Montmerle-sur-Saône

Montmerle-sur-Saône est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes et bordée par la Saône. Elle appartient à l'unité urbaine de Belleville, au nord de l'aire urbaine de Lyon.

Montmerle-sur-Saône

Mairie et monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes Val de Saône Centre
Maire
Mandat
Philippe Prost
2020-2026
Code postal 01090
Code commune 01263
Démographie
Gentilé Montmerlois, Montmerloises
Population
municipale
3 772 hab. (2019 )
Densité 907 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 58″ nord, 4° 45′ 27″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 227 m
Superficie 4,16 km2
Unité urbaine Belleville-en-Beaujolais
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Chalaronne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Montmerle-sur-Saône
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Montmerle-sur-Saône
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Montmerle-sur-Saône
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Montmerle-sur-Saône
Liens
Site web mairie-montmerle.fr

    Les habitants de Montmerle-sur-Saône s'appellent les Montmerlois et les Montmerloises[1].

    Géographie

    Localisation

    Entourée par les communes de Lurcy, Francheleins, Belleville, Guéreins, Montceaux et Saint-Georges-de-Reneins, Montmerle-sur-Saône est située à 11 km au nord-est de Villefranche-sur-Saône, la plus grande ville à proximité. La ville longe la Saône sur 3,5 kilomètres.

    Communes Limitrophes

    Communes limitrophes de Montmerle-sur-Saône
    Belleville (Rhône) Guéreins Montceaux
    Francheleins
    Saint-Georges-de-Reneins (Rhône) Lurcy

    Climat

    Le climat y est de type océanique avec un été tempéré. La commune de Montmerle-sur-Saône a connu 1 492 heures d'ensoleillement en 2013, contre une moyenne nationale des villes de 1 548 heures de soleil. Montmerle-sur-Saône a bénéficié de l'équivalent de 62 jours de soleil en 2013. La commune se situe à la position n°11 210 du classement des villes les plus ensoleillées. La commune de Montmerle-sur-Saône a connu 719 millimètres de pluie en 2013, contre une moyenne nationale des villes de 622 millimètres de précipitations. Montmerle-sur-Saône se situe à la position n°9 819 du classement des villes les plus pluvieuses.

    Sismicité

    Montmerle-sur-Saône est dans une zone d'aléa sismique faible, selon le programme national de prévention du risque sismique, le Plan Séisme, datant du .

    Voies de communication et transports

    • RD 933 Pt de Veyle au nord et Trévoux au sud.
    • RD D27 vers Saint-Trivier.
    • RD 20 vers le département du Rhône.

    La gare SNCF de Belleville-sur-Saône est à km. La gare de Villefranche-sur-Saône est à 14 km. La gare de Mâcon-Loché-TGV à 27 km.

    La ligne de bus Mâcon - Lyon via Villefranche-sur-Saône dessert la commune. L'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry se situe à 65 km soit environ 45 min.

    La ligne de bus A13 des Cars de l'Ain dessert également la commune (Belleville-sur-Saône → Saint Germain au Mont d'Or).

    Urbanisme

    Typologie

    Montmerle-sur-Saône est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belleville-en-Beaujolais, une agglomération inter-départementale regroupant 5 communes[5] et 20 384 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (64,3 %), eaux continentales[Note 2] (14,5 %), forêts (7,7 %), terres arables (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Montmerle fut de longue date un lieu habité comme en témoignent les très nombreux objets des périodes du néolithique, de l'âge du bronze et de l'époque gallo-romaine trouvés sur la commune ; notamment au Thiollet.

    Les vestiges de l'époque gallo-romaine laissent penser que Muntunulum, ainsi nommée par Vercingétorix lui-même, fut l'un des derniers villages gaulois à résister à l'envahisseur romain. D'où le surnom « d'hérétiques gaulois des Alpes » donné aux habitants de Montmerle-sur-Saône.

    La cité n'apparaît réellement dans l'histoire qu'au XIe siècle. Elle est alors la possession de la famille des Enchaîné. Vers 1101[11], la seigneurie est acquise de Robert l'Enchaîné par Guichard III de Beaujeu.

    Le [11], Édouard II, sire de Beaujeu, donne la seigneurie à Louis II, duc de Bourbon.

    Les écrits relatent que Charlemagne aimait se détendre au bords de Saône pour y faire s'abreuver ses chevaux. Pour remercier les locaux, l'empereur les remerciait en offrant un spectacle de ses plus beaux destriers à la crinière de braise. La foire aux chevaux de Montmerle était née.

    Les foires de Montmerle étaient très réputées au Moyen Âge : elles duraient un mois complet de réjouissance et de transactions commerciales. Leur essor s'accrut encore sous Henri IV par des privilèges accordés par François de Bourbon, prince souverain de Dombes.

    Montmerle devient chef-lieu d'une châtellenie. Laurent de Gorrevod, à qui elle avait été vendue par le connétable de Bourbon, ne peut en prendre possession. Après saisie, don et aliénation successifs, elle est définitivement réunie à la souveraineté de Dombes au XVIe siècle.

    Le Montmerle devient Montmerle-sur-Saône[12] .

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Montmerle-sur-Saône est membre de la communauté de communes Val de Saône Centre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Montceaux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[14]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Châtillon-sur-Chalaronne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[14], et de la quatrième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[15].

    Liste des maires

    Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944[17] 1946
    (décès)
    Henri Berger UDSR Médecin
    Conseiller général du canton de Thoissey (1945 → 1946)
    1946 1947 Jean Pautet    
    1947 1957 Louis Labbé    
    1957 1971 Claudius Durand   Pâtissier
    mars 1971 mars 1989 Louis Meunier   Arboriculteur
    mars 1989 mars 2008 François Chavent UDF Opticien, maire honoraire
    mars 2008 avril 2014 Jean-Christian Forestier DVD Gérant de société, maire honoraire
    avril 2014 mai 2020 Raphaël Lamure (1971- ) DVD Directeur adjoint d'agence bancaire
    mai 2020 En cours Philippe Prost (1960- ) DVD Ancien premier adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2019, la commune comptait 3 772 habitants[Note 3], en diminution de 1,46 % par rapport à 2013 (Ain : +5,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2081 1821 6291 6761 8011 9001 7401 8881 965
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7831 8171 9811 7941 8721 7901 7601 6871 668
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6411 6331 5061 2121 1971 1481 1241 0601 170
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1781 2731 5052 0232 5962 8303 5843 6973 823
    2015 2019 - - - - - - -
    3 7943 772-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Lyon et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de l'Ain. Pour le calendrier des vacances scolaires, Montmerle-sur-Saône est en zone A.

    Les écoles de Montmerle-sur-Saône sont :

    Sports

    Les associations sportives de la ville :

    • Amicales Boules ;
    • La Compagnie des Archers Montmerle 3 Rivières ;
    • A.S.M. Foot ;
    • Canoë-Kayak ;
    • Club Nautique ;
    • Tennis Club.

    Associations diverses

    Amicales des retraités de Montmerle et environs.

    Loisirs et Créativité.

    Commerce

    Les commerçants de Montmerle-sur-Saône sont représentés par l'association "Les Enseignes de Montmerle".

    Culture et patrimoine

    Culture populaire

    Montmerle est une ville qui conserve ses traditions populaires :

    • Tout comme les villes avoisinantes, Montmerle célèbre à chaque début d'année ses conscrits, véritable institution fêtée par tous les âges provenant du Beaujolais.
    • En septembre, Montmerle organise la foire aux Chevaux, également appelée foire de Montmerle. Cette foire existe depuis 1606 et sa réputation fait l'unanimité au niveau international. Les touristes chinois s'émerveillent devant le subtil et succulent spectacle des chevaux qui tournent sur la piste. Cette longévité inspira l'expression populaire "vieux comme la Foire de Montmerle"[réf. nécessaire].
    • Dans les années 1970, Montmerle était considérée comme « le petit Saint-Tropez de l'Ain » pour sa convivialité, ses espaces d'accueil et ses aménagements[réf. nécessaire]. Des personnes venaient de tous les alentours pour passer un petit moment de joie et de détente.

    Festivités et événements

    De nombreux événements culturels ponctuent la vie des habitants montmerlois :

    • La vogue et le marché du quai de Saône pour la fête de l'Ascension
    • Le marché des quais de Saône tous les dimanches d'avril à octobre.
    • Le marché tous les jeudis.
    • La Fête des quartiers fin mai.
    • La Fête de la musique en juin.
    • Le marché artisanal nocturne de juillet.
    • Le Festival musical "5 à 7" de fin juin à fin août. À cette occasion, Montmerle accueille des animations musicales gratuites en plein air, tous les samedis soir au parc de la Batellerie de 17 h à 19 h.

    Monuments religieux

    Église Saint-Nicolas.

    La chapelle des Minimes : cette chapelle (une église de la Contre-Réforme) est dite des Minimes. Elle est tout ce qui reste de l'ancien château qui fut entièrement démoli de 1823 à 1828. La chapelle date de l'époque de Guichard l'Enchaîné, premier seigneur de Montmerle (XIe siècle). Le , Henri de Bourbon, Duc de Montpensier, y installa des religieux de l'ordre de Saint François de Paule dit Minimes et la chapelle a été reconstruite sur l'ancienne.

    Le site des Minimes domine la ville et offre un panorama sur les monts du Beaujolais. La chapelle abrite également une statue romane polychrome du XIe et XIIe siècle, et des peintures murales.

    La sauvegarde et l'entretien sont à la base de l'Association Les Amis des Minimes, qui poursuit avec la commune la réhabilitation du site. On peut actuellement y découvrir une peinture à fresque du début du XVIIe siècle représentant le Purgatoire. Ce lieu a également été rendu célèbre par le séjour qu'y fit le saint curé d'Ars, venu faire retraite dans l'ermitage qui jouxte la chapelle et a souhaité y résider.

    L'église Saint-Nicolas, construite en 1836 et considérée alors comme « la plus belle église du canton »[22]. Elle est ainsi citée par Philippe Boutry comme ayant inspiré la construction en 1844 de l'église Saint-Martin de Francheleins[23].

    Patrimoine naturel

    Tour des Minimes.
    • Le parc des Minimes et la Tour : ce parc, qui surplombe la Saône et le château des Minimes, est un théâtre de verdure merveilleux. C'est aussi une belle promenade, un peu sportive, depuis les quais de la Saône, car on s'élève rapidement de plusieurs dizaines de mètres. On atteint ainsi la tour des Minimes, très beau belvédère qui sera prochainement aménagé dans le cadre du Contrat de Pays. Sur ce site de nombreuses légendes se sont construites, on parle de souterrains qui traverseraient la rivière, permettant à un châtelain de faire sa cour à sa belle qui demeurait sur la colline de Brouilly en Beaujolais.
    • Le parc de la Batellerie : cet espace aménagé au nord de la commune en bordure de Saône, est un attrait touristique dans un panorama prestigieux. C'est un lieu de détente et d'amusement pour les plus petits avec des jeux et un bassin pour faire naviguer les maquettes de bateaux en toute sécurité. Des jeux pour la boule lyonnaise parfaitement arrangés avec un espace destiné aux joueurs de pétanque. Ce parc est particulièrement bien adapté pour l'organisation de concerts de plein air. Des bordures en galets de la Saône soulignent la topologie des lieux.
    • L’île de Montmerle : Cet îlot dont les seuls habitants sont les ragondins, séparant momentanément la Saône en deux n'a jamais été aménagé par les habitants. Véritable petit trésor de verdure intouchable, l'île de Montmerle offre une belle vue pour les passants des quais de Saône.

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune de Montmerle-sur-Saône bénéficie du label « ville fleurie » avec « tris fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[24].

    Patrimoine culturel

    Dans son patrimoine, Montmerle compte également de jolies demeures, comme notamment le château des Minimes, ou encore le château de la Zeille ("la belle" en patois bressan). Ces propriétés sont liées à l'histoire de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Tournassoud est né à Montmerle en 1866. Il est officier responsable du service photographique des armées pendant la Première Guerre mondiale, grand-père de Mick Micheyl, célèbre chanteuse qui devient par la suite un sculpteur sur acier de renom.
    • Mick Micheyl, petite-fille du précédent et véritable figure locale, qui a vécu une grande partie de sa vie, est décédée et est inhumée à Montmerle. Chanteuse et meneuse de revue de renom, notamment connue pour son "Gamin de Paris", puis fameuse sculptrice sur acier qui a laissé de nombreuses œuvres.
    • Jean-Baptiste Noro né à Montmerle, le . Peintre anarchiste et communard, élève de Gustave Courbet, il a laissé quelques toiles dont Mère et deux enfants pendant la Commune[25] (exposée au musée Carnavalet) et La cueillette des Olives à Sfax.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé de la commune, sur habitants.fr
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    5. « Unité urbaine 2020 de Belleville-en-Beaujolais », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, Bourg, Gromier Ainé, , 518 p. (BNF 30556006, lire en ligne), p. XXXVIII.
    12. « historique-commune », sur insee.fr
    13. « communauté de communes Val de Saône Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    14. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Montmerle-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    16. [PDF] « Inventaire des archives 1629-2015 : Liste des maires », sur archives-communales-ain.fr (consulté le )
    17. Président du Comité local de libération de 1944 à 1945.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. Louis Labbé et Jean-Poncet, Histoire de Montmerle-sur-Saône, éditions du Cuvier, 1952.
    23. Philippe Boutry, Prêtres et paroisses au pays du Curé d'Ars, Les éditions du Cerf, 1986, p. 126.
    24. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    25. « 22e vente aux enchères de Cheverny - Lot 21 », sur www.rouillac.com.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Cahiers de l'abbé Guyou, Archives de l'Ain et Bibliothèque Municipale.
    • Louis Labbé et Jean Poncet, Histoire de Montmerle-sur-Saône, éditions du Cuvier, Villefranche-sur-Saône, 1952.
    • Philippe Boutry, Prêtres et paroisses au pays du Curé d'Ars, Les éditions du Cerf, 1986.

    Article connexe

    Liens externes

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