Maraye-en-Othe
Maraye-en-Othe est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Othe (homonymie).
Maraye-en-Othe | |
La mairie. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Troyes |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays d'Othe |
Maire Mandat |
Nadège Dudas-Masson 2020-2026 |
Code postal | 10160 |
Code commune | 10222 |
Démographie | |
Gentilé | Marayais |
Population municipale |
438 hab. (2019 ) |
Densité | 10 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 09′ 53″ nord, 3° 51′ 12″ est |
Altitude | Min. 177 m Max. 288 m |
Superficie | 42,32 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Troyes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aix-en-Othe |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
La commune qui comptait 1 233 habitants, appelés Marayais, en 1806 a vu sa population décroître régulièrement jusqu'en 1975 pour remonter aux environs de 500 au XXIe siècle. Outre le bourg, le territoire de la commune couvre cinq hameaux : Champcharme Haut, Champcharme, Les Boulins, La Perrière et Champsicourt. Le village est situé à 11 kilomètres d'Aix-en-Othe capitale du Pays d'Othe ; il est traversé par la RD374 qui relie Nogent-sur-Seine à Charrey.
Dans une grange champenoise de 1893, le « musée de l'histoire paysanne » rassemble des appareils et outils issus de l'ancien temps du monde agricole comme des charrues, des lieuses[1], des moissonneuse-lieuses ou des semoirs.
Géographie
Localisation
Maraye-en-Othe est une commune du Pays d'Othe située entre les communes de Eaux-Puiseaux et de Bercenay-en-Othe. À vol d’oiseau, elle est située à 11 km de Aix-en-Othe, à 21,8 km de Troyes, et à 42,3 km de Sens[2].
Communes limitrophes
À vol d'oiseau, les cinq communes les plus proches du territoire sont Nogent-en-Othe, Saint-Mards-en-Othe, Eaux-Puiseaux, Bercenay-en-Othe et Vosnon[2].
La grande ville la plus proche du territoire de Maraye-en-Othe hors Paris est Reims (122,3 km)[2].
Géologie et relief
Elle est située au sud de la Vanne, là où la puissance des assises crayeuses atteint son maximum. C'est dans cette portion que qu'on rencontre les sommets les plus élevés du Pays d'Othe [3]. Ainsi, l'altitude de la commune varie entre 177 et 288 mètres ; sa superficie est de 4 232 hectares[4].
Hydrographie
L'Ancre[5], un affluent gauche de la Vanne[6], prend sa source entre les deux territoires de Maraye-en-Othe et Bercenay-en-Othe à 201 mètres d'altitude[7]. De son côté, l'Ancre possède trois affluents, dont la Rû de Champcharme qui traverse la commune[8].
Climat
Tout comme le reste de la région Champagne-Ardenne, le village se situe dans un climat « tempéré océanique humide » (Cfb) d'après la Classification de Köppen. Les vents sont généralement issus de l’ouest et du sud-ouest.
Voies de communication et transports
Une voie romaine traversait la forêt d'Othe et permettait de rejoindre les communes de Troyes et de Joigny. Elle a été reconnue sur les finages des communes de Torvilliers, Prugny, Vauchassis, Bercenay-en-Othe, Maraye-en-Othe, Saint-Mards-en-Othe ; elle atteignait Joigny par Bœurs-en-Othe et Arces-Dilo[9]. Aujourd'hui, la portion de route qui permet de rejoindre la commune depuis Bercenay-en-Othe s'appelle la Route de Maraye[4].
La commune est desservie par les lignes de bus no 91 « Troyes - Le Valdreux » et no 901 « Maraye-en-Othe -- Aix-en-Othe » du réseau de bus Les Courriers de l'Aube[10],[11].
Urbanisme
Typologie
Maraye-en-Othe est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,3 %), terres arables (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), prairies (1,6 %), zones urbanisées (0,6 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Morphologie urbaine
La commune compte cinq hameaux : Champcharme Haut, Champcharme, les Boulins, la Perrière et Champsicourt.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 269, alors qu'il était de 243 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 70,3 % étaient des résidences principales, 19,2 % des résidences secondaires et 10,5 % des logements vacants. Ces logements étaient quasiment tous (98,8 %) des maisons individuelles[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 95,2 %, en hausse par rapport à 1999 (87,0 %)[I 3].
Toponymie
Maraye est attestée sous les formes Maraia en 1173 et Vicus Paludosusen 1678[19], puis Maray en 1793 et Marcey-en-Othe en 1801[20].
Il peut s'agir du même mot dérivé en -acum que Marray (Indre-et-Loire, Marreium XIe siècle) ou Maray (Loir-et-Cher), sauf qu'il est ici du féminin -aca > -aye[21]. Le premier élément est dans ce cas le nom de personne gallo-romain Marus, issu du gaulois maros, grand, également utilisé comme nom de personne (cf. breton meur, grand ; vieil irlandais már, grand)[22].
Histoire
Durant le XIIe siècle, l’église de Maraye-en-Othe appartenait a l'ancienne abbaye Saint-Martin-ès-Aires.
Érard de Brienne-Ramerupt après 1222 obtint une rente par des immeubles disséminés de par le comté de Champagne dont les seigneuries de Saint-Mards-en-Othe, de Maraye-en-Othe et de Villeneuve-au-Chemin, fiefs qu'il revendra sauf la dernière.
Le domaine de Maraye relevait d'abord de la commune de Villemaur-sur-Vanne, suivi de la maison de Trainel durant le XIIIe siècle. Par la suite, il a appartenu successivement à la duchesse de Bourgogne au XIVe siècle puis à ses descendants comtes ou ducs de Nevers ; à Claude de Bullion sous Louis XIII[23] de 1628 à 1653 ; à François Michel Le Tellier de Louvois durant le XVIIe siècle, et enfin aux Villeroy jusqu'à la Révolution française[24].
Depuis le XIIe siècle jusqu'au XVe siècle, le minerai de fer contenu dans le sol est exploité, notamment dans le site de la « forêt domaniale de Foissy »[25] amenant le développement d'une activité métallurgique[26].
« Par acte qualifié transaction en date du 25 janvier 1553, le duc de Nivernais déclare délaisser, donner, céder et transporter aux habitants de Maraye-en-Othe et à leurs successeurs, en droit d'usage perpétuel et à toujours, la quantité de 300 arpents de bois, ensemble le fonds de la contrée appelée "le bois de Villiers", etc. Cet acte se terminait ainsi : "Et, par exprès, a été accordé que les dits habitants ne pourront essarter, extirper, défricher ni mettre en nature de labour et agriculture, part et portion desdites contrées et quantités susdites, sur peine de privation et extinction desdits droits d'usage et pâturage. »[27].
En 1547 François Ier de Clèves duc de Nevers se vit ériger en marquisat les châteaux d'Isles, Villemaur, Maraye et Chaource.
Un projet de chemin de fer par la Compagnie des chemins de fer électriques de Champagne eut lieu à Maraye-en-Othe (Il s'agissait de relier Romilly-sur-Seine à Auxon en passant par le Pays d'Othe -Villadin-Villemaur-Saint-Mards)[28]
Durant la Seconde Guerre mondiale, c'est au hameau la Perrière qu'eurent lieu quelques-uns des premiers actes de résistance du maquis de Saint-Mards-en-Othe[29].
Le hameau des Boulins comptait un maquis sous les ordres des lieutenants Collot et Flamand. Le 12 juin 1944, le groupement comptait 112 hommes, mais à la suite d'une dénonciation le groupe est attaqué, décroche et rejoint le maquis de Suy-la Grande-Jaronnée à la limite de l'Yonne.[30]
L'après-guerre voit progressivement la fin d'une antique civilisation agricole, et le début du remembrement des années 1950.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Au second tour de l'élection présidentielle de 2007, 55,83 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 44,17 % pour Ségolène Royal (PS), avec un taux de participation de 80,93 %[31].
Au second tour de l'élection présidentielle de 2012, 51,58 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 48,42 % pour François Hollande (PS), avec un taux de participation de 82,26 %[32].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement lors des élections municipales étant compris entre 100 et 500, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[33].
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Maraye-en-Othe relève du tribunal d'instance de Troyes, du tribunal de grande instance de Troyes, de la cour d'appel de Reims, du tribunal pour enfants de Troyes, du conseil de prud'hommes de Troyes, du tribunal de commerce de Troyes, du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne et de la cour administrative d'appel de Nancy[37].
Politique environnementale
Le , une convention de modernisation des documents comptables est signée à la mairie de Maraye-en-Othe. Elle permet l’aboutissement des travaux de dématérialisation de documents comptables s’inscrivant dans une démarche de gestion durable et écoresponsable, qui a permis l'économie de 1 900 feuilles A4. C'est la première commune de l'Aube à appliquer une dématérialisation totale grâce à l’outil gratuit que la Direction générale des Finances publiques (|DGFiP) a mis à sa disposition[38].
Finances locales
De 2008 à 2013, la capacité d'autofinancement nette du remboursement en capital des emprunts est restée quasiment toujours négative, à un taux par habitant très inférieur à celui des communes de même type[39] :
Année | Dans la commune | Moyenne de la strate[Note 3] |
---|---|---|
2008 | - 20 € | 112 € |
2009 | - 41 € | 96 € |
2010 | 32 € | 106 € |
2011 | - 57 € | 127 € |
2012 | - 39 € | 128 € |
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Marayais[41].
Évolution démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2019, la commune comptait 438 habitants[Note 4], en diminution de 10,79 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,1 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 224 hommes pour 218 femmes, soit un taux de 50,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Maraye-en-Othe est située dans l'académie de Reims.
La commune administre une école élémentaire[47]. En 2012, 53 000 € ont été dépensés par l'ensemble du groupe scolaire du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) (Chennegy, Maraye-en-Othe et Bercenay-en-Othe), ce qui a permis de rénover une classe en 2012 et une autre en 2013, terminant ainsi la rénovation du groupe scolaire[48].
Manifestations culturelles et festivités
Le marché de Noël est organisé, en collaboration avec les villages du regroupement pédagogique intercommunal, par la « Tarandole des trois pommes de Chennegy »[49].
Médias
Le quotidien régional L'Est-Éclair assure la publication des informations locales à la commune[50].
La commune ne dispose pas de nœud de raccordement ADSL installé dans cette commune, ni de connexion à un réseau de fibre optique. Les lignes téléphoniques sont raccordées à des équipements situés à Saint-Mards-en-Othe[51].
Sports
Maraye-en-Othe dispose d'un centre équestre et d'un gymnase[52] ainsi que d'un terrain de basket.
L'association Liberty Quad 10 organise des randonnées et des cours d'initiation au quad[53].
Cultes
Seul le culte catholique est célébré à Maraye-en-Othe. La commune est l'une des dix communes regroupées dans la paroisse « d'Auxon », l'une des six paroisses de l'espace pastoral « Forêts d’Othe et d’Armance » au sein du diocèse de Troyes, le lieu de culte est l'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur[54].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 030 €, ce qui plaçait Maraye-en-Othe au 12 356e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[55].
En 2009, 48,3 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 296 personnes, parmi lesquelles on comptait 78,5 % d'actifs dont 71,7 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs[I 5].
On comptait 54 emplois dans la zone d'emploi, contre 49 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 213, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 25,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre à peine plus d'un emploi pour quatre habitants actifs[I 6].
Entreprises et commerces
Maraye-en-Othe est l'une des communes où peut être produit le chaource qui bénéficie d'une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis 1970 et d'une appellation d'origine protégée (AOP) (équivalent européen) depuis 1996[56].
Au , Maraye-en-Othe comptait 31 établissements : 9 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, aucun dans l'industrie, 5 dans la construction, 12 dans le commerce-transports-services divers et 5 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].
En 2011, 2 entreprises ont été créées à Maraye-en-Othe[I 8].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune ne compte aucun lieu ou monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[57] ou à l'inventaire général du patrimoine culturel[58]. Toutefois l'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur renferme 15 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[59] et 6 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[60].
L'église Saint-Jacques-le-Majeur s'élève au pied de la hauteur qui domine Maraye-en-Othe à l'ouest. Sa construction a eu lieu entre 1779 et 1783. Le vaisseau forme un parallélogramme, divisé en trois nefs. L'abside est tournée vers l'ouest, la porte principale fait face à l'est.
Du haut du village s'aperçoit une cheminée, tout en arabesques [61].
Le bois de Vire-Loup est situé à l'est de Maraye-en-Othe, entre les Boulins et la Perrière.
Musée de l'histoire paysanne
Dans une grange champenoise de 1893 à Champcharme, ce musée rassemble des appareils et outils issus de l'ancien temps du monde agricole comme des charrues, des lieuses, des moissonneuse-lieuses ou des semoirs[62].
Folklore
Un violoneux des Boulins avait sa version de la Ronde de la Boulangère. Elle nous est parvenue[63]
Héraldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : d’azur au chevron d’or accompagné de trois croisettes ancrées du même .
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Voir aussi
Bibliographie
- E.-L. Collot, Histoire de Aix-en-Othe et la région, 1935, Res Universis (réimpression); Paris, 1993. (ISBN 2-7428-0236-3)
- Daniel Delattre, Emmanuel Delattre, Nathalie Delattre-Arnould, Odette Delattre et Laëtitia Delattre-Rigaux, L'Aube, les 433 communes, Éditions Delattre, (réimpr. 2013), 240 p. (ISBN 978-2-36464-035-1)Ce livre consacre un chapitre à chaque commune du département de l'Aube.
- Laurent Denajar, L'Aube, volume 10 de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, (ISBN 978-2-87754-093-3), chapitre consacré à Maraye-en-Othe, [lire en ligne]
- Gabriel Groley, Mystérieuse forêt d'Othe, Paton, 1976.
- Jeanne Martel et Jeanine Velut, Notre pays d'Othe, Office de tourisme du pays d'Othe et de la vallée de la Vanne, 2003, (ISBN 2-907894-32-3)
Articles connexes
Liens externes
- Au , la mairie n'a pas créé un site web.
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Maraye-en-Othe sur le site de l'IGN
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Pour cette commune, la strate représente l'ensemble des communes de 500 à 2 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (4 taxes).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
Autres sources
- Machine agricole servant à lier les gerbes ou les bottes
- « Maraye-en-Othe », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
- Émile Chantriot, Le pays d'Othe : Annales de Géographie, vol. 4, (lire en ligne), chap. 17.
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Sandre, « L'Ancre » (consulté le ).
- Sandre, « La Vanne » (consulté le ).
- « Source de l'Ancre » sur Géoportail (consulté le 18 octobre 2012)..
- Sandre, « Le rû de Champcharme » (consulté le ).
- Isabelle Crété-Protin, Église et vie chrétienne dans le diocèse de Troyes du IVe au IXe siècle, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, (lire en ligne), p. 47.
- Réseau de bus Les Courriers de l'Aube, ligne de bus no 91, [lire en ligne].
- Réseau de bus Les Courriers de l'Aube, ligne de bus no 901, [lire en ligne].
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Laurent Denajar, L'Aube, volume 10 de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, (ISBN 978-2-87754-093-3), chapitre consacré à Maraye-en-Othe, [lire en ligne].
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse, 1963.
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 218.
- LABATUT (J. P.) Aspect de la fortune de Bullion. revue XVIIe Siècle. (1963), no 60, p. 19.
- Daniel Delattre, Emmanuel Delattre, Nathalie Delattre-Arnould, Odette Delattre et Laëtitia Delattre-Rigaux, L'Aube, les 433 communes, Éditions Delattre, (réimpr. 2013), 240 p. (ISBN 978-2-36464-035-1).
- Patrice Beck, Philippe Braunstein, Michel Philippe et Alain Ploquin, Minières et ferriers du Moyen-Âge en forêt d’Othe (Aube, Yonne) : approches historiques et archéologiques, p. 333-365, revue archéologique de l'Est, tome 57, 2008, [lire en ligne].
- Patrice Beck, Philippe Braunstein et Michel Philippe, Le bois, le fer et l'eau en foret d'Othe à la fin du Moyen Âge : bilan et perspectives, Les Cahiers du Centre de recherches historiques, no 9, 1992, [lire en ligne].
- Arrêt de la Cour de cassation du , Périer contre commune de Maraye-en-Othe, [lire en ligne].
- Au pays des cruches - La ligne
- Sébastien Touffu, Études des structures des principaux mouvements de Résistance auboise, Dijon, 1997.
- [Àhttp://www.cndp.fr/crdp-reims/cddp10/actions/CNRD/download/local009.pdf pdf Les FTPF / maquis à ne pas confondre avec celui de Rigny-la-Nonneuse, les bois de Boulins, à Rigny
- « Résultats de l'élection présidentielle 2007 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Les maires de Maraye-en-Othe », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de l‘Aube
- https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21599923
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des Libertés (consulté le ).
- « La commune modernise ses échanges comptables », sur le site du quotidien L'Est-Éclair, (consulté le ).
- « Les Comptes des Communes », sur le site du ministère de l’Économie et des Finances (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- . « Maraye-en-Othe », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maraye-en-Othe (10222) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
- « Fiche UAI - 0100328C », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Le groupe scolaire rénové entièrement fin 2013 », sur L'Est-Éclair, (consulté le ).
- « La classe d'orchestre a joué son concert de Noël », sur vL'Est-Éclair, (consulté le ).
- « Résultats de recherche », sur le site du quotidien L'Est-Éclair (consulté le ).
- « L'ADSL à Maraye-en-Othe », sur le portail web de référence dédié aux fournisseurs d'accès à Internet et aux offres haut-débit (consulté le ).
- « Le sport, les loisirs et le tourisme à Maraye-en-Othe (10160) », sur le site linternaute.com de la société CCM Benchmark (consulté le ).
- « Activités sportives », sur le site de l'office de tourisme du pays d'Othe (consulté le ).
- « Accueil du site > Vie du diocèse > Annuaire > Contenu > Forêts d’Othe et d’Armance : contacts », sur le site du diocèse de Troyes (consulté le ).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Chaource », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité (INAO), (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Maraye-en-Othe », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Maraye-en-Othe à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Maraye-en-Othe », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Maraye-en-Othe à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
- Martel, Velut
- « Musée de la Mémoire Paysanne », sur le site de l'association « Aube en Champagne Tourisme » (consulté le ).
- Société des Amateurs d'Art et de Folklore Champenois La Boulangère de Maraye-en-Othe
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