Longvilliers (Pas-de-Calais)
Longvilliers est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Longvilliers.
Longvilliers | |||||
L'église Saint-Nicolas, monument historique. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Philippe Petit 2020-2026 |
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Code postal | 62630 | ||||
Code commune | 62527 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Longvillois | ||||
Population municipale |
253 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 40″ nord, 1° 43′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 19 m Max. 120 m |
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Superficie | 10,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Étaples - Le Touquet-Paris-Plage (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Berck | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.longvilliers.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 66 119 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
La commune est située à environ 6 km du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale et à 7,5 km de la forêt d'Engoudsent. Son climat est océanique avec des étés tempérés. Les plages les plus proches sont celles de Camiers, à 8,4 km.
Longvilliers est distant de 192 km de Paris.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Hydrographie
La commune est traversée par la Dordogne qui prend sa source à Cormont et se jette dans la Canche à Bréxent-Énocq[1].
- La Dordogne.
Paysages
La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[2]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [3].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le bois de Longvilliers. Ce bois est situé sur le flanc d’une creuse assez importante, aux versants abruptes dans la partie amont, qui s’élargissent ensuite dans les parties moyenne et aval[4].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[5].
Urbanisme
Typologie
Longvilliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), prairies (14,2 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Longum Villare (1160), Lunvileriae (vers 1173), Lonvillare (1177), Longvileirs (1192), Lumvileriae (1194), Lungvilliers et Lungvilers (1196), Loncvilier (1277), Loncvilers (1285), Lonviler (1293), Lonc Villers (1318), Longvellier (1559), Longvillers (vers 1743), Longvillers (1789)[13], Longvilliers (1793), Longvillers et Longvilliers (1801) et Longvilliers (1997)[14].
Vient du latin longum « long » et villare « domaine, ferme ».
Homonymie avec Longvilliers (Yvelines).
Histoire
- Longvillers, plus précisément la forêt de Longvillers, était traversée par la voie romaine reliant Amiens à Boulogne-sur-Mer, ou via Agrippa de l'Océan, venant de Recques-sur-Course et allant à Bernieulles[15].
- Compris dans la donation d'Adroald à Saint-Omer en 654, le village devient en 987 une des quatre châtellenies du comté de Boulogne[16],[17].
- En 1049 le château est construit par le comte de Boulogne Eustache II de Boulogne.
- En 1135 la reine Mathilde fonde une abbaye de moines savigniens, qui devient cistercienne en 1147 à la sollicitation de saint Bernard.
- En 1385 le sire Jean de Longvillers, gouverneur de Boulogne, fut un des tenants à la passe d'armes de Saint-Inglevert. Il jouta contre le sire de Courtenay[18].
- En 1415, Jean Blondel de Joigny, seigneur de Longvillers et Charles Blondel de Joigny (son frère ou son fils), combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[19].
- Longvillers devient Longvilliers le .
Longvilliers était une des quatre châtellenies du Boulonnais. Une tradition veut que sainte Ide de Boulogne y ait nourri son fils Godefroy de Bouillon, premier souverain du royaume de Jérusalem. Plus tard, la terre de Longvilliers a été possédée par la famille des Cayeu, puis des Blondel[20].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune a fait partie, de 1999 à 2016, de la communauté de communes mer et terres d'Opale et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[14].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée au canton de Berck qui passe de 10 à 31 communes[21].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Longvillois[27].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2019, la commune comptait 253 habitants[Note 6], en diminution de 2,32 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 116 hommes pour 134 femmes, soit un taux de 53,60 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Site classé
Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[33].
Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du : les ruines du château de Longvillers, qui date du XIe siècle[34].
Monuments historiques
- L'église Saint-Nicolas fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le . Elle a été construite aux XVe et XVIe siècles. Elle appartient à la commune. Elle contient une statue en bois de saint Nicolas[35] ainsi qu'une statue de saint Honoré ou de saint Fiacre puisque le saint tient une bêche, du premier quart du XVIe siècle[36].
- La ferme de la Longueroye, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le : grange (cad. B 57), propriété privée. Elle date des XIIe et XIIIe siècles[37].
- L'église Saint-Nicolas.
- La ferme de la Longueroye.
Autres monuments
- L'abbaye de Longvillers. C'est dans cette abbaye que François-Jean Lefebvre de La Barre est arrêté à la suite d'une mise en cause lors d'un sacrilège[38],[39]. Quelques vestiges, dans une propriété privée, demeurent visibles de la rue de L'Abbaye. On y remarque un portail où figure le blason de Roger d'Aumont qui fut l'abbé de Longvilliers (de 1645 à 1651).
- Le monument aux morts.
- La ferme des Chartroux, du XIVe siècle.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Roger d'Aumont (1610-1653), évêque d'Avranches, abbé de Longvilliers.
Héraldique
Blason | D'argent à une doloire de gueules surmontée d'un lambel du même[40]. |
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Détails | Armes de la famille de Bernes de Longvilliers, brisées d'un lambel, sans doute de cadet de la famille, telles qu'on les retrouve sur un vitrail de l'église locale. Adopté par la municipalité. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee :
- relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- relatif au canton, [lire en ligne]
- relatif à l'intercommunalité, [lire en ligne]
- relatif au département, [lire en ligne]
- relatif à la France, [lire en ligne]
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Dordogne (E5410750) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030063 - Bois de Longvilliers », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 230.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 404, lire en ligne.
- Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
- Louis-Joseph Harbaville - Mémorial historique et archéologique du Département du Pas-de-Calais, Volume 2, page 114 - 1842 -Édité chez Topino Rue Saint-Aubert à Arras - archive de la New York public library -numérisé par Google Books
- Malbrancq - Cartulaire Moreau- Henry - Mémoires de la Société de la Morinie
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- La Picardie historique et monumentale, vol. 7, Société des antiquaires de Picardie. Fondation Edmond Soyez. Impr. Yvert et Tellier, , p. 296.
- « Liste des communes composant le canton de Berck (6210) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- « Ils ont acheté ce presbytère il y a plus de 40ans, l’ont retapé… mais doivent désormais s’en séparer », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Élise Chiari, « Le bilan du maire de Longvilliers, Yves Martel : « Ce troisième mandat a été compliqué à cause de la météo » : Pour son troisième mandat, Yves Martel a dû faire face à des imprévus. À 64 ans, l’agriculteur à la retraite ne se représentera pas. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Longvilliers : Sascha Maignan reprend l’écharpe tricolore d’Yves Martel : Vendredi dernier, le conseil municipal nouvellement élu s’est réuni en mairie de Longvilliers. Yves Martel, maire sortant après 19 ans de mandat, a remis l’écharpe à Sascha Maignan, qui a été élu maire à l’unanimité du conseil. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Longvilliers (62527) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
- « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palsri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PM62001002
- http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palsri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PM62001004
- « Ferme de la Longueroye », notice no PA00108463, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Francois-César Louandre, Histoire ancienne et moderne d'Abbeville et de son arrondissement, Abbeville, , 606 p. (lire en ligne), p. 410.
- Philippe Lambert, « L’histoire tragique du Chevalier de La Barre, arrêté à Longvilliers avant d’être supplicié à Abbeville », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « 62527 Longvilliers (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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