Lyoffans

Lyoffans est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Lyoffans

Le village et l'église Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lure
Maire
Mandat
Laurent Demonet
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70313
Démographie
Population
municipale
395 hab. (2019 )
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 38′ 55″ nord, 6° 34′ 55″ est
Altitude Min. 293 m
Max. 375 m
Superficie 4,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lyoffans
Géolocalisation sur la carte : France
Lyoffans
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Lyoffans
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Lyoffans
Liens
Site web pays-de-lure.fr/lyoffans.htm

    Géographie

    Localisation

    Le territoire communal dans son contexte local.

    Lyoffans est située dans le nord-est de la Bourgogne-Franche-Comté, dans le département de la Haute-Saône, non loin du Territoire de Belfort et du Doubs.

    Topographie

    Les Vosges (Planche des Belles Filles) et le puits Arthur-de-Buyer visibles depuis les hauteurs du village.

    La superficie de la commune est de 449 hectares ; son altitude varie de 293 à 375 mètres[1].

    Parmi les 449 hectares du territoire de la commune, 171 sont boisés dont 163 de bois communal. Le terrain est plat avec au centre une cuvette allongée. Le village s'est installé sur un territoire caractérisé par la présence de vastes plaines vallonnées.[réf. nécessaire]

    Le territoire communal est situé dans une plaine avec quelques petites collines arrondies et aplaties.

    Géologie

    Lyoffans est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[2] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[3]. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[4].

    Hydrographie

    Plan d'eau près du centre équestre et de la voie rapide.

    Deux rivières fusionnent dans l'ouest. Il s'agit de la Clairegoutte - ou Béchotte - un ruisseau qui prend sa source dans la source dans la forêt du Chérimont, à l'est de Clairegoutte et le Rognon qui vient de l'est.

    L'étang de Chaudoz, situé à l'est du village, sur le banc communal, a fait l'objet d'un classement en ZNIEFF de 2e génération[5]. Cette zone humide est habitée par des espèces d’intérêt patrimonial telles que le phragmite des joncs, le tarier des prés, le vanneau huppé, pour les oiseaux et une fougère aquatique (la marsilée à quatre feuilles) dont l’étang est l’unique station connue pour la Haute-Saône[6]. Le lézard des souches (reptile protégé) fréquente également ce milieu.

    Climat

    Le climat dans la région de Ronchamp est un climat semi-continental : chaud et lourd en été, froid et sec en hiver, avec des températures pouvant descendre régulièrement à −10 °C. La pluviométrie, d'au moins 1 000 mm/an, s'élève avec l'altitude[7].

    Relevés des précipitations et heures d'ensoleillement à Lure[8]
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Total année
    Heures moyennes d'ensoleillement 54.1 85.9 124 159.6 190.5 218.2 251.7 220.6 175.1 126.3 71.2 55.7 1732.8
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 92.8 78.3 80.6 74.9 93.2 90.1 78 89.2 79.6 76.8 101.6 101 1036
    Moyennes mensuelles de la vitesse du vent (km/h)
    Relevés de températures à Lure
    MoisJanv.Fév.MarsAvr.MaiJuinJuil.AoûtSept.Oct.Nov.Déc.Moyenne année
    Températures minimales moyennes (°C) -2.7 -1.9 0.2 2.8 6.7 9.9 11.6 11.4 8.7 5.2 0.9 -2.1 4.2
    Températures moyennes (°C) 0.8 2.5 5.4 8.7 12.8 16.1 18.2 17.8 14.9 10.5 4.9 1.4 9.5
    Températures maximales moyennes (°C) 4.2 6.9 10.6 14.7 18.9 22.3 24.7 24.1 21 15.8 8.9 4.8 14.7

    Urbanisme

    Typologie

    Lyoffans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,3 %), zones agricoles hétérogènes (28,3 %), terres arables (15,7 %), prairies (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), zones urbanisées (6,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Projet d'aménagement et paysage

    La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [16]. Lyoffans fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[17].

    Voies de communication et transports

    La RN 19 passant au nord de la commune.

    Lyoffans est un village rural, mais dispose d'un échangeur avec la RN 19 (double-voie expresse E54) qui établit une connexion entre Lure-Vesoul-Luxeuil et la conurbation de Belfort-Héricourt-Montbéliard, ce qui permet une offre de transport hors de la commune.

    Toponymie

    Lyoffans sur l'atlas cantonal des communes de Haute-Saône, en 1858.

    Le nom de la localité est attesté sous diverses formes depuis le Moyen Âge. On peut citer Lofens en 1178, Liofens en 1275, puis avec une graphie similaire Lipffans en 1424 et enfin dès 1547, sous le nom actuel de Lyoffans. En patois local, on prononce « Yeufan » [iœfɑ̃].

    Deux hypothèses coexistent pour l'origine de ce toponyme : il pourrait être issu d'un anthroponyme d'origine germanique, très certainement Laidiffus ou Leolf employé avec le suffixe -ingen, romanisé en -ingos[18]. La seconde hypothèse serait que Lyoffans proviendrait du celte lliaus, signifiant abondance[19].

    Histoire

    En 1178, le pape Alexandre III cite l'église de Lyoffans dans une de ses bulles comme appartenant aux abbés de Lure, le village étant à cette époque sous l'autorité des barons de Granges[19].

    En 1378, la mairie du lieu passe à l'abbaye de Lure mais les seigneurs locaux (le barons de Granges, les seigneurs d'Auxelles, de Melisey et de Lomont) conservent certains droits qui feront l'objet de contrats avec l'abbaye, et de procès jusqu'à la fin de l'ancien régime[19]. En 1678, avec la conquête française, les princes abbés de Lyoffans perdent une partie de leurs prérogatives, dont celle de rendre la justice, au profit du bailliage de Besançon.

    Une branche cadette de la famille de verriers Schmid, originaire de Soleure, s'installe dans la commune au début du XVIIIe siècle et y exploite une verrerie en 1707[19]. À cette époque, les verriers sont très mobiles car leurs ateliers dépendent jusqu'à la fin du XVIIIème siècle de la possibilité de se procurer de grandes quantités de bois de chauffage pour alimenter les fours[20]. Cette industrie n'existe plus en 1866 lorsque L. Suchaux publie son dictionnaire des communes, en revanche, le village compte trois moulins, deux huileries, trois tuileries, une carrière de calcaire et une autre de grès[19]. Il compte également de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XIXe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[21]. Les mineurs du village travaillent essentiellement au puits Arthur-de-Buyer et au puits du Magny[22].

    Après le creusement d'un sondage positif à Lomont, une concession de 2 336 ha, incluant le territoire communal, est accordée à la société de recherche de houille entre Montbéliard et Villersexel en 1904 pour l'exploitation d'un gisement de houille se prolongeant au sud du puits Arthur-de-Buyer, exploité par les houillères de Ronchamp. Mais il n'y eut aucune extraction de charbon. Un autre sondage est établi sur la commune, il n'a pas rencontré ce gisement[23],[24].

    Le , le village est libéré par le 4e bataillon de la 1re DFL après d'âpres combats, les troupes SS qui occupaient le site s'étant retranchées dans une ferme et dans le cimetière communal situé au nord de la commune[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Lure.

    La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[26]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

    Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du et la commune rattachée au canton de Lure-Sud[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.

    La commune de Lyoffans fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.

    Dans l'ordre administratif, elle relève du tribunal administratif et que de la cour administrative d'appel de Nancy[28],[29].

    Intercommunalité

    Le village fait partie de la communauté de communes du Pays de Lure, intercommunalité créée en 1998.

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jacques Rodrigues PS[31]  
    mars 2008[32] juillet 2020 Frédéric Mougin DVG[33] Réélu pour le mandat 2014-2020[34]
    juillet 2020[35] En cours
    (au 18 juillet 2020)
    Laurent Demonet LR  

    Politique environnementale

    La commune a obtenu une fleur au concours des villes et villages fleuris en 2013[36] et espère obtenir une seconde fleur[37].

    Population et société

    Évolutions démographiques

    En 2019, la commune de Lyoffans comptait 395 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    305347356425482446461467460
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    389425436403386372369336306
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    301310293257244246222209222
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    307331380359334331371403380
    2019 - - - - - - - -
    395--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    De manière générale, Lyoffans dépend de l'académie de Besançon. Les enfants de Lyoffans sont scolarisés au Pôle éducatif de Roye/Lyoffans.

    Pour les niveaux de scolarisation des collégiens et des lycéens, le collège Albert-Jacquard de Lure et le lycée G.-Colomb de Lure seront les établissements privilégiés.

    Santé

    Depuis , la commune de Lyoffans est pourvue d'un médecin généraliste.

    L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, dont plusieurs services ont fermés au profit de celui de Vesoul ou du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard, à mi-chemin entre les deux villes, à Trévenans.

    Services

    Hormis les services assurés par la mairie et une caserne de pompier, la commune n'a aucun service public sur son territoire. L'ensemble des services publics sont disponibles à Lure, qui concentre le Pôle emploi, EDF, les impôts, la justice ou la bibliothèque, médiathèque et espace culturels.

    Cultes

    Église saint-Martin.

    Lyoffans est rattachée à l'unité pastorale d'Athesans-Moffans[39], faisant partie du doyenné de Lure, qui dépend de l'archidiocèse de Besançon[40].

    Le village dispose d'une église catholique dédiée à saint Martin de Tours.

    Économie

    Le village dépendant économiquement des deux centres urbains de Lure et de l'agglomération d'Héricourt-Montbéliard. Ces deux pôles offrent de nombreux emplois et sont rapidement accessibles par la double-voie expresse E 54 passant dans ces axes à proximité de Lyoffans.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    En 1178, le pape Alexandre III cite l'église de Lyoffans dans une de ses bulles comme appartenant aux abbés de Lure[19].

    L’église actuelle a été construite au XVIIIe siècle et agrandie en 1820 (ajout des 2 nefs latérales)[19]. Elle contient du mobilier plus ancien (sanctuaire ogival du XVIe siècle et bas-relief en bois du XVIIe siècle). Son clocher orné de chevrons est typique de la région[41]. En 2015, d’importants travaux de réfection de toiture sont entrepris par les quatre communes qui ont en charge la conservation du monument (Andornay, Magny-Jobert et Palante et Lyoffans). Le Comité des fêtes du village lance un projet de financement participatif sur la plateforme Ulule pour collecter des fonds[42]. La nouvelle toiture est inaugurée le , en présence des élus locaux des différentes communes et du champion olympique d'équitation Karim Florent Lahouag[43].

    Une stèle, située à proximité du cimetière communal, commémore la libération des villages de Lyoffans, Andornay, Moffans, Palante et Magny-Jobert entre les 25 et [25].

    Le village compte également cinq fontaines, cinq lavoirs, d’anciennes fermes[41], un monument aux morts et deux centres équestres.

    Il subsiste l'ancienne gare des chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône[44].

    Héraldique

    Blason
    Coupé : au premier d'azur à la main bénissante de carnation parée rayé de gueules et de sable rebrassé d'argent, au second de gueules au sautoir d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne)
    • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). 

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. « La dépression sous-vosgienne », sur http://www.caue-franche-comte.fr/.
    3. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur http://www.massif-des-vosges.com/.
    4. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
    5. « INPN, ZNIEFF 430010452 - ETANG DE CHAUDOZ - Habitats », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    6. « INPN, ZNIEFF 430010452 - ETANG DE CHAUDOZ - Commentaires », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    7. « Climat de Ronchamp ».
    8. « Luxeuil, Haute Saône(70), 271m - [1961-1990] », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
    17. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    19. L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, A. Suchaux, (lire en ligne).
    20. « Melchior, l'innovateur...! », sur schmidverriers.e-monsite.com (consulté le ).
    21. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
    22. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
    23. « Le bassin houiller », sur http://www.abamm.org/.
    24. Carilian-Goeury et Vor Dalmont, Annales des mines, partie administrative, ou Recueil de lois, décrets, arrètés et autres actes concernant les mines et usines, (lire en ligne), p. 162-164.
    25. « Présentation 25-26 Septembre 1944 le front des Vosges ».
    26. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    29. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    30. « Les maires de Lyoffans », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. « Annuaire des Mairies de Haute Saône (70) », (ISBN 2352581702).
    32. Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013.
    33. « Départementales 2015: Lyoffans 70313 », sur Le Monde.
    34. « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
    35. « Laurent Demonet a été élu maire », sur L'Est républicain, (consulté le ).
    36. « La commune espère une fleur de plus », L'Est républicain, (lire en ligne).
    37. « Fleurissement : une deuxième fleur ? », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. « Unité pastorale d'Athesans-Moffans », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    40. « Doyenné de Lure », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    41. « Lyoffans - Commune de Haute-Saône (70) en Franche-Comté », sur www.la-haute-saone.com (consulté le ).
    42. « Lyoffans : des dons récoltés sur internet pour sauver l'église - France 3 Franche-Comté », sur France 3 Franche-Comté (consulté le ).
    43. « Un toit tout neuf pour l'église », L'Est républicain, (lire en ligne).
    44. « Chemins de fer vicinaux de Haute-Saône Sud » [PDF].
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