Montserrat (Antilles)
Montserrat est une petite île des Antilles située en mer des Caraïbes, territoire britannique d'outre-mer et membre de l'Organisation des États de la Caraïbe orientale. Montserrat est souvent décrite comme l'île d'émeraude des Caraïbes, à cause de sa ressemblance avec l'Irlande côtière et de la présence sur l'île des descendants d'Irlandais, qui font partie des premiers colons européens.
Pour les articles homonymes, voir Montserrat.
Montserrat | ||||
Armoiries |
Drapeau |
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Vue aérienne de l'île de Montserrat. | ||||
Administration | ||||
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Pays | Royaume-Uni | |||
Statut | Territoire britannique d'outre-mer | |||
Capitale | Plymouth (de jure)[1] Brades (de facto) |
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Reine Mandat |
Élisabeth II (depuis 1952) |
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Premier ministre britannique Mandat |
Boris Johnson (depuis 2019) |
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Gouverneur Mandat |
Andrew Pearce (depuis 2018) |
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Premier ministre Mandat |
Easton Taylor-Farrell (depuis 2019) |
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Démographie | ||||
Gentilé | montserratien, montserratienne | |||
Population | 5 164 hab.[2] | |||
Densité | 51 hab./km2 | |||
Ville(s) principale(s) | Brades, Davy Hill (en), Geralds, Little Bay, Salem | |||
Langue(s) | Anglais | |||
PIB (2002) · PIB/hab. |
29 millions de dollars 3 400 $ |
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Géographie | ||||
Coordonnées | 16° 45′ nord, 62° 12′ ouest | |||
Altitude | Min. 0 m Max. 1 050 m (Soufrière[3]) |
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Superficie | 10 200 ha = 102 km2 [4] | |||
Divers | ||||
Monnaie | Dollar des Caraïbes orientales (XCD )
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Fuseau horaire | UTC -4 | |||
Domaine internet | .ms[5] | |||
Indicatif téléphonique | 16 | |||
Hymne | God Save the Queen (hymne du Royaume-Uni) Motherland (en) (hymne local) |
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Devise | A people of excellence, moulded by nature, nurtured by God (« Un peuple d'excellence, moulé par la nature, élevé par Dieu ») |
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Code ISO 3166-1 | MSR, MS | |||
Localisation | ||||
Localisation de l'île de Montserrat dans les Antilles | ||||
Géolocalisation sur la carte : Petites Antilles
Géolocalisation sur la carte : Petites Antilles
Géolocalisation sur la carte : Caraïbes
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Liens | ||||
Site web | www.gov.ms | |||
Le , le volcan de la Soufrière, jusqu'alors en sommeil, entre en activité et une première éruption cause des dégâts à la capitale Plymouth. Le , une violente éruption entraîne la destruction totale de Plymouth, de son aéroport (aéroport W. H. Bramble), ainsi que de la moitié méridionale de l'île, la rendant inhabitable. Les deux tiers de la population de l'île sont ainsi contraints de quitter leurs habitations. Les éruptions continuent encore aujourd'hui, mais à un rythme moins soutenu. Depuis la destruction totale de Plymouth, les bâtiments gouvernementaux se situent à Brades, au nord de l'île. Dans cette région, un nouvel aéroport ouvre en 2005 à Geralds et une nouvelle capitale est actuellement en construction près de Little Bay. Cette activité volcanique destructrice explique pourquoi l'île est aussi surnommée la « Pompéi des Caraïbes »[6].
L'île est divisée en trois paroisses civiles.
Histoire
Ère précolombienne
Avant la colonisation européenne, l'île est habitée par les Amérindiens Ciboneys il y a 2 500 ans. Les Arawaks en deviennent les principaux habitants à partir du Ier siècle, puis les Caribes à partir du VIIIe siècle[7].
Colonisation européenne
L'île est découverte en 1493 par Christophe Colomb qui la baptise en référence, selon les sources, soit au massif de Montserrat[8], une montagne voisine de Barcelone, soit à l'Abbaye de Montserrat située dans ce massif[9]. L'île est colonisée par la France à partir de 1605, mais elle est convoitée par la Grande-Bretagne dès cette époque. De la France, l'île gardera le nom de « Soufrière » pour sa montagne-volcan. L'île passe sous contrôle anglais en 1632.
À cette même date, un groupe d'Irlandais est déporté de Saint-Christophe-et-Niévès : Thomas Warner, gouverneur de cette île, craint que la population irlandaise en majorité catholique de Saint-Christophe-et-Niévès ne s'allie avec les Français dans leurs efforts pour reprendre l'île. Le statut de cette population irlandaise installée à Montserrat est celui d'engagés[10]. En 1678, les Irlandais représentent 69% de la population de Monserrat[11].
Originaire du Wessex, en Angleterre, le capitaine Anthony Brisket est le premier gouverneur anglais, de 1632 à 1649, son beau-frère Roger Osborne[12] lui succédant, puis son fils Anthony II Brisket, de 1662 à 1667[13] et ensuite William Stapleton. Sa famille détenait 1 400 acres de plantation sur l'île en 1666[14].
Entre 1712 et 1713, et entre 1757 et 1763, l'île est occupée à plusieurs reprises par la France, mais elle est reprise par les Britanniques en 1763. En 1782, pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, Montserrat est brièvement prise par la France. Elle fait son retour au Royaume-Uni à la suite du traité de Versailles qui met fin au conflit. L'abolition de l'esclavage en 1834 et la chute des prix du sucre au cours du XIXe siècle ont un effet négatif sur l'économie de l'île. De plus, l'île souffre régulièrement des ouragans et des tremblements de terre.
De 1871 à 1958, l'île fait partie de la colonie fédérale des îles sous-le-vent, puis devint une province de la fédération des Indes occidentales de 1958 à 1962.
L'autonomie politique (1960)
En 1960, elle obtient l'autonomie politique alors qu'un ministre en chef assure les fonctions de chef du gouvernement.
L'île est alors une destination tendance dans le milieu du show-business. Le producteur des Beatles George Martin y ouvre un studio d'enregistrement en 1979, et les Rolling Stones s'y rendent pour effectuer des enregistrements. La maison Olveston House est l'ancienne résidence de George Martin, aujourd'hui reconvertie en guest house [15]. L'île est aussi prisée par les retraités américains, canadiens et britanniques[16].
Catastrophes naturelles destructrices
Le , le cyclone Hugo frappe l'île de Montserrat, endommageant 90 % des constructions (10 morts, et des dégâts atteignant 330 millions de dollars). Le , le volcan de la Soufrière, jusqu'alors en sommeil, entre en activité et une première éruption cause des dégâts à la capitale Plymouth. En , le mois suivant, l'Ouragan Luis frappe les petites Antilles. La plage de Fox's Bay se replie de 20 mètres alors qu'elle ne recule normalement que de 2,3 mètres par an. En l'espace de 48 heures, les heurts marins ont provoqué l'équivalent de 10 ans d'érosion[16].
Le , une violente éruption entraîne la destruction totale de Plymouth, de son aéroport. Elle ravage toute la moitié sud de l'île, la rendant inhabitable. 19 personnes perdent la vie lors de cette éruption[17],[18]. 60 centimètres de cendres ont recouvert la capitale, mais d'autres zones ont été fossilisés sous 5-6 mètres de dépôts volcaniques[16],[19].
En 1998, après le passage de l'Ouragan Georges, les maisons de Carr's Bay sont toutes rasées[16].
Le , une nouvelle éruption provoque une coulée de lave qui engloutit le seul golf de la ville et dessine un canyon qui n'existait pas la veille. L'un des deux seuls hôtels de l'île ferme, maintenant confiné dans la nouvelle zone interdite[20].
Les cendres d'une forte éruption de la Soufrière en se sont élevées à 10 kilomètres dans les airs et ont recouvert une partie de la Guadeloupe[21].
Reconstruction
Après l'occurrence de ces catastrophes naturelles, les autorités de l'île choisissent de planter des coccoloba uvifera et des ipomoea pes-caprae pour restabiliser le substratum de ses plages. Une largeur minimale de zone non-constructible sur le littoral est définie[16].
Un nouvel aéroport, inauguré officiellement par la princesse Anne en , a accueilli son premier vol commercial le suivant, et des installations portuaires ont été construites à Little Bay, où une nouvelle capitale est en construction, hors de toute activité volcanique. Le Royaume-Uni accorde aux habitants de Montserrat les droits de résidence dans le royaume en 1998 et la citoyenneté britannique en 2002. Le volcan connaît une nouvelle éruption le . Son dôme a explosé le , entraînant des nuées ardentes et un nuage de cendres sur la Guadeloupe et provoquant la fermeture temporaire de l'aéroport de Pointe-à-Pitre. Mi-, le Volcanic Ash Advisory Center de Washington annonce une reprise de l'activité de la Soufrière, une information que les autorités de l'île démentent quelques jours plus tard[22].
L'office du tourisme de l'île prévoit dans son plan stratégique de 2019-2022 de rebaptiser le volcan de la Soufrière 'le Montserrat' et de lui dédier une fête nationale[23].
Géographie
L'île de Montserrat est située à 39 km au sud-ouest d'Antigua, à 49 km au sud-est de Niévès, à 55 km au nord-ouest de la Guadeloupe et à 392 km à l'est-sud-est de Porto Rico. Elle est longue de 16 km et large de 11 km. La superficie de l'île atteint aujourd'hui 104 km2, dont environ 2 km2 gagnés sur la mer en raison de dépôts et de coulées volcaniques sur la côte sud-ouest de l'île. Depuis la reprise des éruptions en 1995, seuls 11 kilomètres de longueur de l'île sont accessibles[23].
4 massifs montagneux principaux tracent le relief de l'île : Silver, Centre, Soufrière et Soufrière Sud[19].
Depuis le réveil de la Soufrière en , la plupart des Montserratiens voient leur existence bouleversée. Près de la moitié d'entre eux trouvent refuge ailleurs au Royaume-Uni ou encore à l'étranger (notamment à Antigua-et-Barbuda). Ceux qui sont restés et qui résident dans la zone à risque sont évacués vers le nord de l'île, sur une portion qui représente un tiers du territoire.
L'eau de la source de Runaway Ghaut sur l'île de Montserrat est réputée excellente[20]. Son débit d'eau est stable et permanent. Une légende locale affirme que ceux qui boivent de cette eau sont destinés à rester ou revenir à Montserrat[24].
Faune
L'île Montserrat est le foyer de trois espèces de colibri, alors que les autres îles des Antilles n'en recensent généralement que deux[16].
Politique
Montserrat est un territoire d'outre-mer du Royaume-Uni. La reine Élisabeth II est représentée par le gouverneur, Andrew Pearce depuis le . L'Assemblée législative, composée de 11 membres dont deux ex officio et neuf élus pour cinq ans au scrutin majoritaire plurinominal, désigne le Premier ministre, qui est Easton Taylor-Farrell, du Mouvement pour le changement et la prospérité, depuis .
Le Royaume-Uni gère les affaires étrangères, la défense, la sécurité intérieure, les services publics et financiers extraterritoriaux de Montserrat[7].
Le Comité des Nations unies pour la décolonisation inclut Montserrat sur sa liste des territoires non autonomes. Cependant, l'éventuel mouvement vers l'indépendance est stoppé à cause des éruptions volcaniques et de l'évacuation de population qui en résulte. Montserrat est membre à part entière de la Communauté caribéenne (CARICOM) depuis le et de l'Organisation des États de la Caraïbe orientale (OECO) depuis le .
Subdivisions
Paroisses
Les paroisses (parishes en anglais) ou paroisses civiles sont au nombre de trois :
Villages
- Villages et villes dans la zone de sécurité
- Baker Hill
- Banks
- Barzeys
- Blakes
- Brades (De facto capitale et le centre de gouvernement)
- Carr's Bay
- Cavalla Hill
- Cheap End
- Cudjoe Head
- Davy Hill
- Dick Hill
- Drummonds
- Frith
- Flemmings
- Fogarty
- Geralds (Comprend le nouvel aéroport)
- Hope
- Jack Boy Hill
- Judy Piece
- Katy Hill
- Lawyers Mountain
- Little Bay (Nouveau port et ville)
- Lookout
- Manjack
- Mongo Hill
- New Windward Estate
- Nixons
- Old Towne
- Olveston
- Salem
- Shinlands
- St. John's
- St. Peter's
- Sweeney's
- Woodlands
- Abandonnées car dans la zone d'exclusion, elles ne sont plus accessibles ni habitables.
- Bethel
- Bramble
- Bugby Hole
- Cork Hill
- Dyers
- Elberton
- Fairfield
- Fairy Walk
- Farm
- Farrells
- Farells Yard
- Gages
- Garibaldi Hill
- Happy Hill
- Harris
- Hermitage
- Kinsale
- Lees
- Locust Valley
- Long Ground
- Molyneux
- Morris
- Plymouth (Capitale officielle, aujourd'hui abandonnée)
- Richmond
- Spanish Point
- St. George's Hill
- St. Patrick's
- Streatham
- Trants
- Trials
- Tuitts
- Weekes
- Windy Hill
Économie
L'activité volcanique, qui a commencé en , a freiné la faible économie. Une éruption catastrophique en a détruit l'aéroport et les ports, provoquant un bouleversement économique et social. Les deux tiers des 12 000 habitants ont fui l'île. Certains ont commencé à y retourner en 1998, mais le manque d'habitations en a limité le nombre.
Le secteur agricole continue à être affecté par le manque de terres pour la culture et l'élevage, et par la destruction des récoltes.
Le Royaume-Uni a lancé un programme d'aide de 122 millions de dollars sur trois ans pour aider à reconstruire l'économie.
La moitié sud de l'île restera inhabitable pendant au moins une décennie.
En , le pays figure sur la liste française des paradis fiscaux[26].
7000 touristes se sont rendus sur l'île en 2017[23].
Démographie
Montserrat comptait 12 000 habitants avant la première éruption volcanique de la Soufrière en 1995. 8 000 personnes ont quitté l’île à cause des éruptions de 1995 et 1997, pour se réfugier à Antigua et au Royaume-Uni, certains en sont revenus. L’île comptait 5 164 habitants en 2012.
Le groupe ethnique des Noirs de Montserrat constitue la grande majorité des habitants de l'île (94,2%)[7].
Sport et culture
Sir George Martin, le producteur des Beatles possédait une maison et un studio à Plymouth depuis 1979 : le studio AIR, où The Police, Stevie Wonder, Elton John, Indochine et de nombreux autres grands artistes étaient venus enregistrer leurs disques, en toute quiétude. Des chefs-d'œuvre ont été créés là-bas, en partie grâce à l'hospitalité et la discrétion des Montserratiens. Le studio a été détruit en 1997 mais le « cinquième beatle » n'a pas abandonné l'île.
Montserrat possède sa propre équipe nationale de football depuis 1973. Celle-ci a participé deux fois au premier tour qualificatif de la Coupe du monde en 2002 et 2006. Montserrat est classée 199e et dernière au classement FIFA des équipes nationales de football[27], rang qu'elle partage avec les Îles Cook, Saint Marin, Anguilla, Aruba, le Timor oriental, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Guam et les Samoa américaines. Le documentaire L'Autre Finale traite d'un match amical entre le Bhoutan et Montserrat, organisé le même jour que la finale de la Coupe du monde 2002.
En cricket, Montserrat est représentée au niveau international, par l'équipe des Indes occidentales, comme plusieurs autres pays ou dépendances des Caraïbes. Jusqu'aux débuts internationaux de Lionel Baker en 2008, Montserrat n'avait jamais fourni de joueur à la sélection[28].
Le 17 mars, jour de la Saint-Patrick est férié dans l'île, le seul endroit en dehors de l'Irlande à avoir rendu ce jour férié. Du fait de la présence sur Montserrat d'Irlandais catholiques chassés des autres îles de la région par les Britanniques protestants, la population se prête un bout de culture irlandaise dans ses racines. Le vert est la couleur nationale de l'île, et son emblème comporte un trèfle[20].
People's Television : chaîne de télévision.
- Music of Montserrat (en)
Patrimoine
Musées
- Montserrat Volcano Observatory
- Jack Boy Hill Viewing Facility
- Montserrat National Trust
- Orivel Complex
- Montserrat National Trust
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Martin-de-Porrès, située à Salem
- L'église Saint-Patrick, située à Lookout
Codes
Montserrat a pour codes :
- .ms, selon la liste des Internet TLD (domaine de premier niveau) ;
- MS, selon la liste des codes ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2 ;
- MSR, selon la norme ISO 3166-1 alpha-3 (liste des codes pays).
Notes et références
- Abandonnée en 1997 à la suite des dégâts causés par l'éruption de la soufrière de Montserrat ; les bâtiments gouvernementaux sont actuellement situés à Brades, en faisant la capitale de facto.
- 10 639 habitants au recensement de 1991. Environ 8 000 réfugiés fuient l'île à la suite de l'activité volcanique de juillet 1995. Certains sont revenus.
- Avant l'éruption de 1995, le point culminant était Chances Peak (en), situé à 915 m d'altitude sur la Soufrière.
- Les deux-tiers sud de l'île sont dévastés par l'éruption et inhabitables
- Microsoft utilise ce domaine de premier niveau pour ses propres adresses Internet comme en témoigne le site popfly.ms
- « Montserrat, la Pompéi des Caraïbes », sur francetelevisions.fr, .
- « Montserrat (Territoire britannique d'outre-mer) », sur Ulaval.ca
- [PDF] dossier de presse sur Montserrat
- Montserrat sur le site tlfq.ulaval.ca
- (en) « The Caribbean Irish: the other Emerald Isle », sur https://www.irishtimes.com, (consulté le ).
- (en) Hilary McD. Beckles, « A "riotous and unruly lot": Irish Indentured Servants and Freemen in the English West Indies, 1644-1713 », The William and Mary Quarterly, vol. 47, no 4, , p. 503-522 (JSTOR 2937974).
- Gallery Montserrat: some prominent people in our history, par Howard A. Fergus, page 8.
- (en) Howard A. Fergus, Gallery Montserrat : Some Prominent People in Our History, Canoe Press, , 165 p. (ISBN 978-976-8125-25-5, lire en ligne)
- Gallery Montserrat: some prominent people in our history, par Howard A. Fergus, page 9
- (en) Rachel Dixon, « Walking in the Caribbean: sun, sea … and treks », sur Theguardian.com,
- D. Moullet et P. Saffache, « Montserrat : une île à risques », sur Caribbean-atlas.com,
- Maïté Koda, « Archives d'Outre-mer- 1997 : quand l'éruption de la Soufrière à Montserrat détruisait la moitié de l'île », sur Francetvinfo.fr,
- « Montserrat, une île sans capitale », sur Liberation.fr,
- « Montserrat, le paradis lunaire », sur Pluton-magazine.com,
- Yves Ouellet, « Montserrat, paradis et enfer », sur Ledevoir.com,
- « Une éruption de la Soufrière touche la Guadeloupe », sur Maxisciences.com,
- Marc Laviolette, « Le volcan de Montserrat sous surveillance », sur RCI,
- Tim Pile, « Voyage.À la découverte de Montserrat, l’île la plus rock des Caraïbes », sur Courrierinternational.fr,
- (en) « Runaway Ghaut », sur Atlasobscura.com
- http://projects.dfid.gov.uk/project.aspx?Project=113987 « Copie archivée » (version du 25 avril 2013 sur l'Internet Archive)
- « Bercy sort les Bermudes et Jersey des paradis fiscaux », sur lemonde.fr, .
- classement FIFA des équipes nationales de football
- (en) Tony Cozier, « Different backgrounds, common debut », Cricinfo, (consulté le )
Voir aussi
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressource relative au vivant :
- Ressource relative à la musique :
- (en) Gouvernement de Montserrat
- Les réfugiés volcaniques ou la diaspora montsérratienne (vidéo), Thierry Nicolas, 2010.
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