Ligné (Charente)

Ligné est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Ligné.

Ligné

Le cimetière médiéval de Ligné.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Marie-Claire Gagnaire
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16185
Démographie
Gentilé Lignéens
Population
municipale
157 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 23″ nord, 0° 06′ 31″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 119 m
Superficie 7,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Ligné
Géolocalisation sur la carte : France
Ligné
Géolocalisation sur la carte : Charente
Ligné
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Ligné

    Ses habitants sont les Lignéens et les Lignéennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Ligné est une commune du Nord Charente située à km au nord-ouest de Mansle et 31 km au nord d'Angoulême.

    Ligné est aussi à km au nord-est d'Aigre, chef-lieu de son canton, 10 km au sud de Villefagnan et 14 km au sud-ouest de Ruffec[2].

    À l'écart des grandes routes, le bourg est desservi par la D 61 qui va d'est en ouest, entre Tusson et Fontenille, et la D 32, nord-sud, qui va de Charmé à Luxé. La D 736, route de Ruffec à Aigre et Rouillac, passe au nord-ouest de la commune à Charmé et Tusson. La N 10 entre Angoulême et Poitiers passe à km à l'est de Ligné[3].

    La gare la plus proche est celle de Luxé, à km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune de Ligné, outre le bourg principal, compte trois hameaux : la Grange, Chez Pauly, Vau Seguin, et la ferme de la Touche[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Ligné
    Charmé
    Tusson Juillé
    Fouqueure Luxé

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, l'Oxfordien au nord et le Kimméridgien au sud (Jurassique supérieur) occupent la surface communale. Le sol est un calcaire argilo-marneux. Des alluvions anciens du Quaternaire bordent la commune à l'est[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement relevée à l'ouest par quelques hauteurs. Le point culminant est à une altitude de 119 m, situé au bois Monjaud sur la limite ouest. Le point le plus bas est à 52 m, situé le long du Bief sur la limite sud-est. Le bourg est à 70 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Ligné.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau du Bief et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    À l'est, un affluent de la Charente, le Bief[9] (parfois aussi appelé ruisseau de Moussac), petit ruisseau qui vient de la commune de Courcôme, sépare Ligné de Juillé et de Luxé. Le Bief est à sec en été en amont du moulin Chauvaud.

    À l'ouest, la Fontaine de Frêne est une source captée, au fond d'une combe qui limite la commune à l'ouest. On trouve aussi des fontaines dans quelques hameau et au sud-est du bourg[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    Ligné est un village à vocation agricole avec un sol fertile (terres de groies, argilo-calcaire, varennes) qui permet la culture des céréales et de la vigne.

    Urbanisme

    Typologie

    Ligné est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), forêts (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), cultures permanentes (4,3 %), zones urbanisées (3,2 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté au Moyen Âge sous la forme Leigniaco (non datée précisément)[18].

    L'origine du nom de Ligné remonterait à un nom de personne gallo-romain Lemnius, issu du gaulois Lemnos, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Lemniacum, « domaine de Lemnius »[19],[Note 3].

    Ligné est au nord de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en , -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny[3].

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Ligné apparaît sur les registres sous le nom de Ligné les Bois. Une explication peut être une francisation fautive à partir du latin lignum signifiant "bois".

    Pendant la Révolution, Ligné les Bois s'est appelée Ligné[20],[21].

    Histoire

    La région de Ligné a été habitée depuis des millénaires ; entre 10 000 et 5 000 ans avant Jésus-Christ, la présence de populations préhistoriques est prouvée par les nombreux dolmens et tumuli alentour, dont le Gros Dognon au sud-ouest du bourg[3],[22],[Note 4].

    Au nord de la commune, près de la Touche, quelques objets témoignant d'un site de l'époque gallo-romaine ont été trouvés, ainsi qu'au bourg près de l'église, des objets de l'époque carolingienne[23].

    Sous l'Ancien Régime, la terre de Ligné était possédée pendant de longues années jusqu'à la Révolution par la famille Dumas ou du Mas, qui en avait pris le nom[22]. Cette famille portait comme armoiries : « de gueules à trois têtes de lion couronnées d'or, lampassées de même posées 2 et 1 ».

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    .... 1959 Philippe Montussac    
    1959 1961 Fernand Tallon SE Agriculteur
    1961 1983 Robert Simmonaud Rad.
    puis MRG
    Conseiller général
    1983 2001 Robert Picaud    
    2001 2014 Jean-Paul Martin SE Retraité
    2014 2018 Alain Authier    
    2018 En cours Marie-Claire Gagnaire SE Retraitée

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 13,40 % sur le bâti, 48,57 % sur le non bâti, 6 % pour la taxe d'habitation et 15 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).

    La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2019, la commune comptait 157 habitants[Note 5], en diminution de 3,09 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    693614627614621597593550544
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    545526518522435449431380343
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    346339284263262265250260250
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    226219216194158167170162157
    2019 - - - - - - - -
    157--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 79 hommes pour 78 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,5 
    90 ou +
    6,4 
    5,1 
    75-89 ans
    19,2 
    22,8 
    60-74 ans
    24,4 
    26,6 
    45-59 ans
    21,8 
    15,2 
    30-44 ans
    14,1 
    11,4 
    15-29 ans
    7,7 
    16,5 
    0-14 ans
    6,4 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    Autrefois la commune de Ligné possédait de belles vignes, qui ont disparu lors de l’invasion phylloxérique à partir de 1876. Ligné a beaucoup perdu à la disparition du vignoble, sa population a diminué de près de moitié depuis cette époque. Actuellement, 37,77 ha sont classés en cru Fins Bois[29] pour la fabrication du cognac.

    Actuellement on trouve beaucoup de céréales.

    Équipements, services et vie locale

    Animations et vie associative

    La salle des fêtes.

    Quatre associations animent la commune :

    • le Comité des Fêtes, qui a rendu célèbre la cavalcade avec ses chars décorés de fleurs en papier crépon, aujourd’hui remplacée par une fête médiévale,
    • l’Amicale des Retraités de Ligné,
    • la Société Amicale des Propriétaires et Chasseurs de Ligné, créée en 1936 et qui compte aujourd’hui une trentaine de chasseurs,
    • l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Culturel et Religieux de Ligné, créée en pour la restauration du mobilier de l’église Notre-Dame de Ligné.

    Ces quatre associations se réunissent pour offrir un après-midi récréatif aux enfants de la commune à l’occasion de Noël.

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame

    Cimetière des Chevaliers

    Le cimetière des Chevaliers renferme 70 pierres tombales des Templiers, caractéristiques de l'époque des croisades (XIIe et XIIIe siècles). Ces pierres sont gravées de croix de religieux, d'étendards, d'épées de chevaliers, d'outils de confréries, etc.[32]

    Au milieu de ce cimetière, on peut encore apercevoir le socle d'une ancienne lanterne des morts remplacée, en 1654, par une croix hosannière. Elle est inscrite monument historique depuis 1973[33],[34].

    Ancien temple protestant

    Un ancien temple protestant du XIXe siècle est situé dans le bourg, rappelant la forte présence protestante dans la région[35].

    Le Gros Dognon

    Le Gros Dognon est un monument funéraire de l’époque néolithique dont la chambre sépulcrale est en partie détruite. Il reste deux supports de la table du dolmen et le couloir d’accès à la salle ou cella. Il s’étale sur une surface d’une centaine de m².

    En 1965, il fut dégagé dans ce couloir trois squelettes préhistoriques, corps présumés de chef, enterrés accroupis, qui portaient sous leurs crânes deux magnifiques poignards en silex. Les Gallo-romains puis les Mérovingiens y ont également laissé des traces de leurs civilisations.[réf. nécessaire]

    Villa gallo-romaine

    Au début du christianisme en Gaule, il y avait une villa gallo-romaine située sur la commune. Elle se trouvait au sud du lieu-dit la Touche et s'étendait sur le plateau entre ce village et le bourg.

    Trois monnaies antiques trouvées dans la terre permettent de dire approximativement à quelle date elle était habitée. La première pièce est une obole ou petite monnaie grecque. La deuxième est un "Autominianus de Tétricus" frappé vers 272 après Jésus-Christ. La troisième est un "follis" de consécration de l’empereur Constance Chlore frappé à Londres en l’an 306 de notre ère[réf. nécessaire].

    Un buste de pierre sculptée, grandeur nature, orne actuellement l’entrée d’une maison dans ce village.

    Château de Ligné

    Le château de Ligné, édifice fortifié du XVe siècle, a beaucoup souffert au cours du temps. Il a été très modifié et séparé en deux parties en 1832. Les Du Mas lui donnèrent leur nom et le conservèrent jusqu'à la fin du XVIIIe siècle[36].

    Logis de la Grange

    Le Logis de la Grange, dont on connaît pas précisément la date de construction. En 1699, Charles de Lesval, écuyer, sieur de la Grange à Chauveau, en fit faire l'inventaire composant la succession de sa mère. Un nouveau logis fut construit en 1836[31],[37].

    Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les communes de Leignes (Vienne) et Lingé (Indre) ont la même étymologie (réf: Dauzat).
    4. D'après la base Mérimée, il y a aussi un Gros Dognon sur la commune de Tusson à moins de deux kilomètres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Ligné » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Ligné », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Bief (R2010500) » (consulté le )
    10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 231
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 394.
    20. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 216
    23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 40
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ligné (16185) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    29. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    30. « Prieuré Notre-Dame », notice no IA00040818, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 334
    32. « Monuments sépulcraux », notice no IA00040826, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Socle », notice no IA00040825, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Croix hosanière », notice no PA00104392, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Temple protestant », notice no IA00040817, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
    37. « Logis de la Grange », notice no IA00040824, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. Société archéologique et historique de la Charente, 1996, Bulletins et mémoires (lire en ligne), p. 92, 245

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.