Montreuil-sous-Pérouse
Montreuil-sous-Pérouse est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 006 habitants[Note 1] (les Montreuillais).
Pour les articles homonymes, voir Montreuil.
Montreuil-sous-Pérouse | |||||
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Vitré Communauté | ||||
Maire Mandat |
Louis Ménager 2020-2026 |
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Code postal | 35500 | ||||
Code commune | 35194 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montreuillais | ||||
Population municipale |
1 006 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 09′ 03″ nord, 1° 14′ 12″ ouest | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 125 m |
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Superficie | 15,49 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vitré (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vitré | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.montreuilsousperouse.fr | ||||
Géographie
Montreuil-sous-Pérouse est une commune périurbaine située à l'est du département d'Ille-et-Vilaine, à 40 km de Rennes et à 3 km au nord de Vitré.
Elle est blottie au creux d'une vallée encaissée par la Pérouse et au nord par la Cantache. La population est très dispersée sur le territoire communal et l'on dénombre pas moins de quarante-cinq villages. À l'origine, les villages des lieux-dits Gérard et le Chêne étaient plus importants que le bourg de Montreuil-sous-Pérouse en lui-même.
La commune bénéficie d'un cadre agréable et bocager et de lotissements paysagers qui ont attiré de nouvelles familles.
- Le barrage de la Cantache (1995).
- Un bourg en forte expansion.
Réseaux
Montreuil-sous-Pérouse est traversée par la voie ferrée qui relie Vitré à Fougères. Bien que cette dernière liaison n'existe plus, il passe encore des convois qui alimentent l'usine Cooperl Arc Atlantique.
Deux points de suivi de la qualité des eaux sont présents sur Montreuil-sous-Pérouse[1] :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Montreuil-sous-Pérouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), prairies (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), eaux continentales[Note 8] (7,2 %), zones urbanisées (4,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Montreuil-sous-Pérouse, en latin Monasteriolum Super Petrosam, est mentionné en 1072 dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Serge d'Angers.
Diminutif de monasterium (« petit monastère »).
Histoire
Moyen-Âge
Montreuil-sous-Pérouse, Monasteriolum Super Petrosam en latin, est mentionné en 1072 dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Serge d'Angers. Un Prieuré est créé à cette époque par l'abbaye fondatrice. Il semblerait qu'un sanctuaire fut construit dès le IXe ou Xe siècle. Seuls d'étroits chemins donnaient accès au bourg et une petite passerelle de bois permettait de traverser la Pérouse.
En 1108, l'évêque de Rennes confirme l'appartenance de la paroisse de Montreuil à l'abbaye bénédictine Saint-Serge d'Angers. En 1292, le premier recteur de la paroisse, incarné par Pierre de Vendel, est nommé par l'abbé de Saint-Serge. Pierre Biénassis lui succédera en 1302. Le , le pape Nicolas V signe un décret pour unir la rectorie de Montreuil à l'église collégiale de Champeaux. Le bourg se composait alors d'un ancien presbytère et de la demeure de l'autre prêtre au niveau de l'école privée.
Entre 1510 et 1520, l'église Saint-Pierre a été construite grâce aux dons des deux frères Jean et Tristan de Vendel, les propriétaires du Plessix, ce dernier étant abbé commendataire de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet. D'autres travaux importants ont été effectués au XVIIe siècle. En mars 1589, le gouverneur de Bretagne, le duc de Mercœur qui est catholique, n'accepte pas que les barons de Vitré soient protestants. Il fait siège de Vitré durant cinq longs mois en faisant régner la terreur dans les campagnes environnantes. Le , le siège de Vitré est levé.
À partir de 1250 et jusqu'en 1547, Montreuil appartient aux comtes de Laval. La paroisse est une des quatre-vingts que possèdent les barons de Vitré. Se succèdent les Rieux-Laval, les Rieux-Coligny, et à partir de 1606 jusqu'à la Révolution les ducs de la Trémoïlle.
Époque moderne
La tradition locale affirme que Pierre Landais fut inhumé sous la chaire de l'église de Montreuil, sa condamnation l'ayant empêché de l'être dans la chapelle édifiée par lui dans ce but dans l'église Notre-Dame de Vitré. Le même motif aurait interdit toute inscription sur la pierre tombale qu'on désignait autrefois comme étant celle qui devait le couvrir[22].
La chapelle de Pérouse est construite en 1610.
La haute bourgeoisie de Vitré fait construire aux XVIe et XVIIe siècles sur tout le territoire montreuillais, de nombreux « logis » qui servaient de maisons de campagne.
La famille Lefebvre, de Montreuil-sous-Pérouse, a comme premier ancêtre protestant Jean Lefebvre, sieur de l'Aubinière. À la fin du XVIe siècle, deux de ses fils, Daniel Lefebvre, de La Perrine, et Mathurin Lefebvre, se réfugient à Guernesey, tout comme les familles Le Moyne, des Grands Prés, et Hardy[23], elles aussi calvinistes ; l'amiral anglais Charles Hardy est un descendant de cette famille[24].
Au XVIIe siècle un grand nombre de familles protestantes habitaient la paroisse de Montreuil[22].
Révolution française
En 1790, la commune de « Montreuil-sur-Pérouse » devient « Montreuil-sous-Pérouse » et élit son premier maire : Jean Beaugendre, originaire d'Izé (Val-d'Izé), fermier au Grand Feu.
Montreuil-sous-Pérouse fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[25]. Une compagnie chouanne exista à Montreuil-sous-Pérouse et Saint-Christophe-des-Bois ; elle était membre de la « colonne d'Izé », dirigée par Henri du Boishamon, qui elle-même dépendait de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères. La « colonne d'Izé » était divisée en plusieurs compagnies : la compagnie de Montreuil-sous-Pérouse et Saint-Christophe-des-Bois (dont le capitaine était Michel Chauvin[26] et les lieutenants Jean-Baptiste Aubrée et François Fouillet), la compagnie de Balazé, la compagnie de Champeaux et Taillis, la compagnie d'Izé, la compagnie de Saint-Jean-sur-Vilaine, la compagnie de Princé et Montautour.
Le XIXe siècle
En 1833, le clocher de l'église est en très mauvais état. Le , le clocher s'effondre sur les fidèles présents à la messe du jubilé de la Rédemption et il y eut quatorze blessés plus ou moins graves. La tour-clocher, la nef et le transept sont alors reconstruits. La bénédiction a lieu le dimanche par l'évêque de Rennes. Le nouveau presbytère est inauguré le . La voie ferrée Vitré-Fougères et la gare du lieu-dit Gérard sont inaugurées le . L'école privée est inaugurée en juin 1875. La paroisse construit l'école actuelle située au bord de la rivière en 1943.
L'après Seconde Guerre mondiale
Durant les Trente Glorieuses, Montreuil modernise son agriculture et son paysage change avec le remembrement. En 1965, une importante usine d'alimentation pour le bétail s'installe dans le village de Gérard avec 150 emplois environ. À proximité se développent quelques activités artisanales.
En 1985, une salle des fêtes est créée dans le centre-bourg. En , le barrage de la Cantache est inauguré et le remplissage d'eau suit. Il occupe une superficie de 150 ha sur le territoire de Montreuil pour un total de 250 ha.
Le XXIe siècle
Depuis une dizaine d'années, Montreuil-sous-Pérouse s'est développé. Des lotissements se sont étendus sur les collines environnantes. Le bourg est devenu une commune périurbaine du fait de la proximité de Vitré. Néanmoins, depuis quelques années, la commune située en zone blanche est freinée dans son développement. Ce handicap a été identifié par l'ARCEP, autorité administrative indépendante chargée de réguler les communications électroniques et les postes en France[27].
Politique et administration
- École maternelle et primaire privée catholique, assistantes maternelles, transport scolaire vers Vitré.
- Épiceries, dépôt de pain - bar restaurant, tabac, journaux - artisans divers.
- Salle de sports, terrains de football, salle polyvalente, bibliothèque, espace détente.
- Une quinzaine d'associations sont actives au sein de la commune.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2019, la commune comptait 1 006 habitants[Note 9], en diminution de 2,24 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Durant le Moyen Âge, la population de la paroisse a oscillé entre 500 et 600 habitants. De 1846 à 1881, la population stagne autour de 650 personnes. En 1886, la population baisse pour atteindre 614 habitants. La tendance se confirme avec 570 habitants en 1901 et 535 en 1911. Cette baisse sensible est due à l'exode des jeunes vers les villes, que la forte natalité n'arrive pas à compenser. L'hémorragie perdure jusqu'au recensement de 1921 où l'on dénombre 486 Montreuillais.
La population augmente très peu durant les Trente Glorieuses du fait de l'exode rural. Entre 1962 et 2007, Montreuil-sous-Pérouse va voir sa population plus que doubler. La population passe de 505 habitants en 1962 (dont la moitié a moins de 20 ans) à 1 079 en 2007 soit une augmentation de 114 % en l'espace de moins d'un demi-siècle.
Économie
L'activité économique se réalise principalement autour de l'agriculture et de l'artisanat. Une zone artisanale implantée route de Combourg abrite une importante fabrique d'aliments du bétail et quelques activités artisanales.
Transports
La commune est desservie par la ligne de bus n°1 du réseau urbain de la ville de Vitré (quartiers Chalet, Ormeaux, Villaudin, centre-ville).
Lieux et monuments
- Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul des XVIe et XIXe siècles.
- Manoir de la Pelleterie[33],[34].
Des sentiers de randonnée ont été récemment aménagés permettant aux amoureux de la nature de parcourir ses vallées et collines boisées et apercevoir les différents manoirs et plus particulièrement celui de la Faucillonnais[35] du XVe siècle au nord du bourg, ancien écomusée du patrimoine rural du pays de Vitré, fermé en 2012.
L'étang de la Cantache (250 ha) est un espace de loisirs propice aux promenades, à la pêche et l'observation de nombreuses espèces d'oiseau grâce à sa zone ornithologique.
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019, légale en 2022.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- « Qualit'eau 35 n°30 p.5 - bulletin du réseau de suivi de la qualité des eaux superficielles en Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montreuil-sous-Pérouse et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montreuil-sous-Pérouse et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- G. Corbe, Guide historique et statistique du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Imprimerie Landais et Oberthur, .
- Les deux frères Pierre et Louis Hardy, fils de Guyon Hardy, sieur du Rocher, figurent parmi les fondateurs de la Confrérie des Marchands d'Outre-Mer de Vitré et émigrent en Angleterre au début du XVIIe siècle.
- Olivier Le Dour et Grégoire Le Clech, "Les huguenots bretons en Amérique du Nord", tome 1, Les Portes du large, 2012, (ISBN 978-2-914612-30-2).
- Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
- Michel Chauvin, de Montreuil-sous-Pérouse, encore vivant en 1825.
- « Kicapte, une application pour identifier les "zones blanches" » (consulté le ).
- « Municipales à Montreuil-sous-Pérouse. Louis Ménager réélu maire », Ouest-France, 3 avril 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 148
- « Notice n°IA00007748 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice n°IA00007753 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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