Montreuil-l'Argillé
Montreuil-l'Argillé est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Montreuil.
Montreuil-l'Argillé | |
Vue de la motte féodale Inscrit MH (1989) et des toits du bourg, en contrebas. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie |
Maire Mandat |
Jean-Louis Groult 2020-2026 |
Code postal | 27390 |
Code commune | 27414 |
Démographie | |
Gentilé | Montreuillais |
Population municipale |
843 hab. (2019 ) |
Densité | 61 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 56′ 22″ nord, 0° 28′ 53″ est |
Altitude | Min. 161 m Max. 225 m |
Superficie | 13,72 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Breteuil (Eure) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.montreuillargille.fr |
Géographie
Montreuil-l'Argillé est un village-centre du pays d'Ouche établi dans la vallée du Guiel. Ce bourg se trouve à 10 kilomètres d'Orbec, 26 kilomètres de L'Aigle, 5 kilomètres du département du Calvados, 30 kilomètres de Lisieux et 20 kilomètres de Bernay.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée du sud au nord par le Guiel[2]. Le bourg est établi le long de ses rives.
Voies routières
Le territoire laisse passer les routes départementales RD 35, RD 107, RD 438 et RD 819.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Couvains », sur la commune de La Ferté-en-Ouche, mise en service en 1970[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 54 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Montreuil-l'Argillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,4 %), prairies (40,6 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (4,4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Monasteriolum, Monsteriolum, Mosteiolum au XIe siècle (Orderic Vital) ; Monstariolo en 1050[23], Mosterel en 1124 (charte de Henri Ier), Mosteroel en 1205 (archives de l’Eure), Mosteruel en 1259 (cartulaire de Lyre), Montreuil l’Argillier en 1404 (O. Desnos, Mém. hist. sur Alençon), Monstereul en 1424 (ch. de Henri VI d’Angleterre), Monstreul en 1624 (man. de la charité de Sainte-Croix de Bernay), Montreil en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Montreul et Montereul l’Argile en 1722 (Masseville), Montreuil l’Angele en 1759 (déclar. royale)[24].
Le toponyme Montreuil correspond à un type courant au nord de la France, c'est un terme d'ancien français qui désignait un édifice religieux d'un genre difficile à déterminer, soit une église[25], soit une petite église[26] ou encore un petit couvent[27]. Il est issu du gallo-roman MONASTERIOLU (autrement du latin tardif monasteriolum[25]), dérivé en -iolum, du bas latin mŏnastērium « monastère ».
Le déterminant complémentaire l'Argillé n'est pas attesté avant 1719[25], il permet sans doute de faire la distinction avec les autres Montreuil de Normandie, notamment Montreuil-en-Auge (Calvados) et Montreuil-la-Cambe (Orne), situés à moins de cinquante kilomètres. L'Argillé dérive peut-être du mot argile[25],[28] qui pouvait s'écrire avec deux L en ancien français selon l'étymologie latine argilla, mais son sens précis dans le cas de Montreuil reste obscur.
Le toponyme du hameau Ectot[29] correspond à un type toponymique exclusivement normand et très courant, puisqu'on en dénombre plus d'une quinzaine (on trouve aussi les graphies Ecquetot et Hectot). Les formes anciennes des différents Ectot, comme Eschetoth, Esketoth, comparables à celles de Eastoft en Grande-Bretagne ou Essetoft au Danemark, plaident en faveur d'une origine scandinave[30]. En outre, l'appellatif -tot « emplacement pour une ferme, une maison » est fréquent en Normandie septentrionale, non loin des côtes de la Manche, et bien identifié comme étant issu du vieux norrois topt « emplacement, site d'une maison ». Cependant, il est très rare dans le pays d'Ouche et si loin au sud. Un peu à l'ouest et au sud se trouvent Chiffreteau (ancien Chiffretot) à Saint-Aubin-de-Bonneval à 10 km dans l'Orne, Chiffretot à Champosoult à 35 km, également dans l'Orne et Chiffretot aux Moutiers-Hubert à 25 km, dans le Calvados. Le premier élément Ec- représente vraisemblablement le vieux norrois eski qui signifie « frênes » comme dans les autres Ectot / Ecquetot (anciennement Esketot, Eschetot).
Histoire
Montreuil fut un fief de la famille Giroie à partir du début du XIe siècle. Cette famille est probablement à l'origine de la motte féodale du village, témoin d'une fortification de la première moitié du XIe siècle[31],[32].
La commune absorbe Saint-Aquilin-d'Augerons (120 habitants) en 1963.
Héraldique
|
D'argent à la fasce d'azur.
|
---|
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2019, la commune comptait 843 habitants[Note 7], en augmentation de 6,17 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu'il est de 25,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 397 hommes pour 435 femmes, soit un taux de 52,28 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,26 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Montreuil-l'Argillé possède une école publique maternelle et élémentaire de 186 élèves[39].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 13 725 €, ce qui plaçait Montreuil-l'Argillé au 29 614e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[40].
Emplois
Le taux d'activité en 2008 est de 61,3 % pour la tranche d'âge 15 - 24 ans (France métropolitaine : 43,2 %), 86,4 % pour la tranche d'âge 25 - 54 ans (France métropolitaine : 89,6 %), et 28,2 % pour la tranche d'âge 55 - 64 ans (France métropolitaine : 41,5 %)[41].
Répartition de la population active par type d'activité (recensement de 2008)
Actifs ayant un emploi | Étudiants | Chômeurs | Retraités | Autres inactifs | |
---|---|---|---|---|---|
Montreuil-l'Argillé | 60,2 % | 5,9 % | 8,6 % | 11,4 % | 13,8 % |
Moyenne nationale | 63,8 % | 10,6 % | 8,0 % | 8,6 % | 9,1 % |
Sources des données : INSEE[41] |
Entreprises et commerces
Les deux principales entreprises sont le producteur de machines à capsuler André Zalkin (400 salariés) et l'atelier de mécanique de précision Le Nouaille (30 salariés)[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Montreuil-l'Argillé compte trois édifices inscrits au titres des monuments historiques :
- la maison du Bailliage (XVIe) Inscrit MH (1949)[43] ;
- le château féodal (XIe) Inscrit MH (1989)[44]. Il s'agit d'une motte féodale, des vestiges archéologiques de l'enceinte principale et des deux basses-cours du château féodal ;
- le château de Lusigneul (XVIIe et XVIIIe) Inscrit MH (1984)[45].
Autres édifices et monuments :
- les églises Saint-Georges du XIe siècle et Saint-Aquilin du XVe siècle ;
- des vieilles maisons normandes dont l'une date du XVIe siècle ;
- vaste mairie de briques rouges (à l'origine un projet de gare ferroviaire) ;
- le menhir dit « la Pierre-aux-Bœufs », rue Gilbert-Hue.
- L'église Saint-Georges, au nord du village.
- Menhir de la Pierre aux Bœufs.
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de Montreuil, aventurier normand du XIe siècle qui s'illustra en Italie méridionale et en Espagne, et qui fut gonfalonier du pape Alexandre II[31] ;
- Pierre Vattier (1623–1667), médecin et orientaliste français, professeur d'arabe au Collège royal et traducteur d'Avicenne ;
- Les frères Louis (1649–1724) et Jean Boivin (1663–1726), hommes de lettres et érudits.
Article connexe
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Carte des communes limitrophes » sur Géoportail (consulté le 13 mai 2012).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Guiel (H6110600) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Couvains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montreuil-l'Argillé et La Ferté-en-Ouche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Couvains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montreuil-l'Argillé et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 146.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 146.
- François de Beaurepaire, Op. cit.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 181.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 447b -448a sous Ménestérol-Montignac.
- René Lepelley, Op. cit.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 75.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 95 -96.
- Louis-Étienne Charpillon et Anatole Caresme (préf. Alexandre Dumas), Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l’Eure : Histoire, géographie, statistique, t. II, Les Andelys, Delcroix, (OCLC 5822242, lire en ligne), p. 551–555
- Karl Dubost, « Montreuil-l'Argillé », sur Normandie Web (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montreuil-l'Argillé (27414) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Eure (27) », (consulté le ).
- Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », sur education.gouv.fr (consulté le )
- « Régions, départements et villes de France : résumé statistique », sur site de l'INSEE (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population - 2008 (Montreuil-l’Argillé) », sur site de l'INSEE (consulté le )
- Roger Brunet, « Canton de Broglie », sur France, le trésor des régions (consulté le )
- « Maison du Bailliage », notice no PA00099492, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château féodal », notice no PA00099631, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Lusigneul », notice no PA00099491, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Liens externes
- Portail de l’Eure
- Portail des communes de France