Lunegarde

Lunegarde est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Lunegarde

Clocher de Lunegarde.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat
Maire
Mandat
Marc Issaly
2020-2026
Code postal 46240
Code commune 46181
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2019 )
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 29″ nord, 1° 41′ 21″ est
Altitude Min. 329 m
Max. 422 m
Superficie 10,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lunegarde
Géolocalisation sur la carte : France
Lunegarde
Géolocalisation sur la carte : Lot
Lunegarde
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Lunegarde

    Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « zone centrale du causse de Gramat ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Lunegarde est une commune rurale qui compte 96 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 327 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Lunegardais ou Lunegardaises.

    Les habitants de Lunegarde sont les Lunegardais et les Lunegardaises.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Lunegarde[1]
    Reilhac
    Le Bastit
    Cœur de Causse Durbans

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 054 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[14]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[15],[16]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17],[18].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[19],[20].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « zone centrale du causse de Gramat »[22], d'une superficie de 6 413 ha, un site comprenant diverses espèces remarquables d'orthoptères (Stenobothrus nigromaculatus, Arcytera fusca, Oedaleus decorus), de lépidptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Polyommatus dorylas) et de coléoptères (Cyrtonus dufouri, Chrysolina femoralis, Chrysolina obscurella)[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24] : la « zone centrale du causse de Gramat » (7 127 ha), couvrant 11 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Lunegarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[I 1],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38 %), zones agricoles hétérogènes (37,4 %), forêts (24,4 %), prairies (0,2 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Lunegarde est formé de garda terme qui désigne une hauteur d'où l'on peut observer provenant du germanique wardon relatif à l'idée de guet et de luna, peut-être issu de lucum, qui désigne un bois sacré en latin[29].

    Histoire

    En 1863, la commune de Fontanes-Lunegarde est créée à partir de sections détachées du Bastit. En 1933, Lunegarde est ensuite détachée de Fontanes qui devient Fontanes-du-Causse[30].

    La commune est créée le [31].

    Monument aux morts de 1914-1918, sous forme de calvaire.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie de Lunegarde.
    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1953 Hilaire Issaly   Président du comité de libération en 1944, élu en 1945
    1953 1959 Louis Pégourié    
    1959 1970 Pierre Pleimpon    
    1970 1983 François Peyrichoux    
    1983 1989 Jean-Louis Issaly    
    1989 2014 Guy Pleimpon    
    2014   Yves Sadou    

    Finances locales

    Cette section est consacrée aux finances locales de Lunegarde de 2000 à 2020[Note 8].

    Les comparaisons des ratios par habitant sont effectuées avec ceux des communes de moins de 250 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (4 taxes), c'est-à-dire à la même strate fiscale.

    Pour l'exercice 2020, le compte administratif du budget municipal de Lunegarde s'établit à 81 370  en dépenses et 139 920  en recettes :

    • les dépenses se répartissent en 63 360  de charges de fonctionnement et 18 010  d'emplois d'investissement ;
    • les recettes proviennent des 87 170  de produits de fonctionnement et de 52 750  de ressources d'investissement.

    Pour Lunegarde en 2020, la section de fonctionnement[Note 9] se répartit en 63 360  de charges (615  par habitant) pour 87 170  de produits (846  par habitant), soit un solde de la section de fonctionnement de 23 820  (231  par habitant) :

    • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des achats et charges externes[Note 10] pour une valeur totale de 22 000  (35 %), soit 210  par habitant, ratio inférieur de 14 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (245  par habitant). Pour la période allant de 2016 à 2020, ce ratio fluctue et présente un minimum de 169  par habitant en 2016 et un maximum de 314  par habitant en 2019. Viennent ensuite les groupes des charges de personnels[Note 11] pour 33 %, des contingents[Note 12] pour 13 %, des subventions versées[Note 13] pour 6 % et finalement celui des charges financières[Note 14] pour des sommes plus faibles ;
    • la plus grande part des recettes est constituée de la dotation globale de fonctionnement (DGF)[Note 15] pour une valeur de 31 000  (36 %), soit 305  par habitant, ratio supérieur de 47 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (208  par habitant). En partant de 2016 et jusqu'à 2020, ce ratio fluctue et présente un minimum de 268  par habitant en 2016 et un maximum de 305  par habitant en 2020. Viennent ensuite des impôts locaux[Note 16] pour 17 % et des autres impôts[Note 17] pour 13 %.

    La dotation globale de fonctionnement est quasiment égale à celle versée en 2019.

    Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Lunegarde. Ils n'ont pas varié par rapport à 2019 :

    Cette section détaille les investissements[Note 18] réalisés par la commune de Lunegarde.

    Les emplois d'investissement en 2020 comprenaient par ordre d'importance :

    • des remboursements d'emprunts[Note 19] pour un montant de 16 000  (89 %), soit 154  par habitant, ratio supérieur de 79 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (86  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 0  par habitant en 2018 et un maximum de 480  par habitant en 2019 ;
    • des dépenses d'équipement[Note 20] pour un montant de 2 000  (11 %), soit 21  par habitant, ratio inférieur de 94 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (379  par habitant).

    Les ressources en investissement de Lunegarde se répartissent principalement en :

    • fonds de Compensation pour la TVA pour un montant de 16 000  (30 %), soit 156  par habitant, ratio supérieur de 174 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (57  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 24  par habitant en 2017 et un maximum de 155  par habitant en 2020 ;
    • subventions reçues pour une valeur de 2 000  (4 %), soit 15  par habitant, ratio inférieur de 90 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (150  par habitant).

    L'endettement de Lunegarde au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 21], l'annuité de la dette[Note 22] et sa capacité de désendettement[Note 23] :

    • l'encours de la dette pour une valeur de 25 000 , soit 246  par habitant, ratio inférieur de 57 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (568  par habitant). En partant de 2016 et jusqu'à 2020, ce ratio fluctue et présente un minimum de 9  par habitant en 2016 et un maximum de 662  par habitant en 2017 ;
    • l'annuité de la dette pour un montant de 16 000 , soit 158  par habitant, ratio supérieur de 60 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (99  par habitant). Sur la période 2016 - 2020, ce ratio fluctue et présente un minimum de −16  par habitant en 2018 et un maximum de 482  par habitant en 2019 ;
    • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une valeur de 24 000 , soit 231  par habitant, ratio inférieur de 12 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (263  par habitant). Pour la période allant de 2016 à 2020, ce ratio fluctue et présente un minimum de −15  par habitant en 2018 et un maximum de 231  par habitant en 2020. La capacité de désendettement est d'environ un an en 2020. Sur une période de 21 années, ce ratio présente un minimum de moins d'un an en 2006 et un maximum très élevé, de plus de 50 années en 2010.
    G4b - Nombre d'années pour rembourser la dette en fonction de la CAF de Lunegarde
    Valeurs en années
    Lunegarde,  : Ratio = Encours de la dette / CAF

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2019, la commune comptait 96 habitants[Note 24], en diminution de 3,03 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    312327101928794858172
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2019 -
    6364736970909996-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]3,8 %16,4 %15,2 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 49 personnes, parmi lesquelles on compte 93,5 % d'actifs (78,2 % ayant un emploi et 15,2 % de chômeurs) et 6,5 % d'inactifs[Note 25],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 10 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 38, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,8 %[I 8].

    Sur ces 38 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    6 établissements[Note 26] sont implantés à Lunegarde au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 6 entreprises implantées à Lunegarde), contre 14 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations10663
    SAU[Note 27] (ha)6365871 1521 212

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 28] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 29] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 212 ha[38],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Lunegarde possède plusieurs monuments[39] :

    Église Saint-Julien.

    Personnalités liées à la commune

    Pierre Benoit a publié le roman Lunegarde en 1942. Une partie de l'intrigue se déroule à Lunegarde.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lunegarde » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lunegarde » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lunegarde » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

      Autres références

      1. Carte IGN sous Géoportail
      2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Lunegarde et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
      13. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      14. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
      15. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
      16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      17. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
      18. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      19. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
      20. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
      22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lunegarde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      23. « site Natura 2000 FR7300909 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lunegarde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      25. « ZNIEFF la « zone centrale du causse de Gramat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      29. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 114 (lire en ligne)
      30. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 111.
      31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      32. « Les maires de Lunegarde », sur francegenweb.org, (consulté le ).
      33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      37. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
      38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lunegarde - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      39. Communauté de communes de Labastide-Murat : Découvrez Lunegarde
      40. « Église paroissiale », notice no PA00095298, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      41. « Château », notice no PA00095308, base Mérimée, ministère français de la Culture.

      Notes et cartes

      • Notes
      1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
      2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
      3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
      4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
      5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
      6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
      8. Cette section est réalisée à partir des données du site https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/comptes-individuels-des-communes-fichier-global du ministère de l'Économie et des Finances. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 4.0.1 : Yin Yang Tau a effectué la synthèse des tableaux du site https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/comptes-individuels-des-communes-fichier-global concernant Lunegarde. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
      9. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune. Y figure aussi le remboursement des intérêts des emprunts. Elle enregistre également les recettes fiscales, les dotations et participations de l’État ainsi que les recettes d’exploitation des services municipaux.
      10. Le poste « achats et charges externes » regroupe les achats non stockés de matières et fournitures (eau, énergie...), le petit matériel, les achats de crédits-bails, les locations, primes d'assurances...
      11. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés.
      12. Les « contingents » représentent des participations obligatoires au financement de services départementaux, notamment aux sapeurs-pompiers du département.
      13. Les « subventions versées » rassemblent l'ensemble des subventions à des associations votées par le conseil municipal.
      14. Les « charges financières » correspondent à la rémunération des ressources d'emprunt.
      15. Les « dotations globales de fonctionnement » désignent, en France, des concours financiers de l'État au budget des collectivités territoriales.
      16. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
      17. Les « autres impôts » couvrent certains impôts et taxes autres que les impôts locaux.
      18. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
      19. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
      20. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
      21. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
      22. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
      23. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Lunegarde.
      24. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
      25. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
      26. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
      27. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
      28. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
      29. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
      • Cartes
      1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
      3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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