Monferran-Plavès
Monferran-Plavès (Montferran e Plavès en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Monferran-Plavès | |
La rue principale à Monferran. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gers |
Arrondissement | Mirande |
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Gers |
Maire Mandat |
Pierre Michelin 2020-2026 |
Code postal | 32260 |
Code commune | 32267 |
Démographie | |
Population municipale |
113 hab. (2019 ) |
Densité | 10 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 29′ 35″ nord, 0° 38′ 24″ est |
Altitude | Min. 190 m Max. 294 m |
Superficie | 11,07 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Auch (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Astarac-Gimone |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monferran-Plavès est une commune rurale qui compte 113 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 368 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Monferranais ou Monferranaises.
Géographie
Localisation
La commune de Monferran-Plavès est située dans le canton d'Astarac-Gimone et dans l'arrondissement d'Auch, entre les vallées du Gers et de l'Arrats.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Monferran-Plavès se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, le ruisseau de Cantroubat, le ruisseau d'en Haouré, le ruisseau de Sarraute, le ruisseau de Tartifume et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[11] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 685,4 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[14]à 13,5 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[16]: les « landes et coteaux d'Ornézan à Traversères » (1 609 ha), couvrant 7 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[16] : les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[18].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Monferran-Plavès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[I 1],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45 %), prairies (30 %), forêts (18,9 %), terres arables (6 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
Monferran d’Astarac et Plavès ont fusionné par ordonnance royale le pour ne former qu’une commune. Le chef-lieu étant Monferran, la commune prend le nom de Monferran-Plavès.
Deux mottes castrales sont à l’origine des deux villages. L’une à l’ouest de l’église Saint-Barthélémy de Monferran, l’autre à l’ouest de Saint-Blaise de Plavès.
Au XIIIe et XVe siècles, les terres appartenaient aux Lagossan, puis aux comtes d’Astarac. En 1632, Monferran était un archiprêtré dont dépendaient cinq cures et trois annexes.
Politique et administration
Administration municipale
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25]. En 2019, la commune comptait 113 habitants[Note 8], en diminution de 8,13 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Enseignement
Il n'y a plus d'école à Monferran-Plavès.
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 4,3 % | 10,3 % | 9,4 % |
Département[I 5] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 66 personnes, parmi lesquelles on compte 75 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 25 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 46, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,7 %[I 8].
Sur ces 46 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 77,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
6 établissements[Note 10] sont implantés à Monferran-Plavès au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 6 entreprises implantées à Monferran-Plavès), contre 14,4 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 26 | 16 | 15 | 9 |
SAU[Note 11] (ha) | 676 | 688 | 632 | 574 |
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 574 ha[31],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les éléments notables du patrimoine de Monferran-Plavès sont les suivants[28] :
- Église Saint-Barthélémy de Monferran, de style néo-gothique, construite au XIXe siècle à l'emplacement de l'ancienne église ;
- Chapelle Saint-Blaise de Plavès ;
- Oratoire Notre-Dame-de-la-Pitié de Plavès, construit en 1867, cet ancien lieu de pèlerinage est situé à 400 m à l'est de l'église de Plavès.
- Château de Monferran. Un château ruiné figure sur la carte de Cassini, et une forteresse entourée de fossés est mentionnée dans le cadastre de 1765[32],[33]. Aucun vestige de l'ancien château n'est aujourd'hui visible en élévation.
- Motte castrale de Plavès. Les soubassements de la motte subsistent à proximité de la chapelle de Plavès.
- L'entrée est du village.
- L'église Saint-Barthélemy.
- Vue sur le chevet de l'église.
- La chapelle Saint-Blaise.
- Cabine téléphonique et table.
- Château d'eau situé au sud du village.
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Monferran-Plavès » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monferran-Plavès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monferran-Plavès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Monferran-Plavès » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Monferran-Plavès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Arrats »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monferran-Plavès et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Monferran-Plavès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « landes et coteaux d'Ornézan à Traversères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les maires de Monferran-Plavès », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Monferran-Plavès
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monferran-Plavès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Archives départementales du Gers, C 189.
- Benoît Cursente, Les Castelnaux de la Gascogne médiévale, Bordeaux, Fédération historique du Sud-Ouest, , p. 143..
- Portail des communes de France
- Portail du Gers