Orniac

Orniac est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Cet article possède un paronyme, voir Orgnac-l'Aven.

Orniac
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat
Maire
Mandat
Thérèse Vermande
2020-2026
Code postal 46330
Code commune 46212
Démographie
Population
municipale
70 hab. (2019 )
Densité 4,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 45″ nord, 1° 40′ 06″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 364 m
Superficie 16,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Orniac
Géolocalisation sur la carte : France
Orniac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Orniac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Orniac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Célé et par un autre cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « basse vallée du Célé ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Orniac est une commune rurale qui compte 70 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 508 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Orniacois ou Orniacoises.

    Géographie

    Le Célé et le Ruisseau de Bourlandes sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune située à 290 mètres d'altitude, Sa superficie est de 16,8 km².

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 933 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « basse vallée du Célé »[22], d'une superficie de 4 702 ha, abritant une faune, une flore et des milieux naturels remarquables, riches et diversifiés. 15 habitats naturels et 18 espèces, désignés au titre de la directive habitats, y ont été identifiés. Ont également été, mis en évidence la présence de plusieurs espèces remarquables et patrimoniales d'oiseaux, dont le Hibou grand-duc, le Faucon pèlerin et le Circaète Jean-le-Blanc (inscrits à la directive oiseaux)[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « landes et forêt de Montclar » (849 ha), couvrant 4 communes du département[25] ;
    • les « landes, pelouses sèches et bois des Escloupars et des pechs de Cuzals et de Gorse » (1 352 ha), couvrant 3 communes du département[26] ;
    • le « pech de Fumades et forêt de Monclar » (728 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
    • la « rivière Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[28] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] : la « basse vallée du Célé » (4 063 ha), couvrant 15 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Orniac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 1],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (45,6 %), forêts (35,6 %), prairies (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Orniac est basé sur l'anthroponyme latin ou roman Orinius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[33].

    Histoire

    L'abri des Peyrugues; à km de Pech Merle (Cabrerets), est un site de référence pour le dernier pléniglaciaire aquitain[34], dont le Gravettien[35], Solutréen (niveaux stratigraphiques 10, 12z et 12a)[36], Protomagdalénien et Magdalénien.

    Le niveau protomagdalénien (niveau 18, Badegoulien ?) a livré 25 perles percées[37].
    Un niveau gravettien a livré une perle percée semblable à celles de l'abri Pataud (Les Eyzies-de-Tayac, Dordogne) et de l'abri du Blot (Cerzat, Haute-Loire)[35]. La grotte de la Verpillière I a elle aussi livré une perle semblable, mais probablement datée de l'Aurignacien[38].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[39]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1830 Joseph Heretie    
    1830 1847 Jean Pierre Salgues    
    1847 1848 Vincent Heretie    
    1848 1877 Gaspard Grimal    
    1877 1891 Jean François Salgues    
    1891 1896 Louis Liauzi    
    1896 1903 C. Cassan    
    2001 2014 Roland Cassan    
    2014 En cours Thérèse Vermande    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

    En 2019, la commune comptait 70 habitants[Note 9], en diminution de 2,78 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    508437471429413409423412435
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    409431419404384402397403408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    32431131424817715713911797
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    908082879590977772
    2019 - - - - - - - -
    70--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]6,9 %10,6 %14 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 42 personnes, parmi lesquelles on compte 62,8 % d'actifs (48,8 % ayant un emploi et 14 % de chômeurs) et 37,2 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 21, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,5 %[I 8].

    Sur ces 21 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 43 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 71,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,8 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    8 établissements[Note 11] sont implantés à Orniac au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Orniac), contre 13,9 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations13784
    SAU[Note 12] (ha)366429540561

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 561 ha[46],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Orniac et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Orniac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Orniac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7300913 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Orniac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « landes et forêt de Montclar » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    28. « ZNIEFF la « rivière Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
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