Molières (Lot)

Molières est une commune française située dans le nord-est du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.

Pour les articles homonymes, voir Molières.

Molières
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Jean Marie Laborie
2020-2026
Code postal 46120
Code commune 46195
Démographie
Gentilé Moliérois[1]
Population
municipale
357 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 41″ nord, 1° 56′ 09″ est
Altitude Min. 316 m
Max. 603 m
Superficie 12,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Céré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Molières
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Molières
Géolocalisation sur la carte : Lot
Molières
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Molières

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Biarque et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Molières est une commune rurale qui compte 357 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 107 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Moliérois ou Moliéroises.

    Géographie

    Hydrographie

    Le Ruisseau de Cantegrel, le Ruisseau de Molières et le Ruisseau de Labaures sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

    Hameaux

    Le Rascalou, Les Ressègues...

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Molières[2]
    Bannes Saint-Paul-de-Vern Ladirat
    Leyme Terrou
    Espeyroux
    Carte de la commune de Molières et des proches communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 322 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Latronquière », sur la commune de Latronquière, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 342,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] : le « bois de Leyme » (200 ha), couvrant 3 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[19] : le « bassin de la Bave » (8 075 ha), couvrant 22 communes dont une dans le Cantal et 21 dans le Lot[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Molières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,5 %), forêts (31,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Molières (en occitan Molièras) est basé sur le mot latin mollis avec la terminaison -aria qui désigne une terre humide et molle[25].

    Histoire

    À la grande surprise des habitants, le , un détachement de 22 automitrailleuses de la 2e division SS Das Reich parti de Latronquière arrive dans le village de Molières. Ce bourg était à l'époque très isolé et difficile d'accès pour les gros véhicules. Les soldats SS sont à la recherche de maquisards. Ils pillent les habitations, tuent Émile Gauzin et emportent trois autres hommes avec eux[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1813 Jean Lavaïsse    
    1813 1815 Louis Lavaïsse    
    1815 1834 Géraud Bayle    
    1835 1841 Antoine Louis Lavaysse    
    1842 1844 Leydet    
    1844 1851 Jean-cyprien Lavaysse    
    1851 1865 Joseph Tauran    
    1865 1878 Jean-cyprien Lavaysse    
    1878 1884 Jean Estival    
    1884 1892 Edmond Ferrand    
    1892 1896 Tauran    
    1896 1898 Edmond Ferrand    
    1898 1902 Mastorg    
    2001 En cours Jean-marie Laborie    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2019, la commune comptait 357 habitants[Note 7], en diminution de 5,05 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9489911 1079391 0101 0531 0271 0801 025
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0211 0121 0111 004952958914814832
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    765746708573546493490485484
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    518455435447403364368368376
    2017 2019 - - - - - - -
    362357-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École de Molières.

    En , le ministère de l'Éducation nationale décide de fermer l'école communale par « faute d'effectifs » alors que 38 enfants de la commune sont en âge d'être scolarisés. Des parents d'élèves décident de reprendre la maternelle au sein d'une association Les Pit'Chouns à Molières. Une enseignante diplômée de l'éducation nationale est employée pour une dizaine d'élèves[32].

    En septembre 2021, cette école associative au modèle inédit a effectué sa cinquième rentrée scolaire sous cette nouvelle forme.

    De à , un tournage de documentaire[33] se déroule en plusieurs sessions pour mettre en lumière le fonctionnement singulier de cette structure éducative. Intitulé Les Pitchouns en campagne, ce film tourné par Jean Dulon et Nicolas Svetchine montre la résistance de tout un village et a été diffusé à la télévision en été 2019 sur Public Sénat [34] puis en octobre de la même année sur l'antenne de la chaîne régionale Via Occitanie. Ce documentaire, produit par Grand Angle Productions, a été sélectionné dans de nombreux festivals aux quatre coins de France : au 22ème Festival des Créations Télévisuelles de Luchon en [35], au 22ème Festival Caméras des Champs en mai 2021, en ouverture du 20ème Festival des Conviviales de Nannay [36] en aout 2021 où il décroche le prix "coup de cœur du public", au Festival Festi'Vache dans les Monts du Lyonnais en septembre 2021, au 15ème Festival Ciné-Campagne à Châtillon-en-Vendelais en décembre 2021 ainsi qu'au 13ème Festival de cinéma sur la ruralité "Terres et Films d'ici et d'ailleurs" à Plouguenast-Langast [37].

    Synopsis

    Molières, un petit village du Lot qui, malgré plus de 40 enfants en âge d'être scolarisés, vient de perdre son école en 2017. Cette décision de l'Education nationale porte un coup fatal à l'âme de cette commune, au lien social, humain et historique d'un petit village jusque là dynamique et prospère. Contre l'injustice, les habitants se regroupent, les parents d'élèves se rassemblent et en levant des fonds propres rouvrent une classe et redonnent vie à l'école de Molières ! Pour combien de temps ? Avec quels moyens sur le long terme ? Avec quel soutien pour tenir ? Durant une année scolaire, Jean Dulon et Nicolas Svetchine ont suivi leur combat, leur résistance et leurs espoirs...

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 157 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 344 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 230 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,6 %5 %4,8 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 200 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 4,8 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 58 emplois en 2018, contre 47 en 2013 et 53 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 150, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,4 %[I 10].

    Sur ces 150 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 49 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    21 établissements[Note 10] sont implantés à Molières au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 61,9 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 21 entreprises implantées à Molières), contre 14 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune compte plus d'une vingtaine d'exploitations agricoles (bovins dont veaux de lait, ovins, canards, noix, châtaignes...).

    Deux événements agricoles sont organisés : le , la foire aux cerises et en novembre la fête de la laine.

    La commune est dans le Segala », une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations54372923
    SAU[Note 12] (ha)9111 0931 1791 001

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 54 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 37 en 2000 puis à 29 en 2010[40] et enfin à 23 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[41],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 911 ha en 1988 à 1001 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 44 ha[40].

    Artisanat et commerces

    Les entreprises du bâtiments et de la réparation sont bien représentées.

    Épicerie/bar multiservices « O pain perdu ».

    Tourisme

    Gîtes, camping à la ferme...

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre, fortifiée restaurée au XVIIe siècle après les guerres de Religion[42]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[43].
    • Table d'orientation au Pech Mouleyret, point culminant de la commune à 586 mètres offrant une large vision sur le Quercy, les monts d'Auvergne et les plateaux du Limousin.
    • Trois marronniers majestueux sur la place.
    • Puits communal de 1887, couvert d'un berceau en plein cintre.

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Molières » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Molières » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Molières » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Molières » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. https://www.habitants.fr/lot-46
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Latronquière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Molières et Latronquière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Latronquière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Molières et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    18. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Molières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « bois de Leyme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « bassin de la Bave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 74.
    26. Gilbert Lacan, Figeac en Quercy : sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99 p., p. 34-35.
    27. « Les maires de Molières », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. « Quand les parents créent leur école pour sauver celle du village », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    33. « [VIDEO] Molières. Les « pitchouns » arrivent sur petit écran », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    34. « Un documentaire sur l'école de Molières », sur www.ladepeche.fr, (consulté le ).
    35. « Le film sur l’école associative de Molières présenté hors compétition au festival de Luchon ».
    36. « Un documentaire militant ouvre les Conviviales de Nannay », Quotidien, (lire en ligne)
    37. « Plouguenast : le 13e festival cinématographique de la ruralité », Journal, (lire en ligne)
    38. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    39. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Molières - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
    42. « Molières: un certain art de vivre », La Dépêche du midi, (lire en ligne).
    43. « Église paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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