la série.

L'album Bande-originale du film Le Gendarme se marie sort en 2010, soit quarante-sept ans après la sortie du film et deux ans après la mort de Raymond Lefèvre.

No Titre Durée
1. Générique 2:15
2. Le Gendarme au byblos 1:42
3. Ma biche ... 1:56
4. Valse de la séduction 1:52
5. Marche des révisions 1:27
6. Slow du Gendarme 1:35
7. Cours de danse 1:22
8. Le Gendarme pop 3:13
15 min.

Accueil

Box-office

Le film est un gros succès au box-office de l'année 1968 avec 6 828 626 entrées en salle[6], se classant ainsi en tête des sorties françaises ; loin derrière Le Livre de la jungle toutefois avec ses 14 695 741 spectateurs.

Autour du film

  • Louis de Funès se montra particulièrement inspiré pour ce troisième volet de la saga des Gendarmes, en inventant une quantité de gags dans ce film.
  • Mme Gerber a changé de prénom : dans le premier film, elle s'appelle Cécilia et dans ce film-ci, elle se prénomme Gilberte (selon une discussion entre Gerber et elle).
  • Lors du repérage de « Fredo le Boucher » sur le marché, le gendarme Berlicot sort la fiche du bandit, mais c'est le nom véritable de Mario David qui apparait.

Notes et références

Notes

  1. L'adjudant Gerber se prénomme Alphonse dans Le Gendarme de Saint-Tropez. Son prénom devient étrangement Jérôme dans Le Gendarme à New York, Le Gendarme se marie et Le Gendarme en balade, puis Antoine dans Le Gendarme et les Extra-terrestres, avant de revenir à Alphonse dans Le Gendarme et les Gendarmettes.
  2. Claude Gensac, 2005[6] : « Louis m'avait téléphoné début mars 1968 : « Dans mon prochain film, tu seras Mme Ludovic Cruchot. On commence à tourner en mai. Jeanne et moi, on part en vacances. À bientôt, on t’embrasse. » – « Bien, mon colonel ! » avais-je répondu en riant ».
  3. Parmi les grévistes figurent le cadreur Jean-Paul Schwartz, la scripte Colette Robin et le deuxième assistant-opérateur Bernard Grignon, tandis que son père Marcel Grignon, chef opérateur, le réalisateur Jean Girault, Louis de Funès, Gérard Beytout, Michel Modo et Michel Galabru sont des opposants[14].
  4. Selon Daniel Gélin, le producteur Gérard Beytout aurait pris ombrage de cette ingérence, mauvaise pour son film, et aurait engagé Maurice Ronet à sa place dans La Piscine[12] : « Ça m'a coûté très cher. Le producteur me regardait comme un fouteur de merde, celui qui a mis de Funès en grève, ça m'a fait énormément de tort »[15].
  5. D'habitude crédité « Raymond Lefèvre » sur ses disques ou films, Raymond Lefebvre est crédité au générique du film sous son vrai nom, comme c'est le cas dans Le Gendarme de Saint-Tropez, Les Grandes Vacances, puis Le Gendarme en balade et La Soupe aux choux, des films tous réalisés par Jean Girault.

Références

  1. Certaines sources font le choix d'écrire le mot « gendarme » avec une lettre minuscule, puisqu'il s'agit d'une phrase verbale : Le gendarme se marie. Exemple de source : Philippe Lombard, Louis de Funès à Paris, 2020, p.51
  2. Dicale 2009, p. 363.
  3. Loubier 2014, p. 234.
  4. « Souvenirs de Juin 1967 : Louis de Funès tournait Les Grandes Vacances au Havre » [vidéo], sur ina.fr, Normandie actualités, France Régions 3 Rouen.
  5. Louis de Funès et les gendarmes, documentaire de Jérôme Wybon, Paris Première, 2014.
  6. Gilles Botineau et Jérémie Imbert, « Le Gendarme de Saint-Tropez : coulisses d'une saga culte », sur www.cinecomedies.com, (consulté le ).
  7. Dicale 2009, p. 364.
  8. Raggianti 2007, p. 97.
  9. Raggianti 2007, p. 50.
  10. Loubier 2014, p. 326.
  11. Dicale 2009, p. 365.
  12. Raggianti 2007, p. 102.
  13. Dicale 2009, p. 366.
  14. Raggianti 2007, p. 103.
  15. Stéphan Guérard, « Daniel Gélin », sur lesgensducinema.com, (consulté le ).
  16. Loubier 2014, p. 327.
  17. Raggianti 2007, p. 106.
  18. Michel Modo, 2006 : « [L'arrêt de la grève] tient beaucoup au grand numéro qu'a fait Galabru. Il a harangué la foule comme un vrai tribun, en leur faisant honte d'être nourris et logés aux frais de la princesse »[16]. Les grévistes se sont ensuite sentis ridicules, selon Modo[5].
  19. Dicale 2009, p. 367.
  20. Franck et Jérôme Gavard-Perret, « La Rebijoye (83) », sur Autour de Louis de Funès, (consulté le ).
  21. Arnaud Bizot, avec Rose-Laure Bendavid et Frédéric Helbert, « Meurtre mystérieux à Neuilly », sur parismatch.com, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Philippe Pessay, Les Aventures du gendarme de Saint-Tropez, Anvers, Walter Beckers / Solar, coll. « Ciné Club », , 262 p.
  • Sylvain Raggianti, Le Gendarme de Saint-Tropez : Louis de Funès, histoire d'une saga, Paris, Flammarion, , 175 p. (ISBN 978-2-08-120327-3 et 2-08-120327-8)
  • Bertrand Dicale, Louis de Funès, de A à Z, Paris, Tana (Editis), , 456 p. (ISBN 978-2-84567-785-2 et 2-84567-785-5).
  • Jean-Marc Loubier, Louis de Funès : petites et grandes vadrouilles, Paris, Robert Laffont, , 564 p. (ISBN 978-2-221-11576-3 et 2-221-11576-7, lire en ligne).

Documentaire

Liens externes

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