Mathay
Mathay est une commune française située dans le département du Doubs en région Bourgogne-Franche-Comté.
Mathay | |||||
La mairie de Mathay. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Doubs | ||||
Arrondissement | Montbéliard | ||||
Intercommunalité | CA Pays de Montbéliard Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Daniel Granjon 2020-2026 |
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Code postal | 25700 | ||||
Code commune | 25370 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 152 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 145 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 26′ 16″ nord, 6° 47′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 330 m Max. 551 m |
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Superficie | 14,85 km2 | ||||
Unité urbaine | Montbéliard (banlieue) |
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Aire d'attraction | Montbéliard (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valentigney | ||||
Législatives | 4e circonscription du Doubs | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Les habitants de Mathay sont appelés les Mathéens et Mathéennes.
Géographie
Description
Mathay est située le long du Doubs. Elle fait face à Mandeure, l’antique Epomanduodurum romaine.
Communes limitrophes
Berche | Voujeaucourt | Valentigney | ||
Dampierre-sur-le-Doubs Écot |
N | Mandeure | ||
O Mathay E | ||||
S | ||||
Bourguignon |
Urbanisme
Typologie
Mathay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montbéliard, une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes[4] et 112 634 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), prairies (22,3 %), zones urbanisées (11,8 %), terres arables (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Ecclesiam S. Petri Majestaris en 1143 ; Maste en 1148 ; et 1162 ; Le vaul d'Amastes en 1283 ; Mathey en 1337 ; Mastay en 1371 ; Malthay en 1422 ; Mathay depuis 1529[11].
La première mention de Mathay apparaît dans une bulle du pape Celesin II en 1143 sous le nom de Majesta, dans laquelle celui-ci confirme les biens de l'abbaye de Baume-les-Dames : Ecclesiams S.Petri Majestatis ; Ecclesiam sancti Symphoriani, .... Dans l'arrêt de 1162] de Frédéric Barberousse Mathey est nommé Maste et Meste. Au XIVe siècle c'est Matelum et aux XVe et XVIe siècles il est fait mention de Mata ou Mautta. Le nom semble d'origine celtique et signifierait belle rivière (de mat = beau et ta = eau ou rivière). De nombreux vestiges romains découverts dans l'enceinte du village le désignent comme contemporain de Mandeure (Epomanduodurum) à cette époque[12].
Histoire
La dame de Mathay
Au « Bois des Loschières » a été découvert un dépôts d'objets en bronze, de l'Âge du Bronze qui est l'un des plus importants pour la période du Bronze final en Europe. Il est composé de plus de 2600 objets, dont 1000 perles en verres et 950 anneaux de bronze. L'ensemble est représentatif d'un costume féminin ostentatoire (ceinture à maillons de bronze, bracelets, « diadèmes », ornements de coiffure plaqués d'or, colliers, d’ambre et d’or... ) et est comparable à la, plus populaire, dame de Blanot [13].
La prévôté de Mathay
La seigneurie de Mathay de par sa position défendait l'entrée des montagnes du comté de Bourgogne, elle regroupait une vingtaine de villages et sa forteresse était un tribunal où siégeait le seigneur de Neuchâtel lorsqu'il y convoquait chaque année les magistrats et maires de la juridiction[14].
Le village était le siège de la prévôté de Mathay détenue par les seigneurs de Neuchâtel-Bourgogne, à ce titre ils reçoivent en 1306[12] l'hommage des nobles possédant les terres la constituant (de Bavans à Pont-de-Roide-Vermondans et englobant Bourguignon et Écot)[15].
Les habitants déclarèrent à cette séance de tenue d'un plaid (assemblée sur le modèle germanique) qu'ils gardaient les usages et les coutumes institués depuis longtemps par les abbesses de Baume-les-Dames (il semble que l'abbaye la possédait depuis le VIe siècle, à cette occasion il est fait mention de la Pooté de Mathay, dérivée du latin potestas ou proepositura[12]), à cet effet ils soulignèrent qu'ils étaient soumis à la juridiction de leur prévôt et de leur maire, que le plaid se tiendrait deux fois par an, que la justice ne pouvait être rendue qu'à cette occasion, que s'ils devaient plaider devant une justice étrangère ils devaient être assistés de leur prévôt et du maire, que tous les habitants des villes de la prévôté y avaient droit de vote, qu'ils choisissaient eux-mêmes les gardes forestiers, qu'ils n'étaient pas taillables mais seulement corvéables, qu'ils n'étaient pas soumis au lost (service militaire à pied), ni à la chevaulchie (service à cheval), ni au guet, ni à la garde, qu'ils pouvaient s'assembler quand ils le voulaient, qu'en cas d'homicide ils pouvaient se réfugier au château de Neuchâtel (le seigneur devait accueillir le fugitif moyennant soixante sous et ce dernier pouvait trouver un accord avec les plaignants allant jusqu'au duel), qu'en échange de la garantie de ces libertés et de la possibilité de retrait dans la forteresse de Neuchâtel en cas de guerre ils étaient obligés à l'entretien du château de Neuchâtel, du gîte aux chiens du seigneur et soumis aux lois de Neuchâtel pour la chasse (qui n'était permise qu'après l'obtention d'une licence), la libre circulation sur les chemins et le bornage des terres (il était courant que les bornes soient déplacées lors des successions), qu'enfin ils étaient libres de sortir de la prévôté[16],[12].
La forteresse
Au sud-est du village, à peu de distance de l'église, sur une petite éminence se dressait le château de Mathay, composé d'une cour rectangulaire cernée de bâtiments sur tous les côtés. Des tours rondes et massives protégeaient trois des côtés de la muraille d'enceinte de 6 mètres d'épaisseur, le quatrième côté était équipé d'un pont-levis que défendait une imposante tour entourée de fossés, elle-même accessible par un autre pont-levis. L'enceinte du château était bordée d'un fossé alimenté par une source qui jaillissait du château même. Au XVIIe siècle la forteresse sera détruite[14].
Les Neuchâtel-Urtière
Avant leur arrivée, la prévôté de Mathay était administrée par les abbesses de Baume-les-Dames. En 1162, il est question de Thierry de Soye comme prévôt. Les abbesses eurent à s'en plaindre auprès de l'empereur Frédéric Barberousse en sa qualité de comte de Bourgogne, devant le comportement violent du prévôt envers les habitants ; le comte décréta le de cette année qu'il prenait la prévôté sous sa protection et en éloignait Thierry de Soye.
Se méfiant de la puissance que donnait le titre de prévôt, les abbesses ne le transmirent pas tout de suite aux seigneurs de Neuchâtel-Bourgogne, ce n'est qu'en 1301 qu'ils purent enfin porter le titre de prévôt et vicomte de Baume-les-Dames. La charte stipule : que le noble Thiébaud seigneur de Neuchâtel, écuyer, se déclare homme et féal de l'abbaye de Baume-les-Dames, et jure fidélité aux abbesses et religieuses assemblées en chapitre. Il reconnaît qu'il tient en fief de ces religieuses le titre de prévôt et la prévôté des terres de Mathay, d'Ecot, de Villars, de Luxelans, de Châtel-Saint-Marie, de Bourguignon, de Vermondans, de Bavans et tous les droits du monastère de Baume. Il s'oblige à se rendre à Baume à chaque élection d'abbesse pour garder les religieuses et les défendre de toute contrainte et violence en se tenant à la porte où l'élection serait faite[12]. Peu de temps après Thiébaud IV de Neuchâtel-Bourgogne a soin de faire distinguer les droits de la vicomté de Baume-les-Dames et de la prévôté afin de pouvoir les transmettre séparément à ses enfants[12].
Ainsi le seigneur de Neuchâtel portait le titre de vicomte, c'est-à-dire de lieutenant du comte de Bourgogne pour ce qui concernait la justice et le commandement des troupes ; en même temps il était convenu que les habitants seraient administrés par un prévôt et à partir du XIVe siècle il sera adjoint un maire[12]. À partir de 1331 le seigneur de Neuchâtel obtenait la suzeraineté de la totalité de la prévôté et s'affranchissait de ses devoirs de vassal auprès des abbesses de Baume-les-Dames[12].
La création de la maison de Mathay
Elle appartenait à la maison de Famille de Saint-Mauris-en-Montagne. Dès le XIIIe siècle, Jean de Saint-Mauris dit "l'ainé", époux de Jeanne de Tramelay et fils de Richard II de Saint-Mauris, ainsi que Berchin de Saint-Mauris, son fils, se qualifiaient de sires de Mathay. Ils étaient issus d'une puissante famille comme en témoignent leurs armoiries ainsi que plusieurs tombeaux de cette maison dans l'église de Mathay dont celui de Jean de Mathay, chevalier[14]. Cette famille était une branche de la maison de Saint-Mauris et pour s'en distinguer prendra le nom de Mathay à partir de Jean et Berchin de Saint-Mauris. D'ailleurs plusieurs d'entre eux prendront le surnom de Berchenet[14].
Les seigneurs de Mathay sont reçus dans la confrérie de Saint Georges, dont Claude de Mathay en 1571 et Gaspard en 1592[17]. Le premier connu est Théodoric de Mathay qui, au XIIe siècle, se distingue comme bienfaiteur de l'abbaye de Lieu-Croissant, les armes étaient d'azur, à la mélusine de carnation, couronnée d'or, issante d'une cuve du même[18]. Au XVIIe siècle la maison de Mathay s'éteint et est transmise à celle de Pouilly et de Charmoille[18].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2019, la commune comptait 2 152 habitants[Note 4], en diminution de 0,46 % par rapport à 2013 (Doubs : +2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Vie locale
Enseignement
Mathay possède deux écoles : une élémentaire, Les Tilleuls, et une maternelle, La Petite Sirène[25].
Équipements
Six établissements de santé sont présents à Mathay, parmi lesquels un cabinet dentaire, une clinique vétérinaire et un cabinet naturopathe[26]. La ville possède une bibliothèque municipale, avec plus de 3 000 livres disponibles[27].
Économie
En 2019, dix commerces sont installés à Mathay, dont quatre concernent métier de bouche, ainsi que quinze artisans. La ville est le siège de quatre entreprises[28]. Mathay accueille également une quinzaine d'associations, relevant des domaines sportifs, culturels et socio-économiques[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église saints Pierre et Paul : l'édifice date de 1841, il se situe actuellement dans le diocèse de Belfort-Montbéliard, au sein de l'Ensemble de Paroisses n°36. Le curé est M. l'abbé Jean-Marie Duboz.
- Chapelle Saint-Symphorien.
- Chapelle Notre Dame des Champs
- L'église Saint-Pierre et Saint-Paul.
- La chapelle de Saint-Symphorien.
- La chapelle Notre Dame des Champs.
Personnalités liées à la commune
- Claude Quittet, footballeur français y est né.
Héraldique
Blason | De gueules à la sirène d’argent, couronnée et chevelée d’or, se peignant de la senestre et se regardant dans un miroir aussi d’argent, cerclé et emmanché aussi d’or, quelle tient de sa dextre. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montbéliard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 4, Besançon, Cêtre, .
- Recherches historiques et statistiques
- Jean-François Piningre, « Mathay – Bois des Loschières », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le )
- Annuaire départemental du Doubs
- Mémoires et documents inédits pour servir à l'histoire de la franche-Comté
- Annales franc-Comtoises
- Dictionnaire universel de la noblesse de France, volume 2.
- Dictionnaire universel de la noblesse de France.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Un huitième mandat pour Daniel Granjon », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- S. D., « Pays de Montbéliard - Éducation. Dans les écoles, à la rentrée 2019, les effectifs baissent », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- « Professions de santé », sur Mathay (consulté le ).
- « La bibliothèque municipale », sur Mathay (consulté le ).
- « Vie économique », sur Mathay (consulté le ).
- « Vie associative », sur Mathay (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Annales franc-comtoises, volume 2, Nicolas François Louis Besson, Besançon, 1864, p.26, 27.
- Annuaire départemental du Doubs, A. Laurens, 1844, p.217, 218, 219.
- Dictionnaire universel de la noblesse de France, de Courcelles, 1821, p.463.
- Dictionnaire universel de la noblesse de France, volume 2, Jean B. Courcelles, 1820, p.286.
- Histoire de l'Université du Comté de Bourgogne et des différents sujets qui l'ont honorée, volume 2, Nicolas-Antoine Labbey-de-Billy, 1815, p.29, 30.
- Mémoires et documents inédits pour servir à l'histoire de la Franche-Comté, volume 1, Académie des sciences, belles lettres et arts de Besançon, 1838, p.452.
- Nobiliaire universel de France, volume 6, Saint Allais, de la Chabeaussière, de Courcelles, abbé de Lespine, de Saint Pons, Ducas, Lanz, 1815, bureau nobiliaire universel de France, p.180 à 185 Google livres.
- Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel au comté de Bourgogne, Jean François Nicolas Richard, 1840, p.44, 45, 46, 48, 49, 50, 51, 55, 132, 138, 200, 201, 253.
Articles connexes
Liens externes
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