Collège Stanislas (Paris)
Le collège Stanislas (souvent appelé « Stan » par ses élèves) est un établissement privé catholique sous contrat d'association avec l'État fondé en 1804 par l'abbé Claude Rosalie Liautard (1774-1844) dans le quartier Notre-Dame-des-Champs à Paris. Il est situé depuis 1847 au no 22, rue Notre-Dame-des-Champs dans le 6e arrondissement de Paris. Les entrées se trouvent aux nos 6 et 28 de la rue du Montparnasse, celle du 155 bis, rue de Rennes n'est plus utilisée.
Pour les articles homonymes, voir Collège Stanislas.
Fondation | |
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Type | Enseignement privé |
Composante | Stanislas S.A. |
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Directeur | Frédéric Gautier |
Population scolaire | 3623 (en 2018) |
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Options | Russe, chinois, grec ancien, latin |
Ville | 6e arrondissement de Paris |
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Pays | France |
Site web | www.stanislas.fr |
Les bâtiments sont compris dans le pâté de maisons que forment les rues citées, à l'exception du bâtiment de l'angle des rues du Montparnasse et Notre-Dame-des-Champs construit en 1988 par l'Institut supérieur d'électronique de Paris (ISEP), et sont constitués de locaux anciens et modernes[1]. Ainsi, la colonnade Louis XVI de l'hôtel de Silène[2] (1777) y côtoie des bâtiments des années 1960 de Jacques Barge ou plus récents (2011). Deux de ses portes ont été inscrites aux monuments historiques par arrêté du , puis d'autres éléments de l'édifice ont été inscrits à leur tour par arrêté du [3].
Stanislas est la propriété d'une société anonyme fondée en 1903 par d'anciens élèves. Depuis 1804, cette institution a failli plusieurs fois disparaître ; son maintien dans le cadre de l'éducation catholique est dû à plusieurs de ses directeurs et anciens élèves. En 2012-2013, l'établissement comptait 3 400 élèves allant de la maternelle (petite section) aux classes préparatoires[4]. Et, en 2018, l'établissement comptait 3 623 élèves.
Le lycée est réputé pour ses excellents résultats au baccalauréat, au concours général et aux concours d'entrée aux grandes écoles, et plus spécialement pour les concours scientifiques.
Bref historique
Le collège Stanislas est fondé par l'abbé Liautard en 1804 sous le nom de Maison d'éducation de la rue Notre-Dame-des-Champs. En 1821, il est élevé au rang des collèges royaux de l'Université de France, et change de nom en collège Stanislas, en hommage à Stanislas Leszczynski, arrière-grand-père de Louis XVIII. Avant 1847, le premier collège Stanislas était situé dans la rue Notre-Dame-des-Champs, entre la rue Stanislas et la rue Bréa, à l'emplacement du boulevard Raspail.
Ses élèves sont régulièrement primés au concours général depuis 1824, ce qui lui vaut la colère de la presse républicaine à la fin du XIXe siècle, dans un contexte anti-religieux violent. Dans son édition de 1896, le guide Paris-Parisien y voit « deux camps très tranchés : fils de famille et domestiques »[5]. Charles de Gaulle l'a fréquenté en 1908-1909 et l'abbé Henri Petitmangin, agrégé de lettres, auteur d'une grammaire latine renommée, y a enseigné jusqu'en 1937[6].
La devise « Français sans peur, chrétien sans reproche », inspirée du chevalier Bayard, est instaurée par l'abbé Louis de Lagarde, directeur de 1871 à 1884. La Société de Marie est obligée de vendre la propriété en 1903 à une société anonyme créée par d'anciens élèves, les lois anti-congréganistes obligeant les Marianistes à s'en séparer sous peine de mise sous tutelle par l'État et d'intégration de l'établissement au corps des établissements publics.
La Société anonyme acquiert des terrains entre 1911 et 1922 (comme l'hôtel de Mailly, datant du XVIIIe siècle), pour s'agrandir et bâtir les nouveaux bâtiments de ses classes préparatoires, avant et après la Seconde Guerre mondiale, sous la direction des abbés Beaussart et Méjecaze. D'importants travaux de restructuration sont effectués dans les années 1960 sous la direction de l'architecte Jacques Barge, à l'initiative de l'abbé Roger Ninféi qui avait précédemment dirigé Sainte-Marie de Monceau, dans le 8e arrondissement de Paris de 1950 à 1960 puis l'ensemble scolaire Sainte-Marie Grand Lebrun à Bordeaux. Le grand bâtiment moderne qui porte son nom, est inspiré des Le Corbusier. S'y sont ajoutés d'importants équipements sportifs et des piscines. La démolition des chapelles du XIXe siècle a permis la reconversion de l'ancienne cave de la brasserie en une chapelle souterraine. D'autres constructions ont eu lieu en 1974, 1988, et plus récemment en 2009-2011 le long de la rue du Montparnasse.
Sur le plan de son histoire pédagogique, la mixité y a été introduite à la même époque dans les CPGE, puis en 1992 au collège et au lycée, tout en conservant des classes non mixtes[7]. L'internat était réservé aux étudiants masculins[8] jusqu'à l'ouverture de 10 % des places de l'internat aux filles en 2013.
Des enquêtes de l’Express et de Mediapart mettent en cause en juin 2022 « l’univers sexiste, homophobe et autoritaire de Stanislas »[7],[9],[10].
Les Ulis et Segpa
De 2002 à 2015, le nombre d’élèves est passé de 2500 à plus de 3400, grâce à des ouvertures de classes au collège, en SEGPA, en ULIS et en CPGE[11].
Extension des infrastructures
En 2018, le collège Stanislas compte 3 623 élèves. Le bâtiment Guynemer a été agrandi en 2008 et de nouveaux bâtiments, Nazareth et Montparnasse, ont été construits de 2009 à 2011 et inaugurés par Mgr André Vingt-Trois. En 2015, est ouverte une classe préparatoire aux études de médecine (prépa médecine)[12].
Dossiers judiciaires
En 2001, Stanislas a été l'objet d'une enquête judiciaire du Parquet de Paris, à la suite de dénonciations de « surfacturations » et « travail au noir » par son directeur d'établissement[13], enquête restée sans suite[14].
En 2003, Jean-Yves Amoros[15], un éducateur du lycée, est condamné à sept ans de réclusion criminelle pour tentative de viol sur un élève de 5e[16],[17].
En 2020, une enquête est ouverte à la suite d'un signalement au procureur par la direction de Stanislas[18] concernant des faits d'agression sexuelle ayant supposément eu lieu dans l'internat des classes préparatoires, visant un ancien responsable licencié en 2018 pour avoir consulté des sites pédopornographiques[19],[20].
Administration
Direction
Le directeur actuel[Quand ?] est Frédéric Gautier, depuis la rentrée 2015. Il fut auparavant directeur diocésain de l'enseignement catholique à Paris[21].
Il est assisté de trois censeurs-directeurs pour les collège, lycée et classes préparatoires et d’une directrice académique pour l’école primaire.
Période | Directeur |
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1804-1824 | Abbé Claude Rosalie Liautard, fondateur |
1824-1838 | Abbé Jean-Baptiste Augé, cofondateur |
1838-1841 | Abbé Louis-Charles Buquet, nommé évêque in partibus de Parium |
1841-1847 | Abbé Joseph Gratry |
1847-1854 | Abbé Isidore Goschler |
1855-1871 | Abbé Jean-Baptiste Lalanne, s.m. |
1871-1884 | Abbé Louis de Lagarde, s.m. |
1884-1903 | Abbé Florian Prudham, s.m. |
1903-1920 | Abbé Adrien Pautonnier |
1920-1924 | Abbé Jérôme Labourt |
1924-1928 | Abbé François Martin |
1928-1932 | Abbé Roger Beaussart, devenu évêque auxiliaire de Paris |
1932-1962 | Mgr François Méjecaze |
1962-1970 | Père Roger Ninféi, s.m. |
1970-1982 | Chanoine Georges Ancel |
1982-1995 | Abbé Claude Rechain |
1995-1996 | Jacques Vauthier |
1996-1997 | Abbé Guy Lafon |
1997-2001 | Henri Hude |
2001-2002 | Benoît Richard |
2002-2015 | Daniel Chapellier |
À partir de 2015 | Frédéric Gautier |
Personnel
La communauté éducative est composée d'aumôniers, d'un corps professoral, d'un personnel d'éducation et d'encadrement, ainsi que d'un personnel administratif :
(chiffres 2017)
- 9 personnes à la direction
- 3 prêtres
- 251 professeurs
- 68 cadres de jour
- 14 personnes pour l'encadrement de nuit
- 14 personnes activités scolaires
- 55 personnes dans les services administratifs et techniques
Enseignement
Stanislas est l'un des établissements scolaires privés français accueillant le plus d'élèves[22].
À la rentrée 2017, l'établissement comptait 3 400 inscrits, répartis en 106 classes (dites divisions), dont :
- 503 écoliers ;
- 1 254 collégiens ;
- 908 lycéens ;
- 735 prépas.
En 2018, le lycée se classe 7e sur 108 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 12e sur 2 277 au niveau national[23]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[24].
École
L'école maternelle et l'école primaire comprennent dix-sept classes, de la petite section de maternelle jusqu’aux classes de CM2.
Collège
Le collège se compose des quatre classes de la sixième à la troisième. Les élèves sont répartis en 44 divisions, comme suit :
- 44 divisions selon le tableau suivant :
Niveau | Classes de garçons | Classes de filles | Classes mixtes | Classes SEGPA | Total |
---|---|---|---|---|---|
Sixième (6e) | 5 | 3 | 2 | 1 | 11 |
Cinquième (5e) | 5 | 3 | 2 | 1 | 11 |
Quatrième (4e) | 5 | 3 | 2 | 1 | 11 |
Troisième (3e) | 5 | 3 | 2 | 1 | 11 |
Total | 20 | 12 | 8 | 4 | 44 |
- 2 divisions UPI d'enseignement adapté, mêlant les quatre classes du collège.
Les langues qu'il est possible d'étudier en LV1 (de la 6e à la 3e) sont l'anglais et l'allemand. À partir de la 5e, une LV2 vient s'ajouter à l'ensemble des matières. Cette fois-ci, l'élève a le choix entre l'anglais, l'allemand et l'espagnol.
Lycée
Le lycée se compose des trois classes d'enseignement général de la seconde à la terminale, et les élèves sont répartis en 27 divisions, comme suit :
- la classe de Seconde comprend neuf divisions mixtes ;
- les classes de première et terminale comprennent chacune neuf divisions mixtes en trois séries : une Première L, deux Premières ES et six Premières S ; respectivement une Terminale L, deux Terminales ES et six Terminales S.
Les langues vivantes enseignées au lycée sont l'anglais (LV1 ou LV2), l'allemand (LV1 ou LV2) et l'espagnol (LV2). Les options possibles (dont une au moins est obligatoire) sont le chinois (LV3), le russe (LV3), le latin et/ou le grec, les sciences économiques et sociales (option possible pour une durée d'un an en seconde) et la musique.
L'internat accueille 140 élèves masculins du lycée en chambres non individuelles[25], ainsi que 25 filles depuis 2013.
Le lycée Stanislas s'illustre régulièrement par ses mentions exceptionnelles au Baccalauréat (82 % de mentions Très Bien en section scientifique en 2016)[26]. En effet, le lycée Stanislas se classe deuxième meilleur établissement privé de France sur le taux de mention Très Bien en 2015. En 2017, Stanislas est, avec Saint-Louis de Gonzague, un des deux lycées en France à obtenir 100 % de mentions au baccalauréat[27]. En 2018, Stanislas est classé 3e meilleur lycée de France du classement du journal Le Figaro (en % de mention très bien)[28].
De plus, le lycée Stanislas se classe premier au palmarès 2016[29] du concours général.
Classe préparatoire aux grandes écoles
Le lycée abrite aussi des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) littéraires (Khâgnes B/L), économiques et commerciales (ECS), scientifiques (MPSI, PCSI, MP, PC, PSI).
En 2015, L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2014 :
Filière | Élèves admis dans une grande école* |
Taux d'admission* |
Taux moyen sur 5 ans |
Classement national |
Évolution sur un an |
---|---|---|---|---|---|
ECS[30] | 50 / 80 élèves | 63 % | 58 % | 5e sur 95 |
4 |
Khâgne B/L[31] | 7 / 38 élèves | 18 % | 21 % | 5e sur 22 |
1 |
MP / MP*[32] | 61 / 83 élèves | 73,5 % | 63,1 % | 3e sur 126 |
1 |
PC / PC*[33] | 55 / 97 élèves | 57 % | 53 % | 4e sur 110 |
1 |
PSI / PSI*[34] | 61 / 84 élèves | 73 % | 62 % | 5e sur 120 |
1 |
Source : Classement 2015 des prépas - L'Étudiant (Concours de 2014). * le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. En filières ECE et ECS, ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP. Pour les khâgnes, ce sont l'ENSAE, l'ENC, les 3 ENS, et 5 écoles de commerce (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon et EDHEC). En filières scientifiques, ce sont un panier de 11 à 17 écoles d'ingénieurs qui ont été retenus selon la filière (MP, PC, PSI, PT ou BCPST). |
Le collège Stanislas comprend un internat réservé aux garçons d'environ 450 places, muni de chambres individuelles[35]. Ainsi qu'un nouvel internat pour filles situé à proximité immédiate[7].
La pastorale
La pastorale de Stanislas est constituée à la rentrée 2021 de trois aumôniers nommés par l'archevêque de Paris. Ils vivent à Stanislas. Ils sont assistés dans leur travail par une équipe de laïcs, salariés et bénévoles. La chapelle Notre-Dame sous Terre et la chapelle Ozanam constituent les deux principaux lieux de culte de l'établissement.
Anciens élèves
L’ancienneté du collège Stanislas et son implantation au cœur de Paris font que nombre de ses anciens élèves ont exercé des responsabilités importantes dans la société. Ils ont constitué en 1865 une association toujours active[36] et reconnue d'utilité publique en 1877[37].
Selon les données diffusées par le collège à l'occasion de son bicentenaire[38] :
- 1 074 de ses élèves furent reçus à Polytechnique de 1846 à 1953 ;
- 1 510 de ses élèves furent reçus à Saint-Cyr de 1846 à 1953 ;
- 392 de ses élèves furent reçus à Navale de 1846 à 1953 ;
- 28 officiers généraux sont sortis du collège avant la Première Guerre mondiale.
Plus de 1 370 anciens élèves sont morts pour la France, dont 976 lors de la Première Guerre mondiale, 332 lors de la Seconde Guerre mondiale (dont 36 au titre de la Résistance et 31 en déportation), 41 en Indochine et 30 en Algérie[39]. Par ailleurs, 9 anciens élèves sont morts en service commandé depuis 1940.
Quatorze anciens élèves ont été faits compagnons de la Libération[40], ordre créé par le général de Gaulle (unique grand-maître) qui fut également élève au collège Stanislas.
Par ailleurs, au moins 46 anciens élèves ont été élus dans une ou plusieurs académies de l'Institut de France, dont 19 furent membres de l'Académie française[41].
Galerie
Notes et références
Notes
Références
- Sauvé 1994, chap. X.
- « La maison Dorlian ou hotel de Silène villégiature 1776 », (consulté le )
- Notice no PA00088499, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Stanislas. Annuaire 2012-2013. Paris, Stanislas, décembre 2011, (ISSN 0752-8574), p. 235.
- Paris-Parisien, Ollendorff, , p. 207
- Louis Chaigne, Itinéraires d'une espérance : pages de journal, Éditions Beauchesne, 380 p., p. 176 : « Au même collège, appartenait encore Henri Petitmangin, ecclésiastique, auteur d'une Grammaire latine longtemps et même toujours en usage. »
- David Perrotin, Lorraine Poupon, « L’univers sexiste, homophobe et autoritaire de Stanislas, le « meilleur » lycée de France », sur Mediapart (consulté le )
- Laurence Debril, « Prépas : les internats sont-ils sexistes ? », sur lexpress.fr, .
- « Stanislas, le collège d'élite qui prône la "pudeur" féminine face aux "pulsions" des garçons », sur LExpress.fr, (consulté le )
- David Perrotin et Lorraine Poupon, « Alertée sur les dérives du lycée Stanislas, Valérie Pécresse refuse de suspendre ses subventions », sur Mediapart, (consulté le )
- Annuaire du Collège Stanislas, 2002-2003, Paris, Stanislas, (ISSN 0752-8574), p. 215.
- Annuaire du Collège Stanislas, 2017-2018, Paris, Stanislas, (ISSN 0752-8574), p. 9 et 235.
- Renaud Lecadre, « Les comptes pas catholiques du collège huppé Stanislas », sur Libération, .
- J. Laporte-Weywada, « Nouvelles », L’Écho de Stan, no 166, , p. 60-61 (ISSN 1269-4991).
- « Sept ans de prison pour le responsable des loisirs du collège catholique Stanislas », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Marie-Joëlle Gros, « Silence, souffrance au collège Stanislas », sur Libération (consulté le )
- « Stanislas : l'éducateurcondamné à 7 ans », sur L'Obs (consulté le )
- « Un ex-responsable de l’établissement Stanislas visé par une enquête judiciaire », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- « Un ex-cadre d’un lycée catholique d’excellence visé par une enquête judiciaire pour agression sexuelle et violences », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Marie-Estelle Pech, « L’ex-directeur de l’internat des classes prépas du lycée Stanislas soupçonné d’agressions sexuelles et de violences », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
- cardinal André Vingt-Trois, « Lettre aux chefs d'établissement et aux présidents des organismes de gestion de l'enseignement catholique de Paris » (version du 5 décembre 2014 sur l'Internet Archive),
- Le plus grand étant l'Institution Sainte-Marie d'Antony dans les Hauts-de-Seine (source : décompte du nombre d'élèves, explicité dans l'article Institution Sainte-Marie d'Antony)
- « Classement Départemental et National des lycées français », sur lexpress.fr.
- « Méthodologie du classement national des lycées français », sur lexpress.fr.
- « Internat Lycée Stanislas », sur stanislas.fr.
- « Lycée - résultats - Collège Stanislas », sur www.stanislas.fr (consulté le ).
- « Palmarès des lycées 2018 : les établissements qui obtiennent le plus de mentions au bac », Le Figaro Etudiant, (lire en ligne, consulté le ).
- le figaro, « Mentions très bien au bac 2018 : le classement des 100 meilleurs lycées de France », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).
- « 10 lycées les plus primés au Concours général 2016 » (consulté le ).
- « Classement 2015 des prépas ECS », sur letudiant.fr.
- « Classement 2015 des prépas B/L », sur letudiant.fr.
- « Classement 2018 des prépas MP », sur letudiant.fr.
- « Classement 2015 des prépas PC », sur letudiant.fr.
- « Classement 2015 des prépas PSI », sur letudiant.fr.
- Internat Prépas Stanislas
- Stanislas. Annuaire 2011-2012. Paris, Stanislas, décembre 2011 ; p. 25 (ISSN 0752-8574)
- Décret du président Mac Mahon du 10 août 1877. ARUP no 75.000.1618
- L'Épopée de Stan, 1804-2004, p. 50 & 60.
- Aux morts de Stanislas 1914-1918, Paris, Association des anciens élèves de Stanislas, 1922 et Mémorial de Stanislas. Morts pour la France 1919-1999, Ibid, id., 2000.
- L'Écho de Stan, no 176, mars 2006 & no 178, novembre 2007, p. 90-92.
- Nicolas Lecervoisier. Statistique des anciens élèves du collège Stanislas, membres de l'Institut in L'Écho de Stan, no 184, novembre 2009, p. 114-116.
Pour approfondir
Histoire
- Claude-Rosalie Liautard, Mémoires de M. l’abbé Liautard, fondateur du collège Stanislas, chez Léautey, 1844 ; en ligne sur numelyo
- Le Collège Stanislas, notice historique (1804-1870), Paris, Soussens, 1881 ; en ligne sur Gallica.
- Henry Bordeaux, Le Collège Stanislas, Paris, Gallimard, 1936
- Bernard Desoutter, La Vie à Stan, collège Stanislas : 1940-1947, Bernay, éd. du Chanoine, 2003 (ISBN 2951947011)
- Clément de La Jonquière, Notice biographique sur l'abbé de Lagarde, par un ancien élève du collège Stanislas, Paris, Librairie catholique internationale, 1884
- Pierre Laurent et al., Centenaire du collège Stanislas (1804-1905)… Paris, J. Dumoulin, 1905 ; en ligne sur Gallica
- Abbé Louis de Lagarde, s.m. Histoire du collège Stanislas,... Paris, Putois-Cretté, 1881
- Alain Raab et Anne Mézin, L’Épopée de Stan, 1804-2004, Paris, Association Liautard, (ISBN 2-9522346-0-4, lire en ligne).
- Georges Sauvé, Le Collège Stanislas, deux siècles d’éducation, Chauray, Chauray, coll. « Patrimoines & Médias », , 445 p. (ISBN 2-910137-06-6).
- P. Joseph Simler, Vie de l'abbé de Lagarde, directeur du collège Stanislas, Paris, V. Lecoffre, 1887
Littérature
- François Augiéras, Une adolescence au temps du Maréchal, Paris : Christian Bourgois, 1968. Rééd. éditions de la Différence, 2001.
Art et architecture
- Architectes : Georges Closson ; Jacques Barge.
- Œuvres d'artistes : Henri Chapu ; Jacques Froment-Meurice (1908) ; Georges Saupique (1920) ; Firmin Michelet (1922) ; Louis Janthial (1954).
Articles connexes
Liens externes
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